samedi 16 mars 2024

QUESTION : A-T-ON LE DROIT DE FAIRE DE LA POLITIQUE NATIONALISTE EN FRANCE ?






 TRIBUNE LIBRE !

jeudi, 14 mars 2024

Arrestations de militants identitaires : a-t-on encore le droit de faire de la politique nationaliste en France ?

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Xavier Eman

Gérald Darmanin poursuit inlassablement sa politique de répression visant les mouvements patriotes, catholiques et identitaires.

 C’est d’ailleurs le seul domaine où il se montre efficace, et même implacable.

Le ministre de l’intérieur a ainsi demandé l’ouverture d’une enquête, sur la base de l’article 40, pour des soupçons de reconstitution de ligue dissoute. 

Suite à cette décision, 12 militants du mouvement « Argos » ont été interpellés et 4 sont actuellement recherchés. 

Leur crime ? 

Faire partie d’un groupe politique présentant des ressemblances avec « Génération Identitaire », mouvement (honteusement) dissout en mars 2021 en Conseil des ministres. 

Sur cette base, le ministre de l’intérieur a donc décidé de mobiliser d’importants moyens judiciaires et policiers pour organiser l’arrestation de ces militants patriotes.

Voilà quelles sont les priorités de nos autorités dans un pays qui croule sous la délinquance et la criminalité et où l’insécurité la plus barbare règne sur des pans entiers du territoire !

Revenons par ailleurs sur ces fameuses « ressemblances » qui valent à ces jeunes gens d’être traités comme des criminels. 

Selon une source proche du dossier, citée par BFM TV, le groupe « Argos » serait accusé « de poursuivre les mêmes buts » que le mouvement dissout.

 Quels buts ? S’opposer à l’immigration de masse ? 

Dénoncer les conséquences néfastes de celle-ci sur la société ? Défendre la culture et l’identité française et européenne ?

Mais ne sont-ce pas là les « buts » de toute structure nationaliste et patriote digne de ce nom ? 

Et dans ce cas la tentative de criminalisation d’Argos n’est-elle pas de facto une tentative d’interdiction de tout discours critique sur l’immigration et, au final, de tout engagement identitaire ?

C’est pourquoi ces nouvelles interpellations n’ont rien d’anecdotiques et que les patriotes, de tous âges et de toutes obédiences, auraient bien tort de s’en désintéresser au prétexte qu’elles ne concernent qu’un « groupuscule ».

 Car ce crescendo de répression n’est rien de moins que la remise en cause progressive des libertés politiques dans notre pays et ce glissement autoritaire pourrait bientôt atteindre des structures ou partis qui se croient aujourd’hui « à l’abri », à tel point qu’ils en viennent même parfois à hurler avec les loups. 

Calcul peu digne et fort dangereux car lorsque le « cordon sanitaire » ne suffit plus, on peut aisément le renforcer ou le remplacer par un « cordon judiciaire ».

Nos libertés fondamentales, de pensée et d’expression, ne peuvent pas être sacrifiées sur l’autel de considérations médiatiques ou électoralistes.

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18:13 Publié dans Revue de presse |

 

ET AUSSI

Nouvelle persécution politico-judiciaire contre des nationalistes

13 Mar 2024

Quatorze anciens membres de Génération Identitaire, groupe désormais dissous, ont été interpellés aujourd’hui, au vague motif de reconstitution de ligue dissoute au sein de la structure Argos.

Cette association s’est notamment illustrée par son action d’éclat en septembre dernier à Cherbourg, protestant contre l’immigration incontrôlée et le laxisme judiciaire, dans le cadre de la sordide affaire de viol avec actes de barbarie sur la malheureuse Mégane.

 Action sans aucune violence, ayant là aussi donné lieu à une réponse disproportionnée du pouvoir.

Ce prétexte, délirant et complètement fallacieux, l’est tout autant que la dissolution en elle-même du mouvement identitaire, qui n’a jamais été matériellement qualifié par la justice comme violent et armé malgré l’acharnement de la magistrature gauchiste à son encontre, et s’était même déjà vu complètement relaxé en appel.

Il s’agit une fois de plus d’un signe de la fébrilité du pouvoir en place et du petit roquet Moussa Darmanin, pourtant habitué des universités d’été de l’Action Française, prêt à se parer de n’importe quelle posture pour défendre un bilan lamentable et inconséquent aussi bien à Beauvau qu’à l’Élysée.

Ces courageux militants, victimes d’une persécution politique qui n’a rien à envier à ceux que nos dirigeants qualifient pourtant volontiers d’autocrates et de dictateurs à l’international, prouvent qu’il suffit parfois d’exister et de s’exprimer pour faire trembler un régime inique dans son intégralité.

 

Le Parti de la France s’engage à gracier les prisonniers politiques victimes des lois scélérates interdisant aux Français d’exprimer leurs idées librement, et à dédommager tous ceux en ayant été victimes depuis leur promulgation.

Courage, on les aura !

 

Par Victor Jan de Lagillardaie – 

Membre du Bureau politique du Parti de la France

 


https://www.parti-de-la-france.fr/

 

 

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