dimanche 16 novembre 2025

LA MISÈRE SEXUEL DES MIGRANTS EXPLIQUE-T-ELLE LES VIOLS PARTOUT EN EUROPE ?

 TRIBUNES LIBRES !



La misère sexuelle des migrants peut-elle expliquer la recrudescence de viols à travers l’Europe ?

S’inquiétant de la proportion faramineuse d’individus de sexe masculin d’âge compris entre 18 et 34 ans au sein des flux migratoires, en 2016, le quotidien Il Giornale, titrait « 90% des migrants sont des hommes : nous risquons le terrorisme sexuel. » 

Au-delà du titre choc et de son cantonnement à l’Italie, on est surpris de constater comment, dix ans plus tard, un sujet dont les conséquences sont si lourdes est encore totalement négligé. 

Et ce, par tous les acteurs et les observateurs du phénomène.

 

L’inquiétude de Il Giornale était plus que justifiée en cette année 2016 devait enregistrer le record de 2,3 millions de passages irréguliers des frontières extérieures de l’Union européenne.

 Plus largement, de 2013 à 2022, près de 29 millions d’immigrés, dont une écrasante majorité d’hommes, sont entrés sur ce même territoire.

Et si le risque d’un déséquilibre démographique et social a été évoqué, la sexualité, besoin physiologique de l’être humain, de ces individus est parfaitement passé sous silence. 

 Or, comment peut-on croire un instant que l’importation de millions d’hommes au sommet de la production de testostérone sera sans conséquence ?

Dans le même registre, mais émanant cette fois d’un organe prétendument apolitique comme le Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR), l’ONU déplorait dans un rapport sidérant fin 2024 que 90 % des migrantes étaient violées par les passeurs et par leur compagnons de route lors de leur périple pour atteindre les côtes européennes de la Méditerranée. 

Mais la même ONU, et encore moins l’Union européenne, ne s’inquiète de ce qu’il se passera une fois que ces violeurs auront atteint leur destination et pénétrés dans le vieux continent.  

Comme si cette propension à exploiter et meurtrir le corps des femmes s’arrêtait à la frontière…  

Comme si ces hommes ayant vécu jusque là dans des pays hyper-répressifs où la femme est souvent enfermée allaient soudainement se civiliser au contact de nos femmes libres et de notre justice hyper-laxiste.

Ce document annonce donc formellement que nous sommes face à une bombe à retardement, mais nos dirigeants politiques, les magistrats et les médias de l’information, de la Sicile à la Suède, feignent de l’ignorer. 

 Même en considérant, comme le font ces derniers, que les hommes sont interchangeables et sans culture – et donc que le fait qu’une majorité des migrants proviennent de sociétés où le concept de consentement féminin est méconnu ou bafoué est négligeable -, les drames sont inéluctables.

 C‘est une question de chiffres : ce sont des millions d’hommes qui viennent s’installer en Europe lorsque leur désir sexuel est à son apogée, sans trouver de débouchés sexuels, sans accès aux corps des femmes. 

 

 Attendu qu’il est scientifiquement établi que l’abstinence et la frustration sexuelles augmentent les risques de comportements agressifs et violents, une grande partie de ces individus esseulés et frustrés peuvent représenter un danger pour les femmes. 

À l’instar du Centrafricain Jordy Goukara, le violeur de Mathilde et Claire Gironimi, qui a déclaré lors de son procès avoir agi parce qu’il « avait faim », évoquant un “besoin de rapports sexuels ».

Mais saisis par la peur de ne pas « stigmatiser » les observateurs d’un phénomène qui coule de source, se taisent. 

Et puis tant pis si les femmes et les filles d’Europe devront en subir les conséquences.

Par Audrey D’Aguanno

Crédit photo : DR

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