TRIBUNES LIBRES !
Manon Aubry et Thomas Guénolé, les négationnistes des viols et des francocides
Tout le monde se souvient de cet échange musclé entre Sarah Knafo qui, sur BFM, essayait de raconter ce que fut son adolescence dans le 93, et Manon Aubry qui fit tout, avec la complicité bienveillante de Benjamin Duhamel, pour l’empêcher de parler, la qualifiant au moins une dizaine de fois de « raciste » parce qu’osant expliquer que la majorité des agressions contre les femmes sont commises par des immigrés.
Sarah n’a pas subi le même sort physique que ses amies de Némésis, régulièrement attaquées et chassées des manifestations parce qu’osant faire ce parallèle.
Le nouveau négationnisme inventé par les féministes gauchistes consiste à dire, pour relativiser les viols commis par les clandestins majoritairement musulmans, que la majorité des viols se passent dans les foyers français, ils avancent même le chiffre de 90 %, rien de moins !
On sait qu’en France, le négationnisme concernant l’Holocause est interdit et sévèrement puni, alors que dans les pays anglo-saxons ce n’est pas le cas.
On sait également que des juifs de gauche comme Badinter étaient hostiles à la loi Gayssot, et qu’on ne retrouvera pas la liberté d’expression en France tant qu’on n’aura pas abrogé les lois Pleven-Gayssot-Taubira.
Par contre, des Manon Aubry et toute la gauche interdisent, se comportant en véritables négationnistes de la réalité des viols, de faire le moindre lien entre l’immigration et l’explosion de la surdélinquance.
Dans un autre registre, le pervers Thomas Guénolé, sur les plateaux de télévision, relativise la gravité de l’ensauvagement en nous racontant, chiffres à l’appui, que finalement les victimes de francocides, ce n’est pas grand-chose, et que Thomas, Lola, Matisse, Philippine ou Nicolas ne représentent que 0,0001 % des morts en France.
Tout comme Manon Aubry sur les viols, Guénolé sur les agressions se conduit comme un véritable négationniste.
Beaucoup de nos compatriotes, excédés, rêvent que ces menteurs subissent un jour les conséquences relativistes de leurs discours.
On se souvient du scandale provoqué par Jean-Marie Le Pen, quand il avait dit que 6 millions de juifs tués pendant le dernière guerre mondiale, c’était un détail de l’Histoire.
Pour Manon Aubry, 50.000 Françaises violées par des immigrés, c’est un détail de l’Histoire, comme 3 personnes par jour victimes d’homicides, c’est un détail de l’Histoire pour l’andouille de Guénolé.
ET AUSSI
Les fachos ont osé vandaliser la résidence secondaire de Jean-Luc Mélenchon !
L’heure est grave, camarades !
Un des plus grands humanistes brevetés par la franc-maçonnerie commence à se plaindre de la délinquance et à exiger des châtiments exemplaires contre les vandales !
Ce serait le fin de la civilisation de l’excuse, du laxisme et de l’impunité, qui fait du Francistan une grande nation que le monde entier nous envie.
La résidence secondaire de Jean-Luc dégradée, des tags insultants découverts
Des tags outrageants maculent les murs de sa modeste maison de campagne.
D’après Jean-Cédric Gaux, procureur tenu au secret de l’enquête, le ou les auteurs se sont introduits sur la propriété du caudillo en découpant une partie du grillage.
Ils sont ensuite entrés par effraction par une fenêtre après avoir cassé un volet. Bigre ! On en tremble. Plus personne n’est à l’abri.
Selon les chiffres officiels, il y aurait plus de 200.000 cambriolages/an en France, dont le quart concernent des résidences secondaires. Dans 98 % des cas, les auteurs ne sont ni identifiés ni arrêtés.
S’ils le sont, la justice impitoyable les condamne à des amendes qu’ils ne paieront jamais, et horresco referens, dans le pire des cas, à des stages de citoyenneté qu’ils ne feront jamais.
Les statistiques sont bidonnées, puisque la plupart des plaintes ne sont pas enregistrées et que la flicaille dissuade les gens de porter plainte.
« De la paperasserie inutile, laissez tomber, de toute façon on ne les attrapera jamais » avait dit en 1990 un adjudant de gendarmerie à ma défunte mère dont la maison, dans une bourgade des Landes, avait été saccagée faute de trouver des objets intéressants à voler, par des malandrins passés par la fenêtre, comme chez le Chavez français.
Gageons que les voyous qui ont osé s’en prendre au patrimoine du petit père des peuples seront châtiés comme il convient à des nuisibles d’extrême drouâte.
Les RG, la DST, la DGSE, la DGSI, les forces spéciales inemployées depuis qu’on nous a virés d’Afrique sont sur le pied de guerre.
Si on ne trouve pas rapidement les coupables, on en fabriquera. Du sur-mesure comme à Carpentras.
S’en prendre à Rachid, ils ont osé, ces sales fachos !
« Merci aux camarades qui regardent la télé de m’avoir prévenu de la dégradation de ma maison dans le Loiret.
Je crains pour mes livres », a réagi le Maduro hexagonal.
Heureusement qu’il en avait prêté un bon nombre à son ami Delogu, toujours soucieux de s’instructionner le tête (sic).
Ainsi les ouvrages de philosophie et de physique quantique ont-ils échappé au désastre.
Depuis l’annonce de cette abominable agression fasciste, les réactions politiques se sont multipliées pour condamner les avanies subies par le consterné Jean-Luc.
« Apprendre par voie de presse que votre domicile a été dégradé est inadmissible. Notre mise en danger par ceux qui nous mettent des cibles dans le dos doit immédiatement cesser », a grasseyé la pin-up Panot, présidente du groupe LFI à l’Assemblée.
Sous le coup d’une émotion bien légitime, la sylphide de la poissonnerie Merluchon a oublié que son parti désigne publiquement les personnes ou médias à ostraciser.
Et les fait taire par des actions judiciaires dans des accès de délire quérulent.
Tandis que certains de leurs alliés islamistes montrent du doigt ceux qu’il faudrait éliminer.
Et trouvent des excuses aux terroristes du Proche-Orient qu’ils appellent « résistants ».
Dans un autre registre, la présidente de l’Assemblée anti-nationale, Yaël Braun-Pivet, laissant parler un sentiment bien naturel de solidarité entre oligarques, a déclaré qu’il était inadmissible de s’en prendre à un élu de la ripoublique.
Oubliant, elle aussi sous le coup de l’émotion, que le merluchon n’est plus élu nulle part.
Le Fidel Castro des soirées mondaines de la gauche caviar a été conseiller municipal, sénateur, député, et même brièvement sous-ministre de Jospin qui le méprisait mais devait respecter des équilibres dans la pétaudière des socialauds.
Mais aujourd’hui c’est un citoyen lambda.
Un has been qu’aucun privilège ne protège. Dur, dur, de redevenir une personne ordinaire.
La mère à chats, toujours en quête de respectabilité, a raté une belle occasion de se taire.
Elle clame : « De tels agissements doivent faire l’objet d’une condamnation exemplaire.
J’espère que tout sera entrepris pour retrouver les coupables de ces actes d’une grande lâcheté et j’apporte mon soutien à M. Mélenchon, qui en est aujourd’hui victime ».
D’aucuns qui partagent mes goûts pour l’ironie et les sarcasmes ont cru que Marine persiflait.
Que dalle ! Peau de balle et balai de crin.
C’était du premier degré bien emballé dans du papier journal de gauche, dégoulinant de bons sentiments factices.
Mais il pourrait s’agir aussi d’une grossière provocation des islamo-gauchistes et autres antifas.
Puisqu’il paraît, selon « Libé » que parmi les inscriptions figureraient des « vive Marine ! ».
Comme dirait l’inspecteur Clouzot plus connu comme la panthère rose : « Le crime est signé ».
« Debout les damnés de la terre, debout les forçats de la faim », ainsi commence le tube que chantent tous les bolchos
On a vu et entendu le merluchon qui chante faux comme une casserole rouillée blatérer à pleins poumons lors des spectacles donnés par le Parti.
Une performance éblouissante.
On regrette seulement une erreur de casting.
Le choix de ses clodettes. Mathilde, Ersilia et Rachel.
Franchement il y avait mieux pour incarner l’allégorie du peuple affamé.
Selon la déclaration de patrimoine adressée au Conseil constitutionnel sous pli confidentiel, comme tous les autres candidats aux élections présidentielles de 2022, le merluchon qui nage en eaux troubles aurait déclaré (outre sa flamme à Safia Chikirou et Rima Hassan) un modeste appartement dans le 10e arrondissement de Paris, d’une valeur de 1.200.000 euros.
Selon l’estimation qu’il en a fait, et que personne n’a vérifié.
Cette déclaration a été ensuite transmise à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) qui l’a publiée.
Pour ne pas trop entrer dans des détails gênants pour un gauchiste, on s’est contenté de dire que son patrimoine dépasse le million d’euros. Sans plus de détails.
Outre son appartement parisien, le merluchon grincheux (qui n’a jamais travaillé pour de vrai) est proprio d’une maison dans le Loiret, d’une valeur qu’il a estimée à 190.000 euros.
Un agent immobilier local, probablement un immonde fasciste, affirme qu’elle vaudrait le double.
Par ailleurs, le représentant des miséreux détient également 5 comptes bancaires, deux comptes courants et trois livrets d’épargne.
Les bolchos de « Libé » disent « au moins 150.000 euros ».
Un total supérieur aux 1.300.000 € qui auraient dû faire entrer le merluchon dans le club sélect des riches assujettis à l’impôt sur la fortune, avant que son associé en magouilles politiciennes, le paltoquet inverti ne supprime cette injuste taxe.
Pour la remplacer par l’IFI qui ne concerne que les biens immobiliers.
Qu’il est relativement facile de sous-évaluer. Surtout si les cerbères du fisc ont reçu de ordres pour ne pas se montrer trop curieux avec les personnalités. De préférence de gauche.
Des médias parmi les plus complaisants envers l’extrême et l’ultra gauche évoquent « une des résidences secondaires de Mélenchon ».
Ils doivent disposer d’informations que je n’ai pas. J’en suis donc réduit aux supputations et hypothèses : SCI, montages financiers exotiques, trustees ?
J’espère me tromper. Je serais trop déçu d’apprendre que la figure de proue de la lutte contre le capitalisme sauvage utilise des méthodes dont les riches sont friands.
Par Christian Navis
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