TRIBUNE LIBRE ET POINT DE VUE !
Terrorisme et prise d’otages : une leçon sartrienne, bien apprise par le Hamas

Le cessez-le-feu avait à peine débuté que les terroristes du Hamas exécutaient leurs opposants par centaines, tels les Sonderkommandos nazis, d’une balle dans la nuque, à même les rues.
Cette épuration radicale avait pour but d’affirmer leur barbarie, afin de pouvoir conquérir le monde par la terreur.
La puissance du Hamas est devenue un tigre de papier devant l’armée de défense israélienne.
Pourquoi Israël a-t-il mené une guerre de deux ans contre le Hamas ?
– Si l’Iran n’avait pas armé le Hamas, lequel financé, des années durant, par les milliards de dollars d’aides en tous genres des pays occidentaux et par l’argent du pétrole des dynasties qatarie et saoudite, ces guerres d’anéantissement d’Israël n’auraient jamais pu avoir lieu.
1er point ;
– Sans les otages israéliens enlevés 7 octobre, les terroristes du Hamas auraient survécu à leurs massacres programmés juste depuis quelques jours ou semaines tout au plus.
Qu’importe l’opinion mondiale. Œil pour œil, dent pour dent, contre les soldats dormants de l’islam.
2e point.
On retrouve le concept de prise d’otages, en tant que prise de guerre, d’humains pouvant être suppliciés sur la place publique pour affirmer la force, la puissance et l’invincibilité de l’armée du peuple socialiste d’Océania dans le roman 1984 d’Orwell, paru dans les années 49-50.
Dans le chef-d’œuvre d’Orwell, des prisonniers de guerre sont torturés en place publique afin que le peuple se soumette à l’autoritarisme du pouvoir en place.
À Gaza, les terroristes du Hamas, en bons nazislamistes, en bons Sonderkommandos, en bons barbares, liquident leurs opposants palestiniens.
Les rues jonchées de cadavres, pour l’exemple, avaient pour rôle de générer la peur, la crainte, tout en évitant une révolte intérieure ou une tentative de représailles. (Voir photo en titre)
Ce fil directeur nous conduit directement vers un célèbre stratège français écrivain de l’existentialisme, qui va réveiller, actualiser, impulser les concepts de prise d’otages et de terrorisme.
On observe chez cet écrivain une leçon d’ignominie, hélas bien française, plus exactement sartrienne.
L’idéologie destructrice de la nation israélienne par le Hamas est née d’un grand penseur idéologue français des années 60.
Comment pouvait-on imaginer un seul instant que l’antisémitisme décadent de Jean-Paul Sartre aurait pu causer autant de dégâts irréversibles et surtout considérables dans l’histoire de cette petite nation.
Rien d’étonnant venant de cet adorateur de l’Italie mussolinienne, majoritairement vouée à la gloire du fascisme quelques années après la Première Guerre mondiale (1924).
Les visages des Juifs lui donnaient la Nausée.
Leurs mains sales les prédestinaient à l’anéantissement en tant que peuple et en tant que race.
Sartre n’exprima aucune critique envers l’antisémitisme de Vichy.
Collaborationniste de premier plan, on ne trouve aucune trace de résistance chez lui dans les années 39-1945.
Sauf une prétention mensongère à la résistance en 1946, qui m’a permis de lever ce lièvre, pour ne pas mourir idiot.
Cet obsédé de la Réflexion sur la Question juive peinait à cacher sa haine hideuse des Juifs.
Nous sommes dans les années 1960.
JP Sartre écrit dans la Cause du peuple.
On y lit :
1- (sic) : la seule arme dont dispose les pauvres palestiniens est le terrorisme. Avant d’ajouter un discours victimaire, repris plus tard par les Insoumis et la gauche islamo-gauchiste en émoi.
2- (sic) : les terroristes du Hamas, ne sont pas des coupables mais des résistants victimes de la prolifération des Juifs sur terre.
Rien que ça ! Le simple fait qu’ils soient juifs méritent donc qu’ils soient assassinés ?
Alors les anéantir comme des cafards, de la rivière à la mer, devient chose normale, banale, faisable !…
Pire encore, page 151, l’idée de néantisation des Juifs est issue des réflexions paranoïaques de Sartre : ex- marxiste, antisémite, communiste, adepte de l’apologie de la prise d’otages.
3- (sic) : « Il ne s’agit nullement de massacrer les otages sur place, mais de les emmener en un pays arabe où l’on aurait négocié leur vie contre la mise en liberté de prisonniers palestiniens en Israël » dixit Sartre lui-même.
Il fallait le dire et ce psychopathe l’a écrit dans La cause du peuple.

On savait déjà depuis longtemps que le Hamas, entre autres, était l’un des proxys de l’Iran.
Mais ce que l’on n’avait jamais pu imaginer, c’est que le précurseur, l’inventeur du proxy, de la guerre indirecte par procuration contre l’ennemi juif, ce concept a été créé, inventé par Sartre lui-même.
Quand on lit ce qui précède, on ne peut s’empêcher de prolonger notre pensée, et d’affirmer qu’il fut probablement aussi l’initiateur, le corédacteur, l’instigateur, le créateur de la charte du Hamas.
Le vénérable philosophe M. Onfray dans son irremplaçable livre L’autre Collaboration, Les Origines de l’islamo-gauchisme, Ed. Plon, nous révèle ces vérités ahurissantes, inimaginables à couper le souffle.
Après 65 années, le masque sartrien des années 60 est tombé pour sortir son idéologie toxique de son silence complice, pour enfin entrer dans l’histoire.
Une histoire qui conduira au J’accuse d’Émile Zola, puis j’espère à la une de CNews, Frontières, Valeurs actuelles, Causeur et beaucoup d’autres.
Le lien ci-dessous rappelle la charte du Hamas.
On commence seulement, de nos jours, à mieux comprendre qui a initié l’idée de prise d’otages, de déportations, de négociations et d’échanges de vies juives contre la libération de milliers de prisonniers palestiniens ?…

Parlons de cet écrivain engagé célèbre, reconnu partout, porté aux nues dans les années 60, qui aura causé tant de malheurs aux Juifs et à leur État d’Israël en gestation.
Tant de haine, tant de faits à cause de l’idéologie démoniaque d’un seul homme, un penseur français que la gauche montait au pinacle.
Pourquoi cet idéologue irresponsable n’a-t-il jamais été inquiété ni condamné pour son ignominie, pour les conséquences irréversibles et destructrices de sa pensée marxiste, fasciste, communiste, pro-palestinienne, antisémite, antisioniste ?…
Une pensée islamo-gauchiste appliquée allah lettre par le terrorisme palestinien, à la recherche d’une caution solidaire, d’un endoctrinement idéologique fort, capable de mener des foules incultes et panurgiques au chaos.
Le rêve du grand soir d’un gauchiste illuminé, instrumentalisé contre un autre peuple. Il fallait oser !
Est-ce que la mort peut effacer juridiquement toute responsabilité ?
La réponse est NON ! La mort éteint toute forme d’action publique.
Mais les vrais livres d’histoire peuvent ne pas se taire, publier raconter la vérité historique et ses conséquences désastreuses.
Comment cette machine de guerre existentialiste, humaniste, générationnelle et idéologique a-t-elle pu causer autant de désastres, de monstruosités, de conséquences irréversibles soixante-cinq ans plus tard ?
À cette époque, jeune élève de lycée, j’ignorais tout de l’idéologie de cet auteur.
À la demande de mes professeurs sartriens, gauchistes, probablement antisionistes pour certains, on m’a fait lire en livre de poche l’Existentialisme de cet auteur à succès, qui masquait le faux humanisme de cet écrivain engagé.
Jamais je n’aurais imaginé qu’il ait pu finir « incontinent, s’arrosant de pisse, se levant de sièges tachés de son urine, titubant, ivre mort, détruit par une incroyable consommation d’alcool, de tabac, d’amphétamines dont le Corydrane par tubes entiers.
Son hygiène déplorable décrira sa compagne Simone de Beauvoir, faisait de lui un crasseux, sale dégoûtant, puant, exécrable, repoussable, se nourrissant de charcuteries et de viandes en sauces. »
Cette déchéance humaine expliquerait pourquoi cet autodestructeur en mal de soi, en haine de soi, narcissique, incapable de mettre fin à ses jours par manque de courage sera rongé par les remords de la perfidie de ses actes jusqu’à la fin de sa vie.
Il a été le ferment d’une idéologie toxique, islamo-gauchiste, qui a injecté son venin dans le creuset de la cause palestinienne.
Il s’était donné la mission de réveiller en eux haine et destructions contre les Juifs.
Vous avez dit humaniste ?
La mort de l’empathie humaine est le premier signe d’une culture sur le point de sombrer dans la barbarie.
Hannah Arendt
L’idéologie existentialiste de ce soi-disant humaniste s’est nourrie toute sa vie de la haine des Juifs.
À la fin de sa vie, ravagé par les remords, devenu philosémite, pour éviter le purgatoire et l’enfer, il se rapprochera de Manitou, cet ancien trotskiste connu sous le nom de Benny Levy.
Cet ex-militant révolutionnaire devenu juif religieux à la fin de sa vie, a servi à Sartre de confesseur.
Puis, afin de brouiller les pistes de son antisémitisme, son antisionisme viscéral, il adoptera Arlette Elkaïm, son ancienne maîtresse et étudiante d’origine juive.
Devenue légataire universelle de ses biens, elle ferait bien de tout distribuer aux familles israéliennes qui ont perdu un être cher après le pogrom du 7 octobre.
Cela s’appelle une réparation un Tikoun olam.
Ces dons lui permettront d’apaiser ses démons, d’éviter l’enfer sur terre car, c’est bien connu, « bien mal acquis ne profite jamais ».
La Nausée, Huis-clos, les Mains sales, le Mur, étaient certes des titres précurseurs, lesquels, en masquant l’antisémitisme de l’écrivain, préparaient sa descente aux enfers.
Sa perversité abusive s’est révélée dans les comportements de domination, de manipulation affective et de libertinage sexuel dans le sens où, avec Beauvoir, ils entretenaient des relations multiples et asymétriques, s’échangeant mêmes leurs élèves étudiantes au lit.
Son narcissisme était peut-être de nature névrotique, psychopathique, lié à la dépendance aux stimulants.
Mais sa haine antisémite à l’égard de l’État hébreu annonçait déjà l’arrivée d’un nouveau peuple de remplacement.
L’idéologie sartrienne ne s’explique ni par la fatigue ni par son déclin cognitif à la fin de sa vie. Albert Einstein, que j’admire en tant que physicien, n’a pas connu un tel déclin.
Quant à moi, mon immaturité intellectuelle m’empêchait de comprendre à cette époque sa Réflexion sur la question juive, je n’avais que 16 ans… et dévorait livre après livre.
Les enseignants, dont certains étaient issus de la gauche socialo-communiste de l’après-guerre, m’avaient transmis positivement un savoir littéraire et un goût pour les livres.
Ils œuvraient dans un lycée situé dans un bastion de la banlieue est de la région parisienne dite Val-de-Marne.
Un bastion imprenable géré par une municipalité communiste, élue et réélue pendant 65 ans, sans alternance.
Il s’agit de la même municipalité qui hébergera, des années plus tard, Dahbia Benkired, meurtrière algérienne, sous OQTF non exécutée, assassin dans les pires conditions d’inhumanité, avec une effroyable barbarie, de l’innocente Lola, jeune mineure de 12 ans.
Cauchemardesque, inimaginable, odieux, insoutenable horreur !
Depuis, l’idéologie sartrienne n’a cessé de se transmettre, de se développer, de s’affirmer, de se surpasser, de se barbariser au fil du temps pour faire place à une haine antijuive absolue.
Je cherche souvent à comprendre les raisons pour lesquelles ces savants lettrés, fonctionnaires de leur état, capésiens, agrégés, bardés de diplômes, beaux parleurs m’avaient masqué l’idéologie antisioniste et soi-disant humaniste sartrienne ?
À ce jour, j’ignore encore ces raisons.
Mais cette omission cognitive volontaire ou non sur l’antisémitisme sartrien et son pro-palestinisme viscéral visait-elle à me laisser découvrir seul la toxicité, la perfidie, la folie de ce penseur ?
Je remercie sincèrement Michel Onfray de m’avoir éclairé à leur place, des années plus tard.
Il m’a même dédicacé son livre lors d’un voyage en Israël et permis un selfie.
Je partage son livre volontiers avec vous et les éventuelles personnes qui se chargeront d’organiser « le procès sartrien », avant d’expédier dans les poubelles de l’histoire les écrits de cet ignoble intellectuel.
Un écrivain, intello sans philo, qui aura fait tant de mal, causé indirectement tant de morts dans sa vie de petit-bourgeois islamo-gauchiste sans jamais être inquiété (à l’heure des comptes) de la moindre responsabilité.
J’enrage, vous l’avez tous compris.
J’accuse ! Ne récuserai jamais !
Comment en vouloir à mes maîtres gauchistes en soumission, en génuflexion de dévots devant la littérature thuriféraire sartrienne, de ne m’avoir rien dit, rien expliqué mais tout caché ?
Pourquoi aucun débat n’a-t-il jamais été orchestré sur ce personnage gauchiste, diabolique, antisémite ?
Désormais, rien ne sera plus possible car, cinquante-cinq ans plus tard, mes anciens professeurs ne sont probablement plus de ce monde.
Qu’ils reposent tous en paix. Amen.
Y a-t-il pire regret que celui de mourir idiot ?…
Parole d’un professeur à l’ancienne, devenu retraité, plus exactement rayé des cadres selon les termes de l’administration.
Tout a une fin, comme la fin de cette réflexion sur la question sartrienne.
Voyez-vous, j’ai compris la leçon bien mieux que le Hamas.
Par Patrick Granville 2/11/25
Source et Publication : https://ripostelaique.com/terrorisme-et-prise-dotages-
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