jeudi 22 février 2024

C' EST UN CAUCHEMAR ? COMMISSION EUROPÉENNE : VON DER LEYEN DE NOUVEAU CANDIDATE ......



Ursula, la Hyène européenne, veut rempiler !

 

 

 

Ah non ! Ils ne vont pas nous refaire le coup de Macron et son deuxième mandat après son bilan calamito-criminel maquillé en réussite tous azimuts !

Un second mandat pour la pire des autocrates en poste dans le monde, c’est Niet !

Surtout que pour le machiavélisme, la roublardise, le mépris des peuples, ils s’entendent comme larrons en foire ces deux criminels, qui ont sur les mains le sang de toutes les victimes de cette immonde invasion migratoire qu’ils nous imposent, n’ayant plus aucun rapport avec une quelconque humanité accueillant de pauvres hères chassés de leurs pays par des tyrans… vu que les véritables tyrans ce sont ces deux répugnants despotes envers leurs propres peuples !

Bien sûr nous avons pléthore de citoyens-benêts capables de gober tous les mensonges d’État débités chaque jour par les félons qu’ils ont porté au pouvoir…   

Sauf que malgré une féroce chasse aux sorcières, visant une totale répression des opposants, des informations vitales sur les vérités cachées arrivent de plus en plus à fuiter, de même que l’odeur nauséabonde de tous les criminels mensonges planqués sous le tapis !

C’est ainsi que les révélations sur l’énorme scandale de la manifeste collusion en période Covid entre VDL et le président de Pfizer, ne cessant de se multiplier et que, malgré des plaintes, l’ogresse est toujours en poste et ose revendiquer un second mandat, risquent tout de même d’ébranler la stupide naïveté de plus en plus d’électeurs crédules en passe de se soigner…

Frédéric Baldan, un lobbyiste belge de 35 ans, spécialisé dans les relations commerciales entre l’UE et la Chine, a déposé le 23 mai une procédure en référé contre Mme von der Leyen au Tribunal de la CJUE, à la suite de l’affaire des SMS entre la présidente de la Commission et le PDG du laboratoire pharmaceutique Pfizer Albert Bourla.

[…] L’affaire dite des SMS a été révélée par le New York Times en avril 2021. Mme von der Leyen et M. Bourla sont soupçonnés d’avoir négocié un contrat de 1,8 milliard de doses de vaccin contre le Covid directement par SMS, pour un montant total de 35 milliards d’euros.

https://www.euractiv.fr/section/pharma/news/contrats-covid-avec-pfizer-ursula-von-der-leyen-visee-par-une-nouvelle-plainte/

https://www.humanite.fr/-/commission-europeenne/sms-secrets-pfizer-letau-se-resserre-sur-ursula-von-der-leyen

Notamment au moment où il devient de plus en plus évident qu’avec son complice Macron, et un troisième larron, le président mafieux de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky, la sorcière tient absolument à entrainer l’Europe dans le conflit Ukraine/Russie, et magouille précisément pour que l’Ukraine rejoigne l’U.E., justifiant ainsi l’intervention « obligée » de ses membres !

 

Ce trio infernal, dont chaque membre est déjà dangereux seul, ne peut que devenir encore plus funeste aux peuples européens, dès lors que ces trois caniches de l’OTAN/USA obéissent à leur seul moteur : leur intérêt personnel bien compté !

 

La candidature de Von der Leyen ne se fait pas sans critiques. 

Des voix s’élèvent pour dénoncer une stratégie opportuniste visant à consolider le pouvoir de l’Union européenne au détriment des États membres, avec le soutien parfois ambigu de dirigeants nationaux tels que Macron. 

 Le spectre d’une guerre imminente, exacerbé par des discours belliqueux et des accords de sécurité controversés, plane sur le continent.

La gestion de l’information et la lutte contre la désinformation occupent également le devant de la scène.

 

Enfin, les récentes augmentations de salaire au sein de l’UE font grincer des dents, surtout dans un contexte où l’austérité est imposée aux peuples européens.

 Pendant que les fonctionnaires bénéficient d’une hausse confortable de leurs revenus, de nombreux citoyens sont confrontés à des difficultés économiques croissantes, exacerbées par une inflation galopante.

Pourtant, au milieu de ces tensions grandissantes, une autre voix se fait entendre : celle des agriculteurs européens, qui voient dans cette période électorale une opportunité cruciale pour faire entendre leurs revendications. 

Le Pacte vert et les accords commerciaux tels que celui avec le Mercosur suscitent un vif mécontentement, alimentant le désir de déstabiliser le statu quo politique et économique.

https://lemediaen442.fr/ursula-von-der-leyen-annonce-sa-candidature-pour-un-second-mandat-a-la-commission-europeenne-vers-une-europe-en-guerre/

Gageons qu’effectivement les agriculteurs sauront utiliser cette conjoncture au mieux de leurs intérêts.

 

On peut également compter sur Florian Philippot pour faire mousser les infos qui s’accumulent :

 

L

e sort aurait-il décidé de donner un petit coup d’accélération aux événements susceptibles d’ébranler l’Europe et le monde, avec cette vaniteuse décision de vouloir rempiler, afin de perpétuer son œuvre de ruines et désolations pour les peuples européens, de celle qui mérite amplement le surnom de hyène qui lui est spontanément donné par une majorité de citoyens… la détestant au moins autant qu’elle les méprise.

Sans doute persuadée qu’elle sera réélue sans souci, peut-être la véritable charogne ne s’attend sans doute pas à des embûches sur son chemin… Mais les semaines à venir pourraient être contrariantes pour elle, intéressantes pour nous à plus d’un titre…

Espérons !

 

Par Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression

 

Source :  https://ripostelaique.com/

 


 ET AUSSI


 TRIBUNE LIBRE !

Von der Leyen ne lâche pas le morceau : candidate à nouveau à la présidence de la Commission européenne

dans Articles divers  

 par 21 février 2024

Ursula von der Leyen candidate à sa réélection à la présidente de la Commission européenne
 
Ursula von der Leyen candidate à sa réélection à la présidente de la Commission européenne

 

L’actuelle présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, annonce sa nouvelle candidature. 

La recette : moins de pacte vert et plus de défense, mais ce serait toujours le même cauchemar pour les Européens si elle parvenait à ses fins.

 

Green Deal en perte de vitesse, ré-armement avec le vent en poupe

Ursula von der Leyen, que certains appellent ‘la Hyène’, ne lâche pas le morceau : elle a pris goût au rôle de présidente de la Commission européenne. 

Peut-être aussi avec toutes les casseroles qu’elle traîne derrière elle, aspire-t-elle à conserver un poste qui la préserve de poursuites judiciaires.

L’annonce d’Ursula à sa réélection a été des plus pompeuses et des plus mièvres : quelques phrases déchirantes sur la maison commune, sur l’amour et le cœur, le Green deal qu’il faut un tout petit peu abandonner, -il ne fait vraiment plus bon se montrer trop écolo-bobo dans une Europe parcourue de contestations paysannes- et remplacer par la défense du Vieux Continent en misant sur l’industrie du canon, – pour plaire au complexe militaro-industriel va-t-en-guerre. 

Après avoir complu à Big Pharma et à Big Vert, Ursula fait les yeux doux à Big Bertha : a-t-elle déjà en-tête des contrats pharamineux, -avec qui sait quelques commissions à la clé-, à négocier en secret, dans les couloirs feutrés de la Commission européenne, par SMS interposés ?

Ursula va où souffle le vent, telle est sa stratégie : aujourd’hui il souffle vers un abandon de « la position idéologique qu’elle avait avec le commissaire Timmermans », tsar du Green Deal qui a démissionné l’année dernière, et dans la direction de la militarisation de l’Europe (ce qui en soi n’est pas un mal, encore faut-il que ce soit pour dissuader les vrais ennemis des nations européennes ou 5e colonne), en vertu de la nouvelle peur agitée par les médias et les politiciens inféodés à Washington à la face des peuples, une Russie qui pourrait attaquer les membres de l’OTAN d’ici 5 à 10 ans.

 

Ursula à la recherche d’un consensus en ‘blanchissant’ son programme

L’actuelle présidente de la Commission se doit pour être réélue obtenir un consensus en ‘blanchissant’ son programme : elle dit croire toujours « fermement en l’Europe, pour moi c’est chez moi, un second mandat est une décision réfléchie ». 

Et elle use de la carte du repoussoir des « ultra-nationalistes » (qui n’en sont plus pour certains d’entre eux, ndlr) en citant les noms et prénoms de ceux qu’elle considère comme « des obstacles à la démocratie en Europe, c’est-à-dire Poutine et ses amis, qu’il s’agisse de l’AfD (l’extrême droite allemande), de Le Pen, de Wilders ou d’autres forces extrêmes qui souhaitent détruire l’Europe », poursuivant au contraire le dialogue avec certains conservateurs, Meloni en premier lieu.

Il lui faut aussi insérer dans son programme des thèmes capables de générer une entente même s’ils vont à l’opposé de sa politique actuelle. 

D’une troisième voie environnementaliste, déjà esquissée avec l’actualité des pesticides pour les agriculteurs, au très chaud secteur automobile : transition à prolonger vers l’horizon 2050 et plus d’attention aux répercussions sociales qu’aux raisons de Greta Thunberg & Co.

 En effet, rien qu’en Italie par exemple, l’agenda vert de Timmermans à l’horizon 2035 coûterait au moins 70 mille emplois. 

Elle propose aussi un nouveau pragmatisme également à l’égard des migrants. 

Et le clou de son discours de campagne à sa réélection : la relance de l’industrie de guerre ; un financement du commissaire à la défense et au réarmement (peut-être avec des euro-obligations), qui serait également utile pour empêcher Zelensky de dire que 70 % des armes de l’UE destinées à Kiev sont de marque américaine.

 

Encore cinq ans d’Ursula ? Un cauchemar !

L’annonce de la candidature de von der Leyen est une menace, un danger, un cauchemar pour de nombreux Européens éveillés sur le bilan désastreux de sa présidence.

Rappelons-nous, comme commente ironiquement le journaliste italien Fergola, « ses premiers communiqués confus sur l’immigration en Italie, mais aussi ses attitudes paternalistes à l’ère du Covid, sans même parler « des pitreries extrêmes » de l’accord sur le price cap (plafond maximum) sur le prix européen du gaz, la seule protection au monde qui ne protège pas (un accord a été trouvé pour 180 euros le mégawattheure alors que le prix du gaz était tombé à 70 et se situe actuellement autour de 30 : c’est quoi une protection ?).

 Et puis les drames de la guerre russo-ukrainienne, avec cette expression d’actrice de seconde zone devant un cadavre qui est devenue à l’époque le mème le plus répandu sur Internet. 

Sans parler des moqueries envers les agriculteurs protestataires, réalisées en s’assurant d’être “écoutée” puis en retirant une proposition – celle de réduire l’utilisation des pesticides d’ici 2035 – qui bloquait déjà depuis un certain temps à la Commission (en bref, une demi-arnaque pour simuler “l’écoute” évoquée plus haut). »

Aussi, encore cinq ans d’Ursula ?    Non, merci

Par  Francesca de Villasmundo

Source :  https://www.medias-presse.info/von-der-leyen





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