TRIBUNES LIBRES !
L’Occident veut la guerre !

« La France a toujours été en retard d’une guerre.
En 1914, nous étions fins prêts pour celle de 1870 et en 1940 parfaitement au point pour gagner celle de 14… » (Jean Amadou (1))
Les propos du général Fabien Mandon, chef d’état-major des armées, au Congrès des maires de France, a fait l’effet d’une bombe : ce larbin de Macron a demandé aux maires de préparer leurs ouailles à aller se faire trouer la peau.
Sommes-nous à l’aune d’une troisième guerre mondiale ? Je le crains !
J’ai l’impression – détestable ! – que, pour des raisons, économiques entre autres, tout le monde la souhaite.
Des tas de gens, stratèges de plateaux télé, matamores de Café du Commerce, bellicistes en pantoufles, et autres va-t-en-guerre semblent ardemment prêts à en découdre, surtout ceux qui ne sont pas mobilisables.
Risquer le sang des autres ne demande aucun courage et Macron, ce faux dur, qui n’a même pas fait son service militaire, en sait quelque chose.
Aujourd’hui, on se fait traiter de froussard, de lâche, de pacifiste, quand on ose rappeler que la Première Guerre mondiale – la Der des Der – a fait 18 millions de morts (dont 1,4 million de Français), la Seconde… 60 millions et, compte tenu de l’arsenal nucléaire impressionnant détenu par les futurs belligérants, on peut supposer que la troisième en fera 200 ou 300 millions, voire plus.
Mais peut-être que les tenants du Nouvel Ordre Mondial comptent là-dessus pour régler de façon drastique le problème de la surpopulation mondiale ?
À moins que ce ne soit qu’un moyen de relancer leurs économies malades ou pour camoufler un énorme crash financier à venir ?
On a coutume de dire que l’histoire ne repasse pas les plats mais nous savons pourtant comment l’Occident est sorti de la grande crise de 1929.
Les accords de Bretton Woods, le Plan Marshall, tout ceci semble oublié par des peuples décadents, avachis, embourgeoisés, ramollis, qui cultivent le confort, l’individualisme et le narcissisme égocentrique.
Quand on ose s’inquiéter d’une possible guerre, on nous sert l’esprit munichois, ce poncif qui tourne en boucle dans les médias.
Rappelons à ceux qui pérorent sur le sujet que les accords de Munich, entre l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni et l’Italie (représentés par Hitler, Daladier, Chamberlain et Mussolini), le 30 septembre 1938, étaient un lâchage pur et simple, un abandon indigne, de la Tchécoslovaquie avec laquelle nous avions un traité d’alliance.
La France de Daladier était à la veille d’élections et ne souhaitait pas entrer en guerre sans la présence du Royaume-Uni à ses côtés.
On a donc abandonné lâchement la Tchécoslovaquie. Léon Blum, pourtant favorable aux accords, se disait partagé entre un lâche soulagement et la honte.
Et Churchill a eu cette belle envolée envers Daladier : « Vous avez préféré le déshonneur à la guerre ; vous aurez le déshonneur ET la guerre ! ».
C’est cela l’esprit munichois : le non-respect honteux d’un traité d’alliance.
Pour ma part, le risque d’un conflit nucléaire m’obsède.
Non par peur d’y laisser ma peau, je ne suis plus mobilisable (même si je sais que les guerres modernes tuent trois ou quatre fois plus de civils que de militaires), mais j’ai peur, très peur, d’assister à la fin d’un monde…
Depuis le début du conflit en Ukraine, je ne cesse de clamer que la France aurait dû songer à ses propres intérêts.
Il lui fallait, pour une fois, faire de la realpolitik, refuser les oukases de Macron, de Biden à l’époque, d’Ursula von der Leyen, et ne pas prendre position pour l’une ou l’autre des parties.
Ce conflit, qui a débuté en 2014 sans que cela émeuve l’OTAN, se joue entre deux nations aux histoires intimement liées et imbriquées. L’Ukraine a été baptisée en 1187 d’après un mot slave qui veut dire frontière.
Elle s’étire aux marges du monde russe, dont elle a été le berceau, à la jonction entre le monde orthodoxe et le monde catholique.
À partir du XVIe siècle, beaucoup de paysans ukrainiens s’enfuyaient vers le sud, au-delà des cataractes du Dniepr, et créaient des communautés indépendantes, les Cosaques zaporogues (qui signifie : hommes libres d’au-delà des rapides).
En 1654, las d’être harcelés par les Polonais, ils se plaçaient sous la protection du Tsar de Moscou. Il s’en suivra une longue guerre entre la Russie et la Pologne, qui se terminera par le traité d’Androussovo, le 31 janvier 1667.
La Russie des Romanov récupère la rive orientale du Dniepr. Vingt ans plus tard, Kiev et Smolensk passent à leur tour à la Russie.
Dans l’esprit du Tsar, l’Ukraine est terre russe et n’a droit à aucun statut particulier.
Ainsi le métropolite de Kiev, chef religieux de l’Église orthodoxe ukrainienne, est placé sous l’autorité du patriarcat de Moscou.
Mais les Cosaques et autres Ukrainiens supportent mal le joug russe.
Quand Pierre le Grand entre en guerre avec le roi de Suède Charles XII, le nouveau chef des Cosaques, Ivan Mazeppa, se vend à la Suède.
Et Charles XII, désireux de soutenir son providentiel allié, décide de le rejoindre avec son armée au lieu de marcher sur Moscou.
Il met le siège devant Poltava mais en est délogé par les Russes le 8 juillet 1709. Charles XII et Mazeppa n’ont plus d’autre choix que de demander asile à la Turquie.
C’en est fini, pour deux siècles, des espoirs d’indépendance ukrainienne. La reconquête de l’Ukraine par Moscou est complétée à la faveur des deux premiers partages de la Pologne, en 1772 et en 1793.
Ils font passer l’ensemble du territoire ukrainien mais aussi la Biélorussie sous l’autorité du Tsar. En 1876, la Russie interdit la langue ukrainienne dans les écoles, et la limite aux journaux et la littérature.
De grandes villes sont fondées comme Odessa, Ekaterinoslav, Sébastopol, etc.
Après la Révolution de 1917, l’Ukraine est brièvement indépendante jusqu’en 1920. Le 30 décembre 1922, l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS) naît du Traité qui réunit la Russie, la Biélorussie, l’Ukraine et la Transcaucasie.
Quand Staline déclenche sa révolution industrielle, à la fin des années 1920, l’Ukraine devient l’une des sources indispensables de son financement.
Mais il ne ménage pas les efforts pour réprimer le moindre signe d’un réveil nationaliste ukrainien, interprété comme un rejet du pouvoir bolchevique et une menace pour l’intégrité de l’URSS.
Des exécutions et des déportations d’Ukrainiens, accusés de nationalisme, sont organisées durant les purges staliniennes de 1937-1939 : plusieurs millions d’Ukrainiens sont exécutés ou envoyés dans les camps de travail soviétiques.
À l’été 1941, l’Ukraine est envahie par les troupes allemandes.
À leur arrivée, les Allemands sont reçus en libérateurs par une partie des Ukrainiens.
Mais, en raison des mauvais traitements infligés à la population, les Allemands rencontrent une forte résistance, laquelle va perdurer jusqu’au retour des soviétiques en 1944.
Cependant de nombreux Ukrainiens vont collaborer avec les nazis. Le 28 avril 1943, le haut commandement de la Wehrmacht annonce la création de la Division SS Galicie constituée de volontaires ukrainiens.
Plus de 220 000 Ukrainiens se sont engagés aux côtés des Allemands durant la Seconde Guerre mondiale pour combattre le communisme.
En 1944, l’Armée rouge libère la plus grande partie de l’Ukraine.
À la fin du conflit, le bilan des pertes ukrainiennes est de 8 millions de morts (dont 1,4 million de militaires).
En 1954, le 1er secrétaire du Parti communiste d’Union soviétique, Nikita Khrouchtchev, natif d’Ukraine, transfère la péninsule de Crimée à la République soviétique socialiste d’Ukraine. L’Ukraine est alors considérée comme un modèle au sein des Républiques soviétiques.
Brejnev, qui a dirigé l’URSS pendant 18 ans (de 1964 à 1982), est d’origine ukrainienne, comme Nikita Khrouchtchev.
Puis, en 1989, le Bloc de l’Est se fissure et finit par s’effondrer.
Le 16 juillet 1990, le Parlement ukrainien adopte la déclaration sur la souveraineté politique de la République d’Ukraine.
C’est le premier pas vers l’indépendance complète du pays.
Celle-ci est proclamée le 24 août 1991 et confirmée par le référendum du 1er décembre 1991. Le 8 décembre 1991, la dislocation de l’URSS est actée par les accords de Minsk, signés par les dirigeants russe, ukrainien et biélorusse.
Avec ce bref survol, je veux simplement dire que le désamour entre l’Ukraine et la Russie ne date pas d’hier.
Mais quand ces deux peuples sont entrés à nouveau en conflit, il eût été raisonnable de ne pas nous en mêler. Dès 1991, après la chute du bloc de l’Est, nous aurions dû nous rapprocher de la Russie.
C’était NOTRE intérêt, mais nous avons préféré humilier l’Ogre russe pour complaire aux Américains. Et pourquoi voler au secours de l’Ukraine, qui est archétype d’un État mafieux ?
L’Ukraine n’est pas membre de l’Union européenne pas plus qu’elle n’est membre de l’OTAN. Nous ne lui devons pas aide et/ou assistance.
Qu’elle règle seule son différend avec son voisin russe, et que le meilleur gagne, à la grâce de Dieu !
Et qu’on ne vienne pas m’invoquer le droit d’ingérence humanitaire, ce concept fumeux inventé par Bernard Kouchner, car il est à géométrie variable.
Que ne l’a-t-on invoqué quand l’OTAN a bombardé les civils de Belgrade pendant 70 jours ?
Ou quand la Brigade Azov pilonnait les populations pro-russes de Donetsk et Lougansk ?
Bien sûr, il est de notre devoir d’accueillir et d’aider matériellement les réfugiés ukrainiens, mais notre engagement devrait s’arrêter là. Je le répète, ce conflit ne nous concerne pas !
Faisons ici une courte digression pour dire que les velléités de rattachement à la Russie des enclaves de Donetsk, Lougansk, Kherson et Zaporijjia ne sont ni plus farfelues ni plus scandaleuses que l’indépendance du Kosovo proclamée unilatéralement en 2008. Fermons la parenthèse !
Il importe peu de savoir qui de Poutine, Zelensky, Ursula von der Leyen ou… Macron est celui qui soufflera le plus fort sur les braises, au risque d’attiser un brasier qui ne demande qu’à se transformer en gigantesque incendie. Mais je suis effrayé et abasourdi quand j’entends, dans les salons, les dîners mondains, ou à la télé, le nombre de va-t-en-guerre qui appellent à la croisade du camp du Bien contre la Russie.
Il me semble que le vrai danger qui guette notre pays est la montée de l’islam intégriste.
Le dernier sondage de l’IFOP sur le sujet devrait nous faire réfléchir !
Nous ne sommes absolument pas prêts pour un conflit dit de haute intensité.
Qu’il est facile de menacer, de rouler des mécaniques, d’assurer le vibrionnant Zelensky de notre soutien, mais avons-nous les moyens de jouer les durs ?
Assurément non !
Par Éric de Verdelhan
1) Citation tirée de Les Français mode d’emploi de Jean Amadou ; Robert Laffont ; 2008
ET AUSSI
C’est qui ce général Mandon qui veut envoyer nos enfants à la mort ?

Voilà un général qui nous veut du bien puisqu’il nous demande, pour notre sécurité, d’envisager d’envoyer nos enfants se faire tuer pour l’OTAN et donc pour l’Ukraine qui est actuellement noyée sous un scandale de corruption.
Le général Fabien Mandon, chef d’État-major des armées, alerte les maires sur une situation qui « se dégrade » et prévient qu’il faudra « accepter le risque de perdre des enfants» pic.twitter.com/dC1T4uhqdM
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) November 19, 2025
Qui est ce général sorti du chapeau de notre petit président Macron ?
Les seules guerres qu’il a faites auront été en avion de chasse.
Je décolle, je bombarde et je reviens tranquille, car les pays qu’il a survolés étaient bien incapables de se défendre contre des Mirages 2000 ou des Rafales.

Ascension rapide
Il n’a rien d’un fantassin. Il est même le contraire d’un Bigeard.
Les guerres du général Mandon sont celles qu’il a vues de haut.
Tellement haut qu’il ne pouvait sentir l’odeur du sang, pas même regarder et constater les corps déchiquetés, les membres épars du fait de grenades, et des bombes qu’il faisait tomber.
Je ne critique pas l’aviation, ni les soldats de l’armée de l’air, je dis seulement que seuls les fantassins savent ce qu’est la guerre sur le terrain, et savent que ceux qui sont éparpillés, écartelés, souffrants et en agonie sont des enfants de parents désespérés.
Le général Mandon ne les a jamais vues.
Pourtant, il a été décoré.
Dans ses médailles, on remarquera les étrangères, et particulièrement celle ukrainienne. Il a l’ordre du mérite de l’Ukraine.
Ce n’est pas anodin cette décoration.
Qu’a t-il fait, et quelle haine l’habite ?

A contrario, qui est Jeffrey Sachs ?
Un universitaire et économiste américain ; il dirige et enseigne à l’Institut de la Terre de l’université Columbia.
Il est consultant spécial auprès du secrétaire général des Nations unies António Guterres.
Lui non plus ne sait pas la souffrance d’un fantassin, par contre il dit des vérités.
De ces vérités que nous cache le général Mandon, porte-parole d’un Président qui veut jouer à la guerre.
Ce qu’il dit sur cette vidéo, les présidents Emmanuel Macron, François Hollande, Nicolas Sarkozy et Jacques Chirac le savaient.
Cette guerre en Ukraine est une volonté des USA et de son bras armé l’OTAN avec la complicité de tous les dirigeants de l’UE d’hier et d’aujourd’hui.
La mort des Ukrainiens, ils s’en fichent, tout comme la mort de nos enfants demain pour soutenir l’Ukraine corrompue, et venir au secours de pays baltes complément obsédés par la peur de la Russie.
La Russie n’est pas l’Allemagne nazie, Poutine n’est pas Hitler.
C’est oublier in fine que c’est grâce à la Russie que les troupes allemandes ont été vaincues.
C’est une honte des dirigeants français, depuis la mort de Pompidou, d’avoir placé la France dans une position de colonie des USA.
Voir en rangs serrés ces dirigeants européens devant le bureau ovale du maître des USA fut une aberration que jamais de Gaulle n’aurait faite.
Par Gérard Brazon
https://ripostelaique.com/author/gerard-brazon

Macron-Mandon veulent nos enfants : qu’ils viennent les chercher !
Le général Fabien Mandon, chef d’état-major des armées, alerte les maires sur une situation qui « se dégrade » et prévient qu’il faudra « accepter le risque de perdre des enfants ».
Lecteur vidéo
Mandon-Macron et toute votre bande de nécrophiles galonnés… la France, nos libertés, les Philippine, les Thomas et autres Lola ne vous suffisaient pas ?
Il vous faut à présent tous nos gosses, et hop ! En vitesse, et que ça saute.
Ils ont osé. Mandon a osé, de connivence avec l’autre, forcément : “Il faudra que la nation accepte le prix du sang.”
Le prix du sang… Tu m’étonnes, Mandon.
Sauf que le sang, c’est pas le tien.
C’est celui de nos gosses de 18 ans qui se demandent, dans la France ruinée par Macron, s’ils auront un jour un vrai boulot, un CDI et s’ils pourront, comme leurs parents, aller danser et jouer aux cartes avec des amis et rentrer sans risquer décapitation ou coup de poignard dans le dos.
Attention seuls NOS gosses sont visés, évidemment.
Les autres, les vôtres, ceux de la clique médiatique et politique s(er)ont à l’abri à New York, Londres ou Istanbul…
Vous voulez nos gosses ?
Venez les chercher.
On vous attend avec le fusil de chasse du grand-père.
Je sais, vous pavoisez, vous avez réussi à nous voler nos armes, à nous interdire d’en avoir… mais partout en France il y a des chasseurs.
Plus d’un million, et ils sont déterminés.
Et les chasseurs, ils tiennent à leurs gosses, ils savent tirer, ils savent monter des embuscades.
Et nous, qui sommes désarmés, il nous restera les fourches, le gros sel, le plomb, l’huile bouillante, nos ongles, nos couteaux…
Dans chaque tiroir de cuisine il y a des couteaux à découper, redoutables, des ficelles pour attacher…
Nos ancêtres, en 1789, ont fait la révolution à mains nues.
On saura faire.
Il n’y aura pas de quartier pour les monstres, pour les charognes en costume-cravate ou en treillis.
Rappelez-vous les tricoteuses admiratrices de la Veuve, on va la ressortir…

Ordures d’ogres que vous êtes, vous crachez à la gueule de tous les parents de France et de Navarre.
On ne l’acceptera pas.
Ne comptez pas trop sur vos amis des banlieues islamisées, ils ne se mouilleront pas pour vous, ils attendront qu’on fasse le boulot.
Parce que le robot Macron n’a pas de gosse, il veut tuer ceux des autres pour ne pas se sentir isolé, par haine de la vie, de la France, des Français ?
Espèce de salauds ! Que croyez-vous ? Qu’on est en 14-18 avec des citoyens peu éduqués mais patriotes, faisant confiance en leurs dirigeants, pensant vraiment ne pas avoir le choix, pensant vraiment que la France, leurs enfants et la liberté sont en danger !!! ???
C’est fini ce temps-là.
L’antimilitarisme et le patriotisme ont reculé chez nous mais ceux qui y croient encore sont tout sauf macronistes, ils sont essentiellement patriotes et ils savent que la défense de la patrie et de nos enfants c’est davantage Poutine que Macron qui en a le souci et la volonté.
Poutine aime ses concitoyens, son pays.
Macron déteste les Français et la France.
Il n’aime que lui-même et le pouvoir.
Il veut la guerre pour conserver le pouvoir, ce Narcisse buveur de sang…
S’il croit qu’on va se battre pour ses yeux de fou…
Que croyez-vous, Macron-Mandon ?
Que nous accepterons, en bons moutons, que nos enfants soient hachés menus, brûlés vifs par des drones pour que vous ayez votre petite guerre dégueulasse pour enfin exister ?
Vous avez vraiment osé cracher dans la gueule de tous les parents de France en disant qu’il faudra « accepter » que nos enfants soient hachés menu, brûlés vifs, éventrés par des drones kamikazes, tout ça pour que vous ayez enfin votre petite guerre bien dégueulasse à vous mettre sous la dent.
Pauvres tarés démoniaques, vous avez envie de jouer à Risk avec de vraies vies et vous croyez vraiment qu’on va vous laisser faire ???
Nos enfants ne sont pas des viandes à canon. Et s’il faut aller combattre avec Poutine contre vous on le fera.
Lui, il rend les enfants, il les protège.
Il a fait la guerre pour protéger les petits russophones bombardés par le nazi Zelensky.
Z’êtes jaloux, hein, c’est pour ça que Macron l’ordure le jalouse à ce point.
Macron qui nous provoque, qui nous cherche, qui cherche à être pendu haut et court place de la Concorde, dirait-on…
Il trouvera la mort au bout du chemin avec ou sans procès s’il touche à un cheveu de nos petits.
Qu’on se le dise.
Bien sûr je ne sais pas ce que pensent et feront les Français, les résistants français, mais je me fonde pour écrire cela sur l’histoire.
L’histoire de la France et des Français.
Par Christine TASIN
https://resistancerepublicaine.com/
jmlb
Mr MACRON , Ça ne vous suffit pas ?
vendredi, 21 novembre 2025
AU MOMENT OÙ LES VA-T-EN-GUERRES MACRONISTES S'ÉGOSILLENT, IL EST TEMPS D'ÉCOUTER À NOUVEAU CE QUE NOUS ENSEIGNAIT JEAN-MARIE LE PEN
C'était le dimanche 13 octobre 2019, à Rungis (94), au Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale
VIDÉO: https://www.youtube.com/watch?v=S4XQXjenzlQ&t=8s
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00:25 Publié dans Jean-Marie Le Pen



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