mercredi 27 mars 2024

LE FLÉAU DE LA DROGUE EN BRETAGNE ! CE TRAFIC ARRANGE-T-IL TOUT LE MONDE

 


 

 

Drogue. 

Une empoisonneuse arrêtée avec plus d’un kilo d’héroïne en gare de Quimper

Et si le goudron et les plumes suffisait à dissuader les empoisonneurs publics de venir dans nos contrées vendre ou transporter leur came ? 

Une femme originaire de l’Aisne a été interpellée cette semaine en gare de Quimper ce week-end pour possession de 1,4 kg d’héroïne.

L’affaire a pris un tour cocasse lorsque la mule a imprudemment révélé sa cargaison à un gendarme en civil, déclenchant une intervention musclée de la police.

Bavardage incriminant et flagrant délit

Selon Ouest-France, la jeune femme, connue pour des antécédents de consommation de drogue, a été approchée en région parisienne par un individu lui proposant de transporter un colis d’héroïne à Quimper. 

En cours de route, elle s’est montrée loquace au sujet de son “butin” avec un passager, qui s’est avéré être un gendarme en civil.

Dès son arrivée à Quimper, une patrouille de police l’a cueillie à la sortie du train.

 La fouille a permis de saisir 1,4 kg d’héroïne.

 La jeune femme, qui n’avait même pas pris la peine de valider son titre de transport, a été placée en garde à vue, puis déférée devant le juge des libertés et de la détention. 

Une comparution immédiate est prévue ce vendredi 29 mars.

La drogue est un fléau qui est en train de ravager toute une partie de la jeunesse.

 Il est étonnant que les autorités ne souhaitent pas traiter radicalement le problème : pénalisation lourde des consommateurs, films chocs qui terrifient et vaccinent les enfants dès le collège et le lycée (plutôt que de faire intervenir des drag queens ou des gauchistes dans les classes), mise hors d’état de nuire des réseaux de deal (avec prisons spéciales dédiés à ces trafiquants, façon Salvador), et enfin, guerre militaire dans le monde contre les narco trafiquants. 

Il suffit de volonté politique, d’y mettre les moyens. 


A moins que le trafic de drogue arrange finalement tout le monde, même en haut…

 

 ET AUSSI


Santé publique.

 La Bretagne administrative, plus que jamais une terre de consommateurs de drogues et d’alcool ?

Tandis que la cocaïne, le cannabis et plus ou moins tous les produits stupéfiants possibles tombent en pluie sur la Bretagne, nos responsables politiques régionaux semblent bien incapables de prendre la mesure de la situation.

Des quartiers de plusieurs villes bretonnes sont désormais aux mains de narcotrafiquants

Pendant ce temps-là, l’exécutif régional, avec son train de retard habituel, continue de s’émerveiller devant une Bretagne « terre de festivals » et de fêtes en tout genre, jusqu’à l’overdose. Au sens propre du terme !

Cette inconséquence politique recouverte de niaiserie ne prête malheureusement pas à sourire compte tenu de l’état d’une partie de la jeunesse bretonne, engluée dans la consommation de drogues et d’alcool.

À ce titre, le dernier rapport publié à la fin du mois de février 2024 par l’Observatoire français des drogues et des tendances collectives (OFDT) est éloquent.

 

En Bretagne, gauchisme culturel et consommation de cannabis

Le document, basé sur des données collectées en 2022, parle de lui-même : la Bretagne administrative (B4) est ainsi la deuxième région de France (derrière l’Occitanie) où l’on expérimente le plus le cannabis. Parmi les individus âgés de 18 à 64 ans ayant répondu à l’enquête, 52,3 % d’entre eux reconnaissent avoir déjà testé cette drogue.

Par ailleurs, 11,3 % des Bretons reconnaissent en avoir consommé au cours des 12 derniers mois. Sur ce plan, la région arrive en troisième position, derrière l’Occitanie (12,9 %) et la Nouvelle-Aquitaine (11,9 %).

Signe d’une éducation parentale à la dérive mais également d’un naufrage de l’Éducation nationale et d’une influence délétère de la gauche culturelle (omniprésente en Bretagne) sur la jeunesse, le rapport de l’OFDT indique aussi que 36,4 % des Bretons administratifs âgés de 17 ans en 2022 déclaraient avoir déjà testé au moins une fois le cannabis.

De quoi faire de la région présidée par le socialiste Loïg Chesnais-Girard, la championne de France en la matière !

 

Les jeunes Bretons aussi champions pour les autres drogues

Point (légèrement) rassurant de l’étude, avec un jeune Breton sur six susceptible de développer une dépendance au cannabis (16,6 %), la région administrative présente le plus bas taux de l’Hexagone.

 Il n’en reste pas moins que cette proportion demeure considérable pour quiconque se soucie des questions de santé publique !

Le tableau n’est guère plus reluisant pour les Bretons en ce qui concerne les autres drogues : parmi les interrogés ayant 17 ans en 2022, 5,3 % déclaraient avoir essayé au moins une autre drogue que le cannabis.

 Une proportion qui, à l’échelle française, confère une triste nouvelle première place à la région administrative !

Ces jeunes Bretons sont également ceux ayant le plus expérimenté l’ecstasy (3,2 %), la cocaïne (2,6 %) et la kétamine (2 %).

drogués

source : ofdt.fr

Cocaïne et alcool : les Bretons se démarquent encore…

Enfin, dans une France où les passages aux urgences suite à une consommation de cocaïne ont été multipliés par huit entre 2010 et 2022 (avec 23 335 personnes enregistrées) selon Santé Publique France, la Bretagne administrative, fait, là encore, très fort :

La région enregistre ainsi une multiplication par huit du nombre de cas de passages aux urgences, avec 34,4 passages pour 100 000 habitants en 2022, contre 4,3 en 2010.

Enfin, pour ce qui est de l’alcool, à l’exception de l’usage régulier, les jeunes Bretons affichent des niveaux d’usage d’alcool et d’API (alcoolisation ponctuelle importante) supérieurs à la moyenne métropolitaine, l’usage au cours du mois concernant 69,2 % des jeunes de la région (58,6 % sur l’ensemble de la France métropolitaine) et les API répétées, 17,9 % d’entre eux (13,6 % sur l’ensemble du territoire métropolitain).

source : ofdt.fr

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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