mercredi 28 février 2024

MACRON / RUSSIE ! IL S' ASSOIE ENCORE SUR LES DÉCISIONS ET LE CHOIX DU PEUPLE !

 


Pris de folie, Macron se dit prêt à envoyer nos soldats mourir pour l’Ukraine

 

Avons nous porté sans le savoir un Néron à l’Elysée ? 

 On se le demande.

Il y a un an Macron clamait qu’il ne fallait pas humilier la Russie. 

Aujourd’hui, il veut frapper les Russes avec des missiles longue portée et prévoit d’envoyer des Mirage 2000 D à Kiev.

 Jusqu’où ira-t-il ?

– Mutualisation de notre dissuasion nucléaire

– Accords de défense bilatéraux avec l’Ukraine

– Envoi de nos soldats sur le sol ukrainien face aux Russes

Tout cela sans consulter qui que ce soit.

 Le roi décide seul. 

Mais qui va enfin se décider à mettre notre Président hors d’état de nuire en initiant une procédure de destitution ?

 Nos élus sont-ils tous complices des délires élyséens ?

 N’ont-ils plus aucun sens de l’Etat ?

 

Nous nous dirigeons vers une guerre contre la puissante Russie, sans la moindre justification.

– Poutine nous a-t-il agressés ? Non !

– Nos intérêts vitaux sont-ils menacés ? Non !

– L’Ukraine est-elle dans l’Otan ? Non !

– L’Ukraine est-elle membre de l’UE ? Non !

C’est donc une guerre personnelle contre le Tsar que mène notre narcissique et orgueilleux Président, qui n’a pas digéré d’être humilié aux yeux du monde entier, quand Poutine l’a reçu en le traitant comme un pestiféré, en gardant ses distances.

L’escalade suicidaire se poursuit parce que l’excité de l’Elysée a le champ libre.

 Est-il accroc à la cocaïne ?  La rumeur persiste !  

Allons nous envoyer nos soldats mourir pour le pays le plus mafieux et corrompu d’Europe ? 

Nos soldats ont-ils vocation à se sacrifier pour défendre un régime nazifié qui vénère le boucher Stéphan Bandera ?

L’Ukraine est-elle dans l’Otan ou fait-elle partie de l’UE pour justifier une guerre contre la Russie ?

 Macron sait-il que Moscou pourrait mobiliser 20 millions de soldats pour affronter l’Otan ? 

C’est à dire 100 fois plus que les 200 000 soldats de notre armée squelettique ?

Sait-il que 26 millions de Russes se sont sacrifiés pour écraser l’armée hitlérienne et que le patriotisme russe est resté intact contrairement au délabrement moral de l’Occident ?

Réunissant à Paris une bonne vingtaine de dirigeants européens, ainsi que les représentants américain et canadien, Macron se pose en leader de la croisade anti-Poutine, allant jusqu’à ouvrir la porte à l’envoi de troupes au sol en Ukraine.

 Sa haine de Poutine n’a plus de limite.

https://www.lefigaro.fr/politique/guerre-en-ukraine-l-hypothese-d-un-envoi-de-troupes-occidentales-souleve-l-indignation-des-oppositions-20240227

 

Il réclame un “sursaut” afin d’assurer la défaite de la Russie.

C’est tout simplement sidérant.

Les Russes ont détruit trois armées ukrainiennes suréquipées grâce aux matériels de l’Occident, mais l’illuminé de l’Élysée envisage maintenant d’envoyer des troupes au sol occidentales affronter le déluge de feu de l’artillerie et de l’aviation russes.

 Macron est devenu incontrôlable.

« Il n’y a pas de consensus aujourd’hui pour envoyer de manière officielle, assumée et endossée des troupes au sol. Mais en dynamique, rien ne doit être exclu. 

Nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre », a affirmé le chef de l’État, disant « assumer » une « ambiguïté stratégique ».

Macron plane totalement, inconscient des réalités sur le terrain et refusant de voir que si Poutine ne veut pas de guerre contre l’Otan, il s’y est totalement préparé au cas où des fous furieux comme Macron voudraient jouer avec le feu. 

L’Elysée devrait songer au fait qu’aucun bunker ne résiste à un missile hypersonique…

On ne s’attaque pas à l’Ours russe impunément, l’histoire l’a prouvé.

 

L’opposition est vent debout

« La guerre contre la Russie serait une folie », a réagi  Jean-Luc Mélenchon, jugeant « irresponsables » les déclarations du chef de l’État.

« Une inquiétante légèreté présidentielle » a dénoncé Olivier Faure. « Soutenir la résistance ukrainienne oui. Entrer en guerre avec la Russie et entraîner le continent. Folie ».

“Je ne sais pas si chacun se rend compte de la gravité d’une telle déclaration. Emmanuel Macron joue au chef de guerre mais c’est la vie de nos enfants dont il parle avec autant d’insouciance. C’est la paix ou la guerre dans notre pays dont il s’agit”, a déclaré Marine Le Pen.

« Une déclaration lourde de terribles conséquences», énoncée «sans le moindre débat parlementaire». «Cette position est-elle vraiment réfléchie ?», interroge Éric Ciotti.

 

Mais Macron s’est toujours assis sur les choix de l’opposition ou du peuple.

« Nous avons la conviction que la défaite de la Russie est indispensable à la sécurité et la stabilité en Europe » a-t-il martelé.

Il veut fournir à Kiev des missiles longue portée et acheter toutes les munitions disponibles à travers le monde pour les fournir à Zelensky.

On notera que si plus de 50 nations aident l’Ukraine, l’Occident n’accepte pas que la Corée du Nord, l’Iran ou la Chine fournissent des obus ou des drones à la Russie.

Et bien entendu, Macron a rappelé la menace que représente la Russie pour l’Europe, oubliant que ce sont les Occidentaux qui ont repoussé les Russes qui souhaitaient intégrer l’UE après la chute de l’URSS.

Oubliant également que si Paris et Berlin avaient fait appliquer les accords de Minsk qui accordaient l’autonomie au Donbass, il n’y aurait pas eu de guerre.

 

Mais les Occidentaux voulaient cette guerre. 

Ils sont donc les seuls agresseurs.

Ignorant la dure réalité sur le terrain, Macron tente de se faire mousser après le fiasco de sa diplomatie au Liban, en Afrique ou à Gaza, en prenant la tête de la croisade antirusse.

Quelle faute magistrale ! 

Macron joue les gros bras alors que la France fabrique 20 000 obus par an, tandis que les Russes en tirent 50 000 par jour. Et en 2024, ce seront 2,7 millions d’obus qui sortiront des usines russes.

On mesure avec cette conférence initiée par Macron combien ce sinistre personnage est dangereux. 

Engager des troupes au sol, c’est l’engrenage qui mènera à la guerre nucléaire pour mettre tout le monde d’accord.

Croire à une défaite russe, pays qui possède 6 200 têtes nucléaires et des armes du futur aux effets aussi dévastateurs qu’imparables, relève de l’immaturité la plus affligeante.

Il est temps de négocier au lieu de tromper une fois de plus le peuple ukrainien, suffisamment saigné à blanc sans lui demander encore plus de sacrifices totalement vains face à la puissance de l’armée russe.

Il serait temps également que l’opposition engage une procédure de destitution contre Macron qui nous mène vers l’abîme sans même être conscient des conséquences funestes de ses actes. 

Par Jacques Guillemain


ET AUSSI

France en danger : le Parlement peut et doit destituer Macron

 
Dans quelle Assemblée parlementaire cette diatribe guerrière a-t-elle été discutée ?
 
 
 
Tout explose en France : insécurité, immigration, chômage, crise du logement, inflation, agriculture, manifestations et ce Président décide que l’Ukraine est bien plus importante.
 
Dans quel cauchemar nous met-il ?
Pourquoi nos Rafale, nos Mirage, nos canons Caesar, nos soldats en Moldavie, etc. sont-ils ou seront-ils demain distribués au gré de son bon vouloir ?
 
Il tord le cou à l’esprit de la Constitution.
Il serait peut-être temps que les parlementaires se penchent sur sa destitution, à commencer par obliger le gouvernement à discuter de cette folie guerrière.

 

Ce président, élu avec 38,5 % des inscrits seulement, souhaite engager la France dans un combat militaire en Ukraine. 
 
Il se croit couvert dans sa salle Jupiter à l’Élysée et se moque finalement des Français.
 
 Ce minable et petit président Macron joue à un jeu dangereux.
 Il envisage même que nos soldats pourraient combattre en Ukraine contre la Russie ! 
 
Certes, nous savons qu’il y a déjà des Français dit “volontaires” qui sont en Ukraine, des Français morts en Ukraine et non morts pour la France ! 
 
Il y a un fossé entre un pays de l’OTAN, la France, qui s’immiscerait dans un conflit avec la Russie et des “volontaires “.
 
Ce président inculte en histoire contemporaine semble, malheureusement pour nous les Français, oublier qu’il n’est pas aux Tuileries. 
 
Qu’il n’a pas le début d’une parcelle du génie de Napoléon 1ᵉʳ.
 
 Celui-ci entra dans Moscou, y signa des documents, attendit trop longtemps qu’Alexandre 1ᵉʳ accepte de négocier ! En vain. 
 
L’âme, la culture et l’histoire russes n’ont pas grand-chose à voir avec l’esprit “droit-de-l’hommiste, transgenre, LGBTQ, néoféministe” des macronistes et de ses supplétifs gauchistes et centristes de l’Assemblée nationale et du Sénat. 
 
Les soldats français n’ont plus l’âme patriote des grognards de l’Empire, celles des poilus de 14/18, voire celle des combattants d’Indochine ou d’Algérie ! 
 
 
Le sang de nos fils ne doit pas couler pour des intérêts qui ne sont pas Français, pour ceux des USA, de von der Layiène, et ceux des industries militaires diverses !
 
Le Parlement doit réagir et invoquer l’article 68 de la Constitution !
 
Par Gérard Brazon
L’action politique ne cadre pas avec les objectifs que disent poursuivre les partis politiques. C’est pourquoi le langage politique doit pour l’essentiel être constitué d’euphémismes, de pseudo-banalités et de vaporeuses ambiguïtés.
Orwell

 

ET AUSSI

 

Ukraine : le mur de la réalité est là…

Dans le dossier ukrainien, l’inflexion est patente. 

Les généraux parlent désormais de « lâcher du lest », évoquent les difficultés techniques et stratégiques de l’Ukraine, face à une armée russe aguerrie, mieux équipée et globalement, infiniment plus puissante, qui non seulement ne recule pas, mais continue d’avancer et inflige des pertes effroyables à l’Ukraine, en hommes et en matériel. 

Paloméros, ex-état-major français, parle de bien plus que les 31 000 morts ukrainiens avancés et a une pensée pour les hommes, blessés, fatigués, traumatisés.

 Lui aussi ne parle plus de la victoire de l’Ukraine comme de « la seule alternative possible ».

Le décor a totalement changé. 

La contre-offensive de Zelensky n’a pas vraiment eu lieu, étouffée dans l’œuf. L’aide américaine est bloquée par les Républicains et tout le monde retient son souffle car Trump, en embuscade, pourrait reprendre la main et changer le cours de la guerre, en fait, y mettre fin directement par la négociation

. Les commentateurs ont enfin pris acte de la non-intention de Poutine d’envahir les pays Baltes et l’est de l’Europe. 

Ces velléités ont servi de base à l’aide à l’Ukraine alors qu’elles sont totalement fantasques. Poutine a mené une opération de police en réponse au non-respect par l’Occident des accords de Minsk et en appui à la population russophone persécutée du Donbass.

Avec le retrait américain, toute la logistique de guerre repose sur une Europe qui n’en a plus les moyens, elle a déjà tout donné et n’est pas en mesure, industriellement, de fournir un effort de guerre.

 La moitié des aides promises n’est pas arrivée et pour cause, nous ne savons pas fabriquer suffisamment vite le matériel demandé. Savons-nous d’ailleurs le fabriquer ?

 Non seulement l’armée ukrainienne marque le pas, mais elle n’a plus de munitions et de moins en moins de combattants. Pour les Européens, il n’y a pas trente-six alternatives.

 Envoyer nos propres armées : avec quel matériel ? 

Donner encore plus d’argent : pour quoi faire et nous n’en avons plus les moyens ! 

Passer sur le mode nucléaire : un suicide ?

 Pour couronner le tout, les opinions publiques européennes commencent à massivement douter.

 Le soutien à l’Ukraine s’effrite, la solution purement guerrière n’a plus la cote et l’envoi d’argent et d’armes a montré ses limites.

 Pourtant Macron s’accroche : « Oui, nous parlons d’avions de combat avec la France », a confirmé Zelensky lors d’une conférence de presse le 25 février.

 Il pourrait s’agir de Mirage 2000C ou de Mirage 2000D ».

L’aide est en fait massivement détournée, des armes occidentales se retrouveraient aux mains du Hamas et les caciques ukrainiens, Zelensky en tête, semblent avoir amassé, en peu de temps, des fortunes considérables : d’où leur vient cette soudaine richesse ?

 L’autre volet du questionnement serait : c’est quoi la victoire de l’Ukraine ? Il n’y a aucun général, ni aucun politique pour expliquer concrètement en quoi consisterait une « victoire » de l’Ukraine. 

Nos politiciens ne comptent tout de même pas raser la Fédération de Russie ? 

Au Rassemblement du Peuple Français, nous avons, dès le début, demandé un règlement négocié de la crise, par un pays neutre, qui ne peut en aucun cas être la France, trop engoncée dans la belligérance et devenue un objectif militaire pour la Russie.

La table ronde emmenée par Macron est donc un exercice purement inutile : plus d’argent, plus d’armes, plus de soutien américain, plus rien… les carottes sont cuites et Macron est hors-sol, comme toujours, serait-on tenté de dire.

 Il vit dans un monde qui ne correspond à aucune réalité, quel que soit le dossier. 

Il va falloir discuter avec Poutine, qui a désormais tous les atouts en main : militaire, économique et diplomatique. 

Il doit lui aussi attendre Trump, en novembre prochain, pour entamer des discussions avec quelqu’un avec qui il sait que la discussion est possible.

 D’ici là, nous allons nous ridiculiser, nous ruiner et les Ukrainiens vont continuer de mourir.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com

Par Pierre Duriot

Source et Publications :    https://ripostelaique.com/






ET AUSSI

Anti-constitutionalité, illégalité ou a-légalité ?


La France, qui se réclame de la démocratie et ne se prive jamais de donner des leçons par la voix de ses dirigeants, est surtout et avant tout un état de droit. -en théorie-

Or, le 24 février 2022, début de la guerre entre l’Ukraine et la Russie, l’Ukraine n’est pas un pays de l’Union Européenne, ni un membre de l’OTAN et n’a aucun accord de défense avec la France.

 Celle-là n’a pas non plus d’intérêts vitaux en Ukraine.

 Il eut été pertinent de se poser la question de savoir si la France devait intervenir. 

Mais le choix politique fait par le Président de la République d’aider l’Ukraine n’est pas le sujet de ce papier.

En revanche, la question de la légalité de notre engagement se pose.

Tout d’abord, ce choix politique n’a pas été suivi d’un choix législatif et judiciaire.

Par l’article 411-3 du code pénal révisé par l’Ordonnance du 19-11-2000, nous nous interdisons de livrer des moyens militaires au détriment de la défense nationale.

Par la Résolution du 30 novembre 2022 (303 voix sur 399 votants), l’Assemblée Nationale réaffirma son soutien à l’Ukraine par le double biais de l’U.E. (article 12) et celui du gouvernement (article 20).

Si en toute rigueur ces deux dispositions ne sont pas contradictoires, dans les faits, le prélèvement de matériels militaires dans certaines unités constitue une infraction qui révèle la caution sinon la complicité des votants, le législateur laissant enfreindre la loi qu’il a lui-même rédigée.

De fait il y a bien illégalité gravissime à enfreindre la loi délibérément. Surtout pour un législateur !

Puis, l’accord de sécurité signé à Paris le 16 février dernier entre, non pas la France et l’Ukraine, mais entre les présidents respectifs, témoigne d’un degré supplémentaire dans l’illégalité.

Notons les réactions immédiates de, d’une part, Messieurs Nicolas DUPONT-AIGNAN et Alain HUPERT qui s’insurgeaient qu’eux seuls sur 952 parlementaires aient réagi face à cette initiative personnelle sans consultation de la représentation nationale, ainsi que la déclaration publique conjointe de Messieurs Hubert VEDRINE et Jean-Pierre CHEVENEMENT qui réclamaient un débat sur le fond en en saisissant le Parlement ; soient deux signaux clairs que cette initiative outrepassait sinon violait l’état de Droit.

 De nos droits.

Cet accord quasi personnel entre deux hommes n’a aucune valeur juridique.

 Il n’a fait l’objet d’aucune consultation comme l’article 53 de la constitution l’eût exigé, ni d’une loi assortie d’un décret d’application et bien sûr… d’aucune publication dans le Journal Officiel.

En clair, cet accord n’est pas seulement illégal mais purement « a-légal ». Un vide juridique.

Sans écarter une basse manœuvre de notre Président pour tromper son visiteur, fort improbable d’ailleurs, ce texte a quand même des conséquences potentielles gravissimes que nous allons voir.


Ensuite, ayant proclamé « qu’il ne fallait pas laisser gagner la Russie », le Président MACRON a fait état d’une « européisation de notre dissuasion nucléaire » (déclaration VEDRINE-CHEVENEMENT) lors de son voyage en Suède, plaçant ainsi la France, déjà considérée comme cobelligérante par la Russie, en position de cible numéro Un dans le cas d’un conflit direct entre l’OTAN et la Russie.

Enfin, le 26 février dernier, le chef de l’état, peut-être par le réflexe de ceux qui pour tenter de retrouver une popularité qui leur échappe désignent un ennemi extérieur, a franchi un degré de plus vers la guerre en déclarant possible l’envoi de troupes occidentales face à la Russie.

Alors, veut-il la guerre ? Est-ce seulement une gesticulation imprudente mais dangereuse ?

Dans son article L 4122-1 du code de la Défense, il est stipulé qu’un militaire n’est pas obligé et a même le devoir de ne pas obéir à un ordre manifestement illégal, ce qui est avéré ici, de par le vide juridique montré plus haut.

L’accord du 16 février précise expressément prendre effet à compter de la date de la signature (!).

 Le Président a-t-il, peut-il et va-t-il donner des ordres pour sa concrétisation ?

Quoi qu’il en soit et de notre point de vue ce texte apporte et doit poser un réel problème de conscience aux militaires.

 Si les échelons subalternes, le nez dans le guidon, comme souvent ne voient pas forcément la gravité autant que le caractère ubuesque de la situation, les hauts échelons de la hiérarchie ne peuvent l’ignorer et la ligne rouge à ne pas franchir ne peut que les inciter à appeler le chef des armées à la raison.

Toujours très légalistes, ils ne peuvent que constater l’état de droit ici bafoué. Ils le doivent !

Pourquoi ?

Un jour viendra où certains de nos gouvernants et hauts responsables auront à rendre des comptes au peuple qui selon l’article 3 de notre Constitution détient seul la souveraineté nationale confiée le temps limité de leur mandat à ses représentants, non pour être trahi mais pour avoir une gouvernance conforme à ses vœux et surtout intérêts.

Posons-nous tous, d’urgence, la double question solennelle suivante :

Qui veut mourir en et/ou pour l’Ukraine ?  

Qui veut mourir à cause du délire d’un tyran ?


Le 27 février 2024.

Général (2S) André COUSTOU.

Président d'honneur de Place d'armes.

 


 


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire