jeudi 15 août 2024

LES ÉOLIENNES , L' ARNAQUE ÉCOLOGISTES !

 


Les éoliennes, une des pires catastrophes écologiques !

Un écolo encarté n’en a rien à foutre de la nature, de l’environnement et de la pollution. 

Du moment qu’il convoie des clandestins, défend des délinquants, encourage des squatters, finance des mosquées et arrache les sapins de Noël, sans oublier de remplir sa gamelle au passage.

Et s’il roule électrique, c’est avec des bagnoles de fonction.

 Il connaît les coûts réels de recharge que cachent les médias aux ordres : Jusqu’à 800€/mois pour une Kia EV6 à 50.000 € sans les options, pour une autonomie de 500 Km à 80 à l’heure, en terrain plat, sans les phares, le chauffage, la clim, les essuie glaces, ou le vent de face.

 

Un véritable écologiste demanderait qu’on arrête d’implanter ces moulins à vent et qu’on démolisse ceux qui existent

Une éolienne est une machine faite de matériaux non recyclables, entre 600 et 1.000 tonnes de béton armé pour le socle, et des tonnes de composites plastiques à durée de vie quasi illimitée pour les pales.

La fabrication des aimants des éoliennes nécessite de grosses quantités de cobalt, environ 30% du poids de moteurs de plusieurs tonnes. 

Un composant dangereux pour la santé, extrait dans des conditions inhumaines par des enfants esclaves, en Afrique, en Asie et en Amérique latine, payés 1 dollar par jour pour 12 heures de travail, et qui ont rarement l’occasion de fêter leur vingtième anniversaire.

Ce cobalt se désintègre lentement en microparticules portées par le vent et les personnes qui l’inhalent sont exposées à des affections de longue durée telles que pertes de vision, problèmes cardiaques et pulmonaires, détérioration de la thyroïde et cancers.

 À ce cobalt s’ajoute le néodyme, qui se disperse en poussières d’usure, causant des pathologies aggravant celles produites par le cobalt.

Idem avec les terres rares qui proviennent pour 86% de Chine. Indispensables à la fabrication des aimants des éoliennes, elles ajoutent à tous ces effets nocifs, l’exposition à des radiations mortelles.

Ainsi dans la province du Heilong Jiang, championne de l’extraction du néodyme, du cérium et du lithium, une couche de poussières toxiques recouvre d’immenses régions agricoles, les rendant stériles et contraignant les paysans à l’exil ou à la famine.

 Ceux qui restent périssent de cachexie. Les enfants des survivants qui ont réussi à fuir souffrent de graves malformations.

Par ailleurs, un reportage du Daily Mail d’avril 2009 avait montré les dégâts causés par l’exploitation du lithium dans le désert d’Atacama au Chili : dans les collines stériles, la plus grande zone d’exploitation ressemble à un champ de mines. 

D’énormes montagnes de sel blanc s’élèvent au dessus de la plaine, la terre brune craquelée s’effrite dans les mains, il n’y a plus aucun signe de vie végétale ni animale.

 

Des sources de pollution et de contamination illimitées tant qu’elles existent

La loi en France qui oblige à recycler les éoliennes n’est pas appliquée. 

 Celles déglinguées par des tornades ou HS du fait de l’obsolescence, défigurent nos paysages, oubliées par des profiteurs en faillite.

 Les exploitants se défilent après avoir fermé boutique.

 Et lorsqu’on ne peut plus reculer, c’est la collectivité qui s’y colle avec nos impôts.

 Ou feint d’ignorer le problème.

Ces machines font un bruit infernal en plus des ultra et infra-sons, inaudibles mais destructeurs de l’oreille interne. 

Et on les dégivre en hiver avec du glycol (hyper toxique pour les nappes phréatiques) pulvérisé en nuages épais depuis des hélicoptères ! 

Elles pourrissent la vie des riverains et la nomenklatura donneuse de leçons n’en veut surtout pas près de chez elle.

 D’autant que leur proximité cause un effondrement des prix de l’immobilier.

Ces engins déchiquettent les oiseaux, et ceux en mer perturbent l’écholocalisation des cétacés, ainsi que leurs moyens de communication, provoquant de dramatiques échouages… 

On recense bien plus de mammifères marins victimes des éoliennes que des baleiniers. 

Mais le pirate médiatique Paul Watson ne s’attaque pas aux éoliennes. 

Elles sont gardées par des forces antiterroristes qui peuvent tirer à balles réelles. 

 

En plus, elles coûtent plus cher qu’elles ne rapportent

Sans les subventions et les dégrèvements fiscaux, les éoliennes ne pourraient même pas afficher un équilibre d’exploitation. 

La production aléatoire est très difficile à canaliser, à un coût 4 à 6 fois supérieur à celui de l’électricité nucléaire. 

Leur faible production, rarement aux pics de consommation, a une incidence négligeable sur la consommation d’énergie.

Ces moulinettes ont des rendements imprévisibles et même dans des conditions météo optimales, le vent ne produit pas assez d’électricité pour les rendre rentables… 

Elles ne permettent même pas d’espérer un retour sur investissement, en dehors des subventions et cadeaux fiscaux.

Le milliardaire Warren Buffet qui exploite un immense parc d’éoliennes dans l’Iowa reconnaît sans complexes : « Nous bénéficions d’un crédit d’impôt proportionnel au nombre d’éoliennes qu’on met en service. C’est la seule raison de continuer à en construire. »

Mais l’argent n’est pas perdu pour tout le monde !

 Le Telegraph du 25 août 2012 révélait que le CCC (Committee for Climate Change) chargé de conseiller le gouvernement britannique sur les dangers des émissions de gaz à effet de serre, était présidé par un certain Lord Deben directeur d’un consortium de firmes largement subventionnées par l’État, installant des parcs d’éoliennes un peu partout, même dans des zones peu ventées.

Lord Deben, après avoir bien mouliné avec ses éoliennes, s’est reconverti en 2020 dans le recyclage des ordures ménagères et des bouses de vaches. 

Ses nouvelles sociétés, subventionnées of course, entendent en extraire du bio gaz pour sauver la planète.

 On n’a pas dû lui dire que son biogaz est du méthane CH4 à effet de serre 25 fois plus puissant que le CO2.

D’après un autre article du Daily Mail on apprend que plus de la moitié des membres du CCC ont des intérêts financiers dans des sociétés vendeuses d’énergie verte, qui profitent des mesures que le Comité fait adopter. De vrais philanthropes.

 

Depuis ces révélations susceptibles d’indigner l’opinion, la cenSSure a repris la main

Pour éviter des réactions négatives chez ceux que la terrifiante propagande sur le prétendu réchauffement anthropique pourrait ne pas éternellement abuser, il a été « conseillé » aux journaux anglais, eux aussi subventionnés, d’aérer leur colonnes. 

Et que des vents mauvais emportent les journalistes indociles !

Tandis que la BBC réputée pour son indépendance (!) était « invitée » à cesser de brasser de l’air sur ce sujet volatil que seuls les « experts autorisés » maîtrisent. 

Pour sauver leur emploi, les repentis ont dû vanter les mérites de l’immigration, chance pour l’Angleterre.

La France n’est pas en reste. Mais chez nous, on ne se contente pas de piloter les médias à distance avec des clones serviles, c’est carrément les ministres qui s’y collent. 

L’incroyable Barbara Pompili affirmait de façon péremptoire que les 8000 éoliennes françaises produiraient de quoi alimenter en électricité 8 millions de foyers. 

Cette dame devait dormir à l’école pendant les cours de calcul.

En appliquant les données qu’elle fournissait, ce serait entre 1,5 et 2 millions de foyers… 

Si les éoliennes produisaient à leur optimum 24 heures sur 24. 

Or il s’agit d’une production intermittente, aléatoire, liée aux caprices de la météo et qui ne peut être accélérée au moment des pics de consommation et ralentie quand la demande en énergie diminue à la différence des autres moyens de production, nucléaire, thermique, hydraulique.

Quant au coût, il est prohibitif puisque, dans le meilleur des cas, le KWH éolien terrestre coûte 3 à 5 fois le prix de revient du nucléaire, et l’éolien marin 4 à 6 fois plus. 

 On pourrait croire que Linky a été imposé pour détourner l’attention des consommateurs des factures.

 

Une pollution invisible mais pas inaudible

On peut ajouter aux effets nocifs sur la santé des humains les désagréments quotidiens produits par ces machines qui provoquent toutes sortes de troubles légers mais persistants, tels qu’acouphènes, pertes de sommeil, céphalées, angoisses, nervosisme chronique.

Et puis il y a le préjudice subi par les pécheurs professionnels qui ont déjà du mal à survivre, accablés par des réglementations européistes kafkaïennes et des taxes françaises surréalistes.

Parce qu’il faut protéger les câbles sous-marins porteurs de ce courant électrique de luxe, et prévenir d’éventuels actes de sabotage vu le nombre de mécontents, les champs d’éoliennes protégés 24h/24 par les milices du dictateur sont interdits à la pêche, les uns après les autres.

 Et on continue d’encourager la destruction des petits chalutiers en échange d’aumônes de misère. 

C’est tout bénéfice pour le pouvoir. 

Un assisté se rebelle moins facilement qu’un travailleur indépendant.

 

Par Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

 


 

 


 

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