TRIBUNE LIBRE !
Qui peut croire au suicide d’Éric Dénécé, spécialiste du Renseignement pro-Russie ?
Une intelligence supérieure a disparu. Un grand homme est mort… Trop tôt.
Né en 1963, il était trop jeune pour mourir…
Et quand on nous balance qu’il serait mort d’un suicide, là rien ne va plus.
Et quand ses proches même disent que la thèse du suicide ne tient pas, là rien ne va plus.
Qui avait intérêt à faire disparaître actuellement ce pro-Russie qui depuis 2022 dénonce sans cesse le faux procès fait à la Russie ?
Qui avait intérêt à faire disparaître actuellement ce Résistant à l’islamisme qui depuis 20 ans dénonce inlassablement les manigances, les magouilles internationales ?
Sa fiche Wikipedia montre toutes les raisons que le système avait de le faire disparaître en ces temps de guerre voulue avec la Russie par les européistes.
Extraits à compléter si vous le pouvez par l’ensemble de sa fiche et les autres articles en ligne sur lui un peu partout.
En 2000, il crée le Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R), cercle de réflexion privé, dont il assure la direction, avec « pour objectif avoué de créer une culture du renseignement » dans la société française[24],[25].
L’organisme, qui rassemble une vingtaine de chercheurs, est parfois présenté par la presse comme le « think tank des espions » ou un « think tank indépendant ».
[…]
Après l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022, le CF2R est régulièrement qualifié de think tank « pro-Kremlin »[4],[28],[29],[30],[31].
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Après s’être rendu avec un groupe d’experts internationaux francophones dans les pays concernés par le Printemps arabe[49],[50], il dirige la rédaction d’un ouvrage collectif[51] soutenant que les différentes révolutions arabes auraient été préparées depuis longtemps avec le soutien des États-Unis.
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En juin 2011, il publie avec Yves Bonnet un rapport sur la Libye pendant la Première guerre civile libyenne, estimant que « les Occidentaux sont trop indulgents avec le Conseil national de transition » qui mène la rébellion contre la dictature de Mouammar Kadhafi.
Il voit un « risque islamiste » chez les rebelles[53].
Ce rapport est repris par la presse française à la suite de l’AFP[53].
Le journaliste Quentin Girard dans Libération estime alors que « ce qui surprend dans ce rapport est son grand écart avec les analyses de l’Otan ou des médias sur le terrain. [..]
On a parfois l’impression que tout est fait pour décrédibiliser la rébellion ».
Éric Denécé explique alors « qu’ils ne sont pas du tout pour Kadhafi » et que cette impression est due « à la désinformation pratiquée par les médias »[54].
[…]
En 2012, il coécrit un rapport sur la Syrie menacée de « libanisation », intitulé « Syrie : une libanisation fabriquée.
[…]
En décembre 2016, sur la chaîne LCI, Denécé déclare qu’au sujet d’Alep, une « falsification de l’information » tend à minimiser la culpabilité des djihadistes et à exagérer les responsabilités de Bachar el-Assad.
…]
En mai 2014, il cosigne, avec Chérif Amir, auteur d’un livre intitulé l’Histoire secrète des Frères musulmans[58], une tribune dans Le Monde concernant l’élection présidentielle égyptienne, qu’il qualifie d’« expérience démocratique ».
[…]
À partir du mois de mai 2014, Éric Denécé critique dans la presse le rachat de la branche énergie de la société Alstom par l’Américain General Electric.
Selon le spécialiste en intelligence économique, le rachat de cette société « stratégique » poserait des risques pour la sécurité et l’indépendance nationale française[61],[62],[63],[64],[65] et notamment dans la filière nucléaire, pour les centrales nucléaires, les turbines de sous-marins et des navires de surface tels que le porte-avion Charles de Gaulle.
Il y voit une « vraie trahison des élites françaises ».
[…]
En 2020, Éric Denécé cosigne, dans Le Figaro, « l’appel des artistes français en faveur de l’Arménie et de l’Artsakh »[69].
En 2022, il cosigne la tribune « Refaire nation avec les Arméniens » dans L’Humanité[
[…]
En février 2022, quelques jours avant le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, il affirme que des « spin doctors américains » mettent « en scène une menace et une agression russe qui n’existent pas »[4].
En mars 2022, il accuse le gouvernement de Volodymyr Zelensky en Ukraine d’avoir « provoqué la situation dans laquelle se trouve la population ukrainienne », et d’avoir une responsabilité « au moins aussi importante que celle des Russes » dans la guerre[71].
Interrogé par Challenges sur le sujet, Éric Denécé répond en avril 2022 : « J’assume de dire que nous ne crions pas avec les loups, car quand on regarde l’histoire, il est évident que l’on a poussé les Russes dans un piège. »
[…]
Vous avez compris chez amis lecteurs, que j’ai un doute… énorme !
Que je pleure Éric Dénécé qui nous a si souvent montré le vrai et les manigances internationales…
Par Christine Tasin
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