samedi 16 mars 2024

LE GAUCHISME, C' EST LA GANGRÈNE ! JE SUIS EXCÉDÉ ........... ( L' AGORA )

 


 TRIBUNE LIBRE !

Le gauchisme, c’est la gangrène… !

 [L’Agora]

Le gauchisme, c’est la gangrène, on l’élimine, ou on en crève ! 

J’ai décidé de piquer et de modifier un vieux slogan antifasciste pour débuter cette tribune.

 Je suis excédé.

 Excédé par ces gauchistes de mes deux qui viennent, jusque dans l’enceinte de l’Assemblée nationale, nous expliquer ce que nous devrions penser, lire, visionner.

Je suis excédé de voir la tête d’un Louis Boyard, député élu il faut le rappeler, par une petite minorité d’électeurs de sa circonscription (comme la plupart des députés de l’Assemblée nationale actuelle), venir donner des leçons d’éthique et de probité à la terre entière, lui qui a dealé de la drogue et qui l’a avoué publiquement, lui qui n’a de cesse de provoquer, d’éructer, mais aussi de prendre la défense de certaines causes douteuses.

Je suis excédé de voir un Vincent Bolloré se justifier, devant une commission d’enquête, devant les injonctions de véritables commissaires politiques, bavant leur haine et vomissant leur idéologie, profitant eux aussi d’avoir été élus par une petite minorité, pour faire la pluie et le beau temps dans ce pays.

 Se justifier, c’est déjà s’excuser.

 Ces députés n’auraient mérité qu’un bras d’honneur.  Un crachat.

 Et alors, vous allez faire quoi ? Jeter tous les opposants politiques en prison ? 

Mais je pensais que l’univers carcéral n’était pas sain ? Que la prison devait être abolie même ? Ah non, ce n’est que pour les autres ?

Je suis excédé de lire chaque matin des quotidiens dits « mainstream » qui se prétendent « neutres » mais qui font quotidiennement l’apologie de la destruction de notre société européenne.

 Ici la défense d’un migrant (alors que la mobilisation a rassemblé 10 personnes grand max dont 20 collectifs), là une mise en avant d’une association « qui vient en aide aux migrants », là encore « une enquête sur les méchants catholiques traditionnalistes », entre deux plaidoyers ou deux crottes de nez pour les opposants à Emmanuel Macron. 

Vous avez le droit d’exister, mais ne vous prétendez pas neutres. 

Et surtout, cessez de demander des subventions, de l’argent public. 

Ou acceptez que tout le monde puisse en toucher.

 Et pas seulement vos lignes éditoriales.

Je suis excédé de voir des « représentants syndicaux » gauchistes venir expliquer à la télévision (devant des journalistes compatissants et presque complices) que c’est super de bloquer une faculté à 20, et de faire suer des centaines d’étudiants, y compris en menaçant et en frappant ceux qui ne voudraient pas se plier aux oukases.

 Ces mêmes représentants syndicaux qui hurlent à la « descente fasciste » quand quelques étudiants décident de réouvrir une faculté par la force, pour étudier et travailler.

 D’un côté, il y aurait la violence légitime gauchiste, de l’autre, la terrible menace fasciste, néo-nazie. 

Et la presse qui colporte ça à grands coups de Une, d’enquêtes, et de manipulations idéologiques dont seuls les gauchistes ont le secret.

Je suis excédé de voir ces gens venir nous parler de liberté, d’égalité, de fraternité, alors qu’il n y a pas plus haineux, pas plus méchant, pas plus cynique, par plus pervers, pas plus hypocrite, pas plus lâche, pas plus égoiste, qu’un gauchiste.

 Ils passent leur temps à attaquer, à baver, à vouloir interdire, censurer, réprimer.

 Et dès qu’ils trouvent une réponse en face d’eux, verbale comme physique, ils pleurent, déposent plainte, appellent la terre entière à les soutenir, et se transforment en Caliméro de la politique alors qu’ils sont à l’origine précisément de ce qui leur arrive.

Je suis excédé de voir des entreprises plier sous la pression des terroristes que sont les Sleeping Giants, et qui cherchent à tuer, économiquement, toutes les initiatives qui ne relèvent pas du gauchisme mental.

 Je suis excédé de voir chaque pan de nos collectivités, de nos administrations, de nos entreprises, avoir la trouille, face à n’importe quelle mobilisation gauchiste ultra minoritaire, la trouille d’être classé dans le camp des méchants. 

Je suis excédé d’entendre en plus ces gens là, ces lâches, ces pleutres, fantasmer une histoire, notamment au 20ème siècle, dont ils n’auraient pourtant jamais, vu leur manque de courage, été les acteurs principaux.

Je suis excédé de voir que des racailles bénéficient de toutes les larmes et les plaintes des gauchistes, alors même qu’elles refusent d’obtempérer (et se font tirer dessus en conséquence pour ne pas mettre la vie des autres en danger), alors même qu’elles dealent, alors même qu’elles agressent. 

Alors que dans le même temps ces gauchistes, qui dénoncent la répression policière et les violences policières, qui appellent à une réforme de A à Z de la police, se félicitent des dissolutions, des gardes à vue, des arrestations, de la répression féroce visant des militants de droite dont le seul malheur est parfois de simplement coller une affiche, déployer une banderole ou, éventuellement, de se défendre quand leur minuscule bout de terre est sur le point d’être attaqué par la racaille en surnombre.

Le gauchisme a totalement infusé, depuis des décennies, notre société. Il est partout, et les gens ne s’en rendent même plus compte.

 C’est une véritable gangrène, un cancer, qui a tué des dizaines de millions d’individus dans le monde, au 20ème siècle, et qui tuera encore si jamais un traitement radical ne lui est pas administré.

Ces gens veulent vous empêcher de penser. Ils veulent vous empêcher de lire (oui, ils sont pour l’interdiction de certaines lectures, de certains sites). 

Ils veulent vous empêcher de travailler (ils dénoncent vos employeurs si jamais vous êtes considéré comme d’extrême droite). 

Ils veulent vous empêcher d’étudier (en bloquant vos facultés). 

Ils veulent vous empêcher de faire de la politique (en dissolvant vos mouvements, en interdisant vos partis). Ils veulent vous empêcher de vivre tout simplement.

 Ils veulent vous tuer, au sens propre, comme figuré du terme.

 Les gauchistes, et tous ceux qui collaborent au gauchisme mental, veulent vous liquider, moralement, économiquement, socialement, intellectuellement. 

Parce que vous êtes dangereux pour cette petite minorité agissante, influente, et gavée de subventions publiques, de votre argent.

Vous êtes dangereux pour eux, car vous êtes des hommes et des femmes libres, et que vous refusez, et refuserez, de vivre ce ce que les Hongrois, les Baltes, les Polonais, ont vécu des décennies. 

Ce que les Français ont vécu, aussi, il y a quelques siècles, sous la Terreur.

Alors continuez à croire en la liberté, face à l’obscurantisme gauchiste, et à dénoncer sa malignité, son anormalité. 

Continuez de convaincre autour de vous, continuez à faire barrage, à mobiliser pour en finir avec la passivité qui a fait que cette gangrène, que tout le monde trouve anormale a pris des proportion et un pouvoir gigantesque aujourd’hui.

Par



Julien Dir

Bonus track

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine


  • ET AUSSI






  • France Info : un journaliste suspendu pour avoir collaboré avec Jordan Bardella !

    Coup de tonnerre à Radio France

     La terrible nouvelle est tombée mercredi soir : un journaliste du service public aurait participé à l’écriture d’un livre avec Jordan Bardella.

     Rendez-vous compte !

     L’identité de celui qui aurait ainsi vendu son âme au diable et basculé du côté obscur a été révélée dans Le Monde

     Il s’agit de Jean-François Achilli, journaliste qui officie quotidiennement en fin d'après-midi et coprésente le talk-show d'actualité Les informés de France Info.

     

    Une enquête immédiatement diligentée

    Devant la gravité de la situation, France Info a réagi sans tarder. 

    Dès le lendemain de l’annonce, l’homme était suspendu « à titre conservatoire » par sa direction. 

    L’accusé nie les faits qui lui sont reprochés et affirme qu’il aurait refusé toute proposition de collaboration, mais peu importe. 

    Dans certains domaines, accusation vaut condamnation. « La direction de France Info a reçu, ce matin, Jean-François Achilli après l’article publié par Le Monde hier (mercredi) soir », a indiqué la radio à l’AFP, jeudi.

     Cette privation d’antenne effective « à compter de ce jour » doit durer « le temps de clarifier la situation ».

     

    De son côté, l’eurodéputé a, lui aussi, nié les faits et assuré que seul son « entourage proche » participe à la relecture de son ouvrage. 

    Il s’est étonné, au passage, du traitement réservé au journaliste mis à pied.  

    « J’apprends que Radio France suspend l’un de ses journalistes pour un échange "supposé" autour d’un livre d’entretien avec moi qui n’a pas vu le jour, a ainsi tweeté le patron du RN.

     Ces méthodes pratiquées par le service public sont dignes des pires régimes et font honte à la démocratie. »

    Une intransigeance à deux vitesses

    La promptitude du service public dans cette affaire ne laisse d’étonner, en effet. 

    D’autres employés, coupables de faits bien plus graves, ont pu tranquillement rester à l’antenne et n’avoir pour toute sanction qu’un simple avertissement.

     Mais n’est pas Guillaume Meurice qui veut… 

    On se souvient, également, de certains journalistes de service public qui n’avaient reçu qu’un malheureux rappel à l’ordre, après de longs mois de tergiversations, pour avoir publié des messages ouvertement antisémites… 

    Il faut croire qu’une éventuelle collaboration avec Jordan Bardella constitue un crime bien plus grave, encore.

     « Tout cela relève d’une certaine érosion des digues avec l’extrême droite », veut croire Libération, dont le logiciel de pensée ne s’est pas renouvelé depuis les années 80.

    L’épouvantail de « l’extrême droite » et des « heures les plus sombres » est la dernière arme en stock de la gauche ringarde.

     Elle voit d’un très mauvais œil la sortie prochaine du livre de Jordan Bardella - et son éventuel succès populaire - sans savoir comment y répondre sur le fond. 

    Alors, il ne lui reste que les postures morales et les procès d’intention. 

    « Qui, sans aucune expérience professionnelle ni accomplissement majeur, aurait l’idée de se lancer, à 28 ans, dans une autobiographie ? 

    Pas grand monde, sûrement. Sauf à avoir un ego surdimensionné et de grandes ambitions, comme Jordan Bardella », s’indigne Libération, qui avait pourtant réservé un accueil très favorable au livre publié par l’influenceuse Léna Situations, âgée de 23 ans… 

    De son côté, L’Obs assure que l’ouvrage maudit pourrait être publié par l’éditrice d’Éric Zemmour au sein des Éditions Mazarine, propriété du « milliardaire ultra-conservateur » Vincent Bolloré. 

    Glaçant ! 

    Là encore, Jordan Bardella a apporté un démenti, mais les enquêteurs à la petite semaine n’en ont cure. 

    L’essentiel est de salir le RN et freiner sa progression. 

    Censure, diabolisation ou mensonge, tous les moyens sont bons.

     
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    Par Jean Kast

    Journaliste indépendant, culture et société
  •  
  •  Source :   https://www.bvoltaire.fr
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    Jean Bemfair
    France Info le média des socialos suspend de l'antenne Jean-François Achilli parce qu'il aurait discuté en privé avec Jordan Bardella .
     France Info interdit de parler au RN ! 
    C'est cela les médias de la gauche abjecte ! 
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