mercredi 22 octobre 2025

SARKOZY EN PRISON À LA SANTÉ !! DES QUESTIONS ???

 TRIBUNE LIBRE !

Pourquoi ne connaît-on pas les juges qui ont envoyé Nicolas Sarkozy en prison ?

C’était bien sûr l’événement du jour. 

Toutes les télévisions du monde étaient présentes dans les rues de Paris, et devant la prison de la Santé. 

La famille de Nicolas Sarkozy avait organisé un rassemblement de soutien à l’ancien président, qui, accompagné de son avocat, s’est rendu dans la matinée à la prison de la Santé.

Sur les plateaux de télévision, mais aussi à l’Assemblée nationale, les débats font rage, la gauche exprimant une joie mauvaise à l’emprisonnement de l’ancien président, reprochant même, par le député écolo-gaucho Benjamin Lucas, qui nous a fait le grand numéro de défense de l’État de droit pour stigmatiser tous ceux qui s’indignent de cette condamnation, et du verdict des juges.

 Ce gauchiste haineux a presque réussi à nous rendre Moussa sympathique.

Si on en croit les avocats, Nicolas Sarkozy devrait rester en prison au minimum entre trois semaines et un mois, et en sortir si sa demande de remise en liberté est acceptée, ce qui n’est pas acquis.

Reste une question mystérieuse pour notre République et ses valeurs où, paraît-il, les juges rendent la justice au nom du peuple français.

 On se demande pourquoi, alors que la décision a été prise par trois magistrats professionnels, la seule qu’on connaisse de nom soit la présidente du tribunal, Nathalie Gavarino, la même qui manifestait dans les rues de Nice, en 2011, contre le président de la République, un certain Nicolas Sarkozy, coupable d’avoir fustigé le laxisme de la justice, après l’assassinat d’un enfant par un multirécidiviste remis en liberté.

Mais on se demande pourquoi personne n’a de photographie de ce juge, et pourquoi personne ne connaît l’identité et encore moins le visage des deux autres magistrats.

Il serait pourtant intéressant pour les Français au nom de qui on rend la justice, par des magistrats non élus et parfaitement inconnus d’eux, de voir ces juges sur les plateaux de télévision venir expliquer les raisons pour lesquelles, en s’appuyant sur un faux de Mediapart, ils ont pu enquêter pendant dix ans, en conclure à l’innocence de Nicolas Sarkozy sur les trois chefs d’accusation reprochés, l’enrichissement personnel, la corruption et le financement libyen, le condamner malgré tout à 5 ans de prison et 300.000 euros d’amende, et le coller de manière humiliante à la Santé, où il aura le bonheur d’entendre le muezzin à tue-tête toute la journée, depuis des cellules voisines.

 Et tout cela de manière préventive, avant son appel.

Nul doute que la présence de ces brillants magistrats nous expliquant leurs décisions de manière pédagogique aiderait nos compatriotes à ne pas sombrer dans le complotisme et à ne pas voir dans cette décision une attitude revancharde et partisane des juges de gauche qui, selon les quelques éditorialistes qui ne sont pas de gauche, auraient pris le pouvoir en France.

 

ET AUSSI

Sarkozy en prison : cela peut-il m’arriver ?

 

C’est bien sûr l’événement du jour.

 Nicolas Sarkozy est en prison, à la Santé.

 Cette décision de justice partage les Français, entre ceux qui, par haine de l’ancien président, se réjouissent de son incarcération, et ceux qui estiment que c’est un nouveau coup d’Etat revanchard des juges de gauche.

A trois semaines d’un verdict où on a demandé de la prison contre moi, je ne peux m’empêcher, devant cet événement, de me demander si cela peut m’arriver un jour, ou si cela peut arriver à Christine ?

Témoignage sur trois militants que je connais qui ont fait de la prison, et sur d’autres militants patriotes que je ne connais pas, mais dont je sais qu’ils ont aussi fait de la prison.

    ET AUSSI
UMPS : 4 raisons pour mettre Hollande dans la même cellule que Sarkozy



On retrouve dans le discours de la grande bourgeoise de gauche Laurence Bloch, ancienne présidente du service public, tout le mépris de classe de la caste de gauche contre les classes populaires, appelées CSP-.

https://www.fdesouche.com/2025/10/21/laurence-bloch-ancienne-directrice-de-france-inter-il-faut-que-le-service-public-rattrape-les-csp-ouvriers-employes-qui-nont-pas-un-patrimoine-culturel-suffisant-pour-etre-en-tranquilite-a/

C’est le même registre, complémentaire, que celui du socialaud François Hollande, qui qualifiait, selon son ex-compagne Valérie Trierweiler, les pauvres de « sans-dents ».

 

Or, je vous cite trois exemples qui démontrent qu’il y a bien plus de raisons de mettre Hollande en taule que Sarkozy.

1) Coupable de trahison du vote des Français de 2005, en complicité avec Sarkozy.

2) Coupable de l’invasion migratoire décrétée en 2015, et donc de la mort de Lola et de plein d’autres Français.

3) Coupable de l’attentat du Bataclan, avec Valls et Cazeneuve, pour ne pas avoir donné les ordres aux forces de l’ordre de lancer l’assaut.

4) Coupable de la guerre Ukraine-Russie, pour avoir voulu rouler dans la farine Vladimir Poutine et avoir encouragé l’Ukraine à ne pas appliquer les accords de Minsk, pour préparer la guerre avec Moscou.

Et je ne parle pas de l’humiliation de la fonction et des forces de l’ordre pour son attitude lors des affaires Théo et Léonarda.

Ni de l’ensemble du bilan du PS depuis 1981, dont il est redevable.

Donc, Hollande en taule, dans la même cellule que Sarkozy, pour l’ensemble de l’oeuvre de l’UMPS depuis 1981.

 

Source :  https://pierrecassen.ripostelaique.com/2025/10/22/ 

 

Cellule individuelle pour Nicolas Sarkozy vs prisons saturées partout en France : le roi déchu d’une République pourrie [L’Agora]

Il y a des symboles qui ne trompent pas.

Ce 21 octobre 2025, Nicolas Sarkozy entre en prison. Et, aussitôt, tout l’appareil médiatico-politique français s’émeut : éditorialistes en transe, ministres compatissants, amis dévoués, et même Gérald Darmanin, ministre en exercice, qui promet d’aller lui rendre visite, la larme au coin de l’œil.

On s’indigne, on s’apitoie, on invoque la dignité due à « un ancien président de la République ». La République, oui. Celle-là même qui ne connaît que deux poids et deux mesures. Celle qui protège ses princes et méprise ses gueux.

La prison, c’est pour les autres

Car enfin, qu’est-ce que Nicolas Sarkozy sinon un justiciable comme un autre, reconnu coupable par la justice qu’il a lui-même dirigée, soutenue, consolidée ?

Cette même justice, à laquelle il a confié le pouvoir de broyer les Français ordinaires, les policiers épuisés, les pères désespérés, les paysans ruinés, les militants politiques dissidents…

Et voilà qu’aujourd’hui, le roi déchu découvre la paille humide des cachots qu’il a fait bâtir. Mais attention, ne confondons pas tout : Sarkozy n’ira pas à Fleury-Mérogis mais à la Santé.

Il bénéficiera d’une cellule individuelle, d’un traitement digne, de repas équilibrés, d’un environnement sécurisé. De 3h de promenade par jour; D’une bibliothèque. Autrement dit : ce que tout prisonnier en France devrait avoir, mais que personne n’a.

Hypocrisie de la droite morale

Et comme toujours, la droite morale, celle qui parle d’ordre, de mérite et de discipline, se met à pleurnicher.

Ces mêmes politiciens qui exigeaient hier des conditions plus dures pour les détenus, qui dénonçaient « le confort des prisons françaises », qui votaient la réduction des budgets pénitentiaires, versent aujourd’hui des larmes sur le sort d’un ancien président condamné pour corruption.

Ils osent parler d’injustice, eux qui n’ont jamais levé le petit doigt pour ces dizaines de milliers de détenus  qui dorment à trois dans neuf mètres carrés, entre rats, punaises et matelas au sol. Ils réclament des égards pour un ancien chef d’État, mais aucune pitié pour le gamin de banlieue qui a vendu deux barrettes de shit, ou pour le marginal qui a volé trois bijoux dans une maison vide.

Le premier, on le montre en exemple de décadence judiciaire. Le second, on le traîne dans la boue. Deux poids, deux hontes.

Le spectacle de la République mourante

Ce pays ne sait plus ce qu’est la justice. Il ne sait plus ce qu’est l’exemplarité.

On applaudit quand un petit dealer prend six mois fermes, mais on organise une marche de soutien pour un président délinquant. On s’émeut des barreaux dorés de la cellule Sarkozy, mais on trouve normal que des milliers de prisonniers se partagent un bol de pâtes tièdes sous la lumière grise d’un néon cassé.

Et tout cela sous l’œil complaisant des médias : ces scribes du système, qui détaillent les murs de sa cellule, la marque de sa literie, la température de son café, la visite du ministre, et qui, d’un ton faussement grave, posent la question : « Est-ce humain d’enfermer un ancien président ? »

Ah ! Mais est-ce humain de laisser pourrir en prison des milliers d’hommes sans avenir, de transformer la détention en incubateur de haine, de promiscuité et de récidive ?

Est-ce humain de maintenir en détention des étrangers condamnés, au lieu de les renvoyer chez eux, faute de courage politique ?

Est-ce humain de financer à coups de millions un appareil carcéral en ruine, pendant que les tribunaux relâchent ceux qui menacent les rues ?

Le naufrage d’un régime

Cette journée du 21 octobre marque le crépuscule d’un système.

Celui de la droite républicaine, qui se prend pour une aristocratie morale, mais qui n’est qu’une caste apeurée, incapable d’assumer ses propres démons. Elle pleure sur Sarkozy comme on pleure sur soi-même, par peur de ce que sa chute dit de la France :
qu’il n’y a plus ni grandeur, ni justice, ni autorité, ni cohérence.

Pendant que les ténors des plateaux télé s’interrogent sur la « dignité présidentielle », les prisons débordentles gardiens se suicidentles récidivistes reviennent et les illégaux pullulent. Et l’on nous parle d’humanité.

Non, ce n’est pas d’humanité dont ce pays manque. C’est de vérité.
Et la vérité, c’est que le peuple est seul à payer pour les fautes des puissants.

Sarkozy ne restera peut-être que quelques semaines enfermé.

Mais ce moment restera symbolique : celui où le roi de la République est entré dans sa propre geôle. Ironie du destin : il paie le prix d’un système qu’il a lui-même alimenté — celui d’une justice idéologique, sélective, arbitraire, politisée.

La France s’apitoie sur la cellule d’un ancien président. Moi, je pense à celles et ceux — anonymes, perdus, oubliés — qui dorment sur le sol de la République pénitentiaire.

 Et je me dis que, finalement, Sarkozy, pour une fois, goûtera un peu (mais de très loin) de la France réelle.

Pas celle des salons et des dîners du Crillon. Celle des murs gris, de la porte qui claque, du silence qui juge. Ni joie, ni larmes.

Par Julien Dir

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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jmlb

 

Pierre , si c'était le cas  ? Tu n' aura pas droit aux même faveurs des cellules VIP .......

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