Et quand un État renonce à l’ordre, il récolte le chaos, toujours aux mêmes endroits et toujours aux dépens des mêmes.
Il faut cesser de se réfugier derrière des formules vagues et des prudences artificielles.
Ce qui se produit régulièrement à l’occasion de certaines victoires sportives n’est ni imprévisible ni marginal.
Ce n’est pas non plus une construction idéologique.
Ce sont des faits observables, répétés, connus de tous ceux qui vivent dans les villes concernées.
À chaque victoire de l’équipe d’Algérie, ou à chaque événement sportif fortement chargé symboliquement, les mêmes scènes se reproduisent dans plusieurs agglomérations françaises : attroupements massifs, occupation agressive de l’espace public, affrontements avec les forces de l’ordre, dégradations, commerces contraints de fermer, circulation paralysée.
Ce n’est pas une généralisation abstraite, c’est une régularité factuelle.
Dire cela n’est pas accuser collectivement.
C’est décrire une séquence précise, circonscrite, identifiable. Il ne s’agit pas de dire que tous les supporters se livrent à ces violences, mais de constater que, de manière répétée, certaines célébrations liées à cette équipe débordent dans la violence, sans que l’État n’apporte de réponse proportionnée et durable.
La nuance est essentielle, mais elle ne doit pas servir d’alibi à l’inaction. Refuser de nommer un phénomène sous prétexte qu’il pourrait être mal interprété revient à nier la réalité.
Ce qui frappe, c’est la prévisibilité totale de ces débordements. Ils sont attendus, anticipés, intégrés.
Les commerçants ferment à l’avance, les habitants évitent les centres-villes, les forces de l’ordre savent que la situation va dégénérer.
Et pourtant, le scénario se répète à l’identique.
Cette répétition n’est pas un hasard. Elle est la conséquence directe d’un pouvoir qui accepte que l’ordre public soit suspendu à certaines occasions, par peur politique de nommer, de trancher, de sanctionner clairement.
Il faut ici mesurer les conséquences concrètes de cette tolérance.
Chaque épisode de violence a un coût immédiat et un coût durable.
Des commerces détruits ne rouvrent pas toujours. Des entrepreneurs renoncent à s’installer dans des quartiers devenus imprévisibles.
Les assurances augmentent leurs primes ou se retirent. L’activité se contracte, l’emploi recule, le chômage progresse. Le lien est direct.
Là où l’insécurité s’installe, l’économie se retire.
Et quand l’économie se retire, ce sont toujours les mêmes territoires qui s’enfoncent davantage.
Ce point est central car il montre que la violence n’est pas seulement un problème sécuritaire ou moral. C’est un facteur de paupérisation.
À force de tolérer des scènes de chaos répétées lors de certains événements symboliques, l’État contribue à détruire le tissu économique local, puis s’étonne du chômage massif, de la précarité et de la colère sociale. Il traite les conséquences sans jamais traiter la cause.
Il faut aussi comprendre la dimension symbolique de ces violences. Lorsqu’une victoire sportive se transforme en démonstration de force dans l’espace public français, avec des drapeaux étrangers brandis de manière provocatrice et des affrontements avec la police, l’événement cesse d’être sportif. Il devient identitaire et conflictuel.
Ce glissement n’est pas automatique, il est rendu possible par l’absence de cadre clair et de réponse ferme.
La responsabilité française est ici centrale.
Aucun État étranger ne peut peser durablement sans trouver en face un pouvoir prêt à reculer.
La diplomatie française a choisi l’évitement, la culpabilité et la justification permanente.
Elle a renoncé à poser des lignes claires et à rappeler que la relation entre États repose sur la réciprocité.
Cette faiblesse extérieure se répercute mécaniquement à l’intérieur. Un État qui ne se respecte plus sur la scène internationale ne peut pas exiger le respect sur son propre territoire.
Ce décalage alimente une colère froide.
Une colère qui ne s’exprime pas toujours par des cris mais par une perte de confiance profonde.
Les citoyens voient que l’ordre est négociable, que certaines violences sont tolérées, que certaines zones deviennent impraticables à intervalles r
éguliers.
Ils voient aussi que ceux qui en subissent les conséquences économiques sont toujours les mêmes. Cette injustice perçue est politiquement explosive.
À ce stade, continuer à parler d’apaisement relève de l’irresponsabilité.
Quand un État constate des violences répétées, des territoires économiquement ravagés et une autorité systématiquement contestée, il n’a plus le choix entre plusieurs options respectables.
Il a le choix entre reprendre le contrôle ou accepter le délitement.
Face à cette situation, il n’existe pas de solution morale. Il existe des décisions politiques.
La première consiste à rompre avec la diplomatie de la culpabilité et à rétablir la réciprocité dans les relations entre États.
Sans réciprocité, il n’y a pas de coopération, seulement une contrainte à sens unique.
Cette réaffirmation extérieure doit s’accompagner d’une reprise en main intérieure. Le droit existe, il doit être appliqué.
Le contrôle effectif des flux, l’exécution réelle des décisions administratives, la conditionnalité stricte des titres et des droits au respect des règles communes relèvent de la fonction régalienne minimale.
Dans ce cadre, la remigration, entendue comme une politique publique légale, encadrée par le droit, visant le retour des personnes étrangères qui n’ont pas vocation à demeurer sur le territoire, s’impose comme un outil parmi d’autres pour rétablir la cohérence entre la loi et la réalité.
Appliquer la loi n’est ni une violence ni une opinion. C’est un acte de souveraineté.
Refuser de le faire, c’est choisir le statu quo et le délitement.
La France n’a pas besoin de discours apaisants supplémentaires. Elle a besoin de décisions claires.
Les États disparaissent rarement dans le fracas. Ils disparaissent dans l’évitement.
Et c’est précisément cet évitement qu’il faut désormais regarder en face…
Par Jérôme Viguès
ET AUSSI
N’écoutez pas les vœux de Macron en direct : un acte de résistance nécessaire
On sait qu’il va encore parler pour ne rien dire, et dire des choses qu’il ne fera jamais.
Il est au plus bas dans les sondages, il est totalement discrédité.
Alors, offrez-vous un acte de résistance facile, à la portée de tout le monde : ne l’écoutez pas en direct, cela fera baisser l’audimat, et montrera encore davantage le rejet massif dont il est l’objet.
SOUMISSION
Dans toutes les grandes villes de France, scènes de guerre des supporters de football algérienscontre les forces de l’ordre et donc contre la France, et on n’en est qu’aux 1/8 de finale, les 1/4 de finales auront lieu le 31 décembre, cela promet. Silence complice des grands médias.
Delogu reprend le discours de Bilongo et appelle la Nouvelle France à diriger prochainement un maximum de villes.
"L'opportunité qu'enfin un racisé dirige ces villes où beaucoup d'immigrés sont passés et fasse en sorte que le réel peuple de France reprenne le pouvoir" – Sébastien Delogu pour la campagne de Bally Bagayoko, liste LFI PCF, à Saint-Denis Pierrefitte (93)pic.twitter.com/zpXE7U4GAn
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche)December 28, 2025
La France soutint les ayatollahs. C’est audible par le silence des officiels et des médias aux ordres sur ce qui se passe en Iran.
L’étranger dans la maison. Rima Hassan, parfaite petite soldate d’Allah, via le Hamas. Qu’attend-t-on pour la juger et la déchoir de sa nationalité française ?
Brigitte Bardot voulait se faire enterrer à la Madrague. Refusé. Abus d’autorité de l’État ?
On nous annonce que pour le réveillon de la Saint-Sylvestre demain, événement censé être festif et convivial, 90.000 policiers et gendarmes sont mobilisés pour juguler le bordel et les violences que ne manqueront pas de foutre des hordes de racailles issues de certaines immigrations.
Qui se souvient qu’au début de la guerre d’Algérie, suite aux premiers attentats de la Toussaint rouge le 1er novembre 1954, la France a mobilisé 63.000 soldats ?
Nous mobilisons donc sur notre territoire nationale, en 2025, plus de troupes pour un 31 décembre que pour circonscrire le feu couvant de la guerre d’Algérie il y a 75 ans.
Enrichissement algérien et « justice » minable. Un commentaire savoureux : « Il faut dire qu’une femme se rendant à la messe de Noël est un acte de provocation envers une population discriminée.
Par ailleurs, heureusement, le juge ne lui à pas délivré une OQTF, afin de ne pas nuire à sa qualité de vie en France. » :
« Nos ancêtres gaulois étaient des barbares, et sans les Romains et la civilisation arabe qui ont nourri le récit du Moyen Âge, la Renaissance aurait été retardée.
» Quant à « l’influence pacifique de la langue arabe sur le français »,entre les sourates mortifères du coran et les borborygmes des wesh wesh du rap, qui en douterait, n’est-ce pas ?
Avec 3,4 % de part d’audience sur l’année 2025, CNews devient seule leader des chaînes d’info, distançant nettement BFM-TV qui recule à 2,8 % (contre une égalité à 2,9 % en 2024).
Si la chaîne de Rodolphe Saadé conserve le plus grand nombre de téléspectateurs uniques (45 millions en décembre), celle de Vincent Bolloré bénéficie d’une durée d’écoute plus longue de ses fidèles, se classant désormais 6e chaîne nationale juste derrière France 5.
POUR MÉMOIRE
Ils étaient 88. 88 visages. 88 noms. 88 vies données pour la France.
La guerre en Afghanistan a duré onze longues années.
Onze années de missions, de nuits sans sommeil, de patrouilles sous tension, de décisions prises en quelques secondes.
Entre 2001 et 2012, 88 soldats français sont tombés au combat.
Ici, aussi, pas d’oubli :
« J’éprouve pour Yann Barthès un fort sentiment qui ressemble à de l’attirance physique. Grave, Docteur ? » (Allah)
Les Byzantins, nous dit-on, spéculaient sur le sexe des anges pendant que les mahométans les encerclaient.
Mais Byzance avait quand même duré 1000 ans.
Il n’est pas sûr que nous fassions aussi bien désormais pendant que nous dissertons, nous, sur la réalité du sexe des hommes.
Car nous sommes descendus en dessous de la ceinture.
La France macrone
La France cause car elle sort de l’histoire.
Elle s’enivre de mots, de bruits et d’images pour tenter d’oublier qu’elle est devenue la risée et le paillasson du monde.
L’exemple, il est vrai, vient de haut.
Les Ukrainiens ont inventé un verbe pour désigner cette impuissance verbeuse :macroner.
C’est-à-dire faire comme Emmanuel Macron : parler, communiquer, causer en permanence sur tous les sujets possibles, gesticuler, voyager et embrasser tout le monde, tout en ne faisant rien de concret et surtout rien de positif.
C’est la différence entre le verbe gaullien et le verbe français actuel : le verbe gaullien anticipait ou accompagnait l’action.
Le verbe français actuel, lui, entend sesubstituerà l’action. Comme si les mots pouvaient changer la réalité des rapports de force.
Comme si la com’ pouvait transformer en paradis l’horrible déclin français.
Mais cela ne marche plus.
Le serpent médiatique qui se mord la queue
Tout le monde cause : dans les médias, devant les caméras, lors des conférences de presse, lors des commémorations, sur Internet et sur son portable.
Aujourd’hui, même les écrivains doivent communiquer, et malheur à celui que l’on n’invite pas dans un média : ses livres seront invisibilisés.
La palme revient évidemment à notre classe médiatique qui glose à longueur d’antenne sur des propos des politiques : donc qui se borne à commenter des mots, en boucle.
Comme dans ces horriblesdébatsoù l’on s’efforce de nous faire croire que la réalité n’existerait finalement que sous forme depoints de vuedivergents. « Qu’est-ce que la vérité ? », disait Pilate…
Ces débats médiatiques sont un peu l’équivalent de la crème à la crème, le plat préféré des Vikings dans les bandes dessinées de Goscinny.
C’est l’ouroboros, le serpent médiatique qui se mord la queue en se regardant le nombril.
La classe discutante
La gauche, c’est-à-dire en France la bourgeoisie, ne cesse de jacasser depuis 1789.
Ce n’est pas pour rien que l’écrivain conservateur espagnol Juan Donoso Cortés l’appelait, au XIXᵉ siècle, la classediscutante.
La gauche a en effet imposé le monopole de sa parole pour tenter de faire accepter ses folies, la plupart du temps sanguinaires, pour un incontestable progrès.
Tel Robespierre, elle doit croire ce qu’elle dit et donc nier la réalité la plus évidente.
Et malheur à ceux qui ne partagent pas ses mots : hier, direction la guillotine ; aujourd’hui, la censure, le tribunal et la fermeture du compte bancaire.
Mais c’est vrai aussi, hélas, d’une certaine droite qui, dans les médias alternatifs, commente d’autant plus doctement ce qu’il faudrait faire qu’elle ne l’a pas fait hier ou qu’elle n’est pas en mesure de le faire aujourd’hui, sinon demain, de toute façon.
Arrêtez de parler ! Agissez
« Tu causes, tu causes », disaitZazie dans le métro.
En France, tout le monde cause mais plus personne ne croit la parole publique, tellement galvaudée.
Pas plus que la parole médiatique, trop compromise.
Les Français n’écoutent plus les bavards.
A fortiori quand ils mentent.
Ils ne veulent plus que l’oncommuniqueou qu’on leur fasse de lapédagogie, comme disent les oligarques. Ils en ont assez deséléments de langageet des leçons de morale des nantis de la mondialisation heureuse.
Ils n’attendent pas qu’on leur explique pourquoi cela n’a pas marché : ils veulent des politiques qui agissent pour que cela marche.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire