samedi 28 décembre 2024

MÉDIAS ET JOURNALISTES DE CANIVEAU ! ( ÉRIC DE VERDELHAN )



Journalistes de caniveau

Bobards d’Or 2024 : pubards, politiques et journalistes, tous les menteurs démasqués !

« Ces journalistes venimeux qui vous insultent, vous diffament, il ne suffit pas qu’on les lise. 

Il convient encore qu’on ait vu les gueules dont ils sont pourvus. 

Ça renseigne et ça tranquillise. »

                                                                                                                                                        (Sacha Guitry)

Diantre, même en période de fêtes, il ne se passe pas une journée sans que nous apprenions une nouvelle inquiétante, préoccupante, alarmante ou tout simplement irritante.

 Les gouvernements d’incapables et de gredins se succèdent au rythme des caprices du marquis de Morveux d’Enarque ou des motions de « sangsues » de la Chambre Basse. 

Tout fout le camp dans le Royaume !

Les gazettes pour shampouineuses ne se contentent plus de nous narrer la vie et les amours de théâtreux et autres gens du « showbiz » ; elles nous abreuvent jusqu’à plus soif de leur dernière marotte : les violences faites aux femmes. 

Nous avions eu droit aux tribunes de Judith Godiche, qui a attendu trente ans pour réaliser que celui avec qui elle a vécu, adolescente, une histoire d’amour – et ce, avec l’aval de ses géniteurs – était en fait un porc libidineux, puis aux vociférations d’Adèle Haine-Elle contre deux de ses anciens metteurs en scène, et nous finissions l’année avec le procès dit « des viols de Mazette », une affaire sordide, répugnante, honteuse.

 Durant presque dix années, dans le petit village de Mazette, le sieur Dominique Pélican a endormi son épouse Gisèle avec des substances hallucinogènes pour la faire violer, inconsciente, par des vicelards au nombre d’une cinquantaine. 

 Cette affaire a permis aux libelles et gazettes de faire le procès du « mâle blanc » hétérosexuel.

Il faut pourtant savoir que dans cette affaire, la moitié des condamnés étaient déjà connus des officines de basses polices, une vingtaine consommait de la drogue, et une douzaine avait des origines afro-maghrébine ; peut-être était-ce des suppôts de Mahomet ?

 

Notons que les journaleux et autres plumitifs sont moins inspirés quand les affaires naissent dans les faubourgs tenus par des allogènes bigarrés, où les Gens d’Armes n’osent plus s’aventurer.

Souvenons-nous de cette terrible révolte des tribus négroïdes qui demandaient justice pour un des leurs – condamné… 17 fois – qui avait été quelque peu brutalisé par les Argousins.

 S’agissant d’un fuyard qui refusait d’obtempérer aux injonctions des Gens d’Armes, il eût été plus normal que ces derniers ouvrissent le feu sans sommation ce qui aurait évité des discutions sans fin pour savoir comment ce nègre a été homicidé. 

Ce gredin appartenait à une tribu originaire du Soudan (1). 

Son père, polygame avec quatre épouses, a eu dix-sept enfants. 

Tous ces gens-là vivent chez nous grâce au « regroupement familial » instauré par le duo – mortifère pour le Royaume –  formé par le comte Giscard de Chamalières et le féal baron Chirac d’Ussel et d’Upoivre.

Le Soudan  était en guerre – à la fois tribale et religieuse –  et moult soudards de nos armées y risquaient alors leur peau. 

« Et en même temps » comme dirait le marquis, des Soudanais, en âge d’aller se battre pour leur pays, préféraient vivre sur notre sol, de prébendes et d’aides sociales que nous leur allouons sans compter, se livrer à des trafics illicites, et mettre nos villes à sac quand on tente, fort légitimement, de les embastiller pour leur apprendre à respecter NOS lois.

C’est grande pitié que de voir notre beau pays souffrir des mêmes maux que la lointaine Amérique ! 

Mais là-bas, l’honnête homme – le citoyen libre – a encore le droit de porter mousquet, ce qui  garantit  sa tranquillité ou, pour le moins, sa survie. 

Un dicton américain dit que : « Cinq balles dans le barillet, c’est la loi. Une balle dans le canon, c’est la justice ».  

Un autre énonce : « Dieu a créé les hommes égaux, et Samuel Colt a fait la différence » (2)

Ces débordements  de descendants d’esclaves – qui nous doivent l’abolition de l’esclavage et voudraient que nous en fassions repentance – sont intolérables mais le pouvoir les tolère, voire les encourage. Tout ceci finira mal, soyez-en certains ! 

Un vent de fronde souffle sur le Royaume et les pompiers-pyromanes  qui nous gouvernent pourraient  bien en faire les frais. 

En effet, le bas-peuple, la valetaille, les gueux, ne supportent plus les agressions au couteau, les viols, les vols quotidiens que l’ancien Garde-des-SOTS, messire Dupond-Le-Yéti, appelait « sentiment d’insécurité ».

 120 attaques au couteau par jour dans le Royaume serait donc une simple… impression ?

 

Le bon peuple est lassé de l’énumération – morbide – que la télévision de service public  lui  impose tous les jours, matin, midi et soir, comme si tout ceci était normal.

Il se prend à rêver des jours passés, quand son pays était grand, riche et sûr, et il espère des jours meilleurs. 

Jamais il n’aurait cru que des peuplades allogènes, vivant presque intégralement à ses crochets, se révolteraient et lui reprocheraient ses racines, sa blancheur de peau, et son passé colonial (et esclavagiste).

 Mais le pouvoir accepte, le pouvoir tolère, le pouvoir subit.  

C’est honteux !

Le vulgum pecus, écœuré,  finit par détester et agonir le marquis de Morveux d’Enarque, ce gamin narcissique qui joue tantôt au chef de guerre, tantôt au chef d’État, alors qu’il n’est que la marionnette de la finance apatride et  du « Nouvel Ordre Mondial ». 

 

La repentance et l’auto-flagellation, cette tragicomédie, volontairement  sur jouée, est insupportable mais elle le serait sans doute moins si elle n’était pas relayée, commentée, déformée, instrumentalisée par les suppôts du marquis.

 Ceux qui lui lèchent les bottes et lui servent la soupe parce qu’ils lui doivent tout ; je veux parler des plumitifs, gazetiers, pisses-copie et autres péroreurs télévisuels.

Certes, il existe des journaleux honnêtes et intègres mais, comme disait Michel Audiard : « Il existe aussi des poissons-volants, mais ce n’est pas la majorité de l’espèce ».  

Il y a quelques années, un sondage nous apprenait que… 92 % des journaleux et plumitifs  se déclaraient « de gauche ou avec une sensibilité de gauche ». 

Comment ose-t-on, alors, parler de « pluralité de l’information » ?  Comment peut-t-on croire que le Royaume est encore une démocratie ?

 Chez nous, la « liberté d’expression » n’a pas grand-chose à envier à celle de la Corée-du-Nord.  

J’exagère diront certains. Que nenni !  

Chez nous, comme en Corée-du-Nord, il est interdit de dévier de la doxa officielle.

 

Souvenons-nous de Philippe Verdier, patron de la météo sur le service public, viré comme un malpropre pour avoir osé dire qu’il était climato-sceptique. 

Ou de Frédéric Taddeï claquant la porte d’une chaîne publique, poursuivi par la haine du grassouillet Patrick Co-Haine qui lui reprochait de recevoir des invités « nauséabonds » (3) etc. 

Ce monde journalistique pourri est, de surcroît, intouchable et inattaquable.  Et bien tant pis !

 Je m’autorise à dénoncer ici quelques beaux spécimens de cette espèce néfaste, vendue, servile, reptilienne, sans dignité et sans honneur, qui prétend nous informer alors qu’elle n’est là que pour nous intoxiquer, nous mentir et nous enfumer.

 Evidemment, la liste n’est pas exhaustive : c’est au Karcher qu’il faudrait nettoyer ces nouvelles écuries d’Augias.

 

Commençons par l’un des plus anciens : Alain Lagamel ; vous savez ce type coiffé comme un speaker de « Radio-Paris » sous l’Occupation, qui roule en Vélo-Solex et qu’on a toujours connu.

 Il est inusable, indéboulonnable, omniprésent à la télé. 

Si vous voyez le film des frères Lumières « Le train entrant dans la gare de La Ciotat » (4), vous risquez, parmi les passagers, de voir descendre Alain Lagamel, (au bras d’Evelyne Dalhia qui présente la météo depuis… qu’il existe une météo).

Alain Lagamel, en dehors de son côté donneur de leçons, n’est pas le pire de la bande. 

Il est phraseur, fluctuant, ondulant comme une anguille. 

Il a connu tous nos monarques et il a su les flagorner quand ils étaient aux affaires, puis les critiquer lâchement ensuite.

Dans un style (ou une absence de style) tout à fait différent, citons Jean-Jacques Gourdin.

 Lui c’est le genre bulldozer : un faux dur qui aboie fort. 

A 75 berges, ce cévenol  bourru ne fait pas la différence entre une interview et une engueulade. 

Sa force, c’est sa grande gueule (et la faiblesse de ses adversaires). 

Il ose se présenter comme un journaliste « indépendant » mais son indépendance se limite à la longueur de sa laisse. 

Vaniteux comme un paon et très égocentrique, il a écrit un livre à sa seule gloriole : « L’homme libre » (5), ou plus exactement, il a coécrit un livre avec sa compagne et un troisième larron. 

Comme il n’a aucun talent, on n’est pas certain qu’il y serait arrivé tout seul !  

               

 Parité oblige, passons aux femmes et commençons par la belle aristo de gauche Apolline de Chiendent. 

Elle est née dans le 16ème  arrondissement. 

Son père est artiste peintre et sa mère, galeriste. 

Ils sont  propriétaires d’un château dans la Sarthe, ce qui explique sans doute les idées de gauche de leur fifille. 

Apolline de Chiendent a appris l’interview avec Jean-Jacques Gourdin, donc, elle n’interroge pas, elle agresse, sachant que personne n’osera la gifler en public. 

Ses interviews sont des modèles de mauvaise foi, de méchanceté et d’agressivité gratuite.

              

  Autre tête-à-claque, Anne-Sophie Lapeste. 

Très BCBG (6), cette femme est l’une des mieux payées du service public où elle obtient tout ce qu’elle veut. 

Si on lui cède tout, ce n’est pas pour son talent, pas même pour sa belle gueule de petite bourge provinciale, mais parce que son second mari est un ami du marquis de Morveux d’Enarque, dont elle ne peut dire que du bien.

 

Son style, à  la belle Anne-Sophie, c’est le sourire faux-derche et le minaudage fielleux.

                Par charité chrétienne, je ne dirai rien sur la pouffe qui a remplacé Anne-Sophie Lapeste aux manettes de l’émission « C à vous » : une émission qui s’apparente à une association de malfaiteurs tant l’information y est mensongère, bidonnée et tendancieuse.  

Dans ce tribunal révolutionnaire, la palme de la mauvaise foi revient, incontestablement, au  gaucho bouffi Patrick Co-Haine.

                Accordons aussi une mention à la flagornerie sirupeuse d’Anne-Claire Courbée et de Gilles Boulet, les deux cires-bottes de « la Une »

 Ils sont, parait-il, parmi les présentateurs les mieux payés du PAF  alors qu’ils ne sont, l’un comme l’autre, que des petites pointures du fayotage obséquieux.

                Un cran au dessus, nous trouvons Christophe Rasoir, le vieux gamin à l’écharpe rouge, patron de l’« Omnibus », cet hebdo de centre-gauche qui réagit moins vite que les autres aux problèmes de société – immigration, délinquance, hyper-fiscalité – mais qui part au quart de tour pour dénoncer les dangers du populisme. 

 Intellectuel de gauche (7), il est sur tous les plateaux et a des avis sur tout.

Il est l’archétype de cette gauche-caviar, très tolérante sauf à l’égard des populistes, du RN et d’Eric Zemmour.

 Christophe Rasoir est un admirateur zélé du marquis qu’il a osé comparer, à « Clemenceau dans les tranchées de la Grande Guerre ». 

Il fallait oser, il a osé ! Comme disait Michel Audiard : « Les cons ça ose tout ; c’est même à ça qu’on les reconnaît ! ». 

N’oublions pas Laurent Delalèche. 

Celui que les médias avaient surnommé « le beau gosse du PAF » et qui est devenu le « caniche du marquis », un concurrent du chien Nemo, depuis cette interview ridicule durant laquelle il suivait les déambulations de l’avorton dans le Palais de l’Elysée tout en lui cirant les pompes.

 Il ne lui manquait que le gilet rayé des larbins.

 C’était pitoyable !!!

Pour finir – car il faut bien clore le sujet – une palme d’or revient de droit à l’imbuvable, Jean-Michel Antipathie, ce basco-béarnais – mitterrandolâtre de la première heure – qui cultive son accent du Sud-Ouest (comme Jane Birkin entretenait son accent anglais) pour ne pas avouer qu’il est un « Bobo » parisien de la pire espèce. 

 Sentencieux, arrogant, donneur de leçons de morale, ce type est une tête-à-claque tout simplement insupportable.

 On le dit, lui aussi, fort bien rémunéré.

Régulièrement, les médias aux ordres du pouvoir traitent les sites de droite de complotistes et leur reprochent « des propos  de Café du Commerce ».

 Pour ma part, je préfère m’informer au « Café du Commerce » qu’auprès d’un journalisme de caniveau et d’une presse de pissotière. 

 Les articles des sites et forum ne sont pas toujours bien écrits, mais ils sont généralement… honnêtes !

 

Quelques vrais journalistes arrivent encore à survivre, à « Valeurs Actuelles », au « Journal du Dimanche », à « L’incorrect », sur « Boulevard Voltaire » ou « Cnews » mais ils sont peu nombreux. 

En revanche, nous sommes quelques-uns – plumitifs de circonstance – à écrire sur « Riposte Laïque », « Minurne Résistance » et quelques autres sites ou blogs. 

Des citoyens-lambda, des bénévoles, des patriotes, des résistants, dont le style n’est certes pas parfait mais qui vous disent la vérité.   

Par Cédric de Valfrancisque

 

1)- Le Soudan français, indépendant le 22 septembre 1960, est devenu le Mali.

2)- On attribue (à tort) à Samuel Colt l’invention du Revolver, à Paterson en 1936.

3)- Il faut entendre par là « qui n’est pas de gauche ».

4)- Film qui date de… janvier 1896.

5)- « L’homme libre » Le Cherche midi ; 2014. Ils se sont mis à trois pour écrire… 177 pages.

6)- « Beau Cul, Belle Gueule » et non « Bon Chic Bon Genre ».

7)- Ce qui est un pléonasme, sachant qu’à droite il n’y a que des brutes au front bas

 

 


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