mardi 26 mars 2024

NÉMÉSIS , LE FÉMINISME IDENTITAIRE VEUT DÉVELOPPER SON ASSOSSIATION SA COM ! .......

 

« On ne censure pas les femmes selon le profil de l’agresseur »

Alice Cordier, directrice du collectif féministe identitaire Némésis, développe son association féministe. 

Elle explique auprès de BV ses nouveaux projets.

Clémence de Longraye. 

Le collectif Némésis annonce le lancement d’un nouveau projet. 

Pouvez-vous nous en dire plus ?

Alice Cordier. Ce projet s’inscrit dans ce que nous avons déjà commencé à faire en diffusant certains témoignages sur nos réseaux sociaux.

 Constatant que notre action prenait de l’ampleur, que certains scandales ou témoignages mis en avant obtenaient une visibilité énorme, nous avons décidé de développer notre militantisme de réseau.

Le militantisme digital (le fait d’avoir une présence sur les réseaux sociaux dans un but militant) est très prisé, dans les milieux féministes ou dans les milieux d’extrême gauche.

 Nous avons donc décidé d’investir, nous aussi, ce mode d’action afin d’inonder la Toile. 

Nous voulons prouver qu’il existe un contre-discours concernant ce qu'on entend ou voit aujourd’hui sur les réseaux. 

Nous souhaitons montrer quelque chose de plus réel, de plus concret et de moins idéologique.

 Et cela passera par des témoignages bien filmés, avec du matériel et un studio. 

L’image est très importante aujourd’hui et cela demande des moyens.

 

C. D. L. Quel est le but précis de ce projet ?

A. C. Notre but est de démocratiser la parole des femmes, notamment sur les agressions, sans tomber dans un discours d’idéologie néo-féministe. 

Nous voulons faire intervenir des femmes qui ont été victimes, libérer la parole de façon non idéologique.

 

C. D. L. Concrètement, de quoi avez-vous besoin ?

A. C. Nous avons besoin de 50.000 euros pour mener à bien ce projet.

 Cela nous permettrait d’avoir du matériel de bonne qualité et de louer des studios. 

Il est important d’avoir une image à la hauteur des témoignages que nous souhaitons relayer et à la hauteur de l’influence que nous voulons avoir sur ces sujets. 

Nous pensons avoir les moyens, en termes d’influence, d’apporter une autre voix que celle du néo-féminisme.

 Pour cela, nous avons donc lancé un appel aux dons sous plusieurs formes : PayPal, Stripe ou en cryptomonnaie.

 

C. D. L. En quoi, justement, votre collectif diffère-t-il des autres collectifs féministes ?

A. C. À la différence des autres associations féministes, nous n'allons pas censurer les femmes en fonction du profil de leur agresseur.

 Nous avons vu, depuis quelques années, de nombreuses victimes oubliées du féminisme.

 L’affaire Mila, l’affaire Claire, les viols de femmes juives par le Hamas, les femmes âgées violées par des clandestins dont personne ne veut parler.

 Les néo-féministes, qui sont des militantes de gauche, ne veulent absolument pas faire parler ces femmes, pourtant victimes.

 Quant à nous, nous avons décidé de prendre le contre-pied.

Nous ne sommes pas une association subventionnée, mais nous nous sommes fixé l'objectif d'avoir la même influence que les associations subventionnées, pour donner la parole à ces femmes qui ont été totalement mises de côté, parce que l’agresseur n’était pas « la bonne personne ».

 
Nous sommes la génération sommée de se taire quand ses agresseurs ne plaisent pas à #Noustoutes ou . C’est pourquoi nous avons décidé de créer notre propre média : Témoignages d’experts, de victimes… des témoignages que vous ne verrez JAMAIS sur ou Aidez-nous à réunir 50 000€ pour donner la parole à celles qui n’en ont pas. ➡️Pour faire un don, cliquez ici : collectif-nemesis.com/nous-soutenir Pour vos mères, vos filles, vos soeurs, Merci 
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Clémence de Longraye

Journaliste à BV    https://www.bvoltaire.fr

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