mardi 10 juin 2025

C' EST D' ACTUALITÉ : LE NUMÉRO DE GRAND GUIGNOL DE RIMA ET GRETA ........

 TRIBUNES LIBRES !

Israël a attaqué la flottille de Rima Hassan au sandwich au jambon !

Ils ont suivi mes conseils !  Les Israéliens ont osé ! 

Eux ne sont pas de vulgaires Européens qui laissent leurs eaux territoriales violées par le premier bateau de migrants venus. 

Eux ne plaisantent pas avec les frontières, qu’elles soient terrestres ou maritimes.

 La pasionaria islamiste, accompagnée de la mongolienne écolo, ont beau raconter qu’elles sont protégées par le droit international, les voilà en taule toutes les deux.

 Et cela après une terrible charge des autorités israéliennes, à coups de sandwichs qui, on l’espère, n’étaient pas au jambon !

Reste à attendre la suite du feuilleton.

 Ce n’est pas le tout de hurler à l’agression sioniste, de faire partout des manifestations « Libérez Rima », d’envahir avec seulement quelques centaines de manifestants la place de la République, sans un seul drapeau français, les défenseurs de la cause palestinienne, et donc du Hamas, ne peuvent en rester là. 

Emmanuel Macron, un an après sa fumeuse dissolution, est au pied du mur. 

 Après avoir laissé croupir Boualem Sansal durant plusieurs mois en prison, arrêté par ses amis algériens, le voilà qui sort du bois pour défendre bec et ongles la liberté de Rima Hassan. 

Quant à Jean-Luc Mélenchon, il craint le pire pour sa protégée, avec qui il a multiplié de nombreux échanges, lui bien planqué à Paris, et elle sur son bateau, pour la plus grande fureur de Sophia Chikirou, qu’on présente comme maladivement jalouse. 

Il craint, connaissant les sionistes et de quoi ils sont capables, que la député européenne ne subisse les derniers outrages en prison, et que les geôliers de Netanyahou soient assez pervers pour l’enfermer en cellule avec quatre militants du Hamas qui n’ont pas vu une femme depuis plusieurs années. 

Jean-Luc n’en dort plus.

Il faut que les progressistes aient une réponse à la hauteur de l’agression des méchants Juifs et relèvent le gant.

 Une nouvelle flottille doit partir dans l’urgence et quitter le port d’Athènes, cela ira plus vite pour atteindre Gaza. 

Il faut vraiment, outre les six marins nécessaires à la sécurité du bateau, des personnes suffisamment représentatives pour que Bibi n’ose pas couler le bateau, et les mettre en taule. 

Quelle belle image ce serait qu’Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon donnent l’exemple, accompagnés de leurs compagnes respectives, Brichel et Sophia, de La Tondelière pour les écolos et d’Olivier Faure, nouvellement élu pour les socialauds.

 Bel échantillon de tous ceux qui ont volé la victoire au RN, en juillet 2024, suite à la dissolution de Macron.

Et Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon, tel le colonel Beltrame libérant la prisonnière d’un djihadiste en prenant sa place, doivent exiger de Netanyahou qu’il libère les otages, dont Rima, et prendre leur place.

Voilà qui remettrait la France en première ligne de la défense des libertés… et finirait de couler définitivement dans les sondages le camp qui ose se dire progressiste, tout en soutenant sans vergogne les islamo-nazis du Hamas.

Chiche ?

 https://ripostelaique.com

 

 ET AUSSI

Le numéro de Grand Guignol de Rima et Greta a tourné à l’eau de boudin

Lundi 9 juin 2025, le « Madleen » a été arraisonné par des forces israéliennes à 22 h 00 GMT alors qu’il se trouvait à 31 milles nautiques (57 km) de Gaza.
 

Selon le gang islamo-gauchiste qui a organisé et financé ce battage publicitaire, l’équipage aurait été kidnappé par les forces israéliennes. Tandis que les otages du Hamas sont des invités surprise.

L’affrontement était inévitable dès lors que le bateau s’apprêtait à violer les eaux territoriales, stricto sensu 12 nautiques soit 22 kilomètres de la côte, avec un droit de regard ou de suite par les navires de guerre sur la zone exclusive portée à 200 nautiques soit 370 km, en cas de menace avérée ou d’hostilité potentielle.

Tous les perroquets qui nous bassinent avec leur État de droit devraient savoir que ces dispositions relèvent des conventions de Montego Bay qui ont fixé le droit de la mer. 

Et que éteindre l’AIS (Automatic Identification System) pour ne pas se faire repérer est illégal et irresponsable. 

Car cela compromet la sécurité de la navigation générale. 

N’en déplaise aux dhimmis qui approuvent les agressions des Houthis mais s’indignent de l’interception sans casse de ces sirènes que d’aucuns prennent pour des thons.

Bibi est bien bon de se contenter de les expulser, sans les faire condamner à dix ans de pénitencier dans le Sinaï, pour complicité avec une organisation terroriste, après avoir saisi ou fait couler leur rafiot.

 

Rima la tête pensante, et Greta la voiture balai qui récupère les paumés du réchauffisme et de l’escrologie, surjouaient un numéro de grandes aventurières

Dans leur pantomime maritime, elles ont endossé les oripeaux de Saladin.

 Pas loin de reprocher aux parents des victimes du pogrom du 7 octobre 2023, femmes, enfants, bébés, mitraillés, égorgés, brûlés vifs, leur refus de psalmodier le slogan débile : « Vous n’aurez pas ma haine ».

 

Peut-on espérer que la décision de Israël Katz, ministre de la Défense, de présenter aux amis du Hamas des images atroces du massacre, filmées par les terroristes eux-mêmes avec leurs GoPro, très fiers de leurs crimes, éveille une lueur de mauvaise conscience dans leurs petites têtes formatées par l’humanisme à sens unique ?

Les deux pécores et leurs suiveurs microcéphales aspiraient au statut de bienfaiteurs de l’humanité, voire à l’auréole de martyrs du camp du Bien. 

Depuis leur départ de Sicile, la troupe a multiplié les tweets et les stories Instagram pour montrer à quel point ils risquaient leurs vies, dramatisant le moindre incident de bord, et ne manquant jamais d’afficher leur héroïsme. 

Rima se la pétait grave sur X : « Je n’ai pas peur de la mort et encore moins d’Israël. S’ils veulent me tuer, qu’ils le fassent, je partirai en ayant fait ma part. »

Pourquoi n’enfile-t-elle pas une ceinture d’explosifs pour se faire sauter comme ses sœurs les plus motivées ? 

Elle serait plus crédible.  

Au lieu de ça, chaque fois qu’un drone d’observation s’approchait du yacht sans ses voiles, avançant au moteur fumant et polluant, Rima Rien invitait les internautes à suivre leur trajet sur des sites de navigation, pour envoyer de l’aide le plus vite possible en cas de problème.

Courageuse mais pas téméraire, l’admirable moudjahida exigeait en sa qualité de députée européenne d’être protégée par la France. 

Fripounette a acquiescé. 

Entre filles, on se comprend. 

On a quand même entendu pleurnicher les stars du djihad quand les soldats israéliens ont pris le contrôle de leur bateau spectacle sans molester personne.

 

Dans le monde anglophone, ce genre de comédie s’appelle virtue signalling qu’on peut traduire par étalage de vertu

L’important est de se présenter comme un parangon du camp du Bien. 

Peu importe de ne pas arriver à bon port, et tant pis si les soutes du ketch contiennent moins de vivres et de médicaments qu’une camionnette. 

L’essentiel est de se montrer.  De parader.  De soigner son press book

Le keffieh est plus sympa pour les photos qu’un enturbanné de Daech brandissant une tête coupée.

À côté de la mongolienne et de la pasionaria, des figurants ont ramassé les miettes de ce show médiatisé. 

Journalistes à la ramasse, acteurs de seconde ordre, influenceurs au petit pied, ils pourront dire « j’y étais ! ». 

Autant de coups de pouce pour relancer des carrières pliées et extirper les plus nuls de l’égout où ils fermentaient.

Mais c’est habile pour l’impact sur une jeunesse décérébrée. 

Tous les codes de la « coolitude » ont été utilisés. 

Airs de guitare et couchers de soleils pour idylles d’ados, « bonfires » feux de joie californiens, lecture de poèmes comme dans les tavernes de Greenwich Village, fusion-confusion-fraternisation inspirées par Woodstock.

 Le grand paradoxe pour Rima, arabe et mahométane, donc ennemie des USA, est d’être imbibée de culture nord-américaine.

 

La vie à bord telle qu’elle a été présentée n’était pas crédible

Apparemment, elles auraient attendu en Égypte, en stand by, un moment propice pour leurrer les défenses israéliennes. 

Si elles ne sont pas descendues à terre pour loger à l’hôtel (mais c’est moins héroïque !) 20 personnes sur ce rafiot, 12 au départ + les naufragés qui les attendaient au large, ça devait être intenable.

 Surtout avec des gens qui ne se connaissaient pas ou à peine avant d’embarquer.

La promiscuité, l’inconfort, le roulis, le tangage, le bruit du moteur, les odeurs de graillon, de sueur, de crasse, de tabac froid et de chiottes, les flatulences, les rots à l’ail, le manque d’hygiène dans un espace vital réduit quand on n’est pas amariné, tout ça doit devenir vite insupportable. 

Surtout pour des petites bourges délicates habituées à leur confort.

 

Le détournement du droit à des fins politiques ne fonctionne pas partout comme en Europe

Les protagonistes sur les flots devaient croire que l’État hébreu était semblable aux ripoubliques européistes. 

Passives devant les attaques et lâches face aux agressions. 

On est tellement habitués en Occident à la pusillanimité des politiciens, à la complicité des médias, au laxisme des juges et à la passivité des téléphages qu’on a oublié qu’il y a encore des pays qui défendent leur territoire et protègent leur population.

Trop de blaireaux ont fini par trouver normal de voir des délinquants clandestins violer les frontières impunément. 

Avec des sanctions pleuvant sur les uniformes tentant de les intercepter. 

Au point d’en oublier, y compris chez des commentateurs neutres, qu’un État souverain a toute légitimité pour surveiller ses entrées et refouler les indésirables.

Les autorisations de passage et de séjour ne sont en aucune façon les droits humains imprescriptibles dont on nous bassine les oreilles. 

Trump l’a fort opportunément rappelé.

 Et il n’y a rien de scandaleux à ce qu’Israël fasse de même. 

D’autant que ce pays subit des attaques terroristes incessantes depuis sa création.

 

Qui a financé la croisière de Rima et Greta ?

On peut se demander comment les navigatrices humanitaires, mais aussi leurs collègues de Green Piss et les transporteurs de bétail humain en Méditerranée, financent leurs voyages. 

La plupart n’ont pas de métier bien défini, ils vivent de charité publique, parfois d’expédients. 

L’Eurocrature et les élus gauchards sont généreux avec l’argent volé aux contribuables, mais je doute que cela suffirait sans les pétrodollars des théocraties modérées.

Un bateau, même de seconde main, coûte cher. 

Une location de longue durée est onéreuse. 

L’entretien courant et les remplacements, car tout s’use vite en milieu humide et salin, ont un coût. 

En plus du carburant, des taxes de port et des assurances quasi obligatoires partout. 

Sans oublier les bakchichs exigés dans certains pays, même quand on est en règle.

 Ces bateaux sont vraiment aussi glauques que leurs équipages.

Par Christian Navis

Source :  https://climatorealist.blogspot.com/

 

ET AUSSI

 

Madleen : le radeau des illusions

Madleen : le radeau des illusions

Quelle farce pathétique que cette misérable épopée du voilier Madleen, cette caravelle des temps modernes, où des bobos, des gauchistes internationalistes et des pleureuses professionnelles voguent sur les flots de la bonne conscience ! 

À la barre de cette galère idéologique : une écologiste suédoise dont le regard halluciné fait frémir même les algorithmes de l’intelligence artificielle, et une députée européenne d’ultra-gauche qui semble avoir oublié qu’elle siège à Bruxelles, pas à Ramallah.

Le Madleen, navire à la dérive, ou plutôt opération médiatique cousue de fil blanc, affrété par les propagandistes de la Freedom Flotilla Coalition, cet aréopage victimaire qui croit encore aux luttes de libération en keffieh et aux barricades imaginaires du Quartier latin.

 Ils prétendaient « briser le blocus israélien »…

 Comme si Tsahal allait trembler devant une poignée de militants Twitter armés de smartphones et de slogans recyclés ?

Cerise sur le gâteau : voilà que, comme par miracle – deus ex machina digne d’un mauvais film de propagande soviétique – nos aventuriers croisent une embarcation de migrants en détresse.

 Bien sûr. Juste au bon moment. L’image est belle, trop belle. 

La narration parfaite, trop parfaite. Hollywood en aurait rougi.

 Le Madleen ne sauve pas des vies, il sauve des causes. 

Il nourrit la mythologie de la gauche morale, celle qui préfère pleurer sur le sort de l’Autre plutôt que défendre le destin du Même.

Et comme prévu, les autorités israéliennes, qui n’ont ni le temps ni l’humour pour ce genre de performance, ont arraisonné le navire. 

Fin de l’acte I. Rideau sur la mascarade. 

Mais en France, le cirque continue. 

Les fanatiques de La France Insoumise, qui ne voient plus la France que comme un obstacle à abattre, appellent à la mobilisation générale.

 La grande alliance intersectionnelle entre les islamistes, les indigénistes, les wokistes et les néo-trotskistes est en marche.

 La cause palestinienne ? Elle n’est qu’un alibi. 

Ce qu’ils défendent, ce n’est pas Gaza. 

C’est la disparition de notre civilisation.

Qu’on me comprenne bien : je ne viens pas ici défendre la politique de Netanyahu, que je considère comme moralement délétère et clairement génocidaire. 

Mais on ne combat pas une injustice par une farce. On ne résiste pas à la barbarie par l’idiotie. 

Ce voilier n’est pas une arche de paix : c’est un radeau de la Méduse, embarquant les ruines d’une gauche moribonde, prête à tout – jusqu’à pactiser avec les pires ennemis de la liberté – pour sauver ses chimères.

Pendant que ces saltimbanques voguent vers leur gloire médiatique, la France, elle, se noie.

 Elle se noie sous les vagues migratoires qu’ils célèbrent, sous les replis communautaires qu’ils encouragent, sous l’islamisation rampante dont ils se réjouissent. 

À bord du Madleen, il n’y a pas que des militants : il y a des fossoyeurs. Fossoyeurs de l’Europe, fossoyeurs des nations, fossoyeurs de notre identité.

Alors non, je n’aurai aucune solidarité avec ces pseudo-héros.

 Qu’ils restent en mer, avec leurs illusions, leurs slogans et leur boussole morale déréglée. 

Moi, je reste sur la terre ferme. 

Celle d’un peuple qui ne veut pas mourir.

Par Thomas Joly – Président du Parti de la France

 


 

 

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