TRIBUNES LIBRES ET POINT DE VUE !
Macronescu le conquérant veut déclarer la guerre à la Russie !
En prenant le contrôle des cours de justice et des médias mainstream pour faire nommer leur protégé, les banksters du Nouvel Ordre Mondial ont fait le bon choix.
Qui pouvait mieux servir leurs intérêts qu’un psychopathe, un déséquilibré mental mégalo et hystérique, à la vie privée aussi trouble que glauque ?
Une marionnette dont il suffisait de tirer les ficelles pour parvenir à leurs fins.
Un freluquet craintif qui se voit en seigneur de la guerre !
Cet individu est un couard.
Il porte la lâcheté sur son visage chafouin.
Et ses comportements sont ceux d’un pétochard.
Que ce soit, de façon anodine, son refus de s’engager avec son ridicule « en même temps ».
Ou de façon dramatique, parce que suivies de représailles jamais vues en France contre des manifestants désarmés, ses exfiltrations en catastrophe.
Mobilisant une armée de gardes mobiles et de CRS, quand ce veule souillait son slip devant les Gilets jaunes.
Depuis, il a appris à peaufiner ses postures.
Porter comme le clown Zygomyr de Kiev des uniformes usurpés et des décorations imméritées, lui qui n’a pas fait son service militaire…
Parader devant des généraux rendus dociles par des primes de 35.000 à 50.000 euros/an non imposables.
Après avoir mis à la retraite des officiers supérieurs incorruptibles…
Et, pour porter ceinture et bretelles, l’offrande à ses sbires d’une centaine de blindés légers Centaure.
Pour faire la guerre aux Gaulois. Uniquement.
Mais dominer et martyriser un peuple de veaux, sauf rares exceptions que ses tribunaux se chargent de persécuter, ne lui suffit plus.
Se voyant déjà en maître du monde, il rêve de gloire en écrasant la première puissance militaire comme il a piétiné les Français.
Napo et Adolf s’y sont cassé les dents.
Qu’importe, l’histoire événementielle ne fait pas partie des disciplines enseignées à Sciences Pots de chambre.
Ses commettants du Nouvel Ordre Mondial encouragent ses délires.
Puisqu’ils ont décidé que la France devait disparaître du Concert de Nations, un missile Satan à têtes nucléaires multiples serait plus efficace pour disloquer notre pays, que l’invasion migratoire, assortie de sur-délinquance, d’émeutes et de terrorisme islamique.
Engager la France au sol en Ukraine est l’idée fixe d’un enfant attardé, incapable de faire la différence entre ses jeux vidéo et la réalité
Le 26 février dernier, le dictateur fou lançait son premier ballon d’essai.
Auquel personne de sensé ne s’attendait.
Deux ans après le début du conflit, dans le cadre d’un sommet international de soutien à l’Ukraine, il surprend ses interlocuteurs en évoquant la possibilité d’envoyer «officiellement » des troupes au sol en Ukraine.
Reconnaissant de façon implicite qu’elles y sont déjà sous diverses couvertures de mercenariat, aide technique, alimentaire ou sanitaire.
Qui participent effectivement aux combats.
Ce qui était nié jusqu’alors.
Les médias aux ordres traitaient de relais de la propagande russe, quiconque y faisait allusion…
Macronescu le perfide s’est dévoilé cette fois de manière plus explicite en précisant : « Tout est possible si c’est utile pour atteindre notre objectif ».
Pas le nôtre. Le sien.
Trois jours plus tard, le 29 février, lors de l’inauguration d’un Village olympique, le conducator Macronescu refuse de revenir sur ses propos.
Au contraire. C’est un gamin immature, pas très bien fini, qui trépigne et s’enferre dans ses caprices.
Clamant avec une extrême arrogance que chacun des mots qu’il prononce sur la guerre en Ukraine est pesé, pensé et mesuré.
Encore un qui ne se mouche pas avec ses revers de manche !
Après les propos apaisants de ses loufiats, le duce en rajoute des tonnes
« Notre devoir est de nous préparer à tous les scénarios. »
Le dictateur s’empêtre dans ses fantasmes d’aventures militaires.
Avec de jeunes soldats bien gaulés, invités dans son bunker à l’arrière ?
Samedi 16 mars, dans un entretien donné au « Parisien », ce fou furieux a redit que «l’envoi de troupes sur le sol ukrainien fait partie des scénarios auxquels il faut se préparer».
Dans sa logique de dément, mélange de paranoïa et de névrose obsidionale, il imagine une France assiégée par les Cosaques de Poutine, prêts à fondre sur Paris.
Cette folie est d’autant plus dangereuse qu’on a affaire à un individu psychotique qui se croit infaillible et refuse l’idée d’avoir pu se tromper.
Il fera donc tout son possible pour que ses prévisions se réalisent.
Puisque les mendigots corrompus de Kiev sont, dans son esprit malade, l’ultime rempart pour nous protéger des Russes, il veut aider au maximum les Ukrainiens.
Pognon, tromblons et munitions à gogo.
Et si ça ne suffit pas, on frappera les premiers le Kremlin… Il s’en délecte d’avance.
Incapable d’en mesurer les conséquences. Seule compte sa revanche.
Il n’a pas pardonné à Poutine de l’avoir humilié.
L’Afrique, la grande table, le refus de le prendre au téléphone…
Poutine, un chef véritable, qui fait ressortir par contraste les déficiences de l’homuncule élyséen.
Nos alliés ne sont pas aussi cinglés que lui, alors la France ira seule au casse-pipe !
Ses élucubrations et son changement de ton agressif ont pris au dépourvu nos «alliés » qui ne s’y attendaient pas.
Pour leur forcer la main, Macronescu leur en a fait la surprise !
Après leur avoir assuré en privé, quelques heures auparavant, qu’il ne déclencherait pas le premier la chasse à l’ours.
Une rhétorique soufflant le chaud et le froid, qui rappelle celle d’un autre psychopathe, le petit moustachu de triste mémoire.
Personne n’a suivi Macronescu dans ses délires.
Même les plus bellicistes n’ont pas perdu la boule. Une raison de plus pour lui de s’enferrer.
Et de provoquer les événements.
« Aucun soldat ne sera envoyé sur le sol ukrainien ni par les États européens, ni par ceux de l’Otan », a martelé le chancelier Olaf Scholz qui porte, dans la mémoire collective de son peuple, le souvenir des touristes slaves à Berlin en 1945.
« Nous ne prévoyons pas de déploiement à grande échelle », indique de son côté le Premier ministre britannique Rishi Sunak.
Qui a peut-être réfléchi aux conséquences pour ses îles d’un tsunami provoqué, si la Russie était attaquée…
Et le chef de la diplomatie italienne, Antonio Tajani, a rappelé que son pays refusait d’entrer en guerre contre la Russie.
Il a du bon sens.
Un moucheron n’attaque pas un vieux crocodile.
Même le sénile Biden, dans un éclair de lucidité, a redit par la voix d’Adrienne Watson, porte-parole du Conseil de sécurité de la Maison-Blanche, que les USA n’enverront pas leurs soldats combattre en Ukraine.
Officiellement. Parce que des instructeurs, des observateurs, des conseilleurs, des techniciens et des agents de la CIA sont à pied d’œuvre depuis 2014.
De façon relativement discrète. Sans le panache du conquérant que Macronescu voudrait leur faire arborer.
Pour que le prestige en rejaillisse sur son insignifiante personne.
« Folie et improvisation » pour une fois nos politicards disent ce qu’ils pensent.
Après la surprise sur le plan international, ce fut un tollé partagé par les oppositions de tous bords en France.
Des dhimmis se disant insoumis au Rassemblement National, en passant par les socialauds et la droite courbe, plus personne ne veut être pote avec le despote.
Même les macronards se font discrets.
Rasant les murs en serrant les fesses.
Alors que moins de 20 % des Français approuveraient l’envoi de troupes en Ukraine, à condition qu’on les oublie, eux et leurs enfants, le garçonnet dyslexique Séjourné, squatter du Quai d’Orsay, temporise.
Réduisant le seuil de belligérance à des actions de déminage, et de fabrication d’armes sur place.
Franc comme un âne qui recule.
Rodomontades et palinodies pour préparer les Français
Le tyran joue avec l’opinion publique.
Il pense qu’une guerre ouverte, avant les élections européennes de juin, permettrait de les reporter comme son copain Zelensky a supprimé les législatives et la présidentielle dans son pays.
Et si la guerre se prolongeait de façon conventionnelle, en évitant les échanges de missiles nucléaires, le paltoquet pourrait rêver d’un scénario identique en France.
Président à vie et Brichelle embaumée au Panthéon !
Il a juste négligé d’intégrer les USA dans son équation.
Même si, par une nouvelle méga fraude, le gâteux s’incrustait, les Républicains majoritaires à la Chambre des Représentants continueraient à bloquer les aides au Zygomyr.
Sans une justification des dépenses qu’il est bien en peine de présenter.
Et si Donald revenait comme on l’espère, ce serait encore plus simple.
Plus de cadeaux à l’Ukraine, et la guerre finirait vite.
Pour Trump, le découpage de l’Ukraine est inéluctable.
Sur la ligne de front au moment du cessez le feu ?
Vladimir ne serait pas contre.
Une explication entre hommes s’impose.
Dont serait exclu le paltoquet que le Russe et le Ricain méprisent.
Par Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/
ET AUSSI
Ça suffit avec l’Ukraine !
Les macronistes et autres va-t-en-guerre nous gonflent avec l’Ukraine. Les Français n’en ont rien à branler. Ils se demandent juste comment survivre jusqu’à la fin du mois et sont saturés du « vivre ensemble ».
Que nos gouvernants fassent un référendum pour demander à nos compatriotes s’ils désirent financer, à coups de milliards, le gouvernement ultra-corrompu de Zelensky afin de faire perdurer un conflit qui décime nos frères slaves.
Le résultat serait évidemment sans appel.
L’hystérie guerrière et irresponsable ne concerne qu’un microcosme d’ordures mondialistes complétement déconnectées des aspirations du peuple français.
1 Commentaire
Le délire belliciste d’un homme à la dérive
Au cours d’un énième numéro d’autosatisfaction, Emmanuel Macron s’est enfoncé encore un peu plus, hier soir, dans son inconséquent délire belliciste.
Le président de la République, non content de claironner contre la fédération de Russie depuis des mois, engage désormais notre pays dans un processus de provocations et d’escalade qui va achever de ruiner les Français sans servir aucun des intérêts de la France.
Annonce de nouveaux emprunts, menace d’envoyer des hommes aux frontières de l’Ukraine, promesse d’envoyer notre industrie fabriquer des armes directement sur le sol ukrainien, prédiction d’une invasion de l’Europe par Vladimir Poutine, citation de Winston Churchill, etc., nous avons eu droit à un festival d’absurdité, d’arrogance et de théâtralisation qui prêterait à rire si les conséquences n’étaient pas si dramatiques pour la sécurité et la prospérité de nos compatriotes.
Emmanuel Macron a montré hier soir l’image d’un homme à la dérive, persuadé d’être en croisade pour la liberté et la démocratie contre un régime « répressif et autoritaire », alors qu’en France des patriotes sont arrêtés préventivement, des médias sont sur le banc des accusés pour ne pas être suffisamment de gauche, et des mouvements politiques sont dissous pour trop aimer la France.
La blague Macron va coûter très cher à la France aux Français sur le long terme, il est grand temps de mettre un coup d’arrêt à ce régime grotesque, et ça commence dès le 9 juin prochain avec notre bulletin de vote.
Par Bruno Hirout,
Secrétaire général du Parti de la France
Le tyranneau Macron joue au chef de guerre, lui qui n’a jamais senti l’odeur des rangers dans une chambrée, ni la brûlure d’un bretelle de sac à dos après une bonne marche de 20 bornes.
Quel MISERABLE personnage, qui joue avec le pouvoir, comme un gosse joue avec ses petits soldats. Non, les Russes ne sont pas nos ennemis !
Oui, Poutine passera, mais la Russie, européenne, comme nous, par sa culture, RESTERA ! Nos intérêts ne sont pas aux frontières de l’Ukraine , mais à l’intérieur même de notre patrie, gangrenée par une immigration incontrôlée et non désirée, contrairement à celle, par exemple, positive, des portugais, des espagnols, des italiens ou des Polonais !