mercredi 7 août 2024

IMMIGRATION / INVASION : LA GUERRE CIVILE EN EUROPE N' EST PLUS UN FANTASME !



TRIBUNES LIBRES , POINT DE VUE ET CONSTAT ......


[L’ÉTÉ BV] 

Le Sénat sur les émeutes de 2023 : cette guerre civile qui vient

emeutes
Cet article vous avait peut-être échappé. Nous vous proposons de le lire ou de le relire.

 
Cet article a été publié le 11/04/2024.

Tout l'été, BV vous propose de relire certains articles de l'année écoulée.

 Ici, des nouvelles de notre civilisation.

Le 30 juin 2023, alors que les émeutes enflamment les banlieues dans la foulée du décès du jeune Nahel, Éric Zemmour est invité sur Europe 1 au micro de Dimitri Pavlenko, qui mentionne les scènes de chaos et de pillage.  

« On voit bien que nous sommes dans un des prodromes de guerre civile », commence Zemmour. « Guerre civile ?, interrompt Pavlenko.  

Qu’est-ce que c’est ? » « La guerre civile, ce sont les affrontements entre une partie de la population et les autorités publiques », répond Zemmour.

Un prodrome ? Le début d'une maladie, avant la crise aiguë. 

Daté de ce 9 avril 2024, le tout récent rapport d’information du Sénat ne décrit pas autre chose.

 Rédigé par une commission d’enquête présidée par le sénateur François-Noël Buffet (LR), ce texte de 282 pages ne parle pas de guerre civile ni même d’immigration. 

Mais il alourdit le bilan de ces jours d’émeutes et décrit une situation de pré-guerre civile.

Côté bilan des émeutes de 2023, le Sénat fait état d’un coût plus lourd encore qu’annoncé : on en était resté à plus de 700 millions d’euros. « L’estimation des dommages aux biens atteint le chiffre, colossal et en nette hausse par rapport à 2005 [aux émeutes de 2005, NDLR], d’un milliard d’euros », écrit le rapport.

 À elle seule, la facture des émeutes de 2023 présentée aux assureurs bondit à 793 millions d’euros. 

C’est... quatre fois le coût des émeutes de 2005 !

 Où l'on constate que la France a pris le chemin du progrès. Les émeutes de 2023 ont, par ailleurs, fait deux morts.

 Et « la mission d’information évalue dans une fourchette basse à plus d’un millier le nombre de personnes blessées »

Parmi elles, « 782 agents des forces de l’ordre »

 Des chiffres qui ne relèvent plus de la poussée de fièvre mais de l’affrontement.

 Les émeutes de 2005 avaient touché 25 départements, celles de 2023 en ont concerné 95 sur 101, ajoute le rapport… Quand on vous parle de progrès !

 

Un rapport décomplexé à la violence

Ce n’est pas tout. 

Les émeutiers s’en sont pris « aux symboles républicains », explique benoîtement le texte du Sénat. 

C’est-à-dire aux symboles de la France. 

Parmi les 2.508 bâtiments incendiés ou dégradés (bien 2.508 !) figurent 273 bâtiments des forces de l’ordre, 105 mairies et 243 écoles. 

 Pas moins de 12.031 véhicules ont aussi été incendiés, dont de nombreux véhicules de la police. 

Chez ces habitants gourmands en subventions de tous ordres, l’amour du pays et de son modèle ne saute pas aux yeux…

Le profil de l’émeutier n’a, par ailleurs, rien à voir avec le miséreux sans le sou imaginé par la gauche : il a 23 ans en moyenne, un diplôme du secondaire, il est en activité. 

C’est un homme, pour neuf émeutiers sur dix, et un Français, pour sept émeutiers sur dix (71 %). Ce qui signifie que trois émeutiers sur dix sont étrangers…

 Ces émeutiers n’ont utilisé le décès du jeune Nahel que comme un prétexte, nous dit encore ce rapport, sauf une minorité d’entre eux.

 L’extrême gauche n’a rien manipulé. Pas de revendication politique, mais « une colère » contre les « institutions » et les « représentants de l’autorité publique », un « effet de groupe » et une « recherche d’adrénaline ».

 La « dimension ludique des réseaux sociaux » a aussi joué un rôle. Si on peut rigoler un peu... 

Tous les ingrédients d’une sédition sont là, le terreau d’une guerre civile.

Certains mots du rapport présagent ainsi d’un avenir assez sportif… « Les forces de sécurité intérieure ont fait face à des émeutiers démontrant un rapport décomplexé à la violence ainsi qu’un degré d’organisation et de désinhibition déconcertant », note le texte.

 Les sénateurs prennent donc la mesure de la menace et interrogent la capacité de l’État à « assurer le rétablissement rapide de l’ordre public »

Question grave. « Une telle question se pose avec une acuité renouvelée, tant le risque de nouveaux phénomènes (le cas échéant, plus localisé), de violences ou d’émeutes urbaines pourrait à l’avenir se présenter très rapidement », insiste ce rapport du 9 avril.

 Autant dire, officiellement, que la France a basculé, qu’elle ne maîtrise plus ses banlieues et qu’elle est désormais assise sur une poudrière.

 

Sécuriser les armureries

Les sénateurs proposent ainsi de « construire un schéma national de rétablissement et de maintien de l’ordre en contexte émeutier », d’améliorer l’entraînement des forces de l’ordre face aux émeutes et de les équiper pour « des contextes émeutiers longs et protéiformes »

 Cela ne sent pas le vivre ensemble dans la diversité heureuse... 

La mission sénatoriale préconise ainsi de produire davantage de munitions et d’armement, de moderniser les flottes de drones et de s’équiper en caméras de surveillance, « d’assurer la sécurisation des bâtiments et armureries » ou « d’améliorer la cartographie des quartiers sensibles » sans oublier de gérer la profusion des mortiers d’artifice.

 

Selon le Larousse, la guerre civile est une « lutte armée, au sein d'un même État, entre les partisans du pouvoir en place et une fraction importante de la population »

Après que la France a investi 117 milliards d'euros dans la politique de la ville depuis 2010, on y est.

Marc Baudriller
Par Marc Baudriller 
 
Directeur adjoint de la rédaction de BV, éditorialiste

 

 ET AUSSI


Réveillez-vous, peuples d’Europe : l’heure est grave 

[L’Agora]


Il est temps de dire les choses telles qu’elles sont, sans détour et sans fausse pudeur. 

Depuis des décennies, nos nations sont confrontées à un phénomène d’une ampleur sans précédent : une immigration massive qui, à chaque jour qui passe, transforme profondément, irréversiblement, la physionomie de notre continent.

 Ce que nous vivons n’est pas une simple évolution démographique, mais bien un bouleversement civilisationnel, un déclin programmé de l’Europe historique.

Regardez autour de vous, dans vos quartiers, dans vos villes, dans vos écoles. 

Les peuples européens, de Paris à Stockholm, de Londres à Berlin, sont confrontés à une substitution silencieuse, orchestrée sous le couvert du discours humaniste et universel. 

Cette substitution est le résultat d’une immigration de peuplement encouragée par une classe politique et médiatique qui, non seulement ignore les aspirations des classes populaires, mais les méprise, les humilie, et les accuse de tous les maux dès qu’elles osent élever la voix.

Cette classe dirigeante, qui prétend veiller sur nos intérêts, a trahi son peuple.

 Elle passe son temps à justifier l’injustifiable, à excuser l’inexcusable.

 Combien de fois avons-nous entendu des justifications pour les actes de délinquance, de violence, et de haine qui se multiplient dans nos rues, tout en détournant les yeux des souffrances des honnêtes gens, des travailleurs, des familles qui tentent de maintenir leur mode de vie dans un environnement de plus en plus hostile ? 

Chaque agression, chaque acte de violence commis par ceux que nos élites ont fait entrer chez nous est relativisé, minimisé, ou pire, rationalisé par des médias complaisants.

Et vous, responsables des partis dits patriotes, où êtes-vous ? 

Qu’avez-vous fait pendant tout ce temps, sinon tenir des discours tièdes et modérés, des discours destinés à plaire à un électorat bourgeois, tout en laissant les classes populaires se débattre seules dans une réalité que vous refusez de voir ? 

Vous avez trahi votre mission. 

Vous avez trahi les espoirs de ceux qui vous ont élus pour défendre leur identité, leur sécurité, et leur avenir.

Il est temps que vous sortiez de votre torpeur, que vous cessiez de jouer le jeu des institutions qui vous marginalisent et qui vous ridiculisent. 

Il est temps que vous preniez le parti de la vérité, que vous disiez enfin ce que tout le monde voit et ressent : l’immigration incontrôlée est une arme de destruction massive contre nos peuples. 

Elle est la cause principale du déclin de notre civilisation, de la montée de la violence, de la destruction de nos valeurs.

Les classes populaires, ces mêmes classes que vous avez abandonnées, demandent aujourd’hui des actions concrètes. 

Elles demandent la fin totale de l’immigration, un moratoire sur l’entrée de nouveaux migrants, et une politique de remigration pour ceux qui n’ont rien à faire chez nous.

 Elles demandent que vous preniez leurs préoccupations au sérieux, que vous cessiez de vous soucier des accusations de « racisme » que l’on vous colle dès que vous ouvrez la bouche.

 Le temps de la prudence est révolu.

 Nous sommes à un tournant de notre histoire, et c’est maintenant, tout de suite, que vous devez agir.

Si vous ne le faites pas, le peuple prendra les choses en main.

 Il descendra dans la rue, non pas pour quelques manifestations pacifiques, mais pour défendre son droit à exister, pour protéger ses enfants, pour s’opposer à ce qui s’apparente de plus en plus à un génocide par substitution.

 La guerre civile n’est plus un fantasme ; elle est à nos portes.

 Ce qui se passe au Royaume-Uni actuellement est sans doute le dernier avertissement avant que la situation ne devienne irréversible.

C’est à vous, responsables politiques, de faire preuve de courage, de prendre la tête de cette révolte légitime avant qu’elle ne devienne incontrôlable. 

C’est à vous de redonner espoir à ces millions d’Européens qui, chaque jour, sentent leur monde s’effondrer autour d’eux. 

Si vous continuez à les trahir, ils vous le feront payer.

 Et alors, ce ne sera pas seulement la fin de l’Europe telle que nous la connaissons, mais aussi la fin de votre carrière politique, balayée par la colère de ceux que vous avez abandonnés.

Il est temps pour nous, Eur

opéens, de reprendre en main notre destin. Cessons d’attendre des autres qu’ils fassent le travail pour nous. 

 Cessons de croire aux belles paroles de ceux qui nous gouvernent. 

 Agissons, maintenant, pour sauver ce qui peut encore l’être. L’avenir de notre civilisation, de nos enfants, en dépend.

 

Par Julien Dir

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. 

Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

 
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