dimanche 25 février 2024

EN UKRAINE AVEC DES SOLDATS FRANÇAIS ! FINI L' HYPOCRISIE ET LA VERTUEUSE " AIDE HUMANITAIRE " !

 


 TRIBUNE LIBRE !

Task Force Braguette est le nom de code des militaires français se battant en Ukraine

À l’origine, ça devait s’appeler Force Baguette, par allusion aux pains qu’ils se prennent dans la gueule. 

Mais comme des Ukrainiennes peu farouches se sont sacrifiées pour assurer le repos des guerriers, des mauvais plaisants on ajouté un R, l’air de rien.

 

Fini l’hypocrisie de la non-belligérance et les mensonges sur la vertueuse aide humanitaire.

Pour une fois Macronescu assume ses forfaitures en autorisant deux soldats français qui se battent en Ukraine depuis le printemps 2022 à raconter, dans un bouquin publié par Denoël, leur quotidien et celui de leurs camarades. 

Avec les encouragements de l’Élysée, en violation flagrante de l’art 436-1 du Code pénal.

« Est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende le fait, par toute personne spécialement recrutée pour combattre dans un conflit armé et qui n’est ni ressortissante d’un État partie ni membre des forces armées de cet État, de prendre ou tenter de prendre une part directe aux hostilités… »

 

Macron pourrait être condamné lui aussi en vertu de l’art 436-2. 

Même si on sait que violer les lois, à défaut de pouvoir violer des femmes, est chez lui une habitude depuis les GJ et le Covid.

« Le fait de diriger ou d’organiser un groupement ayant pour objet le recrutement, l’emploi, la rémunération, l’équipement ou l’instruction militaire de personnes définies à l’article 436-1 est puni de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 euros d’amende.»

On a formé et entraîné 10 000 militaires ukrainiens en France, aux frais des contribuables, mais ça ne lui suffit pas !

 

Les bidasses ukrainiens ne font pas de bons soldats. 

Tout juste des morts utilisables par la propagande… 

Gens paisibles arrachés impromptu à leur village, leur famille, leur travail, instruits à la va-vite, soûlés de propagande anti-russe, ils se battent mal mais ils n’ont pas d’autre choix… puisque le Zygomyr a donné ordre à ses commissaires politiques de tirer dans le dos des « défaitistes » qui voudraient se rendre.

 

Leurs officiers se partagent entre quelques arrivistes pour qui l’uniforme est un tremplin permettant d’accéder aux délices de la politique. 

Et beaucoup de corrompus pour qui la gestion des fonds et des stocks est une aubaine inespérée. 

Les uns et les autres n’ont aucune considération pour la chair à canon qu’ils envoient se faire massacrer.

Pour compenser le manque d’encadrement de qualité, la France, cobelligérante à part entière, a décidé d’aider en envoyant au combat des soldats de métier.

 Dont on a, pour la forme, suspendu l’engagement dans l’armée française. 

Avec promesse d’un grade supérieur quand ils reviendront.  S’ils reviennent…

 

Anatomie d’une expédition de mercenaires quand, grâce à l’UE, il ne devait plus jamais y avoir de guerres en Europe

La Serbie matraquée et dépecée par l’OTAN et ses vassaux n’était qu’une escarmouche.

 Un entraînement pour la suite. 

Un test pour évaluer les capacités de réaction de la Russie qui, il y a 25 ans, n’avait pas les moyens de riposter… 

Mais depuis, Poutine a veillé à rétablir le rapport des forces en sa faveur. 

 

Et Macronescu et les autres crétins bellicistes n’ont toujours pas compris que les termes de l’équation avaient changé.

Le noyau dur de la bande des reîtres est constitué par une quinzaine de Français, officiers subalternes, fantassins de choc et snipers d’élite, placés sous le commandement des services de renseignement de Kiev. 

S’y ajoutent une centaine de mercenaires venus de tous horizons, Ricains, Polacks, Baltes. 

Parmi ces  « héros », des truands en cavale et des djihadistes à la ramasse, qui ont trouvé là un moyen de se faire oublier.

 Leur nombre est instable car les Russes s’y entendent pour les éliminer au fur et à mesure qu’il en arrive des nouveaux… 

 

Cette « task force » n’est qu’une composante des équipes de sabotage et de harcèlement, discrètes sinon secrètes, déployées sur ordre de Macron pour faire la guerre aux Russes, en violation flagrante de l’art 35 de la Constitution

 Sans courir le risque (mais jusques à quand ?) que la Russie s’en prenne directement à la France pour ses actes de belligérance. 

Les délinquants français qui se vantent de leurs exactions à l’étranger sont un certain Adam K. et son complice Donny D. 

Tous deux cofondateurs de la « Task Force Braguette ».

 Dans le bouquin portant le nom de leur unité, une provocation de plus que Macron aurait particulièrement appréciée, les deux mercenaires narrent les péripéties de leurs presque deux ans passés en Ukraine… 

Quand pendant ce temps-là, nos chaînes de désinformation continue s’obstinaient à traiter de complotistes au service des Russes ceux qui, bien informés, dénonçaient cette situation anormale et illégale.

 

Ils ont galéré contre les Russes, il faudrait les plaindre !

Ces mercenaires, probablement aidés par quelques « nègres », narrent leur quotidien au front.

 Sans méjuger leurs capacités littéraires, on peut se demander quand ils auraient trouvé le temps de coucher leurs états d’âme. 

Entre l’attente stressante des assauts dans l’un ou l’autre sens, les discussions en anglais entre frères d’armes avec les forces spéciales US et UK déjà installées avant le début des hostilités, et leurs missions quasi quotidiennes. 

Avec quelques réussites mais aussi de nombreux échecs.

Ils reconnaissent ainsi avoir participé à des missions de reconnaissance et d’infiltration pour préparer la désastreuse contre-offensive de 2023… 

Mais ils déclarent, les deux mains sur le cœur, que la solde   « améliorée » grâce aux milliards de l’aide internationale ne compte pas.  Ou si peu… 

La raison de leur engagement en Ukraine serait uniquement « la volonté de défendre les valeurs démocratiques et occidentales ». 

Que Macronescu conchie tous les jours.

Avouant ce qui avait toujours été nié ou édulcoré jusqu’alors à Paris : « La France apporte son soutien parce que notre pays s’est engagé par contrat avec l’armée ukrainienne. 

Pour la livraison d’armes, la formation des soldats, la mise à disposition d’unités combattantes de volontaires, et la fourniture de renseignements stratégiques. »

 

Franchement, si un jour Vladimir s’énerve et rase Paris, les Français pourront dire « merci ! » à Macronescu.

 

En se renseignant un peu, on découvre que la plupart de ces lascars ont un cursus militaire en dents de scie.

Mélange d’indiscipline et de vantardises, tantôt planqués, tantôt têtes brûlées. 

Une légende qui a forcément plu à Macron si sensible aux apparences, aux gesticulations et à la poudre aux yeux.

Aucun de ces redoutables guerriers n’a jamais connu un conflit similaire. 

 Pardi, la Russie n’est pas l’Afrique où ils ont fait leurs premières armes, et l’Ukraine n’est pas le Sahel parcouru par des guenilleux juchés sur des motos ou dans des 4×4… 

D’autres, qui sont trop jeunes pour avoir participé aux conflits d’Irak et d’Afghanistan, pontifient en s’appropriant des propos de vétérans. « Personne n’avait expérimenté une guerre comme ça auparavant. » 

 Ces bleubites découvrent que les opérations à l’ancienne et les guerres dissymétriques, c’est pas du tout pareil. 

Et quand on est touché, on ne se relève pas aussi bien que dans les jeux vidéos, sources de leur vocation.

 

Les deux « écrivains » sont plus crédibles.

 Peut-être obligés à cause de l’exposition médiatique que leur nouvelle célébrité implique.

 Donny D., l’ancien chasseur alpin, a été déployé en OPEX en Afrique. 

Sans en dire plus, secret militaire oblige. 

Ce soldat vaincu par la bêtise du politique cherche-t-il une compensation en Ukraine pour se revaloriser ?

 

De son côté Adam K. a participé à Sentinelle

 Une opération de surveillance des lieux publics et de mise sous pression des islamistes… 

Détournée par le conducator le 20 mars 2019 pour aider sa flicaille à écraser les Gilets jaunes à l’issue de combats héroïques menés contre des civils désarmés.

 Déshonorant une fois de plus l’armée française.

Ce qu’ils ont expérimenté en Ukraine, et en particulier à Bakhmout où on les avait déployés, c’était une autre paire de manches que d’encercler et de neutraliser de pacifiques manifestants ! 

Il y ont découvert le stress, la peur, la nuit, le froid, le chaos total. 

Leurs propos sont clairs et nets : « Dans ces conditions, tu ne réfléchis pas longtemps, tu tires d’abord ! ».

 

Il est quand même étrange qu’aucun Français de la Task Force Braguette ne soit mort en Ukraine quand leurs camarades tombaient comme des mouches flytoxées.

 

Explication pour les blaireaux : « C’est 50 % de chance, 50 % de compétence. 

On est tous vivant grâce à la chance, c’est le loto de la guerre. » 

 Avec cette précision « Si t’es pas débrouillard, tu meurs ».

 

Des mauvais esprits parlent de primes versées aux excités ukrainiens, polacks et géorgiens, soûlés à la vodka, envoyés se faire trouer la panse en première ligne. 

Formant des remparts de cadavres. 

Mais ce ne sont que des rumeurs. 

Peut-être reposant sur l’interprétation de déclarations de ce genre : « Les soldats ukrainiens ont encore plus la hargne quand ils se battent avec nous, notre présence booste leur moral. »

Deux ans après le début de la guerre, Adam est parti au Canada se faire oublier. 

Donny combat toujours en Ukraine mais dans une autre unité que la Task Force Braguette.

Par Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/



  

ET AUSSI

 


Trisomiques ukrainiens envoyés à la mort : l’Occident ferme les yeux !


Chacun sait qu’au-delà des mensonges otaniens, l’armée ukrainienne est exsangue et a perdu toutes ses meilleures troupes au cours de ces deux ans de guerre, où la puissance de feu est du côté russe dans un rapport de 1 à 10. 

Pas besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre que les pertes ukrainiennes sont donc dix fois plus lourdes que du côté russe.

Et comme la Russie compte 144 millions d’habitants contre 44 millions pour l’Ukraine avant le début de la guerre, il est clair que Kiev n’a jamais eu la moindre chance de l’emporter face à la meilleure armée du monde du moment, en termes de technologies du futur et de puissance industrielle de l’armement. 

Tout le narratif otanien n’est que mensonge et montre combien les Occidentaux méconnaissent la mentalité russe.

 

Et ce n’est pas en traitant Poutine de “fils de pute” que la situation se renversera.

Ce n’est pas un hasard si ce peuple courageux et déterminé a liquidé 80 % de l’armée hitlérienne, devenant ainsi le principal artisan de la victoire sur le nazisme. 

Un sacrifice de 26 millions de Russes, sans lequel aucun débarquement allié n’aurait été possible en 1944.

https://planetes360.fr/de-plus-en-plus-dimages-apparaissent-dhommes-trisomiques-envoyes-dukraine-au-front-et-maltraites-par-des-soldats-ukrainiens/

 

Totalement saignée à blanc parce que Biden en a décidé ainsi, l’Ukraine en est donc réduite à envoyer sur le front toute personne qui n’est pas grabataire,  y compris les malheureux trisomiques, diminués physiquement et mentalement.

Une ignominie sans nom qui en dit long sur l’acharnement occidental, prêt à cautionner toutes les turpitudes inavouables pour éviter la défaite dévastatrice qui s’annonce et qui signera la fin de l’hégémonie américaine.

 

Il est vrai qu’un pays qui vénère le nazisme et idolâtre le boucher Stephan Bandera n’a rien d’un modèle d’humanisme. 

Sacrifier des personnes trisomiques relève de la pure barbarie.

Comment ces pauvres recrues, physiquement et mentalement diminuées, peuvent-elles avoir la notion d’un danger imminent et se protéger ? 

 C’est de la boucherie soutenue par l’Otan. 

Et le pire est que sur le front, ces malheureuses recrues peu aptes au combat sont persécutées par leur entourage, apparemment sans que les officiers les protègent.

Jusqu’où ira le soutien de la France à un pays mafieux et corrompu, qui affiche ouvertement son idéologie néo-nazie et qui maintenant fait preuve d’une absence totale d’humanité en sacrifiant les plus faibles de ses ressortissants, peu aptes au combat ?

En prêchant l’escalade et en maintenant l’illusion d’une défaite russe, Macron se fait complice de ces bourreaux qui envoient  de malheureux trisomiques à la mort.

Et qu’il ne vienne pas nous dire que soutenir l’Ukraine, c’est défendre la liberté et la démocratie.

Macron défend les seuls intérêts américains car il est leur plus fidèle vassal, en digne petit soldat du Système.

 Car s’opposer à l’Oncle Sam peut se révéler dangereux et il faut bien ménager l’avenir après l’Élysée…

Quoi qu’il en coûte pour la France…

Par Jacques Guillemain

 

 ET AUSSI

Comment les Russes ont relevé le défi de la contre-offensive ukrainienne

Quand on se souvient des propos moqueurs et méprisants lancés en 2022 par nos experts étoilés sur l’armée russe, “experts” qui n’ont aucune expérience de la guerre de haute intensité mais qui se permettent de donner des leçons aux officiers russes, il y a de quoi se rouler par terre. 

Après tant de débâcles Otaniennes, ils devraient pourtant se faire plus modestes.

Espérons que jamais la France n’aura à affronter ces bons à rien de soldats russes, mal commandés, mal entraînés et sous-équipés, qui appellent leur mère en pleurant au premier coup de feu.

 Car avec nos trois jours de munitions, ce serait encore plus vite réglé qu’en 1940.

Au cours d’une interview de 45 minutes, le ministre russe de la défense, Sergueï Choïgu, revient sur les préparatifs russes face à la contre-offensive ukrainienne, largement médiatisée par la presse occidentale. 

Ce devait être le coup de grâce porté à cette armée russe restée scotchée à l’ère soviétique et à sa doctrine dépassée.

https://reseauinternational.net/linterview-de-serguei-choigou-par-mikhail-petrov/

 

Encore un conte de fée otanien qui s’est transformé en cauchemar pour les 170 000 soldats ukrainiens engagés. 

Cette contre-offensive otano-ukrainienne a été menée avec 110 bataillons, 800 chars, 150 avions et hélicoptères, 2 500 véhicules blindés.

 

Début 2023, le haut commandement russe savait qu’une grande offensive se préparait. 

Mais où, quand, comment ?

Aussitôt, un maximum de moyens de renseignement sont engagés afin de repérer les concentrations de forces ennemies et de comprendre la direction principale de l’offensive pour s’y préparer au mieux.

Mais pas question d’attendre d’en savoir plus pour une meilleure analyse. 

Dans le doute, décision est prise avec le président Poutine de fortifier les 2 000 kilomètres du front avec trois lignes de défense, en aménageant des concentrations de forces le long du front pour permettre une défense active.

 À savoir lancer des offensives ponctuelles tout en éliminant un maximum de forces ennemies 24 heures sur 24.  Une entreprise titanesque.

Constructeurs routiers, élus locaux, troupes du génie et des chemins de fer ont accompli ce travail remarquable qui a permis de briser l’élan de la contre-offensive. 

Trois lignes de défense avec des groupes de combat antichars ont été déployés sur l’ensemble du front.

Pour soutenir les 200 000 hommes engagés, il fallait 6 000 tonnes de fournitures par jour, ravitaillement, munitions, carburant et eau potable. 

Une ligne logistique complexe.

Il faut savoir qu’une constellation de 260 satellites de l’Otan et alliés épiaient jour et nuit cette armée russe en opération, fournissant à Kiev un maximum de renseignements.

 

L’objectif des Ukrainiens était de percer les lignes de défense russes jusqu’à la mer d’Azov et de couper les routes d’approvisionnement de la Crimée.

 

Mais la première ligne de défense n’a jamais été atteinte et les méthodes de combat ukrainiennes se sont révélées peu convaincantes. 

Pas la moindre petite opération n’a réussi.

 Faut-il remettre en cause la doctrine otanienne ou faire porter le chapeau aux Ukrainiens qui ne l’auraient pas respectée ? 

Les Occidentaux refusent d’endosser la responsabilité de ce désastre.

 

En Afghanistan, en Irak, en Syrie, en Libye, les forces de l’Otan n’ont pas brillé.

En Syrie, avant l’intervention russe pour soutenir Assad, Damas ne contrôlait que 17 % du territoire syrien. 

Aujourd’hui, Assad contrôle plus de 90 % du pays.

Mais pour en revenir à la contre-offensive, oui, elle a échoué.

 Mais tout cela a demandé des efforts énormes de la part des soldats et de tout le pays.

 

La prise d’Avdiivka ?

La ville a été fortifiée depuis 9 ans.

 Nous l’avons bombardée avec des armes de précision à raison de 460 frappes par jour, soit 200 tonnes par 24 heures, avec une précision de 8 à 10 mètres.

 Mais pour une bombe de 500 kilos, 8 à 10 mètres ça ne signifie plus rien.

Les pilotes ont fait un travail remarquable.

 La plupart sont très aguerris après plus de 200 missions de combat en Syrie et autant en Ukraine.

La situation est devenue intenable pour les Ukrainiens qui ont dû fuir la ville. 

Ils ont abandonné leurs morts, leurs blessés et leur matériel. 

 Nous avons suivi leur départ avec les drones.

La bataille d’Avdiivka sera étudiée dans les académies militaires.

 

Par ailleurs, la libération du village de Krynky, où les Ukrainiens avaient installé une tête de pont sur la rive du Dniepr, signe la fin de la contre-offensive.

 Les Ukrainiens y ont perdu 3 400 hommes. À Kherson, ils en ont perdu 13 200.

 

Au total, au cours de la contre-offensive, les Ukrainiens ont perdu 166 000 hommes tués et blessés, 800 chars, 2 100 véhicules blindés et 123 avions et hélicoptères.

 

Notre armée est plus forte et plus expérimentée, plus homogène.

 Je salue la performance des commandants  toujours mieux aguerris.

 

L’industrie de l’armement ?

Elle a été modernisée pour une production exponentielle. 

Les Russes produisent chaque mois autant de munitions que les pays de l’Otan. 

 Beaucoup d’entrepreneurs travaillent pour la victoire du pays, certains investissant leurs propres capitaux pour soutenir l’effort de guerre. 

La consommation de matériel sur le front est énorme.

 Il a fallu déployer 278 usines de campagne pour réparer les équipements avec un objectif journalier : faire en sorte que davantage d’équipements puissent être réparés et renvoyés sur le front chaque jour que la quantité d’équipements endommagés quotidiennement. 

Changer les tubes des canons pour conserver leur précision, renforcer les blindages des véhicules, c’est un travail permanent.

 

Au niveau industriel, la production de chars a été multipliée par 6, celle des drones par 17 et celle des munitions par plus de 17.

Mais il y a aussi un “complexe militaro industriel populaire” qui fait des miracles.

 De nombreux citoyens produisent des équipements du plus modeste jusqu’au drone, en passant par les gilets pare-balles. 

Le tout à leurs frais. 

Toute cette mobilisation citoyenne participe à l’effort de guerre et au soutien d’un front de 2 000 kilomètres.

Des étudiants ont donné 17 000 litres de sang.

 Un couple de médecins a monté un hôpital privé gratuit et soigné 1 500 blessés.

 

En 2023, 540 000 soldats se sont enrôlés sous contrat.

 Cela représente deux armées de réserve.

En 2024, nous en sommes à 54 000 volontaires engagés.

Tous les 6 mois, nos soldats ont droit à 14 jours de congés. 

Une première vague de 270 000 soldats a pris des repos et 6 mois plus tard encore 230 000. 

Ce sont donc 500 000 soldats qui sont partis en congé, 

Tous sont revenus au combat. 

Ce sont des équipes de combat soudées.

 1 800 soldats sont systématiquement retournés au front après avoir été blessés 4 fois.

L’armée change, la société change. 

C’est un pays de patriotes. 

Le président Poutine est très souvent en contact avec les officiers sur le front. Il en connait beaucoup et a la mémoire des noms.

 

L’arme nucléaire de l’espace ?

Une fable américaine.  Il n’y a pas d’arme nucléaire de l’espace. 

Au lieu de s’inquiéter des armes inexistantes, les Occidentaux feraient mieux de se soucier des armes bien réelles, comme les drones sous-marins Poséidon ou la panoplie de missiles hypersoniques, domaine où l’Occident a un retard considérable.

 L’Occident fait diversion et agite une fausse menace pour masquer son retard technologique.

La priorité est que nous devons rétablir le dialogue pour assurer la stabilité stratégique du monde.

 

Conclusion

Aujourd’hui commence la troisième année de guerre. 

J’ose espérer que 2024 sera l’année des négociations et de la paix retrouvée, malgré l’obstination des va-t-en-guerre acharnés qui refusent la défaite.

 

Où en sommes nous ?

Poutine occupe 120 % du territoire ukrainien.

 En veut-il plus ?  Je ne sais pas

Son armée est plus forte et plus expérimentée qu’en 2022

 

La contre-offensive ukrainienne a été un fiasco et un carnage épouvantable

La prise d’Avdiivka, forteresse “imprenable”, signe la fin de la contre-offensive

L’armée ukrainienne est exsangue, comptant au bas mot 400 000 tués et autant de blessés

Le pays est meurtri avec des centaines de milliers de veuves et d’orphelins auxquels on a menti en leur promettant une victoire impossible

 

L’interview Carlson/Poutine, visionnée par un milliard d’habitants, a ouvert les yeux du Sud global abreuvé de propagande otanienne aussi soûlante que mensongère

Les sanctions économiques ont échoué et se sont retournées contre l’Europe

 

Mais bien que victorieux, Poutine ne trouve personne pour négocier et parler de paix. Pourquoi ?

Parce que le camp Biden, à la veille des élections, refuse d’assumer une autre débâcle après la débandade de Kaboul.

Parce que la défaite de l’Otan signera la fin du monde unipolaire et le déclin américain

Mais aussi parce que le régime de Kiev trouve son compte dans cette guerre sans fin. 

Selon la CIA, ce sont des centaines de millions de l’aide occidentale qui se sont évaporées, allant gonfler les comptes off-shore de Zelensky et des oligarques ukrainiens.

 

Le peuple ukrainien est saigné à blanc, mais jamais fortunes n’ont été bâties aussi rapidement.

 En deux ans, ceux qui envoient le peuple à l’abattoir ont amassé des fortunes colossales inespérées. 

Personnellement, je crois que Trump mettra fin à cette guerre américaine qui n’est pas celle de l’Europe, laquelle va tout perdre. 

Mais encore faut-il que les élections américaines ne soient pas truquées…

Malheureusement, au lieu de faire la paix, ces crétins d’Européens choisissent l’escalade contre la meilleure armée du monde. Ils ont tous devenus fous.

 

 

Non contents d’avoir perdu la guerre économique contre Moscou, ils jouent avec le feu sur le plan militaire.

 Un missile hypersonique non nucléaire est vite arrivé.

C’est dire combien nous sommes en sécurité avec des illuminés pareils !

 

Par Jacques Guillemain       https://ripostelaique.com/


 


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