mardi 17 juin 2025

QUAND LA GAUCHE LÉCHAIT LES BABOUCHES DE KHOMEINI À NEAUPHLE-LE -CHÂTEAU !

  FACEBOOK !


🇫🇷🔴 QUAND LA GAUCHE FRANÇAISE LÉCHAIT LES BABOUCHES DE KHOMEINI 👳‍♂️☪️  
 
Retour sur une trahison intellectuelle et morale majeure
💥
Soumission 🧎‍♂️, aveuglement idéologique 🎭, compromission historique :  tout y est !
 
 
En 1978, dans un village paisible des Yvelines nommé Neauphle-le-Château, un obscur religieux chiite en exil foule le sol français : l’ayatollah Rouhollah Khomeini. 
 
Officiellement, il s’agit d’un "exilé politique" fuyant la répression du Shah d’Iran. 
 
En réalité, c’est un extrémiste islamiste, rétrograde, misogyne, totalitaire, porteur d’un projet de république théocratique et barbare, qui allait bientôt prendre le pouvoir en Iran avec la bénédiction implicite — voire explicite — d’une certaine intelligentsia française.
 
Le soutien honteux de la gauche bien-pensante
 
Ce que l’histoire oublie — ou préfère effacer — c’est l’accueil chaleureux que réservèrent à Khomeini nombre de militants, intellectuels et artistes de gauche. 
 
Tandis que ce clérical obscurantiste appelait à l’instauration de la charia, les soixante-huitards devenus éditorialistes, les gauchistes embourgeoisés et les poètes de la révolution permanente se bousculaient pour l’écouter, lui prêter allégeance, et surtout y voir une figure de "résistance anti-impérialiste". 
 
Le vieil homme à la barbe noire devenait, pour eux, une réincarnation orientale de Che Guevara — le turban en plus.
 
Les Sartre, Foucault, Debray, et consorts — ces chantres du gauchisme post-marxiste — ont déroulé le tapis rouge à un tyran religieux, convaincus qu'il incarnait une révolution populaire. 
 
Pire : ils ont sciemment ignoré ou minimisé ses discours violents contre les femmes, les homosexuels, les juifs, et l’Occident en général, sous prétexte qu’il s’opposait à l’Amérique et au capitalisme. 
 
Ce qu’ils voyaient en lui, c’était une occasion d’humilier l’Occident, la démocratie libérale, et la civilisation judéo-chrétienne.
 
Michel Foucault, l’exemple emblématique du naufrage intellectuel
 
Le philosophe Michel Foucault incarne à lui seul cette trahison des clercs. 
 
Ébloui par ce qu’il appelait une "spiritualité révolutionnaire", il publia dans Le Nouvel Observateur plusieurs articles dithyrambiques sur le soulèvement iranien.
 
 Aveugle à la réalité théocratique qui se dessinait, il qualifia Khomeini de leader d’un "mouvement mystique, non-violent et collectif", alors même que le religieux promettait déjà la lapidation, le hijab obligatoire, la pendaison des opposants et la soumission totale des femmes.
 
 
Quand les premières purges eurent lieu après la chute du Shah, Foucault ne s’est jamais excusé. 
 
Comme tant d’autres, il préféra se taire, laissant les Iraniens subir ce que lui avait applaudi depuis son salon parisien : la dictature islamique.
 
Les artistes, toujours prompts à s’agenouiller devant la barbarie “révolutionnaire”
 
De nombreux artistes de gauche, mus par leur fascination pathologique pour tout ce qui s’oppose à l’Occident, vinrent également apporter leur soutien à Khomeini. 
 
Certains virent en lui une figure tragique et romantique ; d’autres un espoir pour un monde "plus juste". 
 
Ce sont ces mêmes artistes qui, quelques années plus tard, fermeront les yeux sur les exécutions massives, les mutilations, la répression des femmes, et les rafles d’intellectuels iraniens.
 
Le silence complice de la gauche après la prise du pouvoir
 
 
Une fois Khomeini installé à Téhéran en 1979, la réalité éclate : il ne s’agissait pas d’une révolution pour la liberté, mais d’un retour au Moyen Âge. 
 
Pourtant, très peu de ceux qui l’avaient soutenu depuis Paris eurent le courage de reconnaître leur erreur. 
 
La gauche préféra détourner le regard, ou pire : relativiser, contextualiser, justifier. 
 
La même logique que celle utilisée pour défendre Castro, Chavez ou même Mao.
 
Et aujourd’hui encore, cette même gauche, mutée en islamo-gauchisme militant, continue à pactiser avec les pires ennemis de la liberté sous couvert de "lutte contre l’impérialisme", de "respect des cultures" et de "décolonisation des esprits".
 
 Elle voit dans l’Islam politique un allié naturel contre le libéralisme, la chrétienté, et l’Occident. Le cauchemar de Neauphle-le-Château n’a pas pris fin : il s’est métastasé.
 
De Neauphle-le-Château à Gaza : la même soumission islamo-gauchiste
 
En effet, l’histoire aurait pu s’arrêter en 1979. 
 
On aurait pu croire que la gauche française, humiliée par ses erreurs, allait ouvrir les yeux. Mais non. Ce fut tout l’inverse. 
 
En bon héritiers des fossoyeurs de l’esprit critique, les islamo-gauchistes d’aujourd’hui — sous les oripeaux de LFI, de Mélenchon et des nouveaux prophètes médiatiques — poursuivent la même tradition de trahison.
 
Mélenchon : le porte-voix des mollahs, du HAMAS et des Frères musulmans
 
Jean-Luc Mélenchon est sans doute l’exemple le plus caricatural de cette soumission volontaire. 
Fils spirituel de la gauche tiermondiste, il n’a eu de cesse de défendre les positions des pires régimes islamistes — tant qu’ils s’opposent à l’Occident.
 
Il minimise l’antisémitisme islamique, refuse systématiquement de qualifier le Hamas de groupe terroriste, défend les porteurs de hijab comme des "résistantes", et pleurniche dès qu’un imam radical est expulsé.
 
Il s’est même permis de pleurer sur la mort de Khomeini dans les années 1980, le qualifiant d’"homme important".
 
LFI — sa boutique politique — est devenue un repaire d’agitateurs indigénistes, racialistes, pro-Hamas, obsédés par Israël et tout ce qui symbolise l’Occident.
 
 Le tout en flirtant constamment avec les pires fanatismes religieux sous couvert de "lutte contre l’islamophobie".
 
Aymeric Caron : le bobo vegan au service des barbus
 
Autre figure pathétique : Aymeric Caron. 
 
Ce pseudo-intellectuel écolo-animaliste, qui passe sa vie à pleurnicher sur le sort des insectes, n’a jamais eu un mot de compassion pour les femmes lapidées en Iran ou les homosexuels pendus par le régime des mollahs.
 
 Pourquoi ? Parce que l’islam politique, selon lui, fait partie de la "diversité culturelle" qu’il faut impérativement préserver… même au prix du bon sens, de la liberté, et de la dignité humaine.
 
Caron n’est pas seul. 
Il incarne une mouvance plus large, où le wokisme, l’antispécisme et l’indigénisme s’allient dans une grande soupe idéologique qui finit toujours par excuser les pires tyrannies... à condition qu’elles ne soient pas occidentales.
 
Les artistes d’aujourd’hui : les mêmes erreurs, en pire
 
L’héritage des années 70 n’est pas mort : il a été recyclé par une nouvelle génération d’artistes "engagés". 
 
Du rappeur subventionné qui glorifie le Hamas en pleine République, à l’actrice qui arbore le keffieh comme étendard de rébellion fashion, jusqu’à l’intello de plateau télé qui nous explique que le voile est un "choix féministe", tout ce petit monde agit en relais du discours islamiste sous couvert de justice sociale.
 
Ils dénoncent Israël avec une obsession maladive, restent muets sur les femmes iraniennes battues dans les rues, sur les écoles afghanes brûlées, sur les djihadistes décapitant des enfants.
 
 Leur boussole morale est simple : tout ce qui attaque l’Occident est bon à applaudir.
 
Ils sont les enfants idéologiques de ceux qui applaudissaient Khomeini en 1978. 
 
Leur duplicité, leur lâcheté, et leur fascination morbide pour l’ennemi de l’intérieur sont les mêmes.
 
Conclusion : une trahison historique au nom du relativisme
 
Le séjour de Khomeini en France fut une tragédie à la fois pour le peuple iranien et pour l’honneur intellectuel français. 
 
Car au lieu d’alerter sur la menace islamiste, la gauche morale, donneuse de leçons, s’est vautrée dans la complicité. 
 
Et pendant que les Iraniens se faisaient bâillonner, les "progressistes" occidentaux savouraient leur révolution depuis leurs cafés parisiens.
 
 
L’histoire jugera ces traîtres comme elle le doit : non comme des visionnaires, mais comme des idiots utiles qui ont du SANG SUR LES MAINS !
 
 
GoWoke GoBroke
X
 
 

 
 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire