lundi 3 novembre 2025

BANQUET DU CANON FRANÇAIS ! NOUVELLE INQUISITION DE LA GAUCHE BRETONNE.........

 


 

Banquet du Canon français : la gauche bretonne, nouvelle inquisition du bien-pensant

 

 

 

 

 

Treize élus d’Ille-et-Vilaine réclament l’interdiction d’un dîner patriotique célébrant la gastronomie française

Il fallait s’y attendre.

 À l’approche du banquet du Canon français, prévu le 8 novembre prochain au château de Blossac, à Goven, une partie de la gauche bretonne a de nouveau sorti les torches et les slogans. 

Treize élus d’Ille-et-Vilaine — parmi lesquels les députées LFI Marie Mesmeur et Mathilde Hignet, ou le sénateur écologiste Daniel Salmon — exigent ni plus ni moins que l’interdiction préfectorale d’un événement culinaire dont le tort suprême serait… de célébrer la France.

 

Quand la gauche veut choisir qui a le droit de dîner

Le prétexte officiel ? 

Le financement partiel du Canon français par Pierre-Édouard Stérin, entrepreneur à succès, fondateur de Smartbox, et coupable, aux yeux de ces élus, d’être « proche de l’extrême droite ». 

Voilà donc le nouveau crime dans la France de 2025 : aimer son pays, investir dans des initiatives locales, et refuser la soupe idéologique de l’écologisme militant.

 

Le Canon français, rappelons-le, se présente comme un banquet géant itinérant, organisé dans des lieux d’exception, avec pour ambition de mettre à l’honneur le terroir, le patrimoine et les producteurs français. 

Rien de subversif, sinon pour ceux qui voient dans toute expression de fierté nationale une menace à abattre.

À lire les déclarations des treize signataires, on croirait entendre une cellule militante plus qu’un groupe d’élus républicains :

« Cet événement est une tribune pour faire la promotion de l’idéologie d’extrême droite », affirment-ils.

 

En d’autres termes : une tablée, un menu, quelques chants et verres levés pour la France, et voilà la République en danger. 

La même gauche qui, au nom de la “tolérance”, défend les banquets communautaires, les subventions associatives islamo-gauchistes et les Pride sponsorisées par des multinationales, voudrait interdire un dîner où l’on parle du pays, de ses vins et de ses racines.

 

La morale de l’interdiction, arme du totalitarisme doux

Il n’y a plus besoin de goulags pour faire taire les voix dissidentes : il suffit d’une pétition, de quelques indignations sur X (ex-Twitter), de bons copains dans des journaux locaux, et d’un communiqué préfectoral. 

La gauche postmoderne, enfermée dans sa certitude morale, s’est érigée en gardienne du bien, décidant désormais qui a le droit de parler, de chanter, et même de dîner.

Ce réflexe pavlovien d’interdiction illustre le totalitarisme culturel rampant qui gangrène la vie publique : on ne débat plus, on censure.

 On ne convainc plus, on disqualifie.


Le “banquet de droite” devient suspect, tandis que les “repas solidaires” des officines militantes ou les “festivals inclusifs” financés par les contribuables trouvent grâce aux yeux des mêmes élus.

Un des responsables du Rassemblement national en Ille-et-Vilaine, Élouan Racineux, a parfaitement résumé le sentiment d’un grand nombre de Français : « Ces élus, enfermés dans leur militantisme, s’en prennent à un événement festif qui ne fait rien d’autre que célébrer la gastronomie française. 

 Plutôt que de soutenir nos entrepreneurs et nos territoires, ils préfèrent censurer ce qui ne leur plaît pas. »

Car c’est bien cela, le fond du problème : le rejet viscéral de tout ce qui incarne le patrimoine.

 Le pays des terroirs, des producteurs, des artisans…

Ce pays-là, la gauche urbaine et militante ne le comprend plus — ou ne veut plus le voir.

 

La gauche contre le peuple, encore et toujours

En s’attaquant à un banquet, ces élus confirment ce que beaucoup pressentaient : leur idéologie n’est plus qu’une machine à interdire.

Interdire les idées, interdire les livres, interdire les dîners.

Mais chaque interdiction, chaque injonction morale, chaque tentative de museler ceux qui aiment la France, renforce la fracture entre le peuple enraciné et les apôtres de la table vide.

À Goven, ce 8 novembre, ceux qui viendront au banquet du Canon français ne célébreront pas une “idéologie”, mais une identité, peut être parfois folklorique, hommage à sa culture, à ses produits, à son histoire.

 Et peut-être est-ce justement cela que la gauche ne supporte plus : un peuple qui se retrouve encore autour d’une table, libre de lever son verre, dans une soirée privée, à qui il l’entend.

 

Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.

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