vendredi 21 novembre 2025

LA GÉNÉROSITÉ COMPLICE D' UNE POLITIQUE MIGRATOIRE HORS DE CONTRÔLE.............

 


 REVUE DE PRESSE !

Secours catholique : la générosité complice d’une politique migratoire hors de contrôle

Illustration : Secours Catholique

Le dernier rapport du Secours catholique tombe comme une évidence que certains s’obstinent encore à nier : en 2024, 52,7 % des personnes aidées étaient des migrants. 

Et, parmi eux, une majorité de clandestins. 

Voilà donc la photographie fidèle d’un pays qui, depuis des années, délègue à une association chrétienne le soin de gérer les conséquences d’une immigration devenue incontrôlable.

Il faut dire les choses franchement : la France n’aide plus ses pauvres, elle aide d’abord ceux que son laxisme a laissé entrer et s’installer automatiquement dans la précarité. 

Le monde associatif catholique, poussé par sa vocation, accueille. 

Mais derrière l’élan charitable, un autre phénomène se dessine : les structures chrétiennes se substituent à un État incapable de définir, protéger et faire respecter ses propres frontières. 

Une forme de suppléance humanitaire permanente, devenue un rouage non avoué de la politique migratoire nationale.


Le caractère clandestin d’une majorité de ces bénéficiaires change tout. 

Il révèle ce que nombre de citoyens expérimentent au quotidien : l’irrégularité n’est plus l’exception, mais un état de fait que l’on entretient, nourrit et protège sous couvert de “solidarité”. 

Les associations distribuent repas et vêtements, tandis que les mêmes responsables politiques qui ont créé ce chaos viennent y chercher de commodes alibis moraux. 

 

Le Secours catholique devient ainsi le dernier amortisseur social d’une politique irresponsable.

Qu’on cesse de faire semblant : cette situation n’a rien d’un hasard.

 Elle est l’aboutissement d’un système qui, depuis des décennies, confond générosité avec renoncement, charité avec abandon. 

On proclame des principes, on agite le mot “humanisme”, et ce sont les bénévoles — souvent eux-mêmes épuisés — qui récupèrent la brutalité du réel. 

Dans un pays où les familles modestes peinent à se loger, où des retraités basculent dans la pauvreté, l’association catholique se voit contrainte de consacrer plus de la moitié de son action à des étrangers, souvent sans papiers. 

Comment ne pas y voir un révélateur du désordre français ?

Cette proportion de migrants — et plus encore de clandestins — dit aussi autre chose : l’immigration irrégulière est devenue, dans les faits, un mode d’accès garanti à l’aide sociale. 

Il suffit d’être présent pour être pris en charge. 

Derrière le discours lénifiant, la mécanique est limpide : ceux qui respectent les règles passent après ceux qui ne les respectent pas.

Le plus tragique reste que la compassion chrétienne sert désormais de cache-misère à une lâcheté politique.

 On préfère laisser les associations panser les plaies plutôt que de rétablir une politique migratoire digne de ce nom.

 Le résultat est sous nos yeux : l’aide humanitaire n’est plus un geste de solidarité ponctuelle, mais la gestion quotidienne d’un afflux continu. 

Et, pendant ce temps, les mêmes responsables viennent donner des leçons de morale à la France qui s’inquiète.

Le rapport 2024 a au moins le mérite de lever le voile. 

Il montre une France qui ne maîtrise plus rien, un État qui délègue son incapacité aux salles paroissiales, et une immigration clandestine qui prospère grâce à l’indulgence institutionnalisée.

 La charité chrétienne mérite mieux que d’être instrumentalisée comme outil de gestion d’un chaos migratoire. 

Elle mérite un pays qui ne confond pas bonté évangélique et abdication politique.

 

https://lalettrepatriote.com/secours-catholique-

 

 

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 1991... un rapport "accablant" sur les Français originaires du Maghreb en lien avec le service national pointe déjà leur refus d'intégration : 3,5 fois plus de désertion, 5 fois plus de trafic de stupéfiants, 6 fois plus de refus d'obéissance. 
 
Tout le monde savait.
 
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