dimanche 25 août 2024

BRETAGNE : IMMIGRATION , INSÉCURITÉ , ENSAUVAGEMENT ET JUSTICE À RENNES (35 )...

 


 

REVUE DE PRESSE !

Rennes. 

Une nouvelle fusillade, cette fois à Bréquigny


En cette fin de semaine, l’actualité judiciaire bretonne nous propose une nouvelle fois un cocktail de faits divers bien représentatifs des fléaux qui touchent notre région depuis des années désormais.

Commençons par Rennes, où la capitale de l’Ille-et-Vilaine vient de nous rappeler qu’elle détenait également le titre de « capitale de la fusillade ».

 

Tandis que les autorités ont convié la presse le 21 août pour une vaste opération de communication autour d’une opération policière menée dans les quartiers du Blosne et de Maurepas contre le trafic de drogue, les policiers rennais étaient de nouveau sollicités le lendemain, jeudi 22 août, après qu’un individu ait tiré des coups de feu à deux reprises en direction d’un groupe de personnes devant la piscine de Bréquigny, située dans le quartier éponyme, au sud-ouest de la ville.

 

Selon le site d’information Actu Rennes, ces coups de feu tirés par un fusil à canon scié ont retenti vers 18 h, le tireur ayant dissimulé l’arme « dans un papier » aux dires de certains témoins. 

Dépêchés sur place, les fonctionnaires de police sont intervenus sur la plaine de jeux à proximité de l’établissement aquatique alors que l’assaillant avait pris la fuite. 

Une enquête judiciaire a été ouverte.

En prenant en compte le dernier épisode, Rennes a déjà enregistré trois fusillades dans ses quartiers depuis le début du mois d’août, la piste du règlement de compte entre narcotrafiquants étant régulièrement évoquée par les autorités.

 Le 6 août dernier, c’est à Maurepas, un quartier rennais « spécialisé » dans les tirs d’arme à feu que des détonations avaient retenti à l’aube, une quinzaine de douilles ayant été retrouvées par la suite à proximité de l’école du quartier.

Ce même jeudi 22 août à Saint-Malo, un individu de nationalité algérienne était jugé devant le tribunal correctionnel dans le cadre d’une procédure de comparution immédiate. 

 Quelques jours plus tôt, lundi 19 août, lui et un complice, arrivés de Rennes en train, avaient entamé une curieuse tournée « shopping » dans les rues d’Intra-Muros. 

Mais en « oubliant » de payer les vêtements choisis dans six boutiques du cœur touristique de la Cité corsaire.

 Plus précisément, les deux hommes étaient, selon le quotidien local Le Pays Malouin, « munis d’une pince coupante et d’un sac recouvert d’un film aluminium pour éviter de faire sonner les portiques de sécurité »…

Les deux Algériens tenteront notamment de voler une sacoche Lacoste mais seront mis en échec par la gérante de la boutique. 

Peu de temps plus tard, l’un des suspects sera appréhendé par les fonctionnaires de police malouin. 

Il s’avère que l’homme est un « mineur non accompagné » qui devra donc répondre de ces faits dans une autre juridiction.

À la barre jeudi 22 août, son acolyte âgé pour sa part de 27 ans a expliqué pour sa défense être venu à Saint-Malo « pour se baigner à la plage » en arguant n’avoir prodigué que des « conseils shopping » à son complice maghrébin. 

Une argumentation mise à mal par les images de vidéosurveillance.

 

À noter que le prévenu en villégiature balnéaire ne semblait pas perturbé par le fait qu’il était déjà sous le coup d’une interdiction de territoire français pour une durée de cinq ans après avoir déjà été condamné une première fois à Toulouse en 2020.

 Reconduit une première fois la frontière en 2022, l’homme aimait visiblement beaucoup la France puisqu’il est revenu dans l’Hexagone entre-temps.

Pour compléter le tableau, il n’a pas non plus respecté son assignation à résidence à La Guerche-de-Bretagne après sa sortie d’un centre de rétention administrative.

 

Un « palmarès » qui lui a valu, en prenant par ailleurs en compte quatre mentions précédentes à son casier judiciaire, une condamnation à 10 mois de prison par le tribunal de Saint-Malo avec maintien en détention.

 Il est par ailleurs désormais visé par une interdiction de paraître à Saint-Malo pour une durée de trois ans.

 

L’Algérien peut toutefois se rassurer : la Bretagne compte de nombreuses autres plages où il pourra de nouveau aller faire du tourisme et du « shopping ».

 

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