vendredi 17 octobre 2025

LECORNU SAUVÉ DES EAUX TEL BOUDU .........

 

REVUE DE PRESSE !

Lecornu sauvé des eaux par 49 traîtres LR et 62 socialauds

  

Beaucoup de Français en rêvaient, et la caste le craignait, mais Lecornu est passé à travers les gouttes, tel Boudu sauvé des eaux, personnage immortalisé par l’inoubliable Michel Simon.

 

Ainsi donc, sans surprise, grâce à l’UMPS reconstituée, le gouvernement va pouvoir discuter pendant 70 jours d’un budget sur lequel ils ne s’entendront pas, et normalement, jusqu’au 23 décembre, date de l’échéance, ils feront semblant de discuter de l’avenir de la France, dans un projet où on réussit l’exploit de ne pas parler du tout de l’immigration.

Signalons d’ailleurs l’attitude digne de l’ancien LR Guillaume Larrivé qui, nommé il y a un mois président de l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration (Ofii), a claqué la porte en déplorant que le nouveau Premier ministre n’ait pas dit un seul mot sur les moyens donnés pour réduire l’immigration.

 

Signalons aussi l’attitude courageuse d’une député LR et de sept députés socialistes, qui ont voté la censure malgré les consignes et les menaces de leur direction.

 

Et remarquons surtout qu’à peine ce sauvetage de Lecornu effectué, les macronistes, les socialistes, les écolos et les Insoumis se lâchent, sans la moindre décence.

Yaël Braun-Pivet, qui manifestement s’est fait faire un ravalement de façade, présidente de l’Assemblée nationale, grande bourgeoise socialiste partie à la soupe macroniste, s’était déjà distinguée en demandant aux CRS qui gardaient sa maison de nourrir ses poules, et vient de franchir une nouvelle étape. 

Telle une gauchiste insoumise, la voilà, elle qui vit au Vésinet dans des endroits huppés et qui touche 15.000 euros par mois plus les notes de frais, qui ose faire la leçon aux Français sur l’héritage, qu’ils perçoivent grâce au travail de leurs parents, en expliquant que c’est injuste socialement et contraire aux principes d’égalité. 

Conclusion : il faut taxer encore davantage l’héritage, alors que l’État se sert déjà grassement sur la bête, osant voler une partie de ce que les parents veulent transmettre à leurs enfants !

Et cette imbécile, en pleine forme, a osé parler du « sacrifice » de Samuel Paty et Dominique Bernard, alors qu’ils ne se sont absolument pas sacrifiés, mais ont été assassinés par des terroristes afghans, ceux que Sandrine Rousseau veut accueillir par centaines de milliers en France.

 

Pendant ce temps-là, les Insoumis et les socialauds font semblant de se chamailleur sur les plateaux de télévision en envoyant leurs tigresses, sachant bien sûr quand il s’agira de barrer la route au Rassemblement national qu’ils seront les meilleurs alliés du monde, avec les écolos et les communistes.

 

Mais la vérité est ailleurs, il suffit de voir La Tondelière danser un rock endiablé avec le social-traître Olivier Faure pour comprendre la mascarade de leurs fausses divisions.

 

Signalons d’ailleurs que trois écolos, et pas des moindres, n’ont pas voté la censure, malgré les consignes de leur parti.

 Dominique Voynet, Delphine Batho et Catherine Hervieu.

 Deux cocos ont également rompu avec le centralisme démocratique, dont notre grand copain de l’Allier, Yannick Monnet, celui qui – avec l’enseignant dégénéré Vincent Présumey – voulait interdire le spectacle « Murmures de la Cité » à Moulins.

 Une confirmation de plus que les écolos et les communistes ont voté la censure parce qu’ils étaient certains qu’elle ne passerait pas, laissant les socialistes jouer le sale rôle de traître, ce qu’il savent remarquablement faire.

Pendant ce temps-là, les Insoumis montrent que leurs priorités, c’est vraiment le peuple, en proposant, signé par l’ensemble du groupe, une proposition de loi visant à supprimer la mention du sexe – au nom de la non-discrimination – sur les cartes d’identité. 

Le travail de déconstruction et de démolition va donc continuer ! 

Et n’oublions jamais que ces imposteurs n’ont pas voté la motion de censure du RN, et qu’ils ont appelé à voter Macron en 2017, 2022 et 2024, se désistant même en faveur des candidats du président de la République au 2e tour des législatives !

Quant aux miliciens de gauche, ils étaient au Mans pour lutter contre un grand danger : la présence de Jordan Florentin, venu y tenir une conférence.

 

Et quand le journaliste de Frontières vient à leur rencontre, ces crétins l’appellent par son prénom, montrant presque une connivence avec lui, pour conclure bien sûr par « Casse-toi », expression utilisée par Bruno Le Maire quand il a annoncé son départ du ministère des Armées…

 

Ils avaient peut-être raison, vu les propos abominables tenus par le journaliste de Frontières, qui explique que les vrais fascistes sont les Insoumis.

 

Conclusion : il y avait une occasion unique, pour la France, de créer une crise majeure, avec un régime aux abois, après la censure de Bayrou et la démission de Lecornu, dernier rempart de Macron.

Peut-être la possibilité d’avoir une majorité patriote à l’Assemblée, et d’assister à une alliance, plébiscitée par les Français, entre le RN, l’UDR de Ciotti et LR.

 Marine Le Pen, particulièrement en forme, appelait au retour devant les urnes, pour redonner la parole au peuple.

Et ce traître de Wauquiez, et 49 députés LR dont voici les noms, en ont décidé autrement, sauvant Lecornu et surtout Macron.

 Le premier de la liste s’appelle Barnier, le dernier Wauquiez !

À mort… dans les urnes, bien sûr !

 

Source :   https://ripostelaique.com/


ET AUSSI

 

Lecornu 2 : les six ministres LR entrés au gouvernement exclus des Républicains

Sanction

Par Marianne avec AFP

Publié le 

Les six ministres LR concernés sont Annie Genevard (Agriculture), Rachida Dati (Culture), Vincent Jeanbrun (Logement), Philippe Tabarot (Transports), Sébastien Martin (Industrie) et Nicolas Forissier (Commerce extérieur et attractivité).

 

 

Les six ministres LR entrés au gouvernement de Sébastien Lecornu malgré la décision du parti de ne pas y participer sont exclus du parti et « cessent immédiatement leurs fonctions dans nos instances dirigeantes », ont indiqué dimanche Les Républicains dans un communiqué transmis à l'AFP.

 

 « Les membres LR qui ont accepté d'entrer au gouvernement ne peuvent plus se réclamer des Républicains », affirme le parti qui précise que ses instances dirigeantes se réuniront « dans les tout prochains jours pour statuer de manière définitive ».

 

À LIRE AUSSI : Farandou, Nunez... Darmanin : À quoi ressemble le nouveau gouvernement de Sébastien Lecornu ?

 

Les six ministres LR concernés sont Annie Genevard (Agriculture), Rachida Dati (Culture), Vincent Jeanbrun (Logement), Philippe Tabarot (Transports), Sébastien Martin (Industrie) et Nicolas Forissier (Commerce extérieur et attractivité).

 

« Je demeure pleinement fidèle à mon parti et à mes convictions, comme je l'ai toujours été », a affirmé sur le réseau social X Annie Genevard, qui occupait jusqu'ici le poste stratégique de présidente de la commission nationale d'investiture (CNI), chargée de désigner les candidats LR aux municipales de mars prochain.

 

Parmi les ministres de droite du nouvel exécutif, trois sont des sortants (Annie Genevard, Rachida Dati et Philippe Tabarot) et les trois nouveaux sont des députés : Vincent Jeanbrun (Val-de-Marne), Sébastien Martin (Saône-et-Loire) et Nicolas Forissier (Indre).

 

 

DIVISION AU BUREAU POLITIQUE

Lors d'une réunion houleuse du bureau politique, Les Républicains ont décidé samedi à une large majorité de ne pas entrer au gouvernement de Sébastien Lecornu, suivant la ligne défendue par le président du parti Bruno Retailleau, ex-ministre de l'Intérieur. 

 En première ligne en cas de dissolution, les députés LR étaient largement favorables à la participation au gouvernement Lecornu 2, contrairement aux sénateurs qui ont soutenu la position de Bruno Retailleau.

 

À LIRE AUSSI : Lecornu bis : Emmanuel Macron renomme le Premier ministre démissionnaire

 

Après la dissolution de 2024, de nombreux députés LR avaient sauvé leur siège face au RN dans des circonscriptions rurales, en grande partie grâce à leur ancrage local. 

 

Beaucoup ne se sentent pas redevables au parti, dont le nom ne figurait souvent pas sur les affiches électorales, et craignent de ne pouvoir contenir une nouvelle poussée de l'extrême droite en cas de législatives anticipées.

 

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