lundi 1 décembre 2025

UKRAINE : SES MILLIARDS VENUS DE L' UE ENVOLÉS ? QUI SONT LES COCUS .......;

 

Ukraine – corruption massive et détournement de fonds européens, le scandale que l’Occident ne veut pas voir

Depuis des années, l’Ukraine reçoit des dizaines de milliards d’euros venus de l’Union européenne c’est à dire pris dans la poche des contribuables européens sans concertation,, milliards censés soutenir sa résistance à l’invasion russe, entretenir ses infrastructures ou encore financer sa reconstruction. 

Or un constat s’impose avec une brutalité croissante : cet argent — celui des contribuables européens — alimente aussi un système de corruption tentaculaire, au sommet même de l’État ukrainien

Pourtant, ni Bruxelles, ni Paris, ni Berlin ne semblent vouloir en tirer les conséquences.

 

Une aide financière massive, prise dans la poche des Européens

Depuis 2022, plus de 100 milliards d’euros d’aide ont été versés à Kiev par l’UE : une somme vertigineuse, débloquée sans référendum, sans débat public digne de ce nom, et sans véritable mécanisme démocratique de contrôle. 

Qu’il s’agisse d’aides militaires, humanitaires, ou de soutien budgétaire, cette manne a été distribuée à un régime placé sous loi martiale, où les garde-fous institutionnels ont été affaiblis et où le pouvoir est concentré entre les mains d’un petit cercle gravitant autour de Volodymyr Zelensky.

 

Le scandale est là : c’est avec l’argent des peuples européens, prélevé sans leur consentement, que sont nourris des réseaux mafieux au cœur même de l’État ukrainien.

 Une situation que certains dirigeants occidentaux fermentent activement, refusant de suspendre leurs versements par crainte d’un effondrement de Kiev.

 

Le scandale « Midas » : 100 millions d’euros évaporés

Dernier séisme en date, le scandale “Midas”, du nom de l’opération menée par les autorités anticorruption ukrainiennes : plus de 90 millions d’euros auraient été détournés dans le secteur de l’énergie, au cœur d’un dispositif financé directement par l’Union européenne. 

Au centre de l’affaire, des proches directs du président Zelensky — dont son ancien partenaire de télévision Timur Minditch — accusés d’avoir monté un réseau de commissions illicites sur des contrats publics liés à la protection des centrales nucléaires d’Energoatom.

Plus grave encore : les fonds détournés provenaient en partie du programme européen « Ukraine Facility », doté de 50 milliards d’euros jusqu’en 2027. 

 

À travers l’Energy Community, Bruxelles avait transféré plus de 300 millions d’euros pour soutenir la résilience énergétique de l’Ukraine. 

Une partie aurait donc été redirigée vers des paradis fiscaux ou, ironie dramatique, vers la Russie elle-même.

 

L’ombre de Yermak, bras droit de Zelensky, et l’effondrement moral du régime

La tempête a atteint le sommet de l’État.

 Le directeur de cabinet de Zelensky, Andriy Yermak — surnommé le « vice-président » — a été poussé à la démission fin novembre, après des perquisitions menées à son domicile. 

L’homme, figure centrale du pouvoir ukrainien depuis 2020, était considéré comme intouchable. 

Son départ illustre l’ampleur de la crise. 

Plusieurs autres ministres ont dû quitter leurs fonctions. 

Huit personnes ont été inculpées, dont des figures très proches du président.

 

À Kiev même, des voix s’élèvent. 

Daria Kaleniuk, figure du Centre anticorruption ukrainien, dénonce « un système d’impunité totale », où « le président est coupé de la réalité, enfermé dans un cercle de fidèles qui détournent les fonds destinés à la guerre ». 

Des milliers d’heures d’écoutes et d’enquêtes étayent ces accusations.

Le silence complice de Bruxelles

Face à ces révélations, l’Union européenne continue pourtant de soutenir sans faillir le régime en place.  

Aucune suspension d’aide significative n’a été décidée — à l’exception d’un gel partiel de 1,5 milliard d’euros en juillet 2025, vite levé. La France, l’Allemagne, les institutions de Bruxelles… tous s’accordent sur un même discours : ne pas fragiliser l’Ukraine, quitte à fermer les yeux sur les dérives.

Mais dans plusieurs pays, la colère monte. 

En Italie, Matteo Salvini dénonce « l’argent volé aux familles italiennes pour alimenter un système corrompu à Kiev ». 

En Hongrie, le ministre des Affaires étrangères qualifie l’Ukraine de « mafia de guerre » et fustige « la psychose guerrière » entretenue à Bruxelles. 

En Allemagne, des voix commencent à se faire entendre au sein même du gouvernement, exigeant une enquête complète avant tout nouveau versement.

 

Car au fond, ce scandale est aussi celui de l’Union européenne.

Celui d’une bureaucratie qui engage des centaines de milliards d’euros, sans vote populaire, sans référendum, sans consentement. 

Celui d’élites politiques qui se réclament de l’État de droit mais arrosent un État sous loi martiale. 

Celui, enfin, d’un pillage organisé de la solidarité européenne, au profit d’un régime qui ne respecte ni les standards de transparence, ni ceux de bonne gouvernance exigés des États membres.

L’adhésion de l’Ukraine à l’UE est en suspens, faute de réformes tangibles. 

 

Mais les milliards, eux, continuent de couler. 

Pendant que les Européens voient leurs factures exploser, leur monnaie s’affaiblir, et leur avenir énergétique compromis, les oligarques ukrainiens, eux, prospèrent.

Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.
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