lundi 20 octobre 2025

IMMIGRATION : LA FRANCE ABSENTE ENCORE UNE FOIS ! LE MESSAGE DE " MILA " LA PATRIOTE !

 

Immigration afghane : quand l’Europe veut agir, mais que la France freine des quatre fers

Vingt pays européens, dont dix-neuf membres de l’Union, ont signé une lettre commune appelant à la reprise des expulsions vers l’Afghanistan, y compris forcées. 

Une initiative soutenue par l’Allemagne, l’Autriche ou encore la Belgique. 

Mais la France, elle, a préféré s’abstenir.

 Une nouvelle preuve que le blocage migratoire ne vient pas de “Bruxelles”, mais bien de Paris.

Depuis des années, une partie de la classe politique française dénonce “l’impuissance européenne” en matière d’immigration. 

Pourtant, les faits racontent une autre histoire.

 Le 18 octobre, vingt pays européens – dix-neuf membres de l’Union et la Norvège – ont adressé une lettre à la Commission européenne pour exiger le retour des immigrés afghans en situation irrégulière, « volontaire ou forcé ».

 

Objectif : rouvrir les discussions avec le régime taliban afin de rendre possibles les expulsions, aujourd’hui suspendues depuis 2021.

La lettre, menée par la ministre belge de l’Asile et de la Migration Anneleen Van Bossuyt, et soutenue par Berlin, Rome, Varsovie, Budapest ou Athènes, appelle à une réponse collective, ferme et coordonnée. 

« Sans retour définitif, toute politique d’asile est vouée à l’échec », écrit la ministre, qui invite Bruxelles à confier à Frontex un rôle accru dans l’organisation des retours et la réintégration des personnes renvoyées.

 

Une majorité européenne favorable au durcissement

Dans les faits, l’Europe n’est pas “ouverte à tous vents”, comme on l’entend souvent dans le débat public français. 

 L’Allemagne, sous la houlette du chancelier Friedrich Merz, a même déjà affrété un vol d’éloignement cet été avec 81 Afghans expulsés – une première depuis la chute de Kaboul.


L’Autrichela Polognela Hongrie et l’Italie réclament depuis longtemps le rétablissement d’accords de réadmission, estimant que le non-renvoi des déboutés du droit d’asile sape la confiance du public dans la politique migratoire et mine la sécurité intérieure.


La Suède, longtemps symbole d’ouverture, a elle aussi signé la lettre, tout comme l’Irlande, la Finlande et la Lituanie.

L’idée n’est pas de renvoyer indistinctement tous les Afghans, mais de permettre enfin l’éloignement de ceux qui n’ont pas obtenu l’asile ou qui présentent une menace pour l’ordre public.


La démarche vise également à réouvrir un dialogue technique avec Kaboul, sans reconnaissance diplomatique formelle, afin d’organiser les retours dans un cadre sécurisé.

 

Et la France ? Absente, encore une fois

Parmi les signataires, aucune trace de la France.

Alors que presque toute l’Europe – de l’Est à l’Ouest, du Nord au Sud – réclame une ligne ferme et cohérente, Paris s’abstient, sans explication publique claire. 

Selon plusieurs sources diplomatiques, le gouvernement français redoute les critiques d’ONG et les recours devant les juridictions administratives en cas de renvois forcés vers un pays jugé “instable”.

Une prudence qui confine désormais à l’immobilisme.

 

Résultat : quand la Belgique, l’Allemagne ou la Pologne assument de parler directement avec les talibans pour sécuriser les retours, la France continue de se retrancher derrière des arguments humanitaires pour justifier son inaction. 

Un contraste saisissant : ce n’est pas “l’Europe de Bruxelles” qui bloque sur l’immigration, mais bien l’État français, englué dans son idéologie et ses contraintes juridiques internes.

 

Cette séquence révèle une fracture au sein de l’Union européenne :

  • Une majorité d’États souhaitent reprendre la main, contrôler leurs frontières, et rétablir la dissuasion.
  • Quelques pays, dont la France, persistent à refuser toute politique coercitive, au nom de principes humanitaires qui n’empêchent pourtant ni les drames migratoires ni les trafics.

La lettre adressée à Bruxelles rappelle que les expulsions font partie intégrante du droit international, dès lors qu’elles sont encadrées et ciblent des personnes en situation irrégulière.

Mais à Paris, le sujet reste tabou.

Alors que près de 90 000 Afghans ont demandé l’asile en Europe depuis 2021, la France n’a pratiquement exécuté aucun retour, quand certains de ses voisins multiplient les départs volontaires encadrés par Frontex.

Viols, meurtres, agressions sexuelles, petite délinquance…

Ces « réfugiés » afghans arrêtés ou condamnés en France depuis 2023

Ce nouvel épisode met fin à une illusion : non, l’Union européenne n’est pas systématiquement laxiste sur l’immigration

Elle n’empêche en rien les États de protéger leurs frontières ou d’expulser les déboutés du droit d’asile.

Ce sont souvent les gouvernements nationaux, et en premier lieu la France, qui freinent toute application concrète. 

Dans un contexte de tensions sécuritaires et de saturation du système d’accueil, la position française isole Paris.
 

Alors que vingt pays européens réclament une politique de fermeté commune, la France reste prisonnière de son moralisme migratoire — et confirme, une fois de plus, que le problème ne vient pas de “l’Europe”, mais bien de ceux qui la représentent à Paris.

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Article relu et corrigé par ChatGPT. Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

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Islam : quand le bon sens triomphe, la gauche crie au scandale

Daniel jakulovic / Shutterstock

Enfin un pays d’Europe occidentale qui ose encore dire non à la soumission. 

Vendredi 17 octobre, le Parlement portugais a adopté en première lecture l’interdiction du voile intégral dans les lieux publics. 

 Une décision de simple cohérence républicaine, portée par le parti Chega, qualifié d’« extrême droite » par les mêmes qui trouvent toujours des excuses au communautarisme.

Mais le plus révélateur n’est pas ce vote historique : c’est la réaction pavlovienne de la gauche. Du Parti socialiste aux communistes, tous ont voté contre, unis dans une même ferveur idéologique. 

On reconnaît là la gauche moderne : prompte à dénoncer le moindre micro-signe d’« oppression » quand il s’agit du patriarcat européen, mais muette devant la soumission réelle des femmes sous le voile.


Un geste de civilisation

Le texte du parti Chega n’interdit pas une religion, il protège une culture. Celle d’un pays européen, enraciné, qui ne veut pas voir disparaître ses visages derrière un tissu importé d’Arabie saoudite ou d’Afghanistan. 

Le voile intégral n’est pas une simple “tradition vestimentaire” : c’est un symbole politique et théocratique, celui d’un refus de s’intégrer, d’un rejet du monde occidental.

Le Portugal, en adoptant cette mesure, ne fait que suivre la France, la Belgique, les Pays-Bas, l’Autriche et le Danemark. Mais à Lisbonne, le courage politique est d’autant plus remarquable que la pression migratoire explose : 1,5 million d’étrangers résident désormais dans le pays, deux fois plus qu’en 2021.

La gauche au garde-à-vous devant le communautarisme

Pendant que la droite tente de préserver l’unité nationale, la gauche, elle, se drape dans la vertu du “vivre-ensemble”— ce concept creux qui, dans la réalité, signifie la capitulation. 

Le Parti socialiste portugais, incapable de gérer la crise migratoire, préfère donner des leçons de tolérance. 

Quant aux communistes, fidèles à eux-mêmes, ils continuent de défendre tout ce qui affaiblit la civilisation occidentale.

On aurait aimé les voir aussi déterminés à défendre les libertés des femmes iraniennes ou afghanes, qui risquent leur vie pour retirer ce voile que la gauche européenne érige désormais en “droit fondamental”.

Un signal fort envoyé à l’Europe

Ce vote portugais est une première fissure dans le mur du conformisme bruxellois.

 Il prouve qu’un peuple peut encore se dresser, calmement mais fermement, pour affirmer ses valeurs. 

Que l’Europe du Sud, si souvent accusée de laxisme, peut montrer la voie du courage politique.

Et si le Portugal, petit pays à la grande histoire, venait de rappeler à tout le continent que la liberté, c’est aussi le droit de montrer son visage ?

 

Source :  https://lalettrepatriote.com/islam-

 
 

 

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