jeudi 28 mars 2024

MOUSSA DARMANIN DANS L' UNIVERS POLITICO-RELIGIEUX DE L' ISLAM ! SURPRIS ?

 

 


 

Aucune volonté politique de faire face à l’islamisation de la France, au contraire

L’islam est en guerre contre l’Occident et il cible  particulièrement la France qui est une république laïque. 

Son objectif premier est de détruire la laïcité qui est une exception en Occident, car il la considère comme  un frein  à son expansion.

Déjà l’islam, ce prince des ténèbres, se considère propriétaire de certains territoires  dans  de nombreux pays  européens où  il  avance ses pions au nom de la liberté du culte et du respect de toutes les croyances.

Cette guerre à bas bruit, l’islam ou l’islamisme, le terme importe peu, la mène avec la complicité des élites occidentales qui veulent transformer le monde en un village sans identité, ni culture, à la merci de la première bourrasque. 

Car la bien-pensance occidentale s’est fait corrompre par Allah et par Sidi (Monseigneur) Mohammed Ibn Abdallah. 

Toute autre discussion, surtout celle colportée par les inventeurs de la marque déposée de ‘pas de vague’ et ‘pas d’amalgame’ n’est que de la poudre aux yeux pour noyer le poisson.

Quoi qu’elles disent ou qu’elles fassent, l’islam déploie ses griffes de conquête et aucune politique sur le terrain ne semble lui résister.

 Un jour ou l’autre, les Français qui ont toujours voté pour la gauche et la droite molle seront les dindons de la farce qui seront cuisinés dans la sauce de la dhimmitude. 

Et c’est ce qui arrive à  tout peuple habité par la lâcheté et le renoncement, surtout s’il est atteint par la culture du tube digestif et de la haine de soi.

L’exemple de cette conquête islamique de la société française, est démontré par  le départ en catimini  du proviseur du lycée et collège Maurice-Ravel, situé dans le 20e arrondissement de Paris, qui a reçu des menaces de mort sur Internet après avoir demandé à une élève d’enlever son voile avant d’entrer dans l’enceinte de l’établissement. 

Il y a une vraie peur islamique qui s’est abattue soudainement sur la France. 

On aurait dit que l’état défenseur des citoyens s’est volatilisé. Il n’existe plus.

Alors, où est-elle passée la fermeté face à l’islamisme donc se pare le Premier ministre, M. Gabriel Attal ? 

Ses incantations ne font pas reculer la conquête islamique qui manie la peur et la taqîya pour désarmer les Français. 

Elles ne sont que des subterfuges pour les endormir. 

Cette menace de mort sur les réseaux sociaux de ce proviseur abandonné par sa hiérarchie démontre que l’intimidation est le moteur de ce djihad pour que les mécréants baissent les yeux devant l’invasion islamique. 

Soyons sérieux, il n’y a aucune volonté politique de faire face à l’islamisation de la France, mais bien au contraire, il y a un encouragement à l’instauration du communautarisme tel que voulu par Bruxelles et Davos.

Avec l’islam, ce seigneur de la guerre, l’oligarchie politico-médiatique a trouvé un épouvantail pour terroriser le peuple des sans-dents.

 Face à cette offensive islamique la caste propose la repentance, comme si l’islam n’avait jamais colonisé aucun pays.

 L’inculture est bien ancrée chez les décideurs. 

Les paroles et les gestes de cette oligarchie politico-médiatiques font rappeler l’histoire de la chute de Byzance. 

En effet, pendant que les troupes musulmanes turco-mongoles faisaient le siège de Constantinople, les élites byzantines discutaient sur le sexe des anges laissant leurs ennemis les détruire  en 1453.

 Et c’est cette situation qui se déroule actuellement en Occident  notamment en France où l’islam déroule son agenda en toute transparence.

Après avoir attaqué durement le catholicisme pour l’anéantir, la gauche et ses suppôts déclarés ou cachés s’emploient maintenant à dérouler le tapis rouge à la religion de ‘paix et d’amour’. 

L’éthique de cette gauche a pris le maquis en enterrant les  valeurs dont elles se prévalaient.

Alors où sont-elles passées ces valeurs humanistes dont se réclament ces élites dites progressistes et féministes qui encouragent le voilement des filles au nom de la laïcité et du respect de la culture des nouveaux arrivants ? 

L’islam, les a-t-il anesthésiées ? 

Qui peut nier encore cette conquête islamique qui se déroule sous nos yeux ?

D’ailleurs, en dehors de l’islam, aucune autre religion n’est tolérée par Allah qui a prescrit dans le Coran, sourate 3, versets 19 et 85 :

« Certes, la religion acceptée d’Allah, c’est l’Islam. Ceux auxquels le Livre a été apporté ne se sont disputés, par agressivité entre eux, qu’après avoir reçu la science. Et quiconque ne croit pas aux signes d’Allah… alors Allah est prompt à demander compte ! »

« Et quiconque désire une religion autre que l’Islam, ne sera point agréé, et il sera, dans l’au-delà, parmi les perdants. »

Et pour motiver les musulmans à se lancer dans le djihad contre les mécréants notamment les juifs et les chrétiens, Allah a dit dans le Coran :

« Ô les croyants ! Lorsque vous sortez pour lutter dans le sentier d’Allah, voyez bien clair (ne vous hâtez pas) et ne dites pas à quiconque vous adresse le salut (de l’Islam): « Tu n’es pas croyant », convoitant les biens de la vie d’ici-bas. 

Or c’est auprès d’Allah qu’il y a beaucoup de butin. C’est ainsi que vous étiez auparavant ; puis Allah vous a accordé Sa grâce. Voyez donc bien clair. Allah est, certes, Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites » ( sourate 4, verset 94).

 « Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux -sauf ceux qui ont quelque infirmité -et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d’Allah. Allah donne à ceux qui luttent corps et biens un grade d’excellence sur ceux qui restent chez eux.

 Et à chacun Allah a promis la meilleure récompense ; et Allah a mis les combattants au-dessus des non combattants en leur accordant une rétribution immense » (sourate 4, verset 95).

 

Le prophète de l’islam a prévenu ses adeptes des conséquences auxquelles ils s’exposent, s’ils abandonnent le djihad :

 « Il m’a été ordonné de combattre les hommes jusqu’à ce qu’ils témoignent qu’il n’est de divinité qu’Allah et qu’ils croient en moi (en tant que prophète d’Allah) et en ce que j’ai apporté. » 

Il y a plusieurs hadiths qui incitent les croyants au djihad. Parmi ces derniers, on peut citer :

« Quiconque délaissera le djihad Dieu l’avilira, le réduira à la misère, et anéantira sa foi. »

« C’est le djihad qui fait la force de l’islam. »

« Le djihad est l’une des portes du Paradis que Dieu a ouvertes aux meilleurs de ses combattants. »

Les jurisconsultes (aussi bien les chiites que les sunnites) sont unanimes à dire que le djihad fait partie des obligations de la loi islamique comme la chahada (témoignage), la prière (salât), le jeûne (ramadan), la zakat (aumône), le hadj (pèlerinage) qui sont les piliers de l’islam que tout musulman est censé suivre à la lettre.

En cette période du mois du ramadan, ce djihad s’affiche ostentatoirement sur les places publiques où le halal s’exhibe comme un trophée de guerre.

 Le mois du ramadan est aussi le moment propice que choisissent les femmes et les hommes politiques dans l’unique but d’affirmer leur allégeance à l’islam en faisant un détour par les nombreuses mosquées de France et de Navarre afin d’y participer à la rupture du jeûne (iftar). 

 Car leur présence filmée dans une mosquée à l’heure de l’iftar vaut son pesant d’or lors des élections. 

À vrai dire, ils vont à la pêche des voix islamiques.

Qui peut nier encore que l’islam ne fait pas partie de la République ? 

Il faut être aveugle ou idiot utile pour balayer d’un revers de la main cette réalité imposée aux Français par la ruse et la tromperie de ceux à qui, ils ont remis les clefs de la cité.

Le blabla habituel n’arrêtera pas cette conquête islamique.

 

Par   Hamdane Ammar

 


ET AUSSI

Darmanin soutient l’univers politico-religieux de l’Islam

 

Jeudi 21 Mars 2024 à Lyon. Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, participe à un iftar du Ramadan, à l’invitation du recteur de la Grande Mosquée, Kamel Kabtane. Au cours de ce repas de rupture du jeûne, l’organisation du culte musulman, la sécurité des Musulmans sont abordées.

 

Darmanin visite régulièrement les responsables musulmans, assure la protection des lieux de culte musulmans.

 Mais les fêtes catholiques, Noël, Pâques … passent sous silence. 

Les églises, les statues, sont dévastées, vandalisées, dans la plus profonde indifférence de Darmanin, des politiques et des Français

Très régulièrement, les hommes politiques se rendent sur les lieux de culte musulmans et célèbrent l’Islam. Tous ces faits remettent en cause la laïcité. 

La laïcité née des paroles de Jésus Christ : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. »

  La laïcité comprise comme la distinction entre le temporel et le spirituel.

Une laïcité ouverte réside dans la simple distinction entre la religion, toutes les religions et l’État. 

L’État reconnaît tous les cultes, mais ne s’identifie à aucun. 

Cette formule satisfaisait tout le monde, jusqu’à la fin du XXe siècle.

 Une laïcité absolue prétend privatiser intégralement la foi en interdisant le moindre signe religieux dans le secteur public. 

Mais certains signes dits religieux relèvent davantage de la culture, de la coutume, du folklore, voire du paganisme, par exemple le sapin de Noël, la fête de Noël. 

L’offensive contre la tradition à la fois culturelle et religieuse des sapins de Noël et des crèches municipales s’inscrit dans cette seconde catégorie, une laïcité dogmatique et doctrinaire.

D’autres signes dits religieux, de caractère islamique, sont autorisés par les mêmes législateurs, par exemple le voile islamique, la burqa, le niqab, le hidjab, le Burkini. 

D’un côté, refus des indices culturels occidentaux. 

D’un autre côté, agrément des emblèmes religieux islamiques. Deux poids deux mesures. Jugement partial.

 Les accoutrements islamiques sont-ils des signes religieux ?

 Ou des marques et des signes politiques voués à la propagande et à la conquête islamistes ?

L’islam ne distingue pas le religieux et le politique, mais confond le religieux et le politique. 

L’islam ne dissocie pas le spirituel et le temporel, mais associe le spirituel et le temporel. 

En Islam, la loi religieuse et la loi politique fusionnent. L’islam est une idéologie, plus qu’une religion. 

L’islam est un système politique et juridique, un idéal de vie sociale, un modèle politique. En conséquence, la laïcité, la laïcité ouverte et l’islam sont absolument incompatibles.

 En fait, l’imbrication musulmane du politique et du religieux n’est pas révisable.

 Bernard Lewis, universitaire britannique (1916-2018), explique comment la séparation du politique et du religieux est étrangère à la logique de l’Islam : « La religion islamique intéresse la vie tout entière – exerçant une juridiction non point limitée mais globale. »

« L’idée qu’il puisse exister des êtres, des activités ou des aspects de l’existence humaine qui échappent à l’emprise de la religion et de la loi divine est étrangère à la pensée musulmane …

Il n’y a qu’une seule loi, la charia, révélée par Dieu et régissant tous les domaines du droit civil, commercial, pénal, constitutionnel, ainsi que les affaires plus spécifiquement religieuses au sens chrétien, étroit du terme …

La laïcité au sens politique moderne – l’idée selon laquelle la religion et le pouvoir politique, l’Eglise et l’Etat sont des entités différentes qui peuvent ou doivent être séparées – est une notion profondément chrétienne. »

Dans une société pleinement islamique, « il n’y a pas deux entités susceptibles d’être disjointes, l’Église et l’État, le pouvoir religieux et le pouvoir politique ne font qu’un ».

De ce fait, l’arabe « ne possède pas de couple d’opposition sémantique recouvrant la dichotomie chrétienne entre le laïque et l’ecclésiastique, le spirituel et le temporel, le séculier et le religieux ».

Car « déjà du vivant de son fondateur », l’Islam « était l’État ». Si bien que « l’identification de la religion et du pouvoir est inscrite de manière indélébile dans la mémoire et la conscience des fidèles, sur la foi de leurs propres textes sacrés, de leur histoire et de leur vécu »

Mahomet fut non seulement prophète, mais encore chef politique, chef de guerre « et fondateur d’un empire ». Si bien que « ses disciples étaient fortifiés dans leur foi par la croyance en l’approbation divine manifestée par les succès et les victoires ».

Rémi Brague, philosophe et historien français né en 1947, écrit dans le même esprit : « Le lien entre Islam et politique est peut-être plus étroit encore qu’on ne le pense communément. » 

Car « la conquête arabe du Moyen Orient et du Sud de la Méditerranée au VIIe siècle » entraîna la formation d’un « État-butin ».

 L’unité de « la communauté de conquérants se concrétisa dans l’exploitation commune des terres et des paysans conquis ».

 Cette conquête, « propulsant des Bédouins faméliques depuis une vie misérable de sable et de poux jusqu’à une opulence fantastique », n’a cessé d’être « rappelée à la conscience musulmane comme constituant une preuve tangible la vérité de la religion, à savoir ses dividendes »

Rémi Brague conclut : « On me permettra un mot brutal : Allah paie. »

Pour le messianisme juif, le règne glorieux d’Israël « est à venir, relégué dans un futur eschatologique », à la fin des temps. 

Le Coran offre aux Arabes un accomplissement présent et concret au moyen de la guerre de conquête. Un verset des psaumes dit : « Les justes posséderont la terre. » 

 Un psaume est un texte poétique comprenant plusieurs versets. Le Livre des Psaumes fait partie des Livres poétiques de l’Ancien Testament (150 psaumes).

Ce verset est le seul passage biblique précis que le Coran cite avec sa référence. Appliqué aux Musulmans, ce texte reprend en leur faveur « la promesse eschatologique … dans le contexte d’une conquête actuelle »

 L’Islam récupère à son profit le messianisme juif en le transposant du futur dans le présent.

 Les justes annoncés par la Bible sont les Musulmans et leur royaume glorieux doit être établi immédiatement.

A la suite de l’hégire en 622, Mahomet est entouré d’une communauté dont il organise l’existence. Ce qui est séparé chez les prophètes habituels se trouve confondu chez Mahomet qui est à la fois prophète et roi.  

« Le Coran se mit donc à légiférer, en particulier sur le mariage et l’héritage. En lui, c’est Dieu et non le Prophète, simple instrument, qui est censé parler. Les règlementations politiques portent le poids d’une révélation définitive, et qui est celle d’une loi. Il en va de même des paroles et des gestes du Prophète (hadiths) censés être exemplaires de la conduite à adopter. »

Mahomet fut « au début messager isolé qui annonçait à sa ville natale la venue proche du Jugement dernier ; à la fin de sa carrière chef d’une communauté victorieuse à laquelle il dictait ses lois ».

 En fait, ce roi de guerre victorieux ressemble assez à ce messie guerrier et triomphant qu’attendent de nombreux Juifs du temps du Christ, et que celui-ci ne veut pas être.

 La différence entre Mahomet et Jésus porte en germe la profonde antinomie entre les deux civilisations. 

Le Christ n’a pas fondé un État. Mahomet a fondé un État. Selon l’abbé Guillaume de Tanouïarn, né en 1962, « Mahomet est un chef de guerre qui organise des expéditions militaires, des razzias. 

Les Musulmans ont beaucoup de mal à comprendre cette distinction entre le spirituel et le temporel ».

L’islam s’oppose radicalement à la notion de laïcité. Marcel Gauchet, historien français, né en 1946 le rappelle : « L’idéal suprême est celui d’un pouvoir unique commandant l’ensemble des croyants en intime accord avec les commandements de la parole divine.

 Il se concentre dans la figure du califat. 

Celle-ci unit ou plutôt conjoint, si l’on veut, pouvoir politique et pouvoir religieux, mais dans un sens et sur un mode qui n’ont rien à voir avec les catégories chrétiennes. »

 

Selon Serge Sur, universitaire français, né en 1944, l’Islam ne fait guère de place à un domaine profane indépendant du sacré. Il a vocation à « encadrer autant :

  • la vie privée que la vie publique,
  • l’existence individuelle que la vie collective,
  • la famille que l’État,
  • l’économie que les relations non marchandes,
  • la politique que la pratique du culte ».

L’Islam prétend régenter la totalité de l’activité humaine et gouverner intégralement la société. Selon Charles-Pierre Claret de Fleurieu, personnalité politique française (1738-1810), cela fait de l’Islam une religion à « vocation totalisante ».

Pour Louis Milliot, professeur de droit français (1885-1961), l’idéal islamique est que tout le fonctionnement de l’ordre social découle de « la confusion de la Religion et du Droit dans la Loi, sans distinction possible de la limite séparative des deux domaines ».

Toutes les manifestations de la vie sociale résultent d’un principe unique ou d’un ensemble de principes faisant système : cette exigence de la société correspond à la définition de la « vision holiste de l’ordre social ».

Vision holiste, c’est-à-dire le monde constitue un tout, un ensemble ayant plus de réalité et de valeur que les parties qui le constituent.

 Ici, l’ordre social politico-religieux musulman a plus de réalité et de valeur que les individus.

Ainsi, l’Islam implique une légitimation exclusivement religieuse de l’État. L’islam est caractérisé par sa consubstantialité entre le spirituel et le temporel, entre le religieux et le politique. 

L’univers politico-religieux islamique ne peut pas déboucher sur la libération de la pensée humaine, parce qu’il ne connaît pas la distinction du spirituel et du temporel.

En de multiples occasions, Darmanin et les hommes politiques de tous bords encouragent les pratiques religieuses musulmanes, alimentent les coutumes religieuses musulmanes, participent financièrement aux constructions religieuses musulmanes. 

Ils rejettent la laïcité à la française, une laïcité ouverte née des paroles du Christ. 

Ils promeuvent la présence sur le sol français d’une idéologie politico-religieuse, alors que l’un des principes de base de la nation française est la laïcité, distinction du spirituel et du temporel.

7 Décembre 2023. A l’Élysée, en présence de Macron, le grand rabbin de France, Haïm Korsia a allumé une bougie et chanté en hébreu pour célébrer la fête traditionnelle juive Hanouka. 

C’est une entorse à la loi de séparation des Églises et de l’État de 1905.

 C’est un mépris de la laïcité. 

Une fête religieuse ne peut et ne doit pas avoir lieu à l’Élysée, quelle que soit la religion invitée. L’Élysée n’est pas un lieu de culte.

Macron répond dans Le Parisien : « Le président de la République que je suis est respectueux de la laïcité. La laïcité n’est pas un effacement de la religion … 

C’est demander que chacun respecte les lois de la République quelle que soit sa religion. »

Et depuis le chantier Notre-Dame : « Si le président de la République s’était prêté à un geste cultuel, ou avait participé à une cérémonie, ce ne serait pas respectueux de la laïcité. Mais ça ne s’est pas passé. »

 Pourtant, par sa présence, par sa complicité, par sa coopération, Macron s’identifie au culte judaïque, ce qui est contraire à la laïcité. 

L’Élysée, dans ses espaces non privatifs, ne peut pas accueillir une cérémonie religieuse.

 La laïcité impose une neutralité de l’espace politique. Macron a dérogé à cette neutralité.

En réalité, les gouvernants ne respectent pas la laïcité et contribuent paradoxalement à l’éradication du catholicisme, religion traditionnelle de la France. 

Les dirigeants mondialistes installent progressivement une religion mondiale de l’humanité. 

Il est question d’assurer une double direction politique et religieuse du monde. 

Une telle religion confond le politique et le religieux, associe le temporel et le spirituel. 

Ici aussi, l’ordre social politico-religieux mondialiste a plus de réalité et de valeur que les individus.

Par Jean Saunier       https://ripostelaique.com










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