dimanche 15 juin 2025

MEURTRE DE NOGENT ! CETTE PERTE DE REPÈRES AU SUJET DE LA VIE HUMAINE !

 TRIBUNE LIBRE !

Meurtre de Nogent : mais pourquoi cette « perte de repères » au sujet de la vie humaine ?

Meurtre Nogent perte repères
 

Un garçon de 14 ans a tué une surveillante d’établissement scolaire, maman d’un enfant de quatre ans, de sept coups de couteaux à Nogent en Haute-Marne mardi. 

Choc. 

Le collégien ne ressemble pas, semble-t-il, aux manieurs habituels de poignards et de machettes – d’ailleurs son arme était un banal couteau de cuisine à lame de 20 cm comme il y en a dans tous les foyers.

 Le sien – de foyer – est aux antipodes de ceux en manque de père, c’était une « famille unie et insérée professionnellement », a déclaré le procureur. 

 Comprenez : a priori pas d’histoire de divorce, de misère, de chômage… 

Pas d’excuse sociétale. 

L’adolescent interpellé n’était même pas un adepte des réseaux sociaux.

Il vient d’être mis en examen pour « meurtre ».

Alors ? Alors la presse est interloquée. 

Tout le monde s’étonne. 

On ne s’explique pas ce meurtre que Macron a qualifié sur X de « déferlement de violence insensé ».

Et pourtant… Le collège fréquenté par Quentin (oui, la presse a diffusé son prénom à consonance majoritaire), et ça ne s’invente pas, s’appelle « Françoise Dolto », cette psychanalyste pour qui tout désir était justifié, celle qui a conceptualisé l’enfant-roi. 

A défaut d’y chercher une relation de cause à effet, il faut tout de même y voir un symbole.

 

Une « perte de repères » qui conduit jusqu’au meurtre

Quentin, donc, est un adolescent ordinaire, forcément un peu ou beaucoup le produit de son temps, un garçon qui était – ça ne s’invente pas non plus – « référent anti-harcèlement » de sa classe. 

Cerise sur le gâteau, il occupait cette fonction alors même qu’il avait été par deux fois sanctionné pour faits de violences à l’égard de camarades.

Le procureur de la République de Chaumont, Denis Devallois, a donné de nombreux détails lors d’une conférence de presse mercredi matin : ainsi le suspect « ne présente aucun signe évoquant un trouble mental », ce qui ne l’a pas empêché de se montrer « détaché ». 

Si bien qu’il n’exprime ni « regret » ni « compassion » alors qu’il a tué une femme et une mère de 31 ans… 

Il avait été sermonné par une surveillante pour avoir embrassé sa petite amie dans l’enceinte de l’école vendredi et, depuis lors, avait « ressassé le projet » d’en tuer une, « n’importe laquelle ».

Car si à 14 ans on n’a pas de petite amie à embrasser comme dans les films (et plus, le cas échéant, avec ou sans affinités), on n’est personne, n’est-pas ?

 

La fascination pour la mort… et les millions de victimes de l’IVG

Quentin, en garde à vue, a évoqué sa « fascination pour la mort et pour les personnages les plus sombres » des séries et des films. 

Il n’était peut-être pas sur les réseaux sociaux, mais pour les écrans, ils devaient être au cœur de sa vie.

Le procureur a décrit chez l’adolescent « une perte de repère quant à la valeur de la vie humaine, à laquelle il ne semble pas accorder de valeur ».

 Soupirs d’horreur et de stupéfaction…

Comme si la valeur de la vie humaine était reconnue dans ce pays qui a érigé le « droit » à l’avortement en liberté constitutionnelle – plus de 230.000 victimes par an – et qui s’apprête à voter le « droit » à la mort choisie, avec exécution par une armée de médecins, infirmiers et pharmaciens en blouse blanche !

 

Le déferlement de violence insensé dont parle Macron est celui qu’il ne condamne pas au nom de la liberté individuelle de ne pas souffrir.

 La « perte de repères » est inscrite dans nos lois. 

Elle est dans l’air du temps. 

C’est la fabrique des barbares, toutes origines confondues.

 

Par Jeanne Smits

 

TWITTER

                            Petite précision !

 

ET AUSSI

 

Bayrou promet d’interdire la vente de couteaux aux mineurs

 

Invité au 20H de TF1 après le meurtre d’une surveillante à Nogent, le Premier ministre a promis d’interdire aux mineurs l’achat de couteaux, mesure qui doit entrer en vigueur « tout de suite » via l’« élargissement de la liste des armes blanches » et la « vérification d’âge de celui qui reçoit le colis ».

 

François Bayrou a précisé : « Pour l’instant, il n’y a que les poignards, pour simplifier, qui sont interdits.

 On va interdire tout couteau qui peut constituer une arme. »

 Dans le même goût, Anne Hidalgo lançait cet appel fort fin 2024 : « Les couteaux, ça reste à la maison ! »

Pourtant l’interdiction des armes n’a jamais empêché le crime, et si un « jeune » veut un couteau, il le trouvera dans un tiroir de sa cuisine. 

On peut en revanche parier que ceux qui ne font jamais de mal à une mouche, de jeunes pèlerins de Chartres par exemple, risqueront gros à faire un apéro saucisson en extérieur. 

Il serait grand temps de s’attaquer au mal par la racine.

 

 Source et Publications :  https://reinformation.tv/meurtre

 


 

ET AUSSI      TWITTER

Boomers, couteaux et réseaux : la farce tragique d’une élite déconnectée

12 Juin 2025, 06:34am

Publié par Thomas Joly

Boomers, couteaux et réseaux : la farce tragique d’une élite déconnectée

Le drame de Nogent, où une surveillante a été poignardée à mort par un collégien, aurait pu être l’occasion d’un sursaut national. Mais non. 

Que nous propose l’establishment ?

 François Bayrou, ce vieux centriste en costume de flanelle, veut interdire la vente de couteaux aux mineurs. 

Pourquoi pas les fourchettes tant qu’on y est ? 

Des portiques de sécurité à l’entrée des collèges ? 

Le rêve humide des technocrates : transformer les écoles en aéroports sans jamais se demander « qui » il faut empêcher d’y entrer.

 

Emmanuel Macron, de son côté, nous gratifie de sa trouvaille géniale : interdire les réseaux sociaux avant 15 ans. 

Comme si TikTok poignardait des surveillants dans les couloirs des collèges.

 Comme si le problème était le contenu et non ceux qui le consomment. 

Et certains médias dégainent leur vieux disque rayé : les jeux vidéo. 

Le coupable parfait depuis des décennies. Tout cela suinte le boomerisme, l’aveuglement confortable de ceux qui refusent de voir ce que le peuple vit.

La vérité est brutale : on récolte ce que l’on a semé.

 L’effondrement de l’autorité, l’idéologie de l’excuse, le refus obstiné de nommer les coupables. 

Il ne suffit plus de pleurnicher. Il faut un retour de l’ordre réel : maisons de correction pour les mineurs délinquants et les mêmes peines que les adultes pour les mineurs criminels. 

Assez de cette indulgence délirante qui transforme les gamins ensauvagés en victimes du Système.

Et surtout, il est temps d’en finir avec le mensonge du « vivre-ensemble ». 

Une Remigration massive des populations inassimilables est désormais une condition de survie pour la France.

 L’insécurité chronique n’est pas un phénomène naturel. 

Elle a des causes. Et elle a des visages.

Quant à Quentin, le meurtrier de Mélanie, ce psychopathe devrait être définitivement écarté de notre société, même s'il n'a que 14 ans.

 Pas question de « réinsérer » un tel monstre, ni demain ni après-demain.

Par Thomas Joly - 

Président du Parti de la France

 


Nogent : encore un crime insupportable, encore une réponse absurde de la République molle

11 Juin 2025, 10:08am

Publié par Thomas Joly

Nogent : encore un crime insupportable, encore une réponse absurde de la République molle

Mardi 10 juin, une surveillante de 31 ans a été sauvagement poignardée à mort par un collégien de 14 ans devant le collège Françoise-Dolto de Nogent (Haute-Marne). 

Le tueur, lui, est en garde à vue, silencieux, et protégé par une justice complice de l’impunité des mineurs.

Face à ce drame, le président de la République n’a rien trouvé de mieux que de proposer d’interdire les réseaux sociaux aux mineurs. François Bayrou, Premier ministre par défaut, parle lui d’interdire les couteaux aux mineurs.

 D’autres — dans un délire sécuritaire vide de sens — veulent installer des portiques de sécurité dans les écoles. Voici le plus haut degré de la répression que peuvent envisager les individus qui nous gouvernent.

Ces réponses sont aussi absurdes que lâches.

Ce ne sont pas les objets qui tuent. Ce sont les individus.

Le véritable problème n’est ni un réseau social, ni un couteau.

Le véritable problème, c’est l’effondrement de l’autorité, de la morale et de la justice pénale, orchestré par des décennies de gauchisme éducatif et judiciaire.

 Et aucun portique de sécurité ne réglera le véritable problème.

Ce criminel ne risque aucune peine réellement dissuasive.


En vertu du droit actuel, un mineur de 14 ans ne peut encourir que la moitié de la peine prévue pour un adulte.


La peine maximale théorique pour un mineur de 14 ans, c’est 20 ans de réclusion criminelle (contre 30 en droit commun).

Dans les faits, les cours d’assises des mineurs prononcent rarement plus de 10 à 12 ans de détention.

Avec les remises de peine automatiques, ce meurtrier pourrait sortir à 24 ans.

Après avoir tué une mère de famille et privé un enfant de sa mère, le message que l’on va adresser à ce criminel, c’est qu’il passera dix ans dans un centre pour mineurs à jouer à la PlayStation ou à la Xbox. 

Puis, à 24 ans, il pourra ressortir et recommencer à faire des conneries, et la société lui ouvrira les bras. 

Au prochain crime, son avocat expliquera, devant la justice des majeurs, qu’il n’a pas eu de chance étant petit, qu’il a connu la prison et qu’il a de nouveau déconné. 

Et naturellement, on va vous demander encore un petit peu de pognon pour le réinsérer.

Voilà où nous en sommes.

Le délire rousseauiste doit cesser.

À chaque drame, l’Éducation nationale, les ministres et les syndicats pleurnichent :
« Il n’avait pas de profil à risque »,
« Il était ambassadeur contre le harcèlement »,
« Il faut comprendre ce qui a pu le pousser à ça ».

Non. Il ne faut pas comprendre.  Il faut punir.

La France s’est perdue dans une idéologie éducative rousseauiste, qui croit que l’homme est naturellement bon et que la société le corrompt.  

C’est faux. 

Il existe des adolescents violents, haineux, délinquants, parfois tueurs. Et ce n’est pas en leur expliquant les valeurs de la République qu’on les civilisera.

Une société sans répression est une société sans loi. Et une loi sans sanction est une société dangereuse et injuste.

Ce que propose le Parti de la France :


1. Suppression de l’atténuation automatique des peines pour les mineurs.
• Un mineur assassin doit être jugé comme un majeur.
• La minorité ne peut pas être un bouclier contre la justice.
2. Rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus graves, y compris ceux commis par des mineurs, lorsque la préméditation et la barbarie sont établies.
3. Réforme radicale du système éducatif et judiciaire :
 

• Rétablissement de l’autorité, des punitions immédiates, des internats disciplinaires.
 

• Expulsion automatique de tout élève violent et placement en structure fermée.

Les Français veulent vivre en paix. Ce n’est ni en supprimant TikTok, ni en interdisant les couteaux qu’on y parviendra.


C’est en rétablissant l’ordre, la peur du châtiment et le respect de la vie humaine… qui va d’abord à celle du bon citoyen et dont le criminel se coupe par ses agissements !

Juste avant d’écrire ce communiqué, j’ai lu un article du Figaro titré « Iran : les autorités procèdent à l’amputation des mains de deux condamnés pour vol ».

C’est très bien. Il ne faut avoir aucune pitié pour les délinquants et criminels. Et ces deux voleurs-là, nous savons qu’ils ne recommenceront pas.

Par Pierre-Nicolas Nups -

 Secrétaire général du Parti de la France

 

 


 

 



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire