samedi 22 novembre 2025

HISTOIRE : LA MACRONIE VEUT " SA " GUERRE ! LE SACRIFICE , SAUF POUR EUX ?

 



 

TRIBUNES LIBRES !
Perdre ses enfants à la guerre relève du sacrificiel cosmique

 
 
  
 
 

Propos du général Mandon : la provocation de trop

Mardi 18 novembre 2025. 

Lors du 107e congrès des maires, à Paris, devant près de 13 000 maires, le chef d’état-major des armées, Fabien Mandon, tenait un discours anxiogène et alarmiste.

 Il a évoqué l’outil militaire français, il a décrit le contexte géostratégique du moment, il a insisté sur la menace russe, et a invité les Français à se préparer à la guerre, n’hésitant pas à suggérer la nécessité de la mort des jeunes Français.


« … Les femmes et les hommes, qui sont aujourd’hui employés partout dans le monde, ont entre 18 et 27 ans sur le terrain. 

Ils sont jeunes, ils viennent de vos communes, ils ont les mêmes aspirations.

 Ils tiendront dans leur mission s’ils sentent que le pays tient avec eux.

 Si notre pays flanche, parce qu’il n’est pas prêt à perdre ses enfants, parce qu’il faut dire les choses, de souffrir économiquement parce que les priorités iront à de la production de défense par exemple.

 Si on n’est pas prêt à ça, alors on est en risque. Mais je pense qu’on a la force d’âme… »

Le général Mandon s’exprime en service commandé. 

Son discours est un tissu de mensonges. 

D’abord, la Russie ne menace pas ni la France, ni l’Europe. 

Au contraire, la France de Macron et l’Union européenne de Ursula von der Leyen menacent la Russie.


Ensuite, l’armée française, insuffisante en matériel et en hommes, serait incapable de mener une guerre contre la Russie.


Enfin, les causes officielles de l’intervention de la Russie en Ukraine en 2022 sont fausses. 

D’autres ont très bien analysé et démontré les arguments mensongers.
 

Guerre larvée partout dans le monde, réchauffement climatique, immigration africaine… 

Le général Mandon brosse un tableau apocalyptique de la situation, dans le but de faire peur, de préparer les esprits à la guerre, en total accord avec Macron.

 

 Une grande partie de la classe politique manifeste sa colère et ne supporte pas que la France accepte de perdre ses enfants à la guerre, d’autant que cette guerre n’aurait aucun fondement. 

La caste macronienne réplique aussitôt et soutient sans réserve les propos bellicistes et dangereux du général Mandon.

Ainsi, Macron et sa clique veulent la guerre et envisagent la mort des jeunes comme une extrémité indispensable, une exigence fondamentale, une fatalité primordiale.

 Ils omettent un mot, un mot pourtant capital : le sacrifice. 

Car il s’agit bien de sacrificiel.


 

La Révolution antichrétienne a fait couler le sang impur pour abreuver le sillon de la Terre-Mère. 

Le mondialisme cosmopolite impose un culte du Cosmos, donc réactive le sacrificiel archaïque.
 

L’homme des sociétés agricoles antiques ignore Dieu et ne croit pas que la Nature lui a été donnée. 

Il n’a donc pas d’explication au miracle agricole : la naissance dans la terre des tubercules et des arbres à fruits. 

L’agriculteur primitif a une réponse religieuse : un passage du chaos à l’ordre par un meurtre primordial, le sacrifice divin qui a contenté la Nature.


Manger le fruit ou le tubercule est manger le dieu. 

C’est une communion cosmique, un meurtre commis par l’homme et sur l’homme, parce que l’homme est analogue à la déesse Nature.
La divinité primordiale se sacrifie pour que la vie resuccède à la mort.

 L’agriculteur doit renouveler ce meurtre. Ainsi naît la première violence sacrificielle. 

Le cultivateur associe son propre travail à un assassinat.

 Avec la plante, il mange le dieu assassiné.

Dans la religion cosmique, un sacrifice de la divinité a eu lieu en un moment mythique primordial.

 Ce sacrifice a permis l’ordonnancement du chaos en Cosmos, et doit être renouvelé. 

C’est pourquoi les rites sacrificiels visent à la remémoration du meurtre primordial. 

Les contemporains qui vénèrent le Cosmos pratiquent ces rites sacrificiels, de manière symbolique ou de manière réelle.


Dans les cultes cosmiques, le sacrifice est humain.

 Dans les sociétés primitives, le sacrifice humain a un double objectif : d’une part, réconcilier les clans, d’autre part, satisfaire la déesse Nature. C’est ce qui s’est passé dans la Révolution. 

Et la Révolution continue, comme Vincent Peillon l’a proclamé.
 

Les primitifs sacrifiaient une victime innocente, un tiers. 

C’est injuste, mais l’histoire s’est déroulée ainsi, aux temps primitifs, comme aux Temps modernes. 

Il faut à la paix un bouc émissaire, un bouc émissaire innocent. La violence est dans l’homme, et le sacrifice d’une victime apaise la violence.

Dans les sociétés primitives, la victime sacrificielle est généralement une jeune fille, vierge de préférence, symbole de l’innocence. 

Parfois, plusieurs jeunes filles sont sacrifiées, en fonction de la dimension de la terre cultivée.

 Elles servent d’humus, ou d’engrais. 

Avec la plante, on mange la victime humaine, comme on mange la divinité. 

C’est une sorte de communion cosmique.

 On retrouvera ce rite en Grèce, dans le dionysiaque.


Aux temps primitifs, pour rétablir la paix, des jeunes filles sont sacrifiées. Et les féministes servent la ré-volution qui revient aux temps primitifs.

 De même, Macron et ses sbires prévoient le sacrifice de jeunes hommes innocents pour sortir du chaos qu’ils ont provoqué. 

Plus encore, le sacrifice d’une partie de la population avec un ARN messager mortel disséminé partout, dans l’atmosphère, dans les aliments, dans les vaccins. 

Personne ne pourra y échapper.

Déesse Nature a soif du sang humain. 

Cela s’est confirmé avec la Révolution. Le Roi était innocent.

 Les nouvelles générations lancées dans les guerres de l’Empire, et dans les guerres modernes, ont été sacrifiées au Cosmos, pour établir le cosmopolitisme. 

Ce ne sont pas les chefs qui sont morts.

Les initiés au pouvoir se sont gorgés du sang des conscrits innocents, morts pour rien, dans des conditions effroyables, sinon pour satisfaire le plan des milliardaires.
 

La Révolution a fait renaître le sacrificiel archaïque.

 Cette régression est d’une grande actualité avec le projet de réduire la population mondiale par tous les moyens.


Dans les guerres modernes, mondiales ou ethniques, les victimes sont innocentes, comme aux temps primitifs. 

C’est normal, nous avons accepté la révolution, c’est-à-dire le retour aux cultes cosmiques.


Mais les masses ne connaissent pas les croyances cachées des dirigeants occultes, les rituels qui datent de la fondation du monde et que les adeptes du Diable ont fait renaître.

 

Pour René Girard, philosophe français (1923-2015), la crise sacrificielle, c’est-à-dire le déchaînement de la violence, est provoqué par une indifférenciation entre une violence impure et une violence purificatrice. 

La violence impure s’inscrit dans un cycle de vengeances. Le premier conflit appelle à une vengeance, qui en appelle une autre, et ainsi de suite.
 

La violence purificatrice injuste est celle du sacré. 

Pour interrompre le cycle, les sociétés primitives recourent au sacré, au sacrifice des humains.

 Cette violence s’exerce sur un bouc émissaire, victime nécessairement innocente.
 

La crise sacrificielle naît quand la violence sacrificielle se confond avec la violence impure.

 C’est le cas aujourd’hui.

 Des innocents sont sacrifiés pour sortir du chaos et régénérer le monde. La crise sacrificielle brise le dogme du progressisme.

La crise sacrificielle est au centre de l’Histoire. 

Des mécanismes victimaires sont censés éteindre la violence. 

Dans les religions cosmiques, le sacrifice humain perpétue l’ordre du Cosmos.

Dans la Bible, Dieu est transcendant au Cosmos. 

Le dualisme métaphysique, la distinction entre deux Êtres, l’Être de Dieu et l’Être de l’Univers, rend inutile le sacrifice humain. 

Le sang n’a plus à être versé pour féconder la Terre-Mère.


C’est pour cela que Dieu retient le bras d’Abraham. La première Alliance épargne le premier né, c’est déjà une révolution du sacrificiel cosmique. 

Mais ce progrès sociétal dû au judaïsme est insuffisant.

Dieu décide de sacrifier le Fils. 

Dieu offre son Fils unique pour abolir définitivement le sacrificiel cosmique. 

La paix qu’offre la Croix vient du sacrifice du Fils de Dieu.

 La paix révolutionnaire ne peut s’obtenir que par le sacrificiel cosmique, par le sacrifice des innocents.

À partir de la Révolution, il y a une régression sociétale.

En effet, la Révolution fait table rase du sacrifice suprême.

 Elle est une ré-volution, un retour aux cultes du Cosmos, donc au sacrificiel du Cosmos. 

Avec la déchristianisation, l’humanité re-chute.


Et l’Histoire le démontre. 

Le sacrificiel cosmique renaît avec les régressions de l’Islam, de la Renaissance, de la Réforme, puis se déchaîne avec la suite logique, les Temps modernes et la marche vers le mondialisme.

Nous vivons l’ère démocratique, c’est-à-dire le temps du mensonge et de la déchristianisation. 

Les adeptes du Diable font croire aux peuples que la Démocratie pacifiera le monde, et apportera le bonheur sur terre. Ils mentent. 

Cette utopie fallacieuse est entre les mains des forces occultes qui dominent le monde, qui gouvernent la France avec Macron à sa tête. 

Le but est d’abord religieux, éradiquer la tradition chrétienne. 

Cette guerre religieuse implique la violence.

Le Diable redoute la paix chrétienne qui abolirait les sacrifices.

 Il veut la mort du Christ pour exacerber les crises qui provoquent les sacrifices. 

Dans le mécanisme de la violence, les scandales s’enchaînent.

Le sang appelle le sang.


Le sacrificiel archaïque réactive le monde moderne parce que son politique, la Démocratie, est une utopie mensongère.

 En aucun lieu, à aucun moment, la Démocratie n’a permis le pouvoir du peuple. 

La Démocratie consiste en une exploitation et une manipulation des masses. La Démocratie macronienne déploie en permanence cette trahison.

La violence naît de Satan, ou du Diable, l’Adversaire, le Prince du mensonge, le singe de Dieu.
 

Satan veut que l’homme l’imite, s’abandonne à tous ses penchants, au mépris de la morale et de ses interdits. 

Depuis Mai 68, le satanisme est d’actualité : la libération sexuelle, le genre, l’éducation à la sexualité, la cérémonie des Jeux olympiques 2024 à Paris…


Pour obtenir le Chaos, Satan provoque le désordre, et propose la solution, la fausse paix. Il fait croire qu’il agit au nom du Bien

. C’est l’inversion. Satan fait passer le Mal pour le Bien, simule une lutte contre le Mal. Il devient un principe d’ordre.

 Il singe Dieu, le principe d’ordre, et propose la paix à la place de Dieu.

 De même, la Démocratie prétend établir la paix, alors qu’elle multiplie la guerre.


Satan accuse l’innocent dont le sacrifice doit rétablir la paix. Ainsi, il persuade les humains de perpétuer le sacrifice. 

La foule démocratique est un troupeau de dupes que Satan instrumentalise. 

La foule démocratique est donc actrice et spectatrice de la crise sacrificielle du monde moderne.

C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui. Macron, par la voix du général Mandon, appelle au sacrifice de la jeunesse française, dans une guerre destructrice et inutile, et scrute les réactions. 

Dans la salle où est prononcé le discours, les maires restent silencieux. Aucune voix ne s’élève contre cette abomination. 

Macron est sans doute illuminé, un homme de la ré-volution, comme beaucoup d’élus, comme beaucoup de dirigeants politiques dans le monde. 

Tous reviennent aux cultes cosmiques et au sacrificiel. 

Et les peuples demeurent cois, figés, désarmés.

 

Par Jean Saunier

N. B. Ce texte s’appuie sur des faits historiques.

Les notions contestables par certains de Dieu et de Satan peuvent être remplacées par les symboles du Bien et du Mal.

 

ET AUSSI

 

Propos du général Mandon : la provocation de trop

 
 
  
 
 

Médias et macronistes feignent de ne pas comprendre la levée de boucliers dans l’opinion suite aux propos du très maniéré Général Mandon – par ailleurs ami personnel d’Emmanuel Macron. Selon lui, les Français doivent « accepter de perdre [leurs] enfants » en cas de conflit avec la Russie.

Or ce n’est pas par anti-patriotisme que les Français sont outrés par cette saillie délirante, c’est parce que la majorité de nos compatriotes, contrairement à une minorité de boomers fêlés, ne se sentent nullement menacés par la Russie, malgré les tensions provoquées par nos gouvernants depuis trois ans.

Que des militaires meurent au combat, cela fait partie des conditions de l’engagement, l’ultime sacrifice pour défendre la Patrie, personne ne le conteste.

 Mais que des Français aillent mourir en Ukraine pour des intérêts obscurs qui ne sont pas les nôtres, c’est non.

 

À l’inverse, si l’exécutif avait la même fibre guerrière contre les satrapes qui dirigent l’Algérie et cette 5e colonne que constitue la diaspora algérienne en France, nul doute qu’il recueillerait un fort assentiment populaire.

Nos dirigeants sont des fous dangereux, il faut dégager du pouvoir cette engeance qui nous mène à l’effondrement et au chaos.

Par Thomas Joly –  

Président du Parti de la France

 


 

 

 

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