samedi 10 août 2024

VOICI L' AVENIR DE LA FRANCE ......SI VOUS NE PRENEZ PAS VOTRE DESTIN EN MAINS !

 


 

Voici l’avenir de la France

Voici l’avenir de la France si rien n’est fait pour une remigration générale dès demain :
« France : dans le pays où la population musulmane représente environ 30 % de la population totale, de violentes attaques contre les minorités chrétiennes, juives et protestantes ont fait des centaines de morts. 

La police aux ordres a refusé d’intervenir pour sauver les Juifs et les Chrétiens, considérant qu’elle n’avait pas à mettre en péril la vie de ses troupes pour ces minorités. 

En revanche la communauté protestante qui a de notoriété séculaire partie liée avec la franc-maçonnerie et le pouvoir politique promoteur du Grand Remplacement a été bunkerisée hyper protégée par l’armée. »

 
Voici le type de titres à la une de vos quotidiens demain d’après une dépêche de l’AFP.
 

C’est ce genre d’informations qui va bientôt courir toute l‘Europe.

Nous savons déjà que les travaillistes britanniques sont passés du génocide passif de Blancs de basse intensité au génocide actif de haute intensité : la caste politique d’Albion a décidé d’interner tout blanc qui aurait montré qu’il était prêt à s’élever pour sauver les fillettes blanches et les siens, et prêt à se rebeller. 

L’internement des aptes à se battre pour laisser les plus faibles dont les femmes, enfants et anciens intervient concomitamment avec la libération des pires racailles et des pires criminels mélanisés chasseurs de Blancs qui ont déjà tué des êtres humains du Peuple Premier GB : l’objectif est clair pour les travailliste britanniques, les Grands Remplaçants ne peuvent qu’avoir reçu pour instruction d’accélérer le travail en toute impunité, comme en son temps au Rwanda, et de procéder à l’égorgement maximal de petites blanches pour éviter toute procréation du Peuple autochtone d’Albion, il n’y a qu’ainsi que peuvent et doivent s’interpréter les faits relatés supra.

On peut même soupçonner la police britannique cœur-deep state d’avoir distribué à grande échelle des machettes aux basanés-colorés-coranisés, et de leur avoir délivré des autorisations de tuer pour que les forces de police de terrain ne leur fassent pas perdre de temps en contrôles d’identité et autres embarras administratifs tatillons entre deux attaques.
 

Voici la preuve par la photo noir et blanc du stade actif de haute intensité des pogroms organisés par le gouvernement travailliste anglais :
« La mère d’un adolescent tué lors d’une attaque à la machette doit faire face à une nouvelle agonie aujourd’hui après avoir appris que l’un de ses meurtriers sera libéré six mois seulement après avoir purgé sa peine en raison de la surpopulation carcérale.
 

Gordon Gault, 14 ans, est décédé à l’hôpital six jours après avoir été attaqué avec une lame au cours d’une querelle à Elswick, Newcastle, en novembre 2022.
À l’issue d’un procès devant la Newcastle Crown Court, Carlos Neto, 18 ans, et Lawson Natty, également 18 ans, ont été reconnus coupables d’homicide involontaire et de blessures illégitimes.
 

Neto, originaire de Manchester, a été condamné à neuf ans et deux mois de prison, tandis que Natty, originaire de Newcastle, s’est vu infliger deux ans et huit mois de prison lors de leur audience en mars.
 

La mère de Gordon, Dionne Barrett, a été dévastée lorsqu’elle a reçu une lettre confirmant la libération anticipée de Natty le week-end dernier. »

https://www.fdesouche.com/2024/08/07/angleterre-le-gouvernement-libere-les-detenus-de-droit-commun-pour-avoir-la-place-afin-dincarcerer-les-emeutiers/

L’article ne précise pas quel type d’armement a été remis par la police britannique lors de sa levée d’écrou au tueur coloré : machette, couteau, poignard en dotation dans l’armée GB, revolver, fusil d’assaut ?
Toujours est-il que Natty est libre de recommencer comme il veut, où il veut et avec la victime blanche qu’il veut désigner comme telle avec l’alibi en usage sur tout le continent du « mauvais regard » qui vaut désormais classement sans suite dans toutes les juridictions européennes, la Hongrie et la Pologne exceptées qui vont devenir deux pays de cocagne pour Blancs demain.

Outre l’importation de tueurs colorés, tout le monde éveillé connaît la fabrication du slogan menteur d’une soi-disant religion d’amour, de paix et de tolérance, trois caractéristiques que méconnaissent pourtant le Coran et la Charia : il faut vraiment que le public occidental soit crétinisé au dernier stade avant égorgement pour croire aux contes de fées que tous les écrits et faits musulmans dans le monde démentent quotidiennement depuis des siècles.

Voici un exemple de religion d’amour, de paix et de tolérance venu direct du Bangladesh :
« Des observateurs craignent que la crise politique actuelle ravive les tensions entre les communautés au Bangladesh.

 Selon le recensement national de 2022, cité par le département d’État américain dans un rapport, la population du pays compte environ 91 % de musulmans et 8 % d’hindous – le 1 % restant étant notamment constitué de chrétiens et de bouddhistes. 

La Constitution du Bangladesh défend le principe de laïcité mais désigne l’Islam comme religion d’État.
Les minorités religieuses y sont régulièrement victimes de persécutions. L’ONG de défense des droits humains Odhikar a recensé 20 meurtres commis contre des membres de minorités entre 2007 et 2021. Près de 1 500 attaques contre des propriétés et des temples ont également été rapportées sur la même période. »
https://www.fdesouche.com/2024/08/06/bangladesh-en-proie-a-une-grave-crise-politique-le-pays-ou-91-de-la-population-est-musulmane-est-le-theatre-de-violentes-attaques-visant-les-minorites-notamment-hindoues-dipl/

« Les hommes de la minorité hindoue sont torturés, lynchés, crucifiés, brûlés vifs, pendus par les pieds par des musulmans aux cris d’Allahu Akbar .
Les femmes enlevées, violées,  battues à mort, leurs dessous exhibés (Nombreuses scènes, à des endroits différents : voilà ce qui attend les femmes occidentales si elles deviennent minoritaires). 
Silence des médias, silence des politiques.

 
Sous nos yeux, la barbarie de l’islam. »
https://resistancerepublicaine.com/2024/08/07/horreur-absolue-au-bangladesh-lislam-est-une-plaie-pour-lhumanite/

Franchement, 91 % de musulmans prêts à massacrer les 9 % qui restent non musulmans… la voilà la religion de paix, de tolérance et d’amour.


Vous pouvez prendre le Pakistan, la Turquie et tous les autres pays islamisés : Chrétiens et Juifs y ont été balayés au siècle dernier, en Égypte les coptes vivent un calvaire pour reprendre un titre de la Revue des Deux Mondes :
« Minoritaires à partir du XIVe siècle, ils deviennent de plus en plus des citoyens de seconde zone, héritant du statut de dhimmi sous l’Empire ottoman. Ils prennent part à la lutte d’indépendance de l’Égypte, puis à la révolution de 1958, mais Nasser les met à l’écart de la vie politique. Dans les années soixante-dix, leur situation se détériore. 

Persécutions, pillages, vols, destructions, enlèvements : plus l’influence des frères musulmans augmente, plus ils sont pris à partie. Non seulement les islamistes les poursuivent de leur haine, mais l’administration ne les voit pas d’un bon œil non plus. Ils sont exclus des fonctions supérieures dans l’armée, la police, la justice.
Lors du printemps arabe, les Coptes sont place Tahir aux côtés de leurs compatriotes musulmans et laïcs, pour demander la fin de la dictature et de la ségrégation qui les frappe. Ils sont de nouveau dans la rue en 2013 pour réclamer, aux côtés de millions d’autres Égyptiens, le départ du président islamiste Morsi. 

Les Frères musulmans ne le leur pardonneront pas : quatre-vingts églises, bâtiments et œuvres sociales détruits, plusieurs familles coptes assassinées, chassées, torturées, rançonnées ; écoles, champs, maisons, bétails détruits ou volés. 

Les Coptes accusent les autorités de laxisme et de négligence systématique lorsqu’il s’agit de coincer les auteurs des forfaits. »
https://www.revuedesdeuxmondes.fr/calvaire-coptes-egypte/

Alors la musulmanie et les musulmans, des adeptes d’une religion de paix, de tolérance et d’amour ?
 

Les 80 % de Français de souche qui croient encore aux fables nous obligent à croire que la France n’est pas seulement une terre d’asile, mais un asile de terre de 550 000 Km² à ciel ouvert sans cloisons ni murs ni gilets de contentions pour les fadas à qui l’on n’a pas encore interdit le droit de vote assorti d’une mise sous curatelle renforcée : le voilà le vrai drame qui conduit au déclassement sans fin de la France et à l’érection d’un antisémitisme d’État par la majorité de la classe politique qui s’est y est ralliée par calcul électoral.

La France actuellement, c’est entre 10 et 20 % de maures et d’islamisés, personne ne sait ou ne veut savoir vraiment.
 

Les ratios avec les effets convulsifs constatés par les pendants de l’OMS et le CDC d’Atlanta (Centre pour le contrôle et la prévention des maladies) sur les pays patients infectés dans le monde entier sont les suivants :
– Aussi longtemps que la population des musulmans reste autour de 1% dans n’importe quel pays, ils seront considérés en tant que minorité aimant la paix et non comme une menace pour quiconque. En fait, ils peuvent être décrits dans les articles et films, comme étant banalement “colorés”.
– A 2% et 3% ils commencent à convertir d’autres minorités ethniques et groupes de
mécontents, avec un recrutement essentiel dans les prisons et parmi les gangs de quartier.
– A partir de 5%, ils exercent une influence démesurée, comparée à leur pourcentage dans la population. Ils pousseront à l’introduction de la nourriture halal (préparée selon les normes de l’islam), s’assurant ainsi que les tâches de préparation de la nourriture halal soient attribuées à des musulmans. Ils augmenteront la pression sur les chaînes de supermarchés pour la trouver sur leurs étagères – avec menaces à la clé, si elles ne s’y conforment pas.

A ce seuil, ils s’acharneront à obtenir du gouvernement en place qu’ils leur permettent de se gérer eux-mêmes sous la Charia et la loi islamique.

 Le but final de l’Islam n’est pas de convertir le monde mais d’établir la loi de la Charia sur le monde entier.
– Quand les musulmans atteignent 10% de la population, ils trouvent tout moyen de coercition, d’intimidation, de prétextes à blasphème pour se plaindre de leurs conditions.

 Toute action d’un non-musulman qui offense l’Islam aura pour conséquences des soulèvements et des menaces puis des passages à l’acte : la France a passé ce stade avec l’affaire des caricatures, les égorgements et les menaces de mort pour toutes les Mila de l’hexagone.


– Après 20%, attendez-vous à des émeutes déclenchées pour un rien, la formation de milices du jihad, des massacres épisodiques et des incendies d’églises et de synagogues, la France y arrive avec les attaques de Crépol et les projets de massacres de villages entiers en Bretagne :
« Il y avait des projets d’attaquer la base navale à Brest, une synagogue, mais aussi de massacrer tout un village breton. 

Selon les propos tenus et enregistrés le 9 décembre 2019 et dévoilés lors de l’audience, Mohamad D. aurait dit à Wahid B. : « Il nous faut un peu d’entraînement, il nous faut des armes, et il faut apprendre certaines choses (…) On peut y aller pas trop loin, par exemple, on va voir les campagnes. 

On passe à quatre ou cinq, armés, tu tues tout le village en une seule nuit, c’est facile (…). »
https://abp.bzh/des-islamistes-parlaient-de-massacrer-tout-un-village–58906

– A 40% vous trouverez des massacres fréquents, des attaques continuelles de terroristes et la guerre continue des milices.
– A partir de 60% vous pouvez vous attendre à la persécution délibérée des non-croyants et des autres religions, au nettoyage ethnique sporadique (génocide), à l’utilisation de la loi de la Charia comme arme et la Jizîa, l’impôt placé sur les infidèles.
– Au-dessus de 80% l’état se charge des nettoyages ethniques et génocide des non-musulmans.
 

Avec une fourchette entre 10 % et 20 % de mahométans, la France enregistre déjà régulièrement les incendies d’églises et attaques de synagogues, les égorgements de profs et de prêtres, les assassinats de masse comme à Nice ou au Bataclan, les assassinats avec préméditation d’extermination comme à Crépol ou au Murinais, les déportations de Juifs comme en Seine-Saint-Denis ou certaines banlieues, le tout avec non pas l’indifférence mais bien la complicité de tous les organes régaliens, Assemblée nationale et Sénat, Conseil constitutionnel et Conseil d’État, classe politique, justice, police et armée.

Avec la complicité de l’État, ils s’enhardissent même comme s’ils étaient déjà 60 % à persécuter délibérément dans tous les espaces publics français les non-croyants et les adeptes d’autres religions comme ici à Montpellier :
“T’es Juif toi ? Moi je suis Marocain… Je vais te niquer ta mère… Sale Juif de merde” : un homme agressé dans le tram à Montpellier (34). »
https://www.fdesouche.com/2024/08/07/tes-juif-toi-moi-je-suis-marocain-je-vais-te-niquer-ta-mere-sale-juif-de-merde-un-homme-agresse-dans-le-tram-a-montpellier-34/

Vous pouvez conclure, il ne sera pas nécessaire d’atteindre 80 % de coraniques en France pour voir le pouvoir et tous les organes de l’État se charger des nettoyages ethniques et du génocide des non musulmans.
On peut estimer qu’à partir de 30 % on y sera. C’est déjà demain.


D’où la dépêche de l’AFP que je vous ai dévoilée par anticipation en tête de post, déjà rédigée par avance dans les tablettes de cette agence de presse comme tout bon organe médiatique tient déjà prête la notice nécrologique de tous les gens connus de la planète prête à être publiée à tout instant pour, comme la cigale, ne pas être pris au dépourvu.

Par Jean d’Acre


 

 

ET AUSSI

 



Les chauffards tuent !

 

« Le chauffeur est, de loin, la partie la plus dangereuse de l’automobile. » (Léo Campion).

Au fil des années, les Français se sont habitués à vivre dans un pays « mafieux »  qui subit 120 agressions au couteau par jour ; un narco-état où la consommation de cocaïne a décuplé en dix ans ; une nation dans laquelle les flics ne peuvent pas intervenir dans ce qu’on appelle pudiquement « les territoires perdus de la République », des cités livrées aux bandes rivales où le refus d’obtempérer est devenu monnaie courante, des banlieues qui s’enflamment, dans tous les sens du terme, quand un jeune délinquant fugitif est abattu par la police.

 Les statistiques ethniques étant interdites, il serait malvenu de faire une corrélation entre l’immigration massive et l’augmentation de la délinquance.

Depuis que le centriste Bernard Stasi a décrété que l’immigration était « une chance pour la France », malheur à celui qui osera dire le contraire ! 

Il sera aussitôt catalogué à l’extrême-droite et marqué du sceau de l’infamie pour oser propager des idées « nauséabondes ».


On est pourtant en droit de se demander pourquoi nos prisons sont pleines de trafiquants, de voyous et de criminels allogènes et/ou de Français issus de l’immigration (très majoritairement afro-maghrébine) ?

 Je suppose que c’est parce que nos flics et nos juges sont odieusement racistes ?

 Prétendre le contraire, même preuves à l’appui, peut vous valoir des poursuites pour « incitation à la haine raciale » alors que ce n’est jamais qu’un simple constat, un fait avéré, une évidence.

Dans la France « créolisée » chère à Rachid Mélenchon, tuer par arme blanche est devenu le mode opératoire le plus fréquent.

 Ces dernières années, 29 à 30 % des homicides sur notre sol ont été commis à l’aide d’un couteau (1). 

Depuis 2019, la totalité des actes terroristes ont été commis à l’aide d’une arme blanche et 58 % des homicides sont liés aux rivalités entre bandes.

 Les agresseurs au couteau sont majoritairement des hommes (87 % des cas) plutôt jeunes, et 63 % sont connus de la justice.

 Ils sont souvent de nationalité étrangère (et la victime est également étrangère dans 65 % des cas). D’après le dernier rapport de l’ « Observatoire National de la Délinquance », on dénombre 120 attaques au couteau par jour en France, soit 44.000 par an. Ce chiffre est colossal !

 Et pour lutter contre ce qui est un véritable fléau, notre justice expérimente depuis peu… l’amende forfaitaire : le port d’arme de catégorie D – les armes blanches – est passible de 500 € d’amende (400 € si le contrevenant paie tout de suite).

En cas d’amende, les couteaux sont saisis.

 Par ailleurs, il n’est plus question d’aller au commissariat pour une garde à vue.

 Comme, généralement, le contrevenant est mineur, insolvable, sans travail, voire en situation irrégulière, l’amende est rarement payée.

Sans faire de racisme primaire, même si « Laguiole », « Nontron » et « Opinel » fabriquent de très bons couteaux bien français, il ne vous aura pas échappé que la manie détestable de suriner ses semblables implique rarement des Bretons, des Basques ou des Auvergnats. 

En revanche, en terre d’Islam ou chez les Manouches, le couteau est comme un prolongement de la main, presque un outil de travail.

 Mais pour nos médias, un égorgement et une décapitation sont devenus une « blessure au cou ». 

Évitons de parler de ce qui pourrait traumatiser les « Gaulois » qui n’ont que trop tendance à stigmatiser les communautés étrangères et à les accuser de tous les maux, crimes et délits.


J’ai cherché sur internet et dans la presse le nombre de morts par arme blanche sur notre sol ces dernières années ; je ne l’ai pas trouvé.

 Tout est fait pour mettre la poussière sous le tapis.

Interrogé récemment par « le Figaro », le criminologue Alain Bauer, qui connaît bien le sujet, a répondu que « La batte de baseball ou la machette ont trouvé leur place dans les règlements de comptes ou les agressions, sans parler de l’usage de moins en moins maîtrisé par le grand banditisme de la kalachnikov… ». 

Ça, on le savait déjà, mais ça ne répond absolument pas à la question.


Retenons simplement que chaque année en France, la population d’une sous-préfecture – 40.000 personnes – se fait larder au couteau plus ou moins gravement et que beaucoup en meurent.

Mais il est un autre sujet – grave ! – sur lequel tout est également fait pour noyer le poisson.
Cadre sup en assurance, jusqu’à mon départ en retraite, en 2010, je recevais les chiffres des accidents de la route émanant de la FFSA et du GEMA (2) et je constatais assez régulièrement que ces données – incontestables – ne correspondaient pas toujours avec les chiffres « officiels » diffusés par les médias. Dans ce domaine comme dans tant d’autres, on nous raconte n’importe quoi.

Nous savons que notre presse, majoritairement de gauche et/ou inféodée au pouvoir, n’est pas là pour nous informer mais pour nous intoxiquer, un peu comme « La Pravda » au temps de l’ex-URSS, or en matière d’accidents de la route, tout est fait pour culpabiliser et matraquer le « Gaulois » auquel on reproche d’aimer la bagnole et de rouler trop vite ; ce qui n’est pas toujours faux !

Mais venons-en à mon sujet du jour : 3 398 personnes sont décédées en 2023 sur les routes de France (3). 235 000 personnes ont été blessées, dont 16 000 gravement. 

Les décès concernent 1512 occupants de véhicules de tourisme, 706 usagers de deux-roues motorisés, 439 piétons, 221 cyclistes, 44 utilisateurs d’engins de déplacement personnel motorisé. La part de tués hommes est bien supérieure à la part de tués femmes, mais elle est très variable selon le mode de déplacement.

 Les hommes représentent 64 % des tués piétons, 86 % des tués à vélo, 92 % des tués en deux-roues motorisés, 71 % des tués en véhicule de tourisme, et 94 % des tués en utilitaire ou en poids lourd.

 Ne me demandez pas le nombre de victimes LGBT+++ ; il n’y a pas encore de statistiques.


Quelle est l’intérêt de cette litanie, me direz-vous ? Un peu de patience, j’y viens !

Chaque année en France, près de 8 000 personnes sont blessées, parfois lourdement, par des conducteurs dépourvus d’assurance (et 160 sont tués). 

Ce constat émane d’un rapport, en date du 25 juillet dernier, publié par le « Fonds de Garantie des Victimes ».

 En 2023, le Fonds a indemnisé 7 687 victimes blessées par des conducteurs non-assurés. Il a également indemnisé les proches de 160 tués, une hausse de 2 % en un an. 39 % des victimes blessées prises en charge par le Fonds conservent des séquelles à vie. 

Le coût pour la collectivité atteint près de 140 millions d’€ en 2023, en hausse de 28 % par rapport à 2022. C’est inquiétant, dramatique, mais personne n’en parle !

Nous apprenons, par le même organisme, que sur les 80 000 conducteurs impliqués dans un accident corporel en 2022 (et ayant fait l’objet d’un procès-verbal par les forces de l’ordre), près de 4 200 n’avaient pas d’assurance, soit 5,2 % d’entre eux. 

Ce chiffre est en constante progression depuis 2017. En cinq ans, il a augmenté de plus de 50 %. 

Le « Fonds de Garantie des Victimes » note encore qu’en 2023, 77 % de véhicules légers (voitures particulières principalement) sont impliqués dans les accidents provoqués par des gens qui roulent sans assurance. 

La part des deux-roues est plus limitée (8 %) mais il y a, en revanche, une forte implication des « engins de déplacement personnels », tels que les trottinettes électriques ou les gyropodes, véhicules urbains qui font la joie des écolos-bobos et des « jeunes » de banlieues.

 Ils sont mis en cause dans 7 % des accidents, en forte hausse de 68 % en un an.

 Pour ces véhicules, l’assurance est pourtant obligatoire.

Les commentaires du « Fonds de Garantie des Victimes » sont d’une naïveté confondante, pour ne pas dire consternante ou carrément affligeante.  

« Rouler sans assurance est un délit… En cas de manquement à cette obligation, le conducteur s’expose à une amende forfaitaire délictuelle d’un montant de 750 €, pouvant atteindre 3 750 € en cas de récidive, assortie de peines complémentaires. 

Des dizaines de milliers de conducteurs non assurés remboursent ainsi toute leur vie le Fonds parce qu’ils n’étaient pas assurés au moment de l’accident… »

Encore faut-il qu’ils soient solvables et qu’ils ne soient pas retournés vivre au bled entre temps.

Le directeur du Fonds nous explique le défaut d’assurance par le fait qu’« un certain nombre de jeunes ont fait l’impasse sur l’obligation d’assurance pour des raisons de budget, sans se rendre compte des risques qu’ils prennent ». 

Il ferait mieux de nous dire que beaucoup d’entre eux n’en ont « rien à cirer » car en fait ils ne risquent strictement rien, surtout s’ils sont mineurs.


Pour ma part, j’observe qu’à chaque refus d’obtempérer ou presque, le conducteur, souvent âgé de 16 ou 17 ans, roule sans permis (et pour cause !) dans un véhicule parfois volé.

 Il lui est, bien sûr, impossible de s’assurer (et il n’en a pas la moindre intention). 

Je note aussi que les « jeunes » qui font des rodéos – du « wheeling » sur la roue arrière – sur des motos sans plaque d’immatriculation qu’ils pilotent sans permis, donc sans assurance, sont rarement, là encore, des Normands, des Jurassiens ou des Provençaux .

 Idem pour les accidents de trottinettes électriques « gonflées »…


Pour aller jusqu’au bout d’un sujet aussi grave, il faudrait aussi parler du nombre de nullités de contrat d’assurance dû à la conduite sous l’emprise de stupéfiants. 

Un ex-collègue encore en activité me disait il y a quelques mois : « Ce métier devient catastrophique.

 Un « corpo »(4) sur cinq implique des gens sous stupéfiants, le plus souvent c’est de la cocaïne… »

À la même époque, un vieil ami, ancien grand patron régional des Douanes me disait : « En quelques années le trafic de « coke » a été multiplié par dix. 

On ne saisit pas un dixième de ce qui passe. C’est devenu un business presque normal, tout le monde préfère fermer les yeux… ».

 
Il parait que la cocaïne s’est « démocratisée » ; elle n’est plus le Doliprane des gens du show-biz et des Bobos parisiens. 

Mais vous noterez, là encore, que les règlements de compte entre dealers impliquent rarement des Lorrains, des Vendéens ou des Landais.

On nous dit que ce qui se passe actuellement dans « la perfide Albion » marque l’échec du multiculturalisme.

 C’est une évidence, les Anglais récoltent ce qu’ils ont semé ! 

Mais les mêmes nous affirment que ça ne peut pas arriver en France car, chez nous, on favorise « l’intégration ». Mon œil !
De qui se moque-t-on  avec ce genre d’enfumage qui ne trompe personne?

En Juin 2023, je suis allé en Hongrie. 

Dans ce pays, on ne brûle pas les voitures, les agressions au couteau sont rarissimes, et depuis dix ans, la simple consommation de drogue peut vous faire écoper jusqu’à deux ans de prison. 

Mais, chez Viktor Orbán, on ne se pose pas trop de questions existentielles sur le multiculturalisme à l’anglaise et l’intégration à la française. 

L’immigration extra-européenne y est quasiment nulle. 

Avouez qu’il faut être de la plus parfaite mauvaise foi pour associer immigration et délinquance. 

C’est d’ailleurs pour ça que j’évite de le faire.

Par Eric de Verdelhan

1)- Selon une note confidentielle récente de la Direction Nationale de la Police Judiciaire (DNPJ)
2)- FFSA = Fédération Française des Sociétés d’Assurance. GEMA = Groupement des Entreprises Mutuelles d’Assurance.
3)- Soit 100 tués de moins qu’en 2022 (- 3,1 %) ce dont on ne peut que se réjouir !
4)- Accident corporel dans notre jargon d’assureur

 


 



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