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| Chère amie, Cher ami, Ils ont voulu nous empêcher de nous exprimer à Pacé devant 100 participants le mois dernier… … Et finalement, nous avons tenu notre conférence sur une radio libre et indépendante devant plus de 4 500 auditeurs ! Vous
vous en souvenez sûrement, notre conférence sur l’éducation à la
sexualité à l’École du 1er février, organisée par l’association Agora
Rennes Ouest, avait été entravée par des militants syndicaux - wokistes agressifs. Ces
personnes violentes nous avaient contraints par leur vacarme et leurs
injures à annuler la tenue de la conférence, muselant ainsi la liberté
d’expression ! (Vous pouvez retrouver notre message qui reprend le déroulé des faits ci-dessous) Dès
le 2 février, au lendemain des tristes événements de Pacé, Clémence
Houdiakova m’a contacté pour prendre de nos nouvelles, et nous proposer
de tenir cette conférence en direct sur l’antenne de Tocsin, un média qui défend vraiment la liberté d’expression. J’ai
donc été invitée sur Tocsin Média mercredi 27 mars 2024, avec la
présidente de l’association Agora, Catherine Noël, pour tenir cette conférence interdite par les militants de Sud Éducation, de la CGT et du Planning familial. Je
remercie chaleureusement ici Clémence Houdiakova et toute son équipe,
car à travers son média, elle donne la parole à tous ceux qui se voient
empêchés de parler librement ! Lors
de cette conférence en direct sur Tocsin Média, j’ai pu détailler les
attaques dont SOS Éducation et moi-même avons fait l’objet, par des
militants dont une majorité sont enseignants ou directeurs d’école. Des militants qui malheureusement se soucient peu de l’intérêt supérieur des enfants, mais beaucoup plus de politique ! J’ai aussi pu présenter le travail rigoureux et documenté sur l’éducation à la sexualité à l’École réalisé par SOS Éducation,
avec des spécialistes de l’enfance et de l’adolescence de grande
renommée (pédiatres, pédopsychiatres, médecins gynécologues, docteurs en
psychologie du développement, psychologues cliniciennes, biologistes…). Et
ce sont 4 500 auditeurs qui ont suivi en direct cette
intervention-conférence, initialement empêchée en présentiel devant
100 participants. Elle est maintenant en accès libre pour tous ceux qui n’ont pas pu la suivre en direct, ou pour ceux qui souhaitent la revoir. Elle a déjà été vue par 6 900 personnes sur YouTube. Je vous invite à la découvrir vous aussi sur la chaîne Tocsin Média, en cliquant simplement ici ou sur l’aperçu ci-dessous : | | | |
| | Lorsque vous aurez regardé mon intervention, pensez à me dire ce que vous en aurez pensé en répondant simplement à ce message ! Je vous rappelle aussi les liens utiles dans notre dossier sur l'éducation à la sexualité dans le cadre scolaire : Notre rapport d’analyse Éducation à la sexualité à l’École : de la prévention à la sexualisation précoce,
un document de référence pour comprendre les enjeux et les risques de
l’éducation à la sexualité chez les enfants, qui a déjà été téléchargé
plus de 11 800 fois : | | | | | | | | | | | | | | | |
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| | | Sophie Audugé, Déléguée Générale de SOS Éducation |
| P.S. : Votre Association est devenue une vraie référence sur les sujets éducatifs, et c’est grâce à vous ! Si vous souhaitez nous permettre de continuer à porter votre voix, et agir ensemble pour une meilleure École, soutenez-nous par votre don :
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| Chère amie, Cher ami, Peut-on encore débattre sur les sujets importants pour l’École en France ? Le
1er février dernier, je me suis déplacée à Pacé, près de Rennes, pour
intervenir lors d’une réunion-débat sur l'éducation à la sexualité à
l’École… … Et avant que je ne puisse prendre la parole, des manifestants ont infiltré cette réunion et semé le chaos dans la salle de conférence ! Debout, mégaphone à la main et drapeaux syndicaux levés, ils ont empêché la conférence de se tenir. Représentant
plusieurs syndicats, ces militants ont refusé tout dialogue et ont
continué à siffler, à proférer des insultes et à hurler dans leur
mégaphone. (D’après Ouest France, qui a publié un article sur le sujet, étaient présents : FSU, CGT Éducation privée et publique, SUD éducation et le Planning Familial)
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| Crédit photo : Ouest-France |
| Je leur ai proposé plusieurs fois de rester et de participer au débat en fin de réunion, mais en vain. Impossible de connaître leurs arguments : ces gens refusent le débat, car l’intérêt supérieur des enfants n’est pas leur priorité. Sinon l’École n’en serait pas là où elle en est ! Malgré
la bonne volonté des organisateurs et le soutien des spectateurs venus
assister à ce qui aurait dû être une conférence sur notre rapport
rigoureux et documenté, réalisé avec des spécialistes de grande
renommée, nous avons dû annuler l’événement. Je
ne vous cache pas que le ton est monté d’un cran, les manifestants
étant particulièrement agressifs sur le fond et dans la forme de leurs
interpellations. Haine,
excitation, atmosphère tendue - ces personnes étaient manifestement
incapables d’accepter le débat constructif que nous leur proposions. Les gendarmes ayant rapidement tourné les talons, il n’y avait aucun dispositif pour sécuriser l'événement, ce qui aurait pu être préjudiciable si nous n’avions pas (tout au moins de notre côté) contribué à l’apaisement. | | | |
| Crédit photo : Ouest-France |
| Mais
surtout, le porte-parole de ce mouvement, bien connu localement pour
son militantisme politique, a tenu à l’encontre de SOS Éducation des propos à caractère explicitement diffamatoires et absolument inacceptables. Ce qui nous a conduit à déposer plainte en diffamation contre ce manifestant très virulent, pour ses propos mensongers et ses insinuations ignobles. (Vous pouvez l’entendre sur la vidéo de l’article Ouest France, disponible ici.) Mais tout cela coûte très cher à l’Association, et comme vous le savez, nos moyens sont extrêmement réduits. Dans cette affaire, nous étions légitimes à porter plainte à deux reprises : - Pour entrave à la liberté de réunion
- Pour diffamation
Nous avons dû faire un choix. Au
vu des coûts (autour de 6 000 euros pour déposer une plainte et la
suivre jusqu’à la décision de justice finale), nous avons privilégié la
plainte pour diffamation. Nous estimons qu’il est important de nous défendre face aux attaques honteuses dont SOS Éducation a fait l’objet. Il
est de notre devoir de rétablir la vérité et de montrer que nous ne
nous laisserons pas faire face à des agissements antidémocratiques et
contre la liberté d’expression, de réunion et d’association. Aujourd’hui, nous devons faire face à un militantisme ultra subventionné, sans avoir les moyens humains et financiers pour nous défendre. L’État
entrave la liberté d’association en ne reconnaissant pas à SOS
Éducation son caractère éducatif, avec les conséquences désastreuses
pour l'Association que vous connaissez. Et dans le même temps, une myriade de structures associatives ou syndicales financées avec l’argent du contribuable entravent la liberté d’expression et la liberté de réunion ! C’est tout de même incroyable de ne pas pouvoir tenir une conférence sur un sujet aussi important pour protéger les enfants... Voilà
la situation à laquelle votre association est confrontée
quotidiennement. C’est le pot de terre contre le pot de fer, le village
Gaulois qui résiste ! Ainsi
des propos absolument diffamatoires et scandaleux ont été scandés alors
que la présidente de l’association organisatrice allait accueillir la
centaine de participants à cette conférence. Accrochez-vous à votre siège, et lisez ce qui a été scandé à plusieurs reprises par le porte-parole des manifestants, mégaphone en main : | « SOS
ÉDUCATION dénonce des profs dans le nord nominativement quatre jours
avant l’assassinat de notre collègue Dominique BERNARD. Ils distribuent
des tracts en dénonçant nominativement […] » |
| Ces propos diffamatoires sont l’objet de la poursuite que nous engageons. Car
évidemment, SOS Éducation ne distribue jamais de tracts sur la voie
publique, et SOS Éducation n’a jamais ciblé de professeurs ! Notre Association est depuis toujours aux côtés des professeurs, et elle est extrêmement vigilante quant à la sécurité des enseignants et du personnel des établissements scolaires. Au niveau juridique, ces propos totalement faux portent à l’évidence atteinte à l’honneur et à la considération de SOS Éducation, et ils constituent un comportement répréhensible, tant pénalement que moralement ! | | | | | | | | | | | | | | | |
| Nous vous tiendrons bien sûr informé des suites de cette action, qui devrait faire du bruit. Même si nous savons que cela va prendre du temps : nos autres actions pour faire respecter nos libertés d’association et d’expression prennent des années à être traitées, quand d’autres sont réglées en quelques semaines… C’est tout bonnement scandaleux, et nous refusons de baisser les bras ! | | Au-delà de l’aspect juridique, ce qui est absolument dramatique dans cette affaire, c’est de se retrouver face à des militants qui n’ont que faire des enfants et qui sont incapables de débattre… Alors même que ce sont des enseignants ! Cela nous montre que notre action pour l’École est essentielle, et que nous devons absolument continuer. Pour les enfants, et pour l’avenir de notre société. Si vous estimez que notre combat est juste, pensez à soutenir SOS Éducation ! C’est grâce à vous que nous pouvons continuer à nous battre pour défendre une École : - qui instruit,
- qui place l'intérêt supérieur de l'enfant en priorité absolue,
- qui respecte l'autorité parentale,
- qui restaure l'autorité de ses professeurs,
- et qui s’oppose aux discours idéologiques qui ciblent les enfants.
Les
parents sont les premiers éducateurs de leurs enfants et l’École a pour
mission de les instruire. Pas de diffuser des idéologies ! Aujourd'hui, SOS Éducation est le seul rempart face à la percée des idéologies dans les écoles de nos enfants. Nous n’avons jamais touché un centime d’euro de fonds publics, ce qui nous permet une parole totalement libre. Notre force et notre engagement viennent de là. Notre parole, c’est avant tout la vôtre ! Ensemble, nous œuvrons chaque jour pour améliorer l’École, dans l’intérêt supérieur des enfants et de la société. Pourtant, depuis des années, votre Association fait face à d’importantes barrières administratives, fiscales et financières… … Et maintenant, ce sont des militants ultra politisés et syndiqués qui veulent nous mettre des bâtons dans les roues, au détriment des enfants et de leur instruction ! C’est un obstacle supplémentaire que nous devons affronter… … Et il ne fait que renforcer notre détermination à agir pour protéger les enfants ! Si vous souhaitez agir à nos côtés, rendez-vous sur notre page de dons sécurisée dès maintenant. Sans votre soutien important et régulier, SOS Éducation n’est pas sûre de pouvoir poursuivre sa noble mission. | | Un grand merci pour votre engagement à la cause de l’École. Priorité à l'Éducation ! | | Sophie Audugé, Déléguée Générale de SOS Éducation |
| P.S. : Retrouvez ici notre rapport d’analyse sur l’éducation à la sexualité dans le cadre scolaire, qui a déjà été téléchargé plus de 8 000 fois ! | | | | | | | | | | | | | | | |
| P.P.S. : Vous pouvez aussi revoir mon intervention du 2 février sur Figaro Live, en cliquant ici ou sur l'aperçu ci-dessous. Je reviens lors de cette intervention sur les événements survenus à Pacé, et je présente le travail de l'Association sur l’éducation à la sexualité dans le cadre scolaire. | | | | | | | | | | | | | | | |
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