TRIBUNE LIBRE !
Poutine et Netanyahou, c’est tout le contraire de notre Freluquet
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Il faut que je fasse gaffe, cela devient dangereux de critiquer Choupinet…
Tant pis, je me lance ! Celui qui, pour le plus grand malheur de la France, nous sert de président de la République continue à se prendre pour le maître du monde et à vouloir donner des leçons et faire des remontrances à des chefs d’État à qui il n’arrive pas à la cheville.
Après avoir joué, de manière grotesque et ridicule, mais aussi dangereuse pour la France, les va-t-en-guerre contre Vladimir Poutine, voici Macron qui se permet de menacer Netanyahou de le faire traduire devant un tribunal international pour crimes de guerre.
Faut-il rappeler à notre Freluquet national – qui n’a jamais vu une arme de sa vie et qui n’a pas fait son service militaire – que Vladimir Poutine, par ailleurs judoka émérite (et pas faux boxeur, lui), a été chef du KGB et qu’il a redressé un pays qui était parti pour disparaître.
Quant à Benjamin Netanyahou, il a fait partie des troupes d’élite de Tsahal et a consacré sa vie à défendre son peuple contre des musulmans qui rêvent d’éradiquer Israël et d’exterminer tous les Juifs.
Poutine et Netanyahou sont des guerriers, amoureux de leur pays et de leur peuple, tout le contraire de Macron, mis en place pour détruire méthodiquement une France qu’il déteste et pour remplacer des Français qu’il méprise.
Les patriotes Poutine et Netanyahou, c’est tout le contraire du traître Macron.
ET AUSSI
Le grand retour de Bulot Le Maire, l’homme qui va mettre à genoux l’armée de Poutine
Ouf, on a eu chaud, pour un peu, la France était privée de gouvernement une semaine supplémentaire.
Donc, après plusieurs semaines de consultations discrètes, Sébastien Lecornu a fini par accoucher laborieusement d’un nouveau gouvernement.
Comment le résumer ?
C’est un gouvernement Bayrou sans Bayrou, et comme Lecornu est devenu Premier ministre, il a fallu trouver un nouveau ministre des Armées à la hauteur des enjeux.
En effet, si on en croit la propagande officielle, la principale menace, c’est Poutine, qui voudrait déclarer la guerre à l’Europe et contre qui il faut lutter par tous les moyens, y compris en lui menant une guerre impitoyable en achetant des armes américaines payées par les contribuables européens.
Donc, il fallait aux Armées un homme à la hauteur de la situation, et Macron et Lecornu ont trouvé cette perle rare, que Bayrou avait mis au chômage après sept années à la tête des Finances françaises.
Et cette perle rare a été trouvée, c’est Bulot Le Maire en personne !
Négligé par Bayrou, il avait décidé de faire profiter les Suisses de ses inimitables talents de financier, presque au niveau de notre Mozart de l’économie.
Avec les résultats qu’on connaît : en 7 ans, 1100 milliards de déficits supplémentaires.
Et bien sûr, personne n’a oublié, dès le début du conflit opposant la Russie à l’Ukraine, sa sortie fulgurante sur l’économie russe qu’il allait mettre à genoux !
Sauf que c’est lui qui, quelques heures plus tard, s’est agenouillé pour revenir sur sa décision.
Voilà donc, dans un domaine particulièrement mouvementé, où la France de Macron multiplie les provocations contre la Russie pour justifier une politique guerrière destinée à masquer l’ensemble des échecs de Choupinet, l’arme fatale mise en avant par Lecornu, sur consigne du président de la République.
Nul doute qu’avec un tel ministre de la Défense – que Trump aurait appelé ministre de la Guerre – l’armée de Poutine va être mise à genoux avec la même efficacité que l’a été l’économie russe !
Surtout que, confirmant le sérieux du personnage, il y a quinze jours, répondant à une question sur son possible retour dans la vie politique française comme ministre de Lecornu, il avait affirmé très clairement qu’il n’en était pas question…
A Moscou, on tremble
La seule solution c’est que Macron démissionne, de gré ou de force
J’explique dans cette vidéo l’escroquerie de la victoire de Macron en 2017, toute son action néfaste contre la France et les Français, l’élection volée de 2022, avec une non-campagne, à cause de la guerre russo-ukrainienne, le coup d’Etat contre le parlementarisme de 2024, privant le RN de la victoire, et 18 mois de perdus avec des premiers ministres incapables de gouverner.
3 records battus, celui du premier ministre le plus éphémère, celui de ministres nommés hier soir et déjà démissionnaires 12 heures plus tard, et enfin le nombre de premiers ministres en 8 ans de Macron : 7, en attendant la suite.
Certains évoquent une possible dissolution, la solution n’est plus là, c’est la démission de Macron, de gré ou de force !
Alexandre Hinger reçoit La Lanterne
Gouvernement
Lecornu : le recyclage désespéré d’un macronisme à l’agonie
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Voilà enfin, le fameux « gouvernement Lecornu » !
Un mois d’attente, de rumeurs, de faux suspens pour en arriver là : le recyclage des derniers macronistes en service commandé.
On nous avait promis un nouveau souffle, une équipe resserrée, de
l’audace… Résultat : on garde les mêmes plus Bruno Le Maire,
indéboulonnable symbole de la technocratie grise et de la faillite du
pays, et Roland Lescure, incarnation parfaite du suivisme sans relief.
Autant dire qu’on ne change pas une équipe qui perd.
Les Républicains, eux, sentent déjà le naufrage approcher. La « rupture »
promise par Lecornu ressemble à un radeau percé : ils vont fuir comme
des rats avant une probable motion de censure qui a toutes les chances
d'aboutir. Ce gouvernement ne tiendra pas plus longtemps qu’un tweet de
Macron sur la « transformation du pays ».
Et pendant ce temps, le Président contemple le chaos qu’il a lui-même
créé.
En refusant de trancher, en laissant pourrir la situation, il a transformé les institutions en champ de ruines politiques.
Plus de
majorité, plus de cap, plus de légitimité.
Il ne reste donc que deux issues : une nouvelle dissolution, qui risque
d'être aussi inutile que la précédente, ou mieux encore — mais on peut
toujours rêver — la démission d’un chef de l’État carbonisé, désavoué,
rejeté par son peuple.
Encore faudrait-il, pour cela, qu’Emmanuel Macron
fasse preuve d'un peu de courage et de dignité, deux vertus
manifestement absentes de son logiciel présidentiel.
Par Thomas Joly -
Président du Parti de la France
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