samedi 8 novembre 2025

APRÈS LA MAIRIE DE NEW-YORK ET DE LONDRES , CELLE DE PARIS ?

 



 

Demain vos filles en burqa et excisées ?

 
 
  
 

L’élection d’un islamiste à la mairie de New York, après la prise de celle de Londres par un de ses coreligionnaires, a confirmé une réalité inquiétante. 

La technique des Frères musulmans qui s’insèrent dans la société en évitant de faire trop de vagues, tels des loups s’infiltrant en douce dans une bergerie, est autrement plus efficace que les attentats aveugles des terroristes. 

À moins que les deux ne soient coordonnés. 

Les mahométans cravatés et propres de leur personne étant acceptés comme un moindre mal par les moutons apeurés.

 

La conquête islamique est extrêmement rapide

Qui se souvient qu’il y a moins d’un siècle, la Grande-Bretagne avec son empire et sa flotte invincible était une super-puissance ?  Britain rules the waves. 

 Qui a conscience qu’après la capitulation des Français, les Anglais faisant preuve d’un courage admirable ont tenu tête aux nazis, seuls pendant deux ans, avant que les Ricains rappliquent.

 Cela se passait il y a à peine huit décennies.

Ce n’est pas un hasard si les ennemis de notre civilisation encouragent les narcotrafiquants.

 Un peuple qui regorge d’épaves et dont une partie des élites sont droguées laisse les islamistes s’emparer de son pays. 

Quinze grandes villes tombées dans leurs couffins, qui à une lettre près signifie cercueil in english, et certaines avec un conseil communal 100 % mahométan. 

Et plus de 3 500 mosquées en Angleterre, autant d’écoles coraniques, et près de 150 tribunaux islamiques. Avec un nombre incalculable de comités religieux puisque n’importe quel croyant peut se déclarer savant de l’islam.

C’est le marquage d’un territoire conquis comme les voiles ostensibles à l’Assemblée nationale dont le règlement exige que les visiteurs aient la tête découverte, mais dont tout le monde sait qu’il ne sera pas appliqué.

En outre, malgré le Brexit, le Royaume désuni est resté sous la coupe de la CEDH.

 Les pourris de l’Eurocrature ont légitimé le fait de juger les mahométans selon leurs propres règles. Insidieusement, la charia impose sa primauté sur les lois nationales en cas de contentieux avec un koufar. 

Quant aux criminels, comme ces bandes de violeurs pakistanais, les flics et les juges font profil bas pour ne pas être accusés de racisme. Et la France glisse sur la même pente à une vitesse vertigineuse.

 

Dans la quasi-totalité des pays musulmans, il faut être mahométan pour pouvoir briguer la moindre charge, participer à une élection arrangée, passer un marché public ou bénéficier d’aides de l’État

Ce n’est pas une clause de style. 

Pour devenir douanier, flic ou maton, ou qu’on vous confie la réfection des pissotières de la mosquée, ou que vous puissiez bénéficier d’aides sociales, logement, santé, éducation, une commission dominée par des religieux enquête sur votre pratique de la foi.

 Vos parents et vos voisins seront interrogés par la muttawa, la police religieuse. Et vous-même serez testé sur votre connaissance de quelques sourates particulièrement vicieuses.

Alors imaginez pour des jobs de cadres, se rapprochant des centres de décision, ou pour l’attribution de marchés de travaux publics importants. Même si les bakchichs permettent des accommodements avec Allah, il y aura toujours le risque qu’un imam insuffisamment arrosé fasse tout capoter. L’islam renforce son emprise par une culpabilité diffuse omniprésente. Un manque d’assiduité à la prière, une bière bue avec un koufar, un cousin homo, votre femme qui découvre un peu ses cheveux, autant de causes de rejet. Sans appel.

Si vous faites amende honorable en vidant votre compte au profit d’une organisation coranique, vous serez pardonné. 

Dans le monde islamique, d’origine ou importé, peu d’hommes travaillent et la plupart des femmes restent à la maison.

 Chacun a donc le temps d’épier ses voisins, et de les dénoncer s’il n’ont pas un comportement de bons musulmans.

Cela peut aller très loin. 

En mai 1988 en Égypte, j’ai vu un pauvre type se faire lyncher parce que, en plein ramadan, complètement déshydraté, au lieu de recracher sa salive, il l’avalait. 

Il ne glaviotait pas partout comme tout le monde et cela avait suffi à le désigner comme impie.

Chacun affiche sa soumission ostensiblement, mais ruser et dissimuler sont consubstantiels de la secte

Toujours en 1988, à Djibouti cette fois, le président Hassan Gouled Aptidon, un ancien infirmier que les piqûres de rappel de la démocratie n’avaient pas guéri de ses penchants dictatoriaux, se montrait généreux avec les Français. 

Puisque notre pays abondait son budget et que notre armée le protégeait de ses turbulents voisins qui auraient volontiers annexé son minuscule royaume.

Le président et ses ministres organisaient des réceptions au moins une fois par semaine.

 Pensant, à juste titre, que nous évoquerions les sujets sensibles que leurs courtisans n’auraient jamais osé aborder. 

Si les smartphones n’existaient pas, on disposait d’appareils photos miniatures dont les clichés auraient pu être embarrassants. 

Aussi prévoyait-on pour les caciques des bouteilles de jus de fruit opaques dont le contenu haram était versé dans des gobelets en carton.

L’année d’avant, j’avais fait connaissance du maître de Port Soudan qui s’était empressé de me faire visiter une église évangélique protégée par l’armée. 

Juste histoire que je témoigne qu’en dépit des bruits désobligeants courant sur les persécutions religieuses dans son pays, tous les cultes étaient traités avec un égal respect.

J’avais surnommé le major-général Amide Dada. 

Ce gentleman haut de plus de deux mètres et dépassant le double quintal avait été formé en Angleterre, d’où il avait gardé le goût du gin et du whisky. 

Il m’avait demandé de lui en procurer. 

En tant qu’étranger, j’avais le droit d’en acheter à un comptoir dédié.

 En échange, il me signait tous les laissez-passer que je voulais et me prêtait ses sbires en cas d’embrouille.

À Port Soudan, les intégristes sourcilleux de Khartoum étaient loin, et dans cette province maritime les autorités locales interprétaient la charia à leur manière. 

Sous l’œil complice et goguenard de muftis et d’imams alcooliques, dont un représentant était tombé du haut de son minaret, copieusement imbibé au moment de lancer l’appel à la prière. 

Il faut croire que Iblis le protégeait puisqu’il n’avait pas subi de dommages irréparables.

Leurs mœurs sont détestables mais nous serions bien inspirés de les imiter pour notre sauvegarde

Il faut être réaliste. Loin de critiquer leur système, je l’approuverais si, en Occident, on agissait de même à leur égard. 

Par réciprocité. Cathos, Juifs, Protestants, Bouddhistes, Athées ou adorateurs du gros orteil, bons pour les élections, le fonctionnariat et les marchés publics. 

Mais pas de mahométans dont le mein korampf est un pousse-au-crime… Comment trier le bon grain de l’ivraie ? 

L’épreuve du vin, du jambon et du coran brûlé comme on faisait avec les Morisques après la Reconquista ?

Ce test pourrait être contourné. 

Des imams, des muftis, et des ulémas consultés ont affirmé que si un bon musulman n’a pas le choix, il peut manger du cochon, boire du vin et se torcher le cul avec les pages du livre sacré. 

Allah lui pardonnera. Alors que faire ?

Imaginez que demain, un pouvoir national l’emporte de façon assez nette pour changer la Constitution. Il pourrait décider de protéger les vrais Français de souche, de culture et de cœur… 

Et pousser vers la sortie les Français de papier qui détestent notre pays et dont la nationalité relève de la taqîya.

 Comment faire le tri ? Des critères ethniques reposant sur les ascendants ? On n’est pas des nazis, et puis cela pénaliserait les apostats qui ont eu le courage de rejeter l’emprise de la secte.

Des critères objectifs existent dans les textes mais ne sont appliqués qu’aux koufars par crainte des émeutes identitaires, pour restreindre le droit de se présenter à une élection, occuper un emploi public ou traiter business avec l’État.

 Un casier judiciaire vierge, des revenus avouables, la pratique correcte du français et l’absence de prosélytisme islamique.

 On pourrait les mettre en vigueur pour tout le monde et y ajouter ni burqa ni kamis, et des prénoms neutres aux enfants.

Les langues anciennes occitan, basque, breton et les patois pourraient aussi servir de barrages. 

Essayez de vous faire élire en Polynésie si vous ne parlez pas une des sept langues vernaculaires. 

 Toujours illégales à l’assemblée territoriale… 

Mais lors des réunions publiques, ou dans les médias, l’ignorance du parler autochtone signe la défaite.

 On me souffle dans l’oreillette que ce serait pareil en Corse et en Guadeloupe.

 

Par Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

 


 

                                                                                                                                                                

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire