vendredi 20 décembre 2024

L' AFFAIRE GISÈLE PÉLICOT : LE PATRIARCAT BLANC ET LE FÉMINISME À GÉOMÉTRIE VARIABLE !

 TRIBUNES LIBRES !

L’hypocrisie d’une société sans (re)pères

Le monde politico-médiatique n’en finit plus de tirer des conclusions sociétales du procès Pelicot


L’hypocrisie d’une société sans (re)pères
Procès Pelicot, Avignon, 14 décembre 2024 © Aurelien Morissard/AP/SIPA

Certains ont voulu en faire le procès de tous les hommes. 

D’autres ont estimé qu’il illustrait la nécessité de légiférer sur le « consentement ». 

Mais, le procès des viols de Mazan demeure le procès particulier d’hommes pervers particuliers, dans une société particulière – la nôtre.


 

Le 19 décembre 2024, la cour criminelle du Vaucluse a rendu son verdict dans l’affaire des viols de Mazan, un dossier glaçant impliquant Dominique Pelicot et cinquante coaccusés. 

Dominique Pelicot, principal accusé, a été condamné à la peine maximale de 20 ans de réclusion criminelle pour viols aggravés sur son épouse, Gisèle. 

Pendant une décennie, il l’a droguée et livrée à des dizaines d’hommes. 

Sa condamnation, assortie de deux tiers de peine de sûreté, garantit qu’il purgera au moins 13 ans avant tout aménagement de peine.

 Les cinquante autres accusés ont également été reconnus coupables, écopant de peines allant de trois à 15 ans de prison, en fonction de leur degré d’implication.


Le procès #Pelicot est enfin terminé !
 
 On peut désormais tourner la page de cette lamentable histoire. 
 
La France a mieux à faire que de s'attarder sur ces turpitudes sordides.
 

ET AUSSI !

Verdict du procès de Mazan : la foule de féministes hystériques voulait lyncher du mâle blanc

Ce jeudi matin, devant le palais d’Avignon (Vaucluse), hués et insultés par une foule compacte, venue entendre les verdicts du procès des viols de Mazan, les prévenus et leurs avocats ont eu droit à la rage populaire débridée, surtout à l’annonce des peines prononcées, inférieures aux réquisitions. 

Tandis que dans l’enceinte du palais, Gisèle Pélicot, comme à chacune de ses apparitions, était ovationnée. 

Tout ceci contrevient à l’indispensable sérénité pour rendre la justice. 

Mais comme la justice est de gauche, tout va bien ! 

Cependant, comme cette engeance n’a aucune reconnaissance, elle hurlait allègrement : « Honte à la Justice ! »

 Et si l’on avait proposé de guillotiner tous les prévenus, alors je suis certain qu’elle aurait crié : « Oui ! »

Non que je défende les participants à cette abomination infligée à Gisèle Pélicot, son ignoble mari en tête, mais en entendant çà et là les témoignages de colère paroxystique des femmes parmi la foule et, dans une moindre mesure, des hommes présents pour soutenir la victime, je me disais que cette populace était sans doute composée des mêmes lâches ayant regardé ailleurs lorsqu’il s’était agi de condamner sans restriction les massacres de Charlie Hebdo ou la décapitation de Samuel Paty, parce que ces massacres et cette décapitation mettaient en cause des vaches sacrées islamiques. 

Mais pour les Blancs, pas de justice restaurative !

Idem, j’étais assez dégoûté en entendant nombre de femmes déplorer les vingt ans de prison pour Dominique Pélicot, avec les deux tiers de sûreté, et des peines jugées dérisoires pour l’ensemble des autres prévenus.

 Dégoûté car ce sont les mêmes, bis repetita, qui évoquent les conditions déplorables de détention de délinquants allogènes, voire de terroristes. 

Ce sont les mêmes qui justifient la délinquance diversitaire par des explications sociologiques foireuses. 

Ce sont surtout les mêmes qui ferment les yeux sur les viols perpétrés par des migrants et préfèrent se concentrer sur les violeurs blancs, oubliant commodément que certains prévenus du procès de Mazan étaient issus d’une culture où la soumission de la femme est gravée dans le marbre d’un texte prétendument incréé !

Effectivement, seul le mâle blanc hétérosexuel était visé dans cette sordide affaire. 

Ce mâle qui provoque des bouffées délirantes parmi les furies gauchistes, presque toutes blanches elles-mêmes et pétries de haine de soi et donc de haine de leurs semblables masculins.

Le procès de Mazan aurait pu cependant être le procès de tous les viols, de toutes les agressions sexuelles, mais il n’en a rien été : ce fut encore une fois une tribune libre pour la doxa gauchiste wokisée à outrance. 

Une gauche qui applaudit toujours quand une femme flic ou gendarme est lynchée. Passons…

 https://ripostelaique.com/verdict-du-proces-de-mazan-

 

 ET AUSSI

Les féministes à géométrie variable : l’affaire Gisèle Pélicot et le silence sur l’immigration 

[L’Agora]

L’affaire Gisèle Pélicot, tragique et sordide, a permis une fois de plus à certaines figures du féminisme de gauche de déployer leur discours obsessionnel : tous les hommes seraient des prédateurs, potentiels Dominique Pélicot en puissance.

 Leur diatribe est connue, leur cible tout autant : la masculinité en tant que concept et réalité. 

Mais au-delà des slogans et des condamnations à sens unique, c’est l’hypocrisie crasse de ces militantes qui saute aux yeux.

Car dans cette affaire, un fait demeure obstinément étouffé par leurs cris d’orfraie : au moins 14 des 51 agresseurs condamnés, soit 27 %, sont des immigrés extra-européens

Cette surreprésentation – que dénonce des féministes de droite comme Némésis depuis des années –  ne relève pas d’un hasard statistique, mais bien d’un problème systémique qu’elles refusent de voir en face. 

Pourquoi ? Parce que pour ces féministes, l’ennemi, le vrai, n’est pas l’agresseur ou le criminel. 

 Non, leur obsession est bien plus insidieuse : détester l’homme blanc occidental.

 

Quand le féminisme devient une arme contre l’homme occidental

Soyons clairs : toute agression, tout viol est une horreur qui doit être dénoncée et punie. 

Mais pourquoi ce silence gêné dès qu’il s’agit d’évoquer l’origine des agresseurs ? 

Pourquoi l’affaire Gisèle Pélicot n’a-t-elle pas déclenché une vague de questionnement sur le fait que les extras européens sont surreprésentés parmi les condamnés ?

La réponse est simple : ces féministes, qui se targuent de défendre les femmes, sont avant tout animées par une haine viscérale de l’homme occidental.

 Pour elles, chaque agression est une opportunité de condamner le « patriarcat blanc » et d’ignorer commodément les réalités sociologiques lorsqu’elles contredisent leur idéologie.

 Les hommes immigrés extra-européens, eux, bénéficient d’une indulgence incroyable, car dénoncer leur responsabilité reviendrait à briser le totem sacré de l’antiracisme.

 

Les chiffres qui dérangent

Regardons les faits.

 Dans l’affaire Pélicot, un quart des condamnés minimum sont des immigrés extra-européens, une proportion largement supérieure à leur poids dans la population. 

Ces statistiques ne sont pas nouvelles : les immigrés non européens sont surreprésentés parmi les auteurs de violences sexuelles en France, et ce depuis des années. 

 Pourtant, cette réalité est systématiquement passée sous silence par les féministes de gauche, trop occupées à conspuer un « patriarcat blanc » imaginaire.

Pire encore, ces militantes n’hésitent pas à utiliser des tragédies comme l’affaire Pélicot pour alimenter leur guerre idéologique contre les hommes en général. 

 

Leur discours réduit chaque individu à son sexe, effaçant toute nuance, toute réalité. 

Tous les hommes seraient des prédateurs en puissance, et chaque femme une victime potentielle. 

Une vision aussi caricaturale que dangereuse.

En refusant de nommer le problème de l’immigration massive et ses conséquences sur la sécurité des femmes, ces féministes se rendent complices.

 Complices d’un système qui tolère l’arrivée de populations aux pratiques parfois profondément misogynes.

 Complices d’une idéologie qui sacrifie les victimes sur l’autel de l’antiracisme.

Et pendant qu’elles hurlent à la « culture du viol » occidentale, des quartiers entiers échappent à la loi. 

Ces zones où les femmes n’osent plus marcher seules, où les lois patriarcales importées supplantent les droits fondamentaux. 

Mais chut ! Parler de cela serait raciste, paraît-il.

 

Reprendre le contrôle de la narration

Il est temps de sortir de cette hypocrisie. 

L’affaire Gisèle Pélicot doit être un électrochoc, non pas pour condamner tous les hommes, mais pour ouvrir les yeux sur les véritables causes de l’insécurité des femmes. 

Oui, le féminisme a sa place dans notre société, mais pas ce féminisme-là.

 Pas ce dogme qui préfère accuser en bloc les hommes blancs plutôt que de regarder la réalité en face.

Ce féminisme est un outil d’oppression, une arme idéologique utilisée pour détruire les fondements mêmes de notre civilisation. 

À nous de reprendre la main et de défendre un féminisme enraciné, qui protège réellement les femmes sans sacrifier la vérité sur l’autel de l’idéologie.

Les masques doivent tomber.

L’affaire Pélicot n’est pas seulement le symbole d’un drame individuel. 

Elle est le miroir déformant d’une société malade de ses mensonges.

 À nous de refuser ces silences complices et ces discours dévoyés.

 

 La vérité, toute la vérité, doit être rétablie, coûte que coûte.

Par Julien Dir

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