Mayotte, un exemple de ce que sera la France de demain ?
Certes, le cyclone Chido qui s’est abattu sur l’archipel de Mayotte a causé des dégâts matériels et humains d’une ampleur sans précédent depuis 90 ans, mais la catastrophe sur Mayotte ne date pas d’aujourd’hui, pas plus qu’elle n’est le seul fait de la météo.
En effet, Mayotte vit sous le joug d’une immigration continue et massive, en provenance essentiellement des Comores, ce qui crée une situation insoutenable dans l’archipel, sachant que, par ailleurs, les nouveaux arrivants, n’ayant presque aucun sens de la civilisation, usent de méthodes tribales violentes et se reproduisent à une vitesse ahurissante, comme sur l’ensemble du continent africain.
Raison sans doute pour laquelle la maternité de Mamoudzou est non seulement la plus grande de France mais carrément d’Europe.
Une maternité rudement éprouvée par le cyclone Chido, mais qui était déjà au bord de l’implosion à cause des Comoriennes venues clandestinement à Mayotte pour y faire naître leur enfant afin qu’il acquière la nationalité française.
Résultat, en 2023, la maternité de Mamoudzou totalisait 10 113 naissances sur l’année, contre 5 428 pour la seconde maternité française de Pellegrin à Bordeaux, suivie par celle de Port-Royal à Paris avec 4 956 naissances.
Du simple au double.
https://www.journaldesfemmes.fr/maman/maternite/classement/maternites/nombre_accouchements
Face à cette submersion migratoire d’une population au taux de natalité sans limite, la situation sociale et économique de Mayotte est devenue catastrophique.
La pauvreté atteint des records ainsi que la délinquance : les Mahorais sont par exemple trois fois plus victimes de vols, violents ou non, que ceux de la métropole.
De plus, du fait de leur grand nombre et étant donné le peu de places disponibles sur l’archipel, tout ce monde vit dans des conditions sanitaires déplorables, les épidémies fleurissant çà et là, et la situation présente fait craindre le pire.
Mayotte est-elle par ailleurs française, au sens où l’on est légitimement en droit de l’entendre ? s’interrogeait Christine Tasin dans un récent article.
On serait tenté de répondre que non, étant donné notamment certaines libertés prises vis-à-vis de la loi française, à commencer par celles édictées par l’islam, dont le croissant trône sur le drapeau mahorais.
Et si la charia n’y pas totalement appliquée, « la “législation locale musulmane” à destination uniquement des musulmans est édictée et appliquée par des juges religieux (les cadis) qui ordonnent les lois coraniques et non la charia.
La religion musulmane, implantée à Mayotte depuis le XVe siècle, occupe une place majeure dans l’organisation de la société. 97,1 % des Mahorais sont d’obédience musulmane et de rite sunnite », comme l’explique Mayotte Hebdo, qui tente en vain de minimiser la pression islamique dans cet archipel.
Car en choisissant, après trois référendums, de demeurer française et devenir le 101e département français en 2011,
Mayotte devrait en théorie se conformer à la loi française.
https://www.mayottehebdo.com/actualite/dossier/mayotte-pour-les-nuls/
Mais Mayotte n’est-elle pas en quelque sorte le laboratoire de la France de demain ?
En effet, nos villes sont devenues des repères de gangs de migrants armés et dangereux avec une violence exponentielle, comme à Mayotte ; la pression migratoire en métropole est devenue insoutenable, comme à Mayotte ; le taux de natalité des femmes d’origine immigrée écrase totalement celui des femmes autochtones, comme à Mayotte, etc.
La liste pourrait s’allonger à l’infini.
Il en ressort que nous devons regarder Mayotte comme notre avenir, à moins de mettre un coup d’arrêt et nous asseoir sur des droits qui nous assassinent un peu plus chaque jour, tel ce fameux droit du sol.
Surtout, au lieu de faire de constats éplorés, il serait bon que nos décideurs politiques prennent le problème à bras-le-corps. Vœu pieux…
En attendant, et à défaut de se pencher au chevet de la France, qu’il a contribué activement à dégrader, voire détruire, Emmanuel Macron se rend ce jeudi au chevet de Mayotte.
Mais que dira-t-il aux Mahorais de souche qui voient déferler depuis des années des hordes de Comoriens inassimilables et violents, à tel point qu’un couvre-feu a été décrété sur place afin d’éviter les pillages et autres réjouissances, comme cela se produit dans les pays africains et à présent dans nos villes, comme on a pu le constater avec les émeutes de l’été 2023 ?
Va-t-il les renvoyer chez eux, aux Comores, ou nous servira-t-il son habituel discours du « en même temps » qui ne satisfait personne ?
Quant à nous, Français, regardons Mayotte comme un miroir et, puisque nous avons dépassé les sept ans de malheur depuis longtemps, brisons-le, ce miroir.
Source : https://ripostelaique.com/mayotte-
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