TRIBUNES LIBRES !
Grande victoire judiciaire de Riposte Laïque, mais il faut en finir avec le scandale « anti-raciste »

Il faudra garder cette vidéo qui, curieusement a disparu des sites officiels, pour l’éternité.
Rappelons rapidement que, en pleine période de folie covidiste, Pierre Cassen, qui fait une vidéo quotidienne depuis plus de sept ans, avait ironisé, suite à un nouvel attentat islamiste dans les rues de Paris, en expliquant à Castex, dans un humour au second degré, qu’il fallait faire une application téléphonique « Stop islam », plutôt que « Stop Covid », jugeant la religion des fous d’Allah plus dangereuse que le fameux variant du covid.
C’est un scandale que SOS Racisme ait pu faire un signalement au parquet, après une telle vidéo.
C’est un scandale que le parquet de Paris, aux ordres du gouvernement, ait déposé plainte contre Pierre Cassen pour sa vidéo, et contre Guy Sebag, directeur de publication de Riposte Laïque, pour l’avoir relayée sur notre site.
C’est un scandale que le procureur Camille Viennot ait demandé à la 17e chambre, outre de lourdes amendes, 4 mois de prison avec sursis contre Pierre Cassen et Guy Sebag.
C’est un scandale que les avocats de SOS Racisme et de tous les autres associations dites « antiracistes », ainsi que tous les procureurs de la République, se permettent d’insulter systématiquement, à chaque procès, Riposte Laïque et ses animateurs, et les qualifient de « racistes, pétainistes, fascistes, voire de nazis ».
C’est un scandale que trois juges de la 17e chambre, qui rendent la justice au nom du peuple français, aient pu condamner nos deux amis à 15 000 euros d’amende.
C’est un scandale que maître Pichon ait dû, au nom de Riposte Laïque, faire appel d’une telle décision, avec les coûts que cela engendre pour notre site.
C’est un scandale qu’en appel, le procureur Pascal Fourré ait pu demander, lui aussi, 4 mois de prison avec sursis contre Pierre Cassen et Guy Sebag, et surtout 10 000 euros d’amende contre chacun.
C’est un scandale que le procureur Pascal Fourré, furieux que Pierre Cassen lui ait tenu tête, ait pu demander, en outre, un stage de citoyenneté contre notre fondateur à effectuer au mémorial de la Shoah.
C’est un scandale qu’en appel, l’avocat de SOS Racisme ait pu demandé, lui, 20 000 euros de dommages et intérêts contre chacun des accusés.
C’est un scandale qu’à l’issue des plaidoiries, les animateurs de Riposte Laïque se voient donc, au total, menacés de 60 000 euros d’amende et de dommages et intérêts, de 4 mois de prison avec sursis, et d’un stage de citoyenneté pour le fondateur.
C’est un scandale que dix ans après le Bataclan et Charlie Hebdo, on puisse se retrouver au tribunal et se faire insulter pour une vidéo humoristique.
C’est un scandale que le parquet demande des peines plus sévères contre Pierre Cassen et Guy Sebag que contre le rappeur Nick Conrad, qui appelait à « pendre les Blancs et à brûler les enfants blancs ».
C’est à l’honneur de la Justice que trois magistrats aient décidé, ce jour, malgré la pression qui doit peser sur eux par leur hiérarchie, de relaxer Pierre Cassen et Guy Sebag, désavouant ainsi le verdict inique de la 17e chambre.
C’est un scandale que, comme tous les procès victorieux qu’il remporte, Riposte Laïque, qui ne vit que par les aides de ses lecteurs, sans subvention publique, contrairement à ceux qui mènent un djihad judiciaire contre notre site, soit affaibli économiquement par la plainte, car non remboursé de ses frais de justice.
C’est un scandale que, gavés de subventions par nos impôts, les dirigeants de SOS Racisme, Sopo en tête, se permettent de traîner Riposte Laïque en cassation, suite à leur cinglante défaite, obligeant notre site à de nouveaux frais judiciaires qui mettent en danger notre petite trésorerie.
C’est un scandale que la gauche Pol Pot, qu’incarne parfaitement Sopo, mais tant d’autres, multiplie, dans tous les domaines, des procès et des demandes d’interdictions de spectacles et de fêtes, contre des patriotes qui osent défendre la liberté d’expression et l’identité française.
C’est un scandale que la stratégie des prétendus antiracistes soit d’opérer un véritable djihad judiciaire contre les dissidents, dans le but de les asphyxier économiquement, afin de les faire taire à jamais.
C’est un scandale que le faux anti-raciste Sopo, qui nie le racisme anti-Blanc et qui a comparé Jean Messiha à un chameau, puisse encore être président de SOS Racisme.
C’est un scandale que des associations liberticides puissent déposer plainte contre des personnes qui ne leur ont causé aucun préjudice, et se comportent en racketteurs de leurs opposants politiques.
C’est un scandale que les lois liberticides Pleven-Gayssot-Taubira existent encore et qu’elles ne soient pas abrogées.
C’est un scandale qu’on ne coupe pas les subventions de toutes les associations parasitaires de l’antiracisme et de l’anti-homophobie.
C’est un scandale que la France, pays des libertés, ne soit pas régie par l’article 1 de la Constitution américaine garantissant la liberté d’expression de ses citoyens.
C’est un scandale qu’Éric Zemmour croule sous les procès, que Jean-Eudes Gannat ait échappé de peu à la prison, que Frontières soit harcelé judiciairement, que le RN soit persécuté par une justice politique, que des dizaines d’associations patriotes aient été dissoutes, et que des miliciens agressent en toute impunité des citoyens français coupables d’aimer leur pays.
C’est un scandale que ceux qui se retrouvent devant les tribunaux soient diabolisés et salis par les médias parce qu’ils défendent les libertés publiques, et que les maître-censeurs liberticides soient considérés comme incarnant le camp du Bien.
C’est un scandale que dix procès attendent encore Riposte Laïque.
La France de Macron-Mélenchon est un scandale permanent qui ne tient que par la complicité des médias de propagande.
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Stop Covid-Stop islam : une relaxe de Riposte Laïque, poursuivi par SOS Racisme, qui fera date

COMMUNIQUÉ DE RIPOSTE LAÏQUE ET DE RÉSISTANCE REPUBLICAINE
Une relaxe de Riposte Laïque, poursuivi par SOS Racisme, qui fera date
Pour cette vidéo humoristique de Pierre Cassen, intitulée « Et si Castex remplaçait l’application Stop Covid par Stop islam », le parquet, suite à un signalement de SOS Racisme, a déposé plainte contre Riposte Laïque.
La 17e chambre correctionnelle de Paris avait condamné, en 2024, Guy Sebag, le directeur de publication de Riposte Laïque et Pierre Cassen chacun à 8 000 euros, alors que le parquet avait, en outre, demandé des peines de prison.
La cour d’appel de Paris vient de décider, malgré des requêtes exorbitantes de SOS Racisme et du parquet, de relaxer les deux accusés, au nom de la liberté d’expression d’abord, et ensuite parce que les juges ont considéré qu’il était difficile de ne pas condamner le rappeur Nick Conrad, qui appelait à « pendre les Blancs et à brûler leurs enfants », et de condamner lourdement Guy Sebag et Pierre Cassen pour une vidéo qui se voulait humoristique.
C’est une grande victoire pour la liberté d’expression et une jurisprudence très importante pour les dissidents, trop souvent persécutés par des associations antiracistes qui n’en ont que le nom.
Cette victoire est d’autant plus exceptionnelle que le combat paraissait inégal entre l’appareil d’État incarné par le parquet, une association gavée de subventions et protégée par le pouvoir, et Riposte Laïque, qui ne vit que des dons de ses lecteurs et subit un véritable djihad judiciaire.
Dans un contexte où le régime de Macron ne cache plus sa volonté, au nom de la défense de la démocratie, de museler toute parole sur les réseaux sociaux et ailleurs qui n’irait pas dans le sens du politiquement correct imposé par l’Union européenne, dans un contexte où le jeune militant identitaire et patriote Jean-Eudes Gannat a frôlé la prison pour avoir montré le réel, Riposte Laïque et Résistance républicaine se félicitent que des juges fassent encore du droit, et pas de la politique.
Riposte Laïque et Résistance républicaine appellent tous les citoyens de ce pays attachés à la liberté d’expression à ne pas se laisser intimider par les menaces, et plus que jamais à dire ce qu’ils voient, et à alerter nos compatriotes sur la réalité de l’islam et le danger mortel que ce dogme politico-religieux fait courir à la France.
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SOS Racisme : y’a bon, subventions…
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Dominique Sopo, président de SOS Racisme depuis 22 ans…
SOS Racisme a été créé en octobre 1984.
Selon Atlantico : « SOS Racisme est fondé par Jacques Attali, Julien Dray avec le renfort de l’Union des étudiants juifs de France ».
Parmi les cofondateurs : Harlem Désir, Gérard Filoche, Marc Ladreit de Lacharrière, Daniel Saada, Bernard Pignerol et Bernard-Henri Lévy.
Le tout est piloté par Tonton depuis l’Élysée.
Un Tonton qui a parfaitement compris qu’avec cette « assoce » dans l’air du temps, le PS procédait à un solide investissement.
La création de « l’assoce » intervient un an après la « Marche pour l’égalité et contre le racisme » appelée aussi « Marche des beurs ».
Harlem Désir en est le premier président, tandis qu’Éric Ghebali, le président de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF) où le frère de Julien Dray milite aussi, en est le premier secrétaire général, un poste moins médiatisé mais tout aussi important dans la logistique de la boutique.
À la présidence se succèdent ensuite Fodé Sylla, Malek Boutih et, en 2003, Dominique Sopo.
C’est tout ? Oui, c’est tout : Sopo est accroché à son poste de président depuis 2003.
Ça fait donc 22 ans que Sopo préside aux destinées de » l’assoce », c’est vous dire si la soupe est bonne.
Ah non !
En 2012, ils mettent Cindy Leoni, une femme de paille, à la tête de l’association ? Pourquoi ?
Parce que Sopo est convaincu que François Hollande va le faire nommer ministre, pour mettre de la couleur dans son gouvernement, et pour la symbolique.
Il en a eu la promesse.
Sauf que Ayrault nomme son gouvernement, et que Sopo reste à la porte.
Donc, il attend deux ans, se disant que son tour viendra, et faute de quoi, il vire Cindy Leoni, et redevient président de SOS Racisme.
Quant à Cindy Leoni, elle deviendra sous-préfète et haut fonctionnaire.
Dans un autre registre, Fodé Sylla deviendra député européen, sera planqué au CESE, et on lui trouvera un poste d’ambassadeur itinérant du Sénégal.
Harlem Désir deviendra député européen, bien planqué à Bruxelles pendant trois mandats à 10 000 euros par mois, tous frais payés, il prendra la tête du PS avant de se faire virer pour incompétence notoire, et finira bien planqué par le Gouvernement français dans les instances européennes.
Quant à Malek Boutih, il se fera embaucher par les Qataris du PSG pour défendre l’antiracisme dans le club de la capitale.
Elle n’est pas belle, la vie d’antiraciste ?
Les objectifs affirmés de l’association sont de construire une « république métissée » qui assure « une égalité à tous ».
C’est du Rachid Méluche avant la lettre.
Harlem Désir relate à l’Humanité que BHL conçoit pour l’association « un plan de bataille [médiatique] en or massif ».
Ce sera surtout une pompe à finances publiques en or massif.
L’opacité des comptes est naturellement de rigueur : pour vivre heureux, vivons cachés.
Les seuls comptes jamais publiés par l’association datent de… 2009. SOS Racisme est donc en infraction depuis 16 ans avec l’article 612-4 du Code de commerce, qui oblige les associations loi 1901 à publier leurs comptes dès qu’elles ont reçu plus de 153 000 euros de dons.
Sans aucun dommage pour « l’assoce ».
Dévoilé grâce à une enquête des Contribuables associés, le budget 2015 de 1,4 million d’euros a été couvert à 87 % par des subventions publiques (État, DILCRAH, ministères, collectivités).
« L’assoce » n’a jamais communiqué sur son nombre d’adhérents, sauf en 2015 où Sopo a annoncé 8 000 potes.
Pas vraiment un succès de foule, mais aucune importance : « l’assoce » vit grassement d’argent public.
SOS Racisme n’a pas simplement touché de l’argent public, il a surtout diffusé sa doctrine dans toutes les couches de l’État.
Pour percevoir des subventions, il a signé comme la loi le demande des conventions avec les ministères concernés.
Plusieurs sont visibles sur Internet, notamment une convention-cadre de 2007 avec le ministère de la Justice.
Rachida Dati, garde des Sceaux de l’époque, a jugé bon de requérir SOS Racisme pour « informer l’autorité judiciaire des difficultés rencontrées par les [discriminés] et des solutions préconisées ainsi qu’à favoriser l’émergence de plaintes chez les victimes de faits susceptibles d’être constitutifs d’une discrimination ».
La convention de Rachida Dati a opéré un rapprochement avec tous les parquets de France, dont l’association est devenue un supplétif officiellement agréé par la Chancellerie : « l’assoce » désigne des mal-pensants à la Justice, qui se fait un devoir de diligenter des mises en examen.
La convention de 2007 a ainsi mis en place « modules d’enseignement spécifiques » pour l’École nationale de la magistrature et l’École nationale des greffes.
Des conventions comme celle-là, SOS Racisme en possède d’autres :
Éducation nationale, logement, politique de la ville, Jeunesse, sport, Culture, Droit des femmes, Enseignement supérieur, et Intérieur.
Signalons également les conventions avec l’Agence des territoires et les universités.
SOS Racisme est une affaire juteuse encore promise à un bel avenir.
Tonton était décidément un grand stratège.
Par Henri Dubost
Source et Publications: https://ripostelaique.com
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