mercredi 28 août 2024

CES RESSORTISSANTS ÉTRANGERS DÉLINQUANTS TOUJOURS IMPUNIS ! NOUS ATTENDONS DES RÉPONSES !!!

 TRIBUNE LIBRE ET POINT DE VUE !



Après Mougins et La Grande-Motte, les étrangers délinquants toujours impunis

©Shutterstock
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Les récents drames de Mougins et de La Grande-Motte remettent en lumière le lien entre immigration et insécurité que peu de politiques osent établir. 

D’un côté, un gendarme, père de famille de 54 ans, a perdu la vie, lundi 26 août, après avoir été percuté par un chauffard lors d’une opération de contrôle routier sur l’A8, à Mougins, dans les Alpes-Maritimes. 

De l’autre, un attentat antisémite contre la synagogue Beth-Yaacov de La Grande-Motte (Hérault), commis le 24 août, a blessé un policier municipal.

 Point commun des auteurs présumés ?

 Ils sont tous deux ressortissants étrangers, légalement présents sur le territoire français. 

Le premier a rapidement été interpellé à Cannes après avoir mortellement renversé l’officier de gendarmerie Éric Comyn. 

Défavorablement connu des services de police, « le chauffard criminel », selon les mots de Gérald Darmanin sur BFM TV, originaire du Cap-Vert, « était un délinquant de la route » depuis quelques années. 

Le parquet de Grasse précise également que dix mentions figurent à son casier judiciaire, « principalement pour des atteintes aux personnes et des infractions à la circulation routière »

 Le second, El Hussein Khenfri, Algérien de 33 ans, est titulaire d’un titre de séjour et relaie abondamment les propos hostiles de La France insoumise envers Israël sur les réseaux sociaux. 

Vêtu d’un drapeau palestinien lors des faits, il ne cache pas ses motivations.

 

Une théorie très éloignée des faits

Ces deux affaires distinctes font émerger une question simple.

 Une personne étrangère, vivant régulièrement sur le sol français, peut-elle se voir retirer son titre de séjour et, donc, peut-elle être expulsée du territoire national ?

 Interrogé par Boulevard Voltaire, un policier parisien, régulièrement confronté à des délits commis par des personnes étrangères, répond : « En théorie, oui, un étranger peut perdre son visa ou son titre de séjour s'il commet un crime ou un délit grave », explique le fonctionnaire.

 « Mais dans la pratique, c'est beaucoup plus compliqué, déplore-t-il. Il y a des procédures administratives, des recours, des protections légales. 

Parfois, même après avoir purgé leur peine, ils ne sont pas expulsés immédiatement, voire pas du tout, à cause de toutes sortes de raisons, comme le risque de persécution dans leur pays d'origine ou simplement parce que leur pays refuse de les reprendre. »

Cette différence entre les textes de lois et la réalité du terrain est pesante pour de nombreuses forces de l’ordre. 

« On fait notre boulot sur le terrain, on essaie de maintenir l'ordre, mais si, derrière, les décisions ne suivent pas, on a l'impression de ne pas pouvoir protéger les citoyens comme on devrait le faire », déclare l’homme qui n’a plus aucune confiance en sa hiérarchie. «

 C'est frustrant, parce qu'on se retrouve souvent à gérer des individus qui ont déjà causé des problèmes et qui pourraient en causer de nouveaux.

 Ça nous donne l'impression de tourner en rond », conclut-il.

 

Quelles réactions politiques ?

À droite, les réactions politiques ne se sont pas fait attendre, en particulier après le décès de l’adjudant Éric Comyn. 

Mais après le temps de l’émotion et de la compassion pour la famille du fonctionnaire vient celui de l’exaspération. 

Sur X, le député de la Drôme Thibaut Monnier s’interroge sur la présence d’un étranger « cap-verdien multirécidiviste » sur le sol français.

Même agacement du côté de Marion Maréchal, qui estime qu’« avec un tel CV, on devrait mettre ce Cap-Verdien dans un charter » et non lui offrir « une carte de séjour », déplorant que « l’irresponsabilité de notre politique migratoire se paye encore par la mort d’un gendarme ».

 

Sur BFM TV, Laurent Martin de Frémont, secrétaire départemental Unité 06 (Alpes-Maritimes) s’est quant à lui emporté contre Raquel Garrido, qui refuse encore et toujours l’alourdissement des peines encourues pour délit de fuite.

 Des Français paient de leur vie l'incorrigible laxisme migratoire et judiciaire français.

Julien Tellier
Par Julien Tellier
Journaliste stagiaire à BV 
 
 

 
 
ET AUSSI
 
 

Synagogue attaquée : France Inter sort la carte de « l’islamophobie »

Capture d'écran X
Capture d'écran X

Il fallait s’y attendre. 

Alors que les attentats islamistes et antisémites se multiplient dans toute l’Europe de l’Ouest, France Inter a choisi de faire sa rentrée sous le signe de la lutte contre… l’islamophobie.

 Logique. 

Notre audiovisuel public dans toute sa splendeur. Woke et compulsivement xénophile, il blâme les victimes plutôt que les agresseurs.

 

Pour ce faire, France Inter recevait, lundi matin, un certain Aurélien Bellanger, romancier de son état.

 Un expert des questions d’islam, donc. « Il y a une islamophobie extrêmement forte qui travaille la société française, et qui est devenue une passion d'intellectuels », a-t-il déclaré, suite à l’attaque de la synagogue de La Grande-Motte, commise par un Algérien pro-palestinien

Selon ce grand spécialiste, notre société serait « malade » d’une haine islamophobe « volontairement attisée » par certaines personnes, sur « un certain nombre de chaînes de télévision »

C’est un peu vague, mais on devine que l’homme n’aurait rien contre la fermeture d’un média ou deux…

 

L’inversion des rôles

Aurélien Bellanger est parfaitement à sa place, sur France Inter

Comme tout bon progressiste qui se respecte, le romancier régurgite le discours qu’on attend de lui.

 C’est désormais une figure imposée.

 Après chaque attentat islamiste, alors que les cadavres sont encore chauds, il se trouve toujours un ou deux idiots utiles pour exonérer l’idéologie qui arme les terroristes. 

 

Tout est fait pour travestir le réel et nous convaincre que les Occidentaux ne seraient jamais les plus à plaindre, pas même lorsqu’on les égorge expressément au nom d’Allah.

 Il s’agirait, en fait, des musulmans, victimes d’une « islamophobie » occidentale ravivée par chaque nouvelle attaque djihadiste.

 « L’islamophobie est une source d’anxiété depuis le 11 septembre 2001, déclara ainsi le Pakistan à l’ONU, en mars 2022. Les attaques, les soupçons et la peur des musulmans ont pris des proportions épidémiques. » 

Comme si les victimes du 11 septembre n’étaient pas les 3.000 malheureux qui périrent dans l’effondrement des tours du World Trade Center mais les musulmans vivant à l’autre bout du monde. 

L’attentat djihadiste du 7 octobre 2023 en Israël donna lieu à la même rhétorique victimaire : les victimes ne sont plus les Juifs massacrés en masse par le Hamas mais les musulmans américains inquiets « d’une flambée islamophobe aux États-Unis » et « d’une recrudescence de la stigmatisation »

Pauvres petits choux.

 

Même inversion des rôles en France où certains redoutent le djihadisme avant tout pour ses répercussions « islamophobes » et le péril de la « stigmatisation ». 

« Quand on est musulman, dès qu’il y a un attentat, on prie pour que la personne à l’origine de l’attentat ne soit pas musulmane », osa dire Rokhaya Diallo.

 La plupart des Français, eux, prient pour la victime de l’attentat. Question de point de vue, sans doute.

 

Une volonté d’interdire toute critique de l’islam

L’astuce de ceux qui, comme Aurélien Bellanger, usent et abusent du mot « islamophobie » consiste à ne jamais en donner la moindre définition.

 Ce faisant, ils créent la confusion entre la critique de l’islam et la haine envers les individus musulmans. 

Or, si la seconde est condamnable, la première est légitime et même nécessaire. 

Il ne suffit pas de condamner du bout des lèvres « l’islamisme ». 

C’est bien l’islam, en tant que tel, qui nous pose un problème, et d’innombrables versets du Coran sont là pour le rappeler aux ignorants. 

Bien placé pour en parler, Salman Rushdie (romancier britannique victime d'une agression au couteau, NDLR) le dit clairement : « Je suis en désaccord total avec ces gens de gauche qui font tout pour dissocier le fondamentalisme de l'islam […]

 Quand les gens de Daech se font sauter, ils le font en disant "Allahou akbar", alors comment peut-on dès lors dire que cela n'a rien à voir avec l'islam ? » 

Voilà une question qu’il serait intéressant de poser à M. Bellanger.

Jean Kast
Par Jean Kast
Journaliste indépendant, culture et société 
 
Source et Publications :   https://www.bvoltaire.fr
 








 

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