Les réseaux sociaux sont devenus la source majeure d’information du grand public.
De nombreuses personnalités de droite ont lancé leurs comptes d’influence pour relayer des faits divers et des informations que les chaînes de télévision et les journaux subventionnés refusent de diffuser.
C’est le cas d’Occidentis (160.000 abonnés sur Instagram), de La Bonne Droite, de l’ASLA (Association de soutien aux lanceurs d’alerte) ou d’Alice Cordier.
Ces comptes identitaires, ainsi que quelques autres, sont victimes, depuis deux jours, d’une censure coordonnée de la part de Meta, le groupe propriétaire d’Instagram.
Sur la plate-forme, ces comptes ont été suspendus sans explication.
Leurs propriétaires disposent de 180 jours pour déposer un recours auprès de la plate-forme avant leur suppression définitive.
L’IFP (Institut de formation politique) a été suspendu la même journée.
Après un recours, ce compte a été réactivé.
Censure abusive pour museler le discours de droite
S’il est de notoriété publique que les modérateurs d’Instagram sont très efficaces, il reste que ces comptes n’enfreignaient, selon leurs utilisateurs, aucune des règles du réseau social en question.
Et pour cause : parmi les comptes suspendus se trouvent la branche lyonnaise de la Cocarde étudiante et, donc, le média Occidentis.
Sur leur compte X, l’un et l’autre précisent qu’aucune publication n’avait été postée sur ces comptes au moins dans la semaine précédant cette vague de suspension.
En février, dans une mise à jour de ses fonctionnalités, Instagram a changé la mise en avant des contenus politiques dans les suggestions aux utilisateurs. « Nous n’allons pas recommander de manière proactive du contenu relatif à la politique. »
Cette fonction peut être désactivée par les utilisateurs avertis.
Serait-ce cette dynamique de dépolitisation du réseau qui entraîne ces suspensions ?
Nombreux sont ceux qui y voient une censure abusive, dans une tentative de museler le discours de droite.
Les détenteurs des comptes bannis ont réagi sur leur compte X : « Les gauchistes qui rigolent de voir des comptes de droite censurés sur Insta. Vous êtes les prochains.
Un jour, vous ne serez pas assez de gauche pour les modérateurs, alors vous sauterez. Un jour, vous ne serez pas du bon côté d’un conflit, alors vous sauterez.
Il ne faudra pas pleurer à la liberté d’expression ce jour-là, on vous aura prévenus », déclare Alice Cordier, qui dénonce une menace grave contre la liberté d’expression.
Le soutien de certaines figures politiques de droite
Quelques politiques ont témoigné leur soutien aux comptes censurés.
Le président de Reconquête Éric Zemmour salue le travail indispensable de ces « influenceurs de droite ».
Il affirme qu’« ils défendent la France et la vérité avec plus de courage que tant de politiciens ».
Le député de Seine-et-Marne du Rassemblement national Julien Limongi s’est exprimé : « Après le retrait de C8 de la TNT pour des raisons politiques, on suspend en série des comptes Instagram patriotes, essentiels pour dénoncer les dérives de notre société.
» Sarah Knafo, fraîchement députée européenne Reconquête, s’indigne elle aussi : cette suppression de comptes, c’est l’annihilation de nombreuses années de travail, d’une communauté qui se retrouvait dans leur contenu.
Elle y voit une menace à la liberté d’expression : « Instagram décide arbitrairement de supprimer leurs comptes, c’est-à-dire tout simplement de les museler, sans prévenir et sans raison […]
Quand on ne sait plus convaincre, on censure.
C’est pour cela qu’aujourd’hui, Instagram fait le bonheur de la gauche.
» Ah, si seulement Elon Musk rachetait Instagram !
(À l'heure où nous publions cet article, nous n'avons pas reçu de réponse à notre demande de précisions sur les raisons de ces fermetures de comptes.)
La France médaille d’or de la répression sur internet.
Pourtant, les coups de couteau et les viols se multiplient sur notre territoire, mais la priorité du régime n’est pas là.
Après la grotesque intimidation contre Elon Musk de Thierry Breton, agissant sous les ordres de Macron, la France vient de nouveau de se distinguer en jetant en prison comme un malpropre Pavel Durov, fondateur de VK et surtout de Telegram, coupable d’avoir refusé de censurer les sites qui déplaisent au Nouvel Ordre Mondial.
La France, hier fer de lance de la défense des libertés dans le monde entier, s’enfonce, sous la présidence de Macron et de ses sbires, et symbolise aujourd’hui la censure et la dictature du politiquement correct, décidés à mettre au pas tous les hommes libres et tous les dissidents.
Cela a commencé par les procès contre les mal-pensants, puis par les fermetures de pages et de sites (champion du monde des pays occidentaux), puis par les dissolutions, puis par les agressions contre les militants RN ou R!, à présent, ils franchissent une nouvelle étape, en s’en prenant au 15e homme le plus riche du monde.
Après avoir voulu tuer Trump, les mondialistes oseront-ils jeter Elon Musk en prison ?
Avec Macron et ses gredins, tout est possible.
Source : https://pierrecassen.ripostelaique.com/2024/08/25
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