TRIBUNES LIBRES !
Frapper le premier ou disparaitre, Netanyahou a choisi
Je ne pensais pas que les Israéliens lanceraient cette opération sans une participation active des Etats-Unis.
Visiblement, l’effet de surprise, facteur essentiel de succès, a été total.
Après des siècles de guerres fratricides en Europe, nous sommes bien placés pour comprendre la position d’Israël, entouré d’ennemis qui veulent sa perte depuis 1947 : coalitions arabes de 1948, 1967, 1973 et plus récemment, le Hamas, le Hezbollah libanais, les Houthis yéménites, les milices chiites irakiennes et syriennes, tous soutenus et financés par Téhéran, qui a maintes fois juré de rayer Israël de la carte et refusé au peuple hébreu le droit à l’existence. Israël est né dans la guerre et n’a jamais pu en sortir.
Il est sur tous les fronts simultanément et compte bien régler ses comptes vieux de plusieurs décennies.
Si ce peuple éminemment courageux survit depuis 1947, souvent seul contre tous, c’est parce qu’il met toute son énergie et son intelligence au service de sa survie.
Aucun peuple n’a dû autant lutter pour ne pas disparaître.
Ceux qui dénoncent aujourd’hui l’attaque massive contre l’Iran oublient qu’Israël ne demande qu’une seule chose : que tous les régimes musulmans, sunnites, chiites ou autres, reconnaissent le droit à l’existence du peuple hébreu dans les frontières d’un Etat juif.
Réclamer un Etat palestinien avant d’exiger de tous les pays la reconnaissance d’Israël, c’est mettre la charrue avant les bœufs.
On n’invite pas à ses frontières ceux qui veulent vous détruire.
Le 7 octobre 2023 a montré ce qu’il en coûte de sous-estimer la menace.
Et il est indiscutable que depuis la chute du Chah en 1979, le régime des mollahs est devenu une menace existentielle pour Israël.
Voilà des années que l’Occident tente de mettre un terme à l’aventure nucléaire iranienne, soit par voie diplomatique, soit par des sanctions économiques. En vain.
Oui, Israël doit en finir, non pas avec le peuple iranien, mais avec le régime des mollahs.
Oui, Israël doit en finir avec le programme nucléaire iranien.
Pourquoi ? Parce que l’Iran représente trois fois la surface de la France alors qu’Israël est plus petit que la Bretagne. Un seule bombe nucléaire rayerait à jamais Israël de la carte.
Ce sont donc 200 avions de combat qui ont bombardé l’Iran. Une opération qui a exigé des années de préparation, comme le Mossad et Tsahal en ont le secret.
Contrairement à Poutine qui refuse de décapiter le régime ukrainien, Netanyahou n’a pas ces états d’âme.
On fait la guerre ou on ne la fait pas.
Il ne s’agit pas de faire payer le peuple iranien, mais de décapiter le régime des mollahs et son programme nucléaire.
Politiques, généraux, savants et centres de décision ont été ciblés avec succès. Et cela va continuer.
Afin de protéger les équipages de ce raid audacieux, la défense antiaérienne iranienne a été détruite, ainsi que les centres radar, les sites de missiles. Un coup sévère pour Téhéran qui se retrouve aux premières loges, après le Hamas et le Hezbollah, déjà décapités.
Bien sûr, la guerre va se poursuivre. Des centaines de drones et de missiles s’abattront sur Israël, saturant ses défenses.
Mais Netanyahou avait-il le choix ? Devait-il attendre que Téhéran, qui possède déjà les lanceurs, ait construit quelques têtes nucléaires ?
Car c’est bien l’Iran qui a promis maintes fois d’exterminer le peuple juif et pas l’inverse.
Tout le pays est truffé d’abris et le peuple hébreu sait ce qui l’attend. Mais il sait aussi que c’est sa survie qui se joue et que Netanyahou ne mène pas sa petite guerre personnelle par plaisir.
Il protège son peuple contre une menace mortelle, réelle, reconnue et annoncée.
Israël a une fois de plus prouvé sa nette supériorité militaire. Envoyer 200 avions opérer à 2 000 km de distance n’est pas à la portée de beaucoup d’armées, que ce soit en moyens ou en compétences.
Et quand toutes les défenses antiaériennes iraniennes seront anéanties, plus rien ne s’opposera aux chasseurs israéliens pour détruire tous les sites nucléaires profondément enterrés, avec les bombes les plus puissantes de la panoplie américaine.
Car Washington ne lâchera jamais Israël.
L’opération Rising Lion est donc un succès incontestable dans sa phase initiale.
Mais comme nous l’avions déjà écrit il y a bien longtemps chez RL, rien n’arrêtera le régime iranien dans sa course à la bombe.
Le programme sera retardé, mais Téhéran peut trouver des soutiens pour le poursuivre, notamment au Pakistan.
En définitive, seul un renversement du régime des mollahs, avec le soutien actif du peuple iranien, pourrait débarrasser Israël du cancer chiite.
Verrons nous une seconde révolution en Iran après celle de 1979 ? C’est très possible.
Ce serait certainement plus judicieux de la part des Américains que le coup d’Etat de la CIA en 2014, qui a renversé le régime prorusse en place à Kiev. On voit le résultat dix ans plus tard !
Les faucons américains rêvent de détruire la Russie, comme les mollahs rêvent d’anéantir Israël. Dans les deux cas, ils échoueront.
Par Jacques Guillemain
ET AUSSI
Israël n’en a pas fini avec le régime islamo-mafieux de Téhéran
La dictature des mollahs vacille, après la première vague d’attaques de vendredi. Aucune raison de s’arrêter.
« Nous allons frapper tous les sites et cibles du régime des Ayatollahs » a annoncé Netanyahou.
« Unfinished business » avait dit un commentateur.
Pour les monoglottes : « C’est pas fini, on va revenir ! ».
Puisque en riposte à l’action de son armée de l’air, tout Israël était sous le feu des tirs de missiles de l’Iran, c’était l’occasion de taper encore plus fort pour détruire ce qu’il reste de leur arsenal et mettre à genoux les terroristes de Téhéran.
L’Iran n’est pas une théocratie ordinaire.
C’est un État mafieux qui utilise la religion pour intimider la population, surtout les femmes en grands courageux qu’ils sont, et fait régner l’ordre islamique par la terreur, exercée par des nerviSS de la police religieuse qui ont tous les droits.
La corruption en Iran est un reflet de la structure du pouvoir. Le guide suprême Ali Khamenei, détient des pouvoirs politiques, militaires et judiciaires sans restriction.
Aucun contre-pouvoir. Il est interdit de contester les fatwas de Khamenei ou des entités sous son contrôle, telles que le Corps des Gardiens de la révolution islamique.
Le clergé coopté présente la direction suprême comme l’exécutant des ordres de Dieu, assimilant toute critique à un blasphème puni de mort.
Pourris et fiers de l’être. Puisque dieu est avec eux. Dans un article de juin 2020, dans leur journal officiel, Behzad Nabavi, vice-président du Parlement, annonçait que quatre entités liées au Guide suprême dirigent 60 % de l’économie du pays.
Ces entités comprennent le Siège exécutif de l’Imam, l’Astan Quds Razavi, un fonds caritatif qui gère 40 % du PNB, la Fondation des Opprimés, un réseau qui supervise l’alimentaire et le sanitaire, et le Khatam-ol-Anbia, émanation des gardiens de la révolution, aux ressources illimitées.
En frappant ces organisation et en éliminant quelques unes des crapules, racketteurs et tortionnaires placés à leur tête, les avions de Tsahal ont rendu un sacré service aux Iraniens, qui devraient leur en être reconnaissants, s’ils avaient la liberté de s’exprimer.
Bombarder les sites nucléaires a été une excellente initiative, mais cela ne suffit pas. Les mahométans sont incorrigibles, ils répètent partout leurs infamies depuis 1400 ans.
Vendredi 13, le gouvernement israélien a décidé de passer à l’action parce qu’il estimait que l’Iran s’approchait du point de non-retour vers la bombe atomique.
D’ici quelques semaines au plus, selon l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique (AIEA), la ripoublique islamique d’Iran allait disposer de matière fissile en quantité et qualité suffisantes à la fabrication de plusieurs bombes atomiques.
L’Iran enrichit déjà l’uranium à plus de 60 %. L’alibi du nucléaire civil n’est pas crédible puisque le seuil pour produire de l’électricité est à 3,67 %.
Quand une bombe nucléaire requiert 25 kg d’uranium enrichi à 90 %. L’Iran était tout proche d’être capable de construire des bombes.
C’est pourquoi le complexe nucléaire de Natanz, dans la province d’Ispahan très au sud de la capitale, au cœur du programme d’enrichissement de l’uranium, a été sévèrement endommagé.
Depuis 2021, l’Iran avait débranché les caméras de surveillance et limité l’accès de l’AIEA à ses installations.
Cette semaine encore, Rafael Grossi, le directeur de l’AIEA affirmait que l’Iran faisait tout son possible pour se soustraire à la surveillance et que l’urgence était à son comble.
Même si de nombreuses installations sont souterraines, comme Fordo à proximité de Téhéran, Israël entretient un réseau d’espionnage efficace et a choisi de frapper en conventionnel avant d’être obligé de répliquer avec ses armes atomiques.
Car nul doute que les mollahs fanatiques, s’ils disposaient du feu nucléaire, n’hésiteraient pas une seconde à l’utiliser. Puisque pour eux, la vie humaine n’a aucune valeur. Sauf la leur.
Et tant pis pour leurs ouailles comme pour leurs ennemis.
L’Iran reconstitue déjà ses forces parce qu’avec ces lascars, la guerre de 1400 ans n’est jamais finie, leurs défaites ne sont que des trêves, pour endormir l’ennemi, en attendant de relancer les hostilités.
Le premier jour du grand nettoyage, plus de 200 avions ont largué plus de 330 munitions de précision, avec des frappes coordonnées sur les sites les plus sensibles de l’Iran.
Parmi les cibles figuraient, en plus des usines atomiques, des installations de fabrication de missiles, des résidences et des bureaux de scientifiques nucléaires, ainsi que des centres de commandement du Corps des gardiens de la révolution islamique.
Parmi les ennemis de haut rang éliminés figurent Husein Salami chef des Gardiens de la révolution, Mohammad Bagheri, chef de l’état-major, sidi Fereydoun Abbasi, chef de l’Organisation de l’énergie atomique et Ali Shamkhani, conseiller principal du guide suprême.
Mais ils ont raté le vieux débris. Il faudra donc recommencer comme avec Nasrallah.
L’important est de bien faire comprendre au djihadistes que personne n’est à l’abri.
Car si le peuple est invité au « martyre », les dirigeants ne sont pas pressés d’abandonner leurs biens et privilèges de ce monde.
L’armée de l’air israélienne a également mené une frappe de grande envergure visant les systèmes de défense aérienne de l’Iran, détruisant des dizaines d’installations radar et de lanceurs de missiles sol-air.
Le deuxième jour, des sites pétroliers et des caserne ont été ciblés.
Ce n’est qu’un début. Une mise en garde pour les barbus s’ils s’obstinent.
Israël a éliminé une partie des capacités de dissuasion de l’Iran, pour limiter de nouvelles attaques de l’État voyou.
Mais pas d’illusions, c’est du provisoire, ça ne suffira pas. Il fallait donc continuer.
Les traîtres à notre civilisation qui accusent Israël d’être un agresseur masquent les attaques où l’Iran a pris l’initiative, sans autres motivation que de nuire à ceux dont ils appellent à la disparition pure et simple.
Comme si cela ne suffisait pas de financer et d’armer des mouvemente terroristes comme le Hamas, le Hezbollah et les Houthis, les Iraniens multiplient depuis des années les coups de griffe, avec des tirs de drones et de missiles contre les zones urbaines et les kibboutz. Mais jusqu’à l’an dernier, ils sous-traitaient ces crimes à leurs alliés du Hezbollah.
Le 13 avril 2024, l’Iran avait tiré vers Israël quelque 350 drones explosifs et missiles, leur première grande attaque directe, faisant pas mal de dégâts matériels même si la plupart des vecteurs avaient été interceptés par les systèmes de défense Iron Dome (Dôme de fer), David’s Sling (Fronde de David) et Arrow (Flèche) qui sont parmi les plus sophistiqués au monde.
Puis le premier octobre 2024, 400 missiles balistiques iraniens avaient été lancés visant plusieurs bases militaires ainsi que le siège du Mossad et l’unité 8200 du renseignement militaire.
De l’aveu de Téhéran, cette agression avait pour but de punir Israël d’avoir liquidé quelques jours plus tôt au Liban Hassan Nasrallah ainsi qu’un certain nombre de ses sbires du Hezbollah.
« L’Iran a commis une grave erreur et en paiera le prix », avait prévenu Benyamin Netanyahou.
Mais les mamamouchis de Téhéran semblent avoir la comprenette lente car, maintenant, ils menacent de s’en prendre aux bases américaines au Proche Orient.
Puisque Washington et Jérusalem sont alliés.
Comme s’ils ne savaient pas qu’une escadrille de bombardiers furtifs B-2 Spirit est positionnée sur l’atoll de Diego Garcia, prête à intervenir. À 5000 km de Téhéran, avec un rayon d’action de 11.000 km et la possibilité de refueler aux Émirats au retour.
Puisqu’ils en redemandent avec insistance, pourquoi leur refuser le «martyre» ?
« Le meilleur jour sur lequel le soleil s’est levé est le jour du vendredi 13. C’est le jour où Adam fut créé, où il fut introduit dans le paradis, où il descendit sur terre, où Allah lui a pardonné ses péchés.
Le jour où il mourut et le jour où aura lieu la Résurrection. Inch’Allah. »
Ainsi délirait le pédo-prophète rapporté dans un célèbre Hadith de Salim Ali Loukoum alimentant une fitna entre chiites et sunnites.
Les Israéliens ont tranché et lui ont donné une consistance toute particulière.
Le feu du ciel s’est abattu sur les croyants, en ce jour béni de prières, pour leur permettre d’accéder direct au paradis.
Un petit rabiot ne se refuse pas.
Malheureusement, les mahométans ne connaissent pas l’égalité des sexes, et comme dit ma vahiné : « C’est scandaleux que les femmes n’aient pas droit au paradis à 72 greluchons vaillants et bien membrés pour passer le temps. Parce que c’est long l’éternité, et qu’il faut bien s’occuper. »
Par Christian Navis
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ET AUSSI
Comment être contre un pays qui va éradiquer les mollahs d’Iran, le Hamas et le Hezbollah ?
Un petit pays de 10 millions d’habitants, dont 2 millions d’Arabes qui ne lui sont pas tous favorables, continue à donner une extraordinaire leçon de courage, avec le soutien de Donald Trump, à un Occident lâche, assoupi et trahi par ses dirigeants vendus aux pétro-dollars musulmans.
Quand les dirigeants européens laissent mourir leur continent et les nations de l’Ouest qui le constituent, en livrant leurs pays à l’invasion islamiste et aux attentats qui vont avec, le chef d’un État, et son gouvernement, ont décidé, eux, que leur pays devait vivre.
Et surtout, ils ont décidé de s’en donner les moyens.
Malgré une cinquième colonne arabe qui représente 20 % de la population, et qui a des députés en nombre équivalent, malgré une gauche qui, comme partout, pactise avec l’ennemi et trahit le pays, Benjamin Netanyahou a décidé, après le 7 octobre 2023, que plus rien en serait comme avant.
Il a donc décidé de régler le problème de Gaza, dont les habitants ont largement élu le Hamas, et dont les enfants sont élevés dans la haine d’Israël et dans la culture du martyre, qui consiste à tuer un maximum de Juifs.
Bien que les islamo-nazis du Hamas prennent en otage la population, par ailleurs souvent complice, ses femmes et ses enfants, l’État hébreu a limité au maximum le nombre de victimes, dont le nombre se chiffre, à présent, aux environs de 50.000 morts, dont une majorité de terroristes, et hélas, comme dans toutes les guerres, des civils.
Il a tué un par un tous les criminels du 7 octobre, et a liquidé tous les chefs du Hamas, les uns après les autres.
Puis il s’en est pris au Hezbollah, qui depuis le sud du Liban, multiplie les agressions et les provocations contre la population civile israélienne du Nord du pays.
Grâce au savoir-faire de Tsahal et de ses différents services de renseignement, grâce au génie des services secrets, ils ont liquidé tout l’état-major du Hezbollah, le sinistre Nasrallah en tête, en piégeant les téléphones, prouesse technologique exceptionnelle.
L’armée n’a pas hésité à finir le travail en rentrant dans Beyrouth.
C’était indispensable pour assurer la sécurité des Israéliens, et peut-être débarrasser définitivement le Liban de cette présence mortifère.
À présent, ils ont décidé de régler définitivement le sort des mollahs iraniens, qui, faut-il le rappeler, sont au pouvoir depuis 45 ans à cause des démocrates américains et du gouvernement français, qui a protégé Khomeiny en l’hébergeant à Neauphle-le-Château, mais aussi à cause de la gauche iranienne, qui a préféré les fanatiques islamistes au chah d’Iran.
C’est à cause de dirigeants traîtres comme Carter et Giscard, mais aussi à cause des militants de gauche, qui devraient demander pardon au peuple iranien, si les femmes subissent l’infâme voile islamique imposé par la milice religieuse du régime, et si l’Iran est sous le joug d’une théocratie religieuse obscurantiste.
En attaquant l’Iran, qui a promis de détruire Israël dès qu’il aurait la bombe atomique, l’État hébreu n’assure pas seulement sa sécurité, mais il donne la possibilité au peuple iranien de se débarrasser définitivement des voileurs de femmes.
Comment ne pas être admiratif devant cette détermination d’un peuple qui, contrairement à trop d’Occidentaux, a décidé de vivre, et qui a compris que tous ses voisins voulaient sa mort et sa disparition.
Quand Macron laisse les nôtres se faire assassiner par des envahisseurs, la plupart du temps musulmans, qu’il impose aux Français, et qu’il qualifie de « faits divers » les morts, souvent de jeunes, qui s’ajoutent les unes aux autres, Bibi, comme l’appellent affectueusement les Israéliens, a lui décidé de protéger les siens, et pour cela de tuer ceux qui veulent la disparition d’Israël et l’éradication des Juifs.
Quoi d’étonnant que des Donald Trump, Javier Milei, Viktor Orban, Geert Wilders, Giorgia Meloni, Eric Zemmour, Sarah Knafo, Marine Le Pen ou Jordan Bardella soutiennent la politique de l’Etat hébreu, parce qu’ils savent qu’il a les mêmes ennemis que nous.
Les salopards antisémites, avec Mélenchon à leur tête (c’est à présent le socialiste Jérôme Guedj qui le qualifie ainsi), continueront de hurler au génocide et aux crimes de guerre, et ils vont alimenter la haine des Juifs dans tous les quartiers islamisés de France.
Les soumis aux islamistes, comme Macron et son ministre fou Jean-Noël Barrot, sont prêts à toutes les capitulations parce qu’ils tremblent devant la rue arabe, et sont mêmes incapables de faire libérer Boualem Sansal par peur des Algériens de France.
Mais la majorité des Français devrait être fière qu’il reste des hommes de la trempe de Netanyahou pour défendre leur peuple.
À eux, s’ils veulent sauver leur pays des mêmes ennemis que ceux qui veulent éradiquer Israël, d’élire des dirigeants qui soient des guerriers impitoyables contre l’envahisseur, et qui se donnent, comme Bibi, les moyens de sauver leur pays.
Nous faisons nôtre cette phrase de Renaud Camus, qui lui a valu un procès de plus :
« Plutôt la guerre que la soumission ».
Source et Publications : https://ripostelaique.com/
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