mercredi 22 octobre 2025

IMMIGRATION , INVASION , ISLAMISATION : LES PRÉDICTIONS DE L' ANCIEN PATRON DE LA DGSE .........

 


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L’ancien directeur général de la DGSE a délivré un entretien choc, dans Le Figaro Magazine, où il s’exprime sur les enjeux de l’immigration, vingt ans après les grandes émeutes de 2005.
 
 La clarté d’analyse de Pierre Brochand s'appuie sur une expérience acquise à travers un parcours professionnel tutoyant les plus hautes fonctions de l'État. 
 
Son constat est particulièrement préoccupant et - fait rare pour une sommité à la parole publique libérée - il rejoint le diagnostic porté par la droite nationale depuis des décennies. 
 
Le constat de Pierre Brochand est sans appel et ses termes sans équivoque : « Le raz-de-marée migratoire, s’il persiste, va produire un enchaînement de dégradations, à la fois sous-jacentes dans la durée et explosives dans l’instant. »
 
 Ou encore : « Il faut commencer par prendre conscience du point d’arrivée, lui, irrécusable : une France à majorité africaine et musulmane, bien avant la fin de ce siècle. »
 
 « S’il reste une petite chance d’éteindre la mèche, il n’est d’autre voie que celle d’un radicalisme sans remords », explique Pierre Brochand, qui appelle de ses vœux des changements en profondeur.
 
 En prise avec le réel, une très nette majorité de Français est désormais alignée sur un tel discours.
 
 
 

 

 

ET AUSSI      REVUE DE PRESSE !

 L' ARTICLE !

Guerre civile ou guerre étrangère ? 

Les terribles prédictions de l’ancien patron de la DGSE

Pierre Brochand prévoit « une France à majorité africaine et musulmane, bien avant la fin de ce siècle ».
© Valentin du Bourg
© Valentin du Bourg

L’ancien directeur général de la DGSE a délivré un entretien choc, dans Le Figaro Magazine, où il s’exprime sur les enjeux de l’immigration, vingt ans après les grandes émeutes de 2005.

 La clarté d’analyse de Pierre Brochand s'appuie sur une expérience acquise à travers un parcours professionnel tutoyant les plus hautes fonctions de l'État. 

Son constat est particulièrement préoccupant et - fait rare pour une sommité à la parole publique libérée - il rejoint le diagnostic porté par la droite nationale depuis des décennies.

Pour Pierre Brochand, sans changement radical de politique, la France se dirige inévitablement vers « le pire », à savoir « la régression de notre pays en tous domaines, à commencer par la sécurité de ses habitants et, plus généralement, leur bonheur de vivre »

L’ancien fonctionnaire déroule une analyse approfondie - et glaçante - de la notion de « guerre civile » qui, si elle semble frapper à notre porte, ne prendra pas, selon lui, la forme que l’on imagine.

 Pour celui qui fut à la tête du renseignement français, les antagonismes profonds qui ont produit les guerres civiles à proprement parler, en France, ont disparu pour laisser la place à l’obsession du « pouvoir d’achat ».

 Selon lui, « les débats sont canalisés pour converger fatalement vers un centrisme bien-pensant ».

 De plus, les émeutiers d’hier et d’aujourd’hui sont certes en majorité de nationalité française, mais ne se sont en aucun cas séparés de leurs « lourds bagages culturels, religieux, historiques », ce qui tend à brouiller la distinction entre guerre civile et « guerre étrangère »

Une situation « hybride » qui amène Pierre Brochand à parler de « confrontation interne, vulnérable à des ingérences extérieures ».

« Cela fait 40 ans que nous tenons ce discours »

Un constat que rejoint l’eurodéputé RN Gilles Pennelle, contacté par BV : « Ce qui est le plus à craindre à l’avenir, ce sont des révoltes communautaires qui inévitablement se multiplieront ; des révoltes contre la République, contre nos lois, contre ce que nous sommes. » 

 Il ajoute : « L'immense majorité des populations étrangères et immigrées ne se reconnaît absolument pas dans la France. 

» Plusieurs données statistiques abondent en ce sens : en 2020, 74 % des Français musulmans de moins de 25 ans affirmaient placer l'islam avant la République.

 

Le constat de Pierre Brochand est sans appel et ses termes sans équivoque : « Le raz-de-marée migratoire, s’il persiste, va produire un enchaînement de dégradations, à la fois sous-jacentes dans la durée et explosives dans l’instant. 

» Ou encore : « Il faut commencer par prendre conscience du point d’arrivée, lui, irrécusable : une France à majorité africaine et musulmane, bien avant la fin de ce siècle. »

 

  Ces difficultés peuvent-elles être d’ordre à engager le pronostic vital de notre pays ? « À très long terme, on ne peut malheureusement qu’opiner, en raison de la dynamique démographique hors laquelle, il faut bien le reconnaître, tout n’est que bavardage, plus ou moins informé. » 

 

Des propos que Gilles Pennelle s’empresse de valider : « Cela fait 40 ans que nous tenons ce discours et il nous a valu d’être persécutés, attaqués, ostracisés. »

 

« Il n’est d’autre voie que celle d’un radicalisme sans remords »

Les alertes du Figaro Magazine ne sont pas nouvelles, constate l’eurodéputé, avec un brin de fatalisme. 

Déjà, en 1985, l’hebdomadaire dirigé par le talentueux Louis Pauwels créait la polémique en affichant en une le buste de Marianne voilée et ce titre évocateur : « Serons-nous encore français, dans 30 ans ? » « 

Nous nous dirigeons vers de véritables sécessions territoriales, dont certaines sont mêmes des enclaves islamistes où, plus que les lois de la République, c’est la France elle-même qui disparaît avec son mode de vie et sa culture », abonde Gille Pennelle.  

« S’il reste une petite chance d’éteindre la mèche, il n’est d’autre voie que celle d’un radicalisme sans remords », explique, de son côté, Pierre Brochand, qui appelle de ses vœux des changements en profondeur. 

En prise avec le réel, une très nette majorité de Français est désormais alignée sur un tel discours. 

Il reste à trouver une volonté politique.

 Et une majorité.

 

Source :  

Picture of Yves-Marie Sévillia
 
Par Yves-Marie Sévillia
Journaliste chez Boulevard Voltaire 
 

 
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«L’islamisme instaure une contre-culture patiente et méthodique en Europe!»

Entretien avec Pierre Martinet


«L’islamisme instaure une contre-culture patiente et méthodique en Europe!»
Pierre Martinet. DR.

Selon l’essayiste et ancien agent du Service action de la DGSE, Français et Britanniques cèdent le terrain aux islamistes. 

Seule une riposte ferme, structurée et spirituelle, résolue à combattre l’islamisme visible et à maitriser strictement l’immigration, peut éviter un basculement sociétal tragique.

 Réaffirmer un projet national enraciné dans les valeurs judéo-chrétiennes et républicaines est une nécessité, selon lui.


Causeur. L’attaque meurtrière du 2 octobre 2025 devant la synagogue d’Heaton Park, première en Angleterre liée à l’antisémitisme, était-elle prévisible ?

Pierre Martinet. Absolument. 

J’ai vécu cinq ans en Grande-Bretagne, jusqu’à mon retour fin 2020, après le Brexit. 

J’y ai travaillé à plusieurs reprises pour la DGSE. 

Bien avant le 11 septembre 2001, l’antisémitisme s’exprimait librement à Hyde Park Corner : tous les dimanches, des prêcheurs hurlaient « Mort aux Juifs ! » en toute impunité.

 Mais l’antisémitisme n’est pas nouveau dans certaines franges de l’islam politique britannique. 

Il est enraciné dans l’idéologie des Frères musulmans, nés en Égypte dans le rejet des Britanniques et des Juifs.

 Dans cette vision, les Juifs incarnent l’ennemi absolu, éternel.

 Le 7 octobre 2023 a agi comme un catalyseur, non pas en déclenchant une guerre, mais en dévoilant le vrai visage d’une partie de l’Occident.

Nos ennemis ne se cachent plus.

 Ils sortent au grand jour, défilant avec des drapeaux du Hamas ou de Daech, criant des slogans antisémites sans retenue. 

Chez certains, la haine ne reste pas qu’un discours, elle mène à l’acte.

 L’Europe est un ventre mou, et l’islamisme y progresse non pas militairement, mais culturellement, en instaurant une contre-culture patiente et méthodique.

 Le temps ne joue pas contre eux : leur projet est à long terme.

 Depuis 1979, on compte entre 250 000 à 300 000 morts dans le monde dans des attentats islamistes.

 

Plus islamisée que la France, l’Angleterre aurait dû être frappée plus tôt ; alors, pourquoi son premier assassinat antisémite n’est-il survenu qu’en 2025 ?

C’est une excellente question.

 En France, les morts antisémites se sont multipliées bien plus tôt : Ilan Halimi, Toulouse, l’Hyper Cacher, sans parler des attentats de 1995 à Saint-Michel.

 La menace est installée depuis longtemps, et la France reste la cible principale du djihadisme en Europe.

 En Angleterre, la stratégie a été différente, pas besoin d’attentats spectaculaires; l’infiltration idéologique a suffi.

À Londres, certains quartiers sont devenus des enclaves. 

De nombreux maires sont musulmans, et on y recense entre 150 à 200 tribunaux islamiques en activité. 

J’ai vécu à Wapping, près de Tower Bridge. Le vendredi, à Whitechapel, les femmes voilées sont omniprésentes, on avait parfois l’impression d’être à Kaboul. 

Les attentats, eux, servent à créer une psychose, à provoquer des affrontements, voire à préparer une guerre civile si les armes venaient à circuler. 

L’explication tient aussi à l’omerta médiatique britannique, bien plus marquée qu’en France. 

Chez nous, la parole s’est un peu libérée depuis 2016. 

Avant cela, les journalistes évitaient soigneusement les mots « islamisme » ou « djihad ».

 Manuel Valls fut le premier à parler de « fascisme islamiste ». 

Cela fait quarante ans que le déni domine, pendant que l’offensive idéologique, elle, progresse.

A lire aussi: Crozes-Hermitage, une initiative citoyenne

 

La laïcité française masque-t-elle un islamisme aussi virulent qu’en Angleterre ?

Les deux modèles ont échoué. 

Le multiculturalisme britannique est en faillite et la laïcité française apparaît impuissante face à un islam politique conquérant. 

Il faut tout repenser, repartir de zéro. 

L’islam politique est fondamentalement incompatible avec les principes de la République. 

Dans les services de l’État — armée, police, renseignement — on voit parfois des engagements clairs contre l’islamisation, mais cela reste marginal. 

La majorité n’agit pas réellement. Notre faiblesse, c’est notre vision à court terme : cinq ans au mieux.

 Eux, en face, ont une stratégie sur le long terme. 

Les Frères musulmans œuvrent depuis 77 ans, patiemment: prêcher, gagner les esprits, s’implanter village par village.

 Nous réagissons à l’urgence ; eux développent un projet de civilisation. 

Il nous reste peut-être dix à quinze ans pour inverser la tendance.

 Au-delà, ce sont nos enfants et petits-enfants qui vivront dans une société islamisée.

 

Après Manchester, les chrétiens seront-ils la prochaine cible ? 

Quel avenir en France après le père Hamel ?

Ils le sont déjà. 

L’assassinat du père Hamel, les profanations régulières d’églises et de cimetières en témoignent.

 L’avenir ? S’il ne change pas radicalement, il se résume à un mot : disparition.

 D’ici à cinquante ans, l’Europe sera soit islamisée, soit en guerre civile. 

Dans les pays musulmans, les chrétiens sont déjà persécutés. 

Au Niger ou en Mauritanie, ils sont obligés de cacher leurs croix. 

Je n’ai vu là-bas qu’une seule église visible et elle ne montre aucun signe ostentatoire. 

Ce que les islamistes exploitent ici, c’est un vide spirituel, moral, social que les chrétiens devraient pourtant combler.

Notre erreur, c’est de croire qu’un combat militaire suffit, alors que dans le même temps, les puissances du Golfe – Qatar, Arabie saoudite, Émirats – financent massivement l’islamisme en Occident.

 Prenons le Qatar, par exemple : investissements massifs dans l’immobilier londonien, proximité assumée avec la Couronne.

 À Londres, les églises ferment, pendant que mosquées et salles de prière se multiplient. 

C’est une stratégie d’implantation, de visibilité, de conquête. 

Sans une spiritualité chrétienne vivante, sans une réaction à la fois spirituelle et civique, les chrétiens d’Europe disparaîtront. 

Mon reproche principal aux Églises et aux fidèles, c’est leur passivité, ce réflexe de « tendre l’autre joue », alors que la situation exige désormais un réveil, une résistance.

Nous restons prisonniers d’un univers de droits de l’homme et de compassion naïve : cela finira par nous perdre. 

L’Occident traverse une fin de cycle : spirituellement à bout de souffle, financièrement affaibli, incapable de proposer un véritable projet de société. 

En face, ils en ont un, l’islam encadre tous les aspects de la vie.

 Nous, nous ne proposons plus rien. 

C’est le vide contre la structure.

 

L’entrisme islamique est partout : médecine, justice, armée…

 Comment inverser la tendance malgré nos blocages européens ?

L’immigration est le problème central. 

`Depuis 15 à 20 ans, tout s’est accéléré. 

Nous avons perdu le contrôle, et nous n’avons plus la maîtrise du processus. 

Ce n’est pas une immigration d’intégration, c’est une immigration de transformation : pour modifier le continent, maintenir des pratiques étrangères et implanter une contre-culture. 

Pour renverser la vapeur, il faut un président déterminé à affirmer que la France n’est pas une terre d’islam.

 Il faut rétablir des frontières, des contrôles migratoires stricts, et une laïcité repensée, adaptée aux défis d’aujourd’hui.

 La France doit redevenir le fer de lance de la résistance. 

Aujourd’hui, nous subissons les renoncements, la défaite idéologique.

Et le plus préoccupant : une partie des jeunes n’en a même plus conscience. 

Pour eux, une France musulmane n’est pas un problème.

 Le kebab est halal, le goût est le même. 

Leur conscience historique, culturelle, identitaire est faible.

 L’idéologie islamiste a infiltré la nourriture, l’habillement, le sport…

 C’est un projet ancien, bien documenté, annoncé depuis des décennies. 

Et notre lâcheté politique est abyssale.

 Si j’étais président, je donnerais dix ans pour éradiquer l’islamisme visible. 

Retour du sacré apaisé, des repères clairs, de l’ordre.

 On ne combat pas une offensive idéologique par la mollesse : il faut une réponse déterminée, structurée, enracinée.

A lire aussi: Le droit, la force et la réalité: le sens politique du conflit israélo-palestinien

 

Vous êtes président, quelles seraient vos dix premières mesures à prendre dans les 100 premiers jours ?

Je commence par reconnaître officiellement que le projet islamiste fondamentaliste, incarné par les Frères musulmans et les salafistes, constitue une menace nationale majeure, avec un discours clair et sans ambiguïté. 

Je classe les Frères musulmans comme organisation terroriste et lance leur démantèlement systématique.

 Le salafisme, en tant que dérive sectaire, devrait être criminalisé : cela passe par la fermeture des mosquées salafistes et l’interdiction des pratiques vestimentaires ostentatoires dans l’espace public.

Il est indispensable d’appliquer strictement les lois déjà en vigueur, notamment l’interdiction du voile intégral, instaurée en 2010, et de mettre fin aux prières dans la rue. 

Dans les services publics, aucune dérogation religieuse ne doit être tolérée : par exemple, le halal serait interdit dans les cantines publiques, sauf dans les établissements confessionnels. 

Le voile total, porteur d’une idéologie politique, doit être interdit, tandis que la kippa reste autorisée, car elle ne représente pas un projet politique comparable.

 Toutes les religions doivent être confinées à la sphère privée, avec une affirmation claire de la primauté des lois de la République.

Pour faire face aux blocages juridiques et administratifs, il faudra instaurer des lois d’exception permettant des décrets rapides, et mener un combat tenace sur une décennie.

 La maîtrise des frontières est également cruciale, avec une politique rigoureuse d’immigration et de contrôle étanche.

 Enfin, un audit complet des institutions devra être lancé pour identifier tout entrisme islamiste, suivi d’expulsions massives des individus impliqués.

 

L’Occident doit-il se ressouder autour d’un socle judéo-chrétien face à l’islamisme, comme le prônent Netanyahu, Vance ou Trump ?

Oui, c’est la seule voie possible. 

La solidarité avec Israël est essentielle : ce qui se passe là-bas peut arriver ici – pas forcément sous la même forme, mais c’est possible. 

`Il faut une alliance spirituelle et un projet de société solides pour leur faire face. 

Or, nous, je l’ai dit, nous n’en avons actuellement aucun. 

Nos villes, nos modes de vie, n’offrent aucune alternative idéologique. 

En 1975, il y avait huit mosquées en France ; aujourd’hui, plus de 3 000 mosquées, salles de prière et associations forment un véritable écosystème.

 Ces associations, parfois légitimes, sont souvent idéologiques, et ont profité de l’absence de réponse structurée. 

Ce phénomène ne concerne pas que l’islam.

 Les associations chrétiennes, débordées par un pseudo-humanisme ne proposent plus rien de fort. 

Il faut un retour à une spiritualité active et à un projet national clair.

Sinon, le terrain est laissé aux autres.

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