REVUE DE PRESSE !
Brigitte Bardot, une fidélité française
Brigitte Bardot n’a jamais été une femme de demi-teintes.
Dès ses débuts, elle a incarné une France libre, charnelle, indomptable, loin des prudences de salon et des calculs d’appareil.
Cette liberté-là, elle ne l’a jamais abandonnée, même lorsque le prix à payer est devenu l’isolement, la caricature et la condamnation morale.
Une icône nationale avant d’être une actrice
Avant d’être réduite par ses détracteurs à une figure polémique, Brigitte Bardot fut un symbole national.
Marianne de la République, visage de la France à l’étranger, elle représentait une identité claire, enracinée, assumée.
Une France qui ne demandait pas pardon d’exister, qui n’avait pas honte de son histoire, de sa culture, de ses paysages et de son peuple.
Le combat pour les animaux, un amour de la terre
On a souvent voulu dissocier son combat pour la cause animale de ses convictions patriotes.
C’est une erreur fondamentale.
Défendre les animaux, c’est défendre une certaine idée de la civilisation, du respect du vivant, de l’équilibre entre l’homme et la nature.
Bardot ne militait pas abstraitement : elle défendait une France rurale, charnelle, héritière de traditions millénaires, aujourd’hui méprisées par les élites hors-sol.
Dire ce que beaucoup pensent tout bas
Lorsque Brigitte Bardot parle d’immigration, d’identité ou de souveraineté, elle ne fait pas de stratégie politique.
Elle parle avec les mots d’une femme qui voit son pays changer sans qu’on lui ait jamais demandé son avis.
Elle dit tout haut ce que des millions de Français ressentent sans oser l’exprimer, de peur d’être cloués au pilori médiatique.
Une cible idéale pour le système
Son franc-parler lui a valu procès, condamnations et diabolisation.
Non pour des actes, mais pour des mots.
Non pour des violences, mais pour des opinions.
Bardot est devenue l’exemple parfait de ce que le système réserve à ceux qui refusent de se soumettre au dogme dominant : la criminalisation de la parole dissidente.
Le courage de rester fidèle
Brigitte Bardot aurait pu se taire, rentrer dans le rang, préserver son image et sa tranquillité.
Elle a choisi l’inverse. Rester droite.
Assumer ses choix. Soutenir ceux qui, selon elle, défendaient la France quand tant d’autres l’abandonnaient.
Ce courage-là, rare, explique autant l’admiration silencieuse que la haine bruyante qu’elle suscite.
Une solitude qui force le respect
Avec les années, Bardot est devenue une figure à part, presque hors du temps.
Ni calculatrice, ni opportuniste, ni mondaine.
Une femme qui n’a jamais demandé à être comprise, seulement à être libre.
Une femme qui a préféré la fidélité à elle-même au confort de l’approbation générale.
Brigitte Bardot restera comme l’un des derniers grands symboles d’une France fière, indocile et impossible à faire rentrer dans les cases.
ET AUSSI
Brigitte Bardot : icône, rebelle, française jusqu’au bout
Cinéma | Décès | Décès de Brigitte Bardot |
Brigitte Bardot Photo : Douglas Kirkland / GettyImages
Monica Lefèvre 28 décembre 2025
Brigitte Bardot est morte à 91 ans, et l’annonce a provoqué bien davantage qu’un simple émoi cinéphile.
Car Bardot n’était pas seulement une actrice, ni même une star.
Elle était un phénomène, une rupture, un basculement.
Sa disparition ferme une époque où la France produisait encore des figures capables de bouleverser l’ordre moral, les codes sociaux et les regards convenus, sans demander l’autorisation à quiconque.
Dans un pays désormais obsédé par le contrôle, la conformité et la prudence, Bardot incarnait l’exact inverse : l’élan, l’instinct, la liberté brute.
Sa mort agit comme un miroir cruel tendu à notre présent.
Bardot, une révolution sans discours
Elle n’a jamais théorisé.
Elle n’a jamais rédigé de manifeste.
Elle n’a jamais revendiqué le moindre rôle historique.
Et pourtant, Brigitte Bardot a fait plus pour transformer la condition féminine que bien des idéologues bardés de slogans.
Dans les années 1950, elle impose une femme qui ne s’excuse pas d’être désirable, qui ne se cache pas, qui ne joue pas la comédie de la pudeur obligatoire.
Elle ne réclame rien : elle existe, simplement, et cela suffit à déranger.
Bardot n’est pas un symbole fabriqué : elle est un scandale naturel.
Une beauté qui dérange encore On a tout fait pour réduire Bardot à sa plastique, comme si la beauté devait être une faute.
Or c’est précisément parce qu’elle assumait cette beauté sans la travestir en discours que Bardot a tant dérangé.
Elle ne demandait ni validation, ni réhabilitation, ni indulgence.
Aujourd’hui encore, son image reste insupportable à une époque qui soupçonne la beauté d’être une oppression et la séduction une transgression.
Bardot était belle sans justification, libre sans explication, heureuse sans permission.
Le cinéma comme tremplin, pas comme prison Elle quitte le cinéma en 1973, au sommet, sans nostalgie excessive.
Quarante-six films, une carrière dense, puis le silence.
À l’heure où tant de célébrités s’agrippent à leur image fanée, Bardot choisit la disparition médiatique.
Ce départ volontaire reste l’un de ses gestes les plus incompris. « Les rôles de vieille moche, je les laisse à Jeanne Moreau », avait-elle répondu un jour.
Elle savait que la gloire enferme autant qu’elle élève.
Elle a préféré le retrait à la caricature, la vie réelle à la répétition des rôles.
Une solitude assumée, une parole libre Bardot ne s’est jamais coulée dans le moule de la respectabilité mondaine.
Elle a payé cher son refus de se conformer aux attentes, notamment lorsqu’elle s’engage corps et âme pour la cause animale.
Là encore, pas de calcul : une indignation sincère, parfois maladroite, souvent excessive, toujours viscérale.
Ses propos ont choqué, parfois heurté, souvent scandalisé.
Mais Bardot parlait comme elle vivait : sans filtre.
Elle n’a jamais appris la langue de bois, encore moins celle de la repentance publique.
Une icône incompatible avec la France d’aujourd’hui La France contemporaine aime les figures lisses, repentantes, pédagogiques.
Bardot était tout le contraire.
Elle ne s’excusait pas d’exister, ne réécrivait pas son passé à la lumière des dogmes du moment, ne demandait pas pardon pour ce qu’elle était.
C’est sans doute pour cela que, déjà de son vivant, on a tenté de l’effacer symboliquement, de la réduire à une « ancienne star problématique ».
Sa mort rappelle cruellement ce que notre époque ne sait plus produire : des personnalités indomptables.
Bardot, une France charnelle et indocile Elle était une France solaire, sensuelle, enracinée, profondément charnelle.
Une France qui riait fort, aimait librement, se trompait parfois, mais refusait de se renier.
Une France qui préférait l’excès à la tiédeur, la sincérité à la prudence.
Avec Bardot disparaît une manière d’être français qui ne rentre plus dans les cases administratives du présent.
Brigitte Bardot s’éteint, mais son ombre immense continue de rappeler à la France ce qu’elle fut quand elle osait encore être elle-même.
SOURCE : https://lalettrepatriote.com/#google_vignette
ET AUSSI
Adieu BB
C’est avec une profonde émotion que le Parti de la France salue la mémoire de Brigitte Bardot, disparue ce 28 décembre 2025.
Avec elle s’éteint un monument du cinéma français, une figure majeure du
patrimoine artistique national.
Après Alain Delon, Jean-Paul Belmondo
et bien d’autres, c’est toute une génération de géants du septième art
qui rejoint l’Histoire.
Égérie française par excellence, Brigitte Bardot incarnait la beauté,
l’élégance et la liberté d’une France prospère et rayonnante.
Elle fut
le symbole d’une époque où notre pays fascinait le monde par sa culture,
son art de vivre et son audace créative.
Au-delà de son œuvre cinématographique, Brigitte Bardot a marqué la
société française par son engagement total en faveur de la cause
animale.
Son amour sincère des animaux et son combat constant pour leur
protection resteront l’un des héritages majeurs de sa vie publique.
Femme de convictions, elle n’a jamais dissimulé son patriotisme ni son attachement profond à notre civilisation.
Brigitte Bardot assumait ses
positions avec franchise, refusant les renoncements et le conformisme,
fidèle à une certaine idée de la France.
Elle était également une amie personnelle de Jean-Marie Le Pen, relation
qu’elle revendiquait librement, illustrant son indépendance d’esprit et
sa loyauté envers ses engagements.
Aujourd’hui, la France perd une icône, une femme libre, une voix singulière.
Brigitte Bardot, c’est un peu de l’Histoire de France.
Thomas Joly -
Président du Parti de la France

/image%2F0931529%2F20251228%2Fob_6360b5_adieu-bb.png)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire