Le sketch débute
Là, c’est un véritable sketch qui débute.
Ce logiciel demande une copie de mon passeport et de ma carte d’identité.
Toutes
les semaines, je renvoie une photo de moi tenant mon passeport, une
photo de moi tenant ma carte d’identité, une vidéo de moi expliquant que
je suis bien Axelle Theillier et que je suis bien la présidente de
l’IPJ.
Et toutes les
semaines (un service extrêmement lent), nous recevons une explication
(d’une personne à chaque fois différente) qui nous dit qu’il faut faire
une photo sans flash, que je ne tiens pas le passeport à la bonne
hauteur ou que sais-je encore...
C’est une véritable blague, et aucune entreprise ne pourrait survivre si elle traitait ainsi tous ses clients.
Puis, enfin, après DEUX LONGS MOIS d’allers-retours, notre vérification fonctionne.
Mais ce n’est pas fini : le logiciel nous annonce que les dons effectués ces 50 derniers jours n’ont pas fonctionné et ne seraient pas prélevés.
Je
le répète : aucun don mensuel par carte bleue n’a été débité sur les
mois de juin et juillet (voire partiellement le mois de mai).
Si vous avez fait un don mensuel à ce moment-là, vous n’avez pas été débité.
Sans compter le temps perdu pour l’équipe...
Au milieu de l’été, et alors que Pierre-Marie Sève, notre directeur, passait tous les jours sur CNews, Marie-Alix et lui géraient ce problème.
Nous commençons à avoir de l’expérience dans la censure et je peux vous le dire : dans une entreprise, il suffit d’une seule personne qui soit hostile à nos idées pour sérieusement nous mettre des bâtons dans les roues…
Notre budget 2024 ne passe pas
Alors
que faire ? Porter plainte ? Attendre 3 ans et payer des milliers
d’euros de frais d’avocats ? Sans aucune certitude sur l’issue du procès
?
Non merci.
Et financièrement, nous ne pouvons pas nous le permettre.
La seule solution est de quitter ce prestataire. Et de faire appel aux Français soucieux du futur de la justice…
Nous travaillons donc désormais avec un prestataire sérieux, fiable et… étranger.
Mais, il reste un sérieux trou dans notre budget 2024.
Il manque près de 30 000 € pour finir l’année, et je ne sais pas comment je vais pouvoir payer les salaires, les locaux, etc.
Et
pourtant, je vous assure que l’IPJ ne fait aucune folie financière,
loin de là. Nous vivons chichement et pesons chaque dépense.
L’Institut pour la Justice n’a pourtant aucune intention de s’arrêter. Nous avons encore beaucoup de projets.
Par exemple, nous sommes en train de déposer une nouvelle plainte contre l’Etat pour inaction quant aux OQTF (après une première action en 2023).
Mais pour continuer, j’ai besoin de votre aide en urgence.
S’il vous plait, si vous le pouvez, faites un don mensuel maintenant en cliquant ici. (il faut alors cliquer sur “Je fais un don chaque mois”.
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