TRIBUNES LIBRES !
Grève de la faim de 4 LFI : c’est dommage que Netanyahou ne soit pas Thatcher
Ils s’appelaient Bobby Sands, Francis Hughes, Raymond McCreesh, Patsy O’Hara, Joe McDonnell, Martin Hurson, Kevin Lynch, Kieran Doherty, Thomas McElwee, Michael Devine. Nous étions en 1981.
Ils étaient des militants de l’IRA en pleine force de l’âge.
Et ils s’étaient portés volontaires pour engager un bras de fer avec la Dame de Fer, Margaret Thatcher, au service de leur cause.
Nous ne jugerons pas si cette cause était bonne et légitime, et si le moyen d’action était adapté.
Mais ces jeunes hommes avaient décidé de mettre leur vie au bout du fusil, à savoir une grève de la faim illimitée, pour faire plier le gouvernement anglais.
Ils sont morts tous les dix, certains au bout d’un mois et demi, la plupart au bout de deux mois, et l’un d’entre eux au bout de deux mois et demi.
Ils méritent le respect, quoi qu’on pense de leurs actions et de leurs objectifs.
Les guignols de députés LFI qui entament une grève de la faim ne leur arrivent pas à la cheville.
Comme Rima Hassan lors de la première flottille, comme Emma Fourreau lors de la deuxième, François Piquemal, Emma Fourreau et Marie Mesmeur ne sont pris au sérieux par personne quand ils annoncent se lancer dans une grève de la faim.
Chacun sait qu’ils ne sont que des petits bourgeois en mal de notoriété et d’adrénaline, et qu’ils ne mettent absolument pas en jeu, contrairement aux militants de l’IRA, leur confortable existence.
Si l’État hébreu était réellement aussi génocidaire qu’ils le prétendent, Netanyahou les prendrait au mot, et les laisserait jouer les martyrs de la cause palestinienne.
Au bout de trois jours, ils pleurnicheraient et appelleraient leurs avocats et l’ambassadeur de France au secours.
Ces révolutionnaires en peau de lapin vont donc passer quelques heures dans des cellules israéliennes, et ils seront relâchés, peut-être après quelques gifles et coups de pieds au cul qui ne leur feront pas de mal.
Ils rentreront tranquillement en avion et viendront jouer les héros dans les manifestations pro-palestiniennes, avant d’aller palper leurs 10.000 euros par mois à l’Assemblée nationale ou au Parlement européen, au service de la destruction de la France par l’invasion migratoire.
Ce sont des totalitaires dangereux, des haineux et des traîtres de la pire espèce.
C’est vraiment dommage que Benjamin Netanyahou ne soit pas Margaret Thatcher…
ET AUSSI !
Peuple de France réveille-toi ! Le Hamas est dans ta rue
De la mer au Jourdain, Cap sur l’Intifada.
Traduisons les intentions, non masquées, de la banderole photographiée par CNews place de la République à Paris ce jeudi 2 octobre, jour du Grand Pardon des Juifs, appelé aussi Yom kippour.
De la mer au Jourdain, c’est la volonté affirmée de mettre fin à un État pour le peuple juif sur sa terre ancestrale.
C’est annoncer l’anéantissement du peuple juif, bien affirmée par Rima HaSSan, laquelle par ces propos cherche à nous enfermer dans son camp de rééducation mentale permanent pour débiles moyens.
Pris dans sa nasse, elle nous ramène au temps des khmers rouges, afin de nous imposer sa matrice idéologique, véritable arme de destruction massive du peuple juif et d’Israël.
HaSSan c’est le mal personnifié.
Qu’attend-on alors pour l’exclure de nos instances politiques, tant elle déteste et hait la France ?
Rima HaSSan est d’origine syrienne, mais son lien à la cause palestinienne est une imposture attestée et évidente.
C’est l’occasion qui fait le larron.
Alors doit-on continuer à autoriser, encore et encore, sa volonté d’effacement d’Israël de la carte du monde malgré ses dix millions d’habitants, dont 2 millions sont musulmans et israéliens ?
Rima HaSSan est une réelle menace pour la vie pour la France et Israël.
Par le biais du collectif Urgence Palestine, elle rejoint le radicalisme antisémite de la mouvance d’extrême gauche française, de cette gauche halal.
Son garde du corps est un membre du Hamas, président de ce collectif palestinien, qui vomit sa haine dans nos rues.
DANGER DE MORT importé.
La ficelle est tellement grosse que l’échec de ce projet d’anéantissement, de la mer au Jourdain, est imputable aux islamo-gauchistes, la gauche halal comme l’appelle Omar Youssef Souleimane, français d’origine syrienne, dans son livre Les complices du mal aux éd. Plon.
En France, le PCF, les Insoumis (LFI) et les Verts, sont à l’origine de cet islamo-gauchisme, halal, antisémite, antisioniste.
Cette idéologie qui répand la haine de l’autre, sous-tend (provisoirement) leur existence politique, jusqu’à leur déchéance, qui ne saurait venir.
Quant à cet islamo-gauchisme, il est devenu le nouveau fascisme de notre époque, de notre temps.
Ce monde théâtralisé est finalement conditionné par le narratif idéologique palestinien appelé aussi palestinisme.
Cette idéologie toxique, haineuse, perverse, exportable aura converti des générations entières de candides ou d’angéliques à la recherche d’une cause émotionnelle et existentielle forte, pour un jour, être du bon côté du jugement dernier halalisé.
C’est donc ainsi qu’ils essayent de sauver leur peau comme ils le peuvent, ces pauvres ères sans défense. Ils suivent et survivent dans un monde traversé par un fascisme d’extrême gauche, mais sans l’intelligence qui leur donnerait les moyens intellectuels de survivre, de penser et de résister.
Mais face au fascisme idéologique, antisionisme-antisémite, viscéral, historique, névrotique, obsessionnel, psychotique qui se développe, ils s’enferment dans cette nef de fous, qu’est devenue la France macronienne. Nul ne trouve raison de s’inquiéter !
Qui comprendra un jour, que ce palestinisme qui nous a infectés toutes ces années d’un poison pire que le covid 19 n’est qu’un avatar de l’islamo-gauchisme ?
Cette volonté destructrice, haineuse s’est gravée depuis les années 70 dans l’esprit des enfants et d’adultes palestiniens.
Ces mêmes Palestiniens bombardent, en lançant des milliers de roquettes contre la population israélienne, mais hurlent à la mort auprès des médias salvateurs et protecteurs quand l’armée israélienne s’impose de répliquer.
La terrible difficulté de ces guérillas urbaines, entourées de djihadistes acharnés, de ruines, de tunnels et de pièges mortels explosifs, c’est qu’en voulant atteindre des terroristes, ce sont des civils, utilisés comme boucliers humains par le Hamas qui sont malencontreusement touchés.
Ces dommages collatéraux tragiques, le Hamas en raffole, il en use à l’infini, depuis des décennies, pour alimenter sa propagande anti-israélienne et justifier son existence.
L’antisémitisme du Hamas est devenu une opinion politique indéfendable.
Ce qui explique que D. Trump et Netanyahou vont supprimer cette opinion politique dans les jours à venir.
Pour avoir dit que (sic) « cette haine était nourrie au biberon ou au sein de leurs mères », l’historien de la Shoah Georges Bensoussan, non seulement a perdu son poste de brillant chercheur au mémorial de la Shoah mais en plus s’est retrouvé devant la 17e chambre correctionnelle, attaqué par des associations, antisionistes, grassement subventionnées, soucieuses de se débarrasser d’un penseur estimé mais entravant leurs noirs desseins.
De même que Zemmour, Georges a eu raison bien avant tout le monde.
Zemmour et Bensoussan doivent être considérés comme d’éminents visionnaires.
Dans une telle situation il y a toujours cellezéceux qui ne veulent pas voir, pas entendre, pas parler de l’à venir qui les attend par ce djihad islamique, toxique et destructeur de civilisation.
L’intifada désigne un soulèvement de grande envergure de la population dite palestinienne.
Ajoutons une désobéissance civile, voire parfois une révolte populaire.
Rappelez-vous, la première est apparue le 8 décembre 1987.
C’était une manifestation en forme de guerre des pierres jetées contre l’armée israélienne, contre les véhicules de civils israéliens et leurs occupants, avec pour prétexte la libération des territoires occupés.
Cette première Intifada prendra fin le 13 septembre 1993.
Une seconde Intifada lui succédera à partir de 1996, à Jérusalem lorsque le premier kamikaze, homme bombe humaine décervelé, s’est fait exploser dans un autobus israélien, causant l’horreur.
Cette seconde Intifada se prolongera jusqu’en 2005 par de nombreux et tragiques bains de sang sur des civils innocents.
Ce peuple aura connu l’horreur dans la pire abjection de sa cruauté, tout au long de son existence, depuis 1948.
Mais la France quant à elle aura vite oublié le prix du sang : à Toulouse, à Nice, au Bataclan, à Charlie Hebdo, à l’hyper casher de Vincennes !…
La stratégie des islamo-gauchistes, de la gauche halal ou islamisée.
Les islamo-gauchistes avaient imaginé cette guerre afin de créer une symbolique propagandiste, mensongère, mais très forte en termes de pertinence émotionnelle.
Les médias de gauche de l’époque étaient en odeur de sainteté avec le terrorisme de Yasser Arafat d’abord, puis du Hamas ensuite.
Il fallait montrer au monde, le courage d’un peuple assiégé, emmuré à ciel ouvert disaient-ils, sans aucun moyen de défense, juste des pierres lancées par des enfants contre l’occupant désigné, càd le juif sioniste israélien, ex-victime des nazis, mais devenu bourreau des Palestiniens.
Cette symbolique relayée par les médias complices de cette idéologie aura impacté les esprits occidentaux qui mettront régulièrement la main à la poche pour financer, à coups de centaines de milliards de dollars, des années durant, ces deux intifadas, et préparer alors le 7 octobre avec l’aide de l’Iran.
On sait depuis cette date, où menait cette symbolique contre cet État de trop dans cette région !…
Cette guerre des pierres a été récupérée politiquement pour s’approprier la très forte histoire biblique du petit David contre Goliath.
Ce peuple palestinien majoritairement inculte n’avait pas d’histoire, pas de monnaie, pas de capitale, pas d’État, même pas de drapeau, mais il fallait lui inventer toute son histoire, (au besoin la voler à d’autres) en se réappropriant, celle du voisin Juif, détesté et haï.
C’est ainsi que la symbolique de David, vainqueur de Goliath, fut rejouée pour les médias, par les enfants palestiniens, en devenant du pain bénit médiatique à très forte connotation émotionnelle.
Ensuite ils vont adapter, voler et refabriquer cette image émotionnelle, symboliquement très pertinente, de l’enfant palestinien, courageux défiant un char israélien avec une pierre.
L’éthique des soldats israéliens aura certes protégé cet enfant.
Mais, la symbolique de cette image est théâtrale, manipulée, mais juste inspirée, copier-coller du sacrifice de Jan Palach en 1969, et de la bravoure de Tank man en 1989.
Ils n’ont rien inventé, juste tout copier-coller, théâtralisé, médiatisé, à dessein.
Cette théâtralisation, n’est pas sans rappeler cette image qui a fait le tour du monde, en pleine répression du mouvement démocratique de Tiananmen à Pékin, le 5 juin 1989, un homme se dresse, seul, face à une colonne de chars.
Il sera connu sous le nom de Tank man.
Jan Palach, quant à lui, s’est immolé, s’est sacrifié par le feu au nom de la liberté en janvier 1969 en symbole de protestation contre l’invasion de la Tchécoslovaquie par les chars du Pacte de Varsovie en août 1968.
Son geste sacrificiel le Hamas en fait sien, en générant des enfants, des femmes, des hommes bombes humaines, se faisant exploser en kamikazes partout en Israël où la foule est dense.
Il y a aussi l’image très forte qui a contribué à réduire la durée de la guerre US contre le Vietnam.
La photo de Nick Ut a fait aussi le tour du monde pour décrire l’enfer du Vietnam.
Celle de cette petite fille nue fuyant les bombes au Napalm lancées par des soldats américains, est un symbole fort mais que la propagande du Hamas a traduit autrement, par les images de blessés dans les hôpitaux, victimes des bombardements.
Le Hamas n’a jamais bombardé de civils en Israël bien évidemment.
Or, ce qui n’est pas précisé, c’est que :
1– lesdits hôpitaux sont les QG et dépôts d’armes du Hamas ;
2– ces blessés alimentent la propagande du Hamas, en servant de bouclier humain.
Trop de jeunes soldats israéliens (1000) sont tombés dans cette guerre qu’ils n’ont jamais voulue.
L’intifada ou guerre des pierres, rappelle aussi, ne jamais l’oublier, la lapidation des femmes adultères ou (Zinâ) ; en islam c’est une forme de mise à mort en application de la charia.
Dans cette forme d’exécution un groupe d’individus lance des pierres sur la tête d’une fem
me enterrée jusqu’aux épaules, jusqu’à ce que mort s’ensuive pour expier ses péchés véniels.
Ce type de meurtre met en scène un islamisme du VIIe siècle, barbare, intolérant, possessif et dominateur.
En islam, avoir envie de faire l’amour, avec un autre que son mari, tue, alors que lui, le mari, est polygame.
Ce manque d’égalité et d’absurdité totalitaire, mériterait d’être revendiqué par les femmes musulmane, lesquelles en retirant leur voile, leur prison de tissu, s’émanciperaient.
Toute cette symbolique, a été soigneusement scénarisée, idéologisée par les apparatchiks franco-propalestiniens pour capter notre imaginaire en faveur de la défense de la cause palestinienne.
Il fallait créer de l’émotion, faire du buzz dans les médias, au lieu de décrire en toute neutralité les faits et les causes.
Des années plus tard, le monde médiatique a découvert la supercherie, l’escroquerie de ces falsificateurs de l’histoire dans ce qui sera considéré comme le plus grand mensonge des XX et XXIe siècles.
Avouons en toute objectivité que cette propagande médiatique, avant le 7 octobre, avait presque réussi à impacter les esprits candides.
Une guerre psychologique à haut pouvoir d’impact émotionnel s’est construite sur des symboles idéologiques, politiques, et même pertinents.
Cette guerre psychologique avait été menée au début par le KGB, puis reprise ensuite par des idéologues français, pour la Palestine et contre Israël.
Selon les observateurs, Israël a perdu cette guerre d’opinion mondiale.
D’autres ajoutent qu’elle n’avait pas vu venir, non plus, le 7 octobre !…
Ainsi va la vie, car tout un chacun, a ses propres limites.
Le syndrome (dont j’ai oublié le nom de l’auteur) explique ainsi la baisse de productivité intellectuelle d’un être humain avec l’âge.
Nul n’échappe à cette règle.
Revenons à la banderole.
Dans ce qui devait être une manifestation syndicale, avec des mots d’ordres dits fourre-tout auxquels plus personne ne comprend rien, disons-le.
Mais avec un gouvernement démissionnaire, qui peine à expédier les affaires courantes, et avec un chef d’État continuellement en déplacement, ces associations de tous bords, profitent de la situation, pour organiser le foutoir, pour exister et ainsi justifier les subsides associatifs, versées par nos impôts.
À ces manifestations politico-syndicales s’amalgament des manifestations très violentes propalestiniennes qui attestent que les réseaux dormants du Hamas sont bien actifs dans nos rues.
Ces manifestations sont orchestrées par le collectif Urgence Palestine par France Palestine Solidarité et bien d’autres idiots utiles, pro-Hamas, qui n’ont pas compris qu’ils subiront le même sort que les communistes iraniens lorsque le Hamas deviendra dominant en France.
Ces cocos avaient participé au renversement du Shah d’Iran au profit de l’ayatollah Khomeiny en 1979.
Aujourd’hui, ils ne sont plus de ce monde, pour regretter leur soutien politique.
Par contre, à Paris, ils étaient tous rassemblées aux cris de haine antisioniste :
« Israël : Voleur, violeurs assassin ».
Si ce n’est pas de l’antisémitisme, ça y ressemble, non ?
Pour l’homme de la rue, ces manifestations de haine, sans fondement, ni règles, semblaient être antisionistes mais en réalité leur fonds de commerce idéologique est profondément antisémite.
Hier, ils occupaient, revanchards, les rues de Paris, hurlant des slogans anti-Juifs, et revendiquant, par banderole interposée, la destruction d’Israël comme étant un Cap fixé, à atteindre ; quand et comment ?
Nul ne le sait !
Mais demain, ces mêmes réseaux dormants du Hamas, financés par le frérisme et bien organisés, vont s’attaquer aux chrétiens, à leurs églises, à leurs symboles religieux, conformément aux volontés des Frères musulmans.
C’est déjà fait si l’on se reporte aux centaines (476) d’agressions de chrétiens et d’actes de vandalismes ou de pillages de leurs églises.
Ce même frérisme veut en réalité implanter un Califat mondial dans toutes nos villes afin de convertir à l’islam tous les mécréants. Vaste projet, mais pas seulement utopique.
Ceux qui refuseront cette conversion forcée, ce sera couic, la mort, comme pour Samuel Paty.
Cette tragédie innommable, jouée dans la nef de fous qu’est devenue la France, semble désormais hors contrôle.
Elle serait presque risible si elle n’anticipait l’avenir et le sort final de la France dans la prochaine décennie.
Or, on vient d’apprendre que LFI est infiltrée par le frérisme islamique, et par le Hamas et ses réseaux dormants.
Voilà le grand projet frériste, lequel par son entrisme menace l’équilibre interne des Insoumis qui se retrouveront de fait, exclus du Califat mondial, et donc de leur volonté d’accéder au pouvoir.
La VIe République sera islamique, Monsieur Mélenchon, malgré les purges de traîtres que vous avez opérées dans vos rangs, et malgré les conversions à l’islam qui vont fatalement avoir lieu chez vous.
Le parti radical mélenchoniste avait mis quatre décennies à financer, à soutenir la cause palestinienne.
Il s’était mis en quatre pour s’approprier les grâces des islamistes, le voilà bientôt abandonné, largué.
Un jour, il sera éliminé comme le parti communiste iranien sous Khomeiny.
Tout ça pour ça, est-on tenté de penser ?
Voilà donc les Insoumis, trahis, hors-jeu, déstabilisés, sur le banc de touche, virés par les islamistes avides de pouvoir, à notre grand regret, vous vous en doutez, bien sûr !…
Par Patrick Granville
Source et Publication : https://ripostelaique.com/peuple-de-france-
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