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| Chère amie, Cher ami, Vous pouvez être fier de vous : Ensemble, nous faisons bouger les lignes pour protéger les enfants ! Depuis
plus de deux ans, nous avons accompli un travail très important pour
alerter sur les dangers de l’idéologie transgenre diffusée auprès des
jeunes, et aujourd’hui, j’ai 2 grandes nouvelles à vous annoncer : 1) Le nouveau film de Sophie Robert, Mauvais genre n°2 - Un scandale sanitaire, que vous êtes nombreux à avoir soutenu par le biais de SOS Éducation, va sortir vendredi (le 22 mars 2024) ! Découvrez la présentation de ce film documentaire poignant ci-dessous, et visionnez-le en avant-première… 2) Le groupe Les Républicains (LR) au Sénat va présenter un rapport sur la transidentification des mineurs, ainsi qu’un projet de loi ! C’est une avancée importante, qui a été rendue possible grâce au travail de SOS Éducation auprès des sénateurs. Bien sûr, nous vous communiquerons le rapport dès sa publication officielle, avec le texte du projet de loi. D’ici là, vous pouvez découvrir au bas de ce message l’interview de la sénatrice du Val-d'Oise, Jacqueline Eustache-Brinio, qui dirige le groupe de travail sur ce sujet primordial pour protéger les enfants.
| Mauvais genre n°2 - Un scandale sanitaire, en avant-première pour vous | Je vous laisse découvrir le message de Sophie Robert à votre attention, pour vous présenter son nouveau film et vous donner accès à une avant-première virtuelle exclusive : | « Après 18 mois de péripéties à rebondissements, j’ai l’immense plaisir de vous adresser enfin le lien du film documentaire « Mauvais genre - Un scandale sanitaire », pour une avant-première virtuelle réservée aux abonnés de SOS Éducation. Attention,
il s’agit d’un film sur le réel du changement de sexe, et certaines
images sont insoutenables. Il n’est pas adapté à un jeune public. La sortie publique du film est prévue vendredi (le 22 mars 2024) sur mon site Internet Dragon Bleu TV. Avant cette date, je vous remercie de ne pas diffuser publiquement le lien que je vais vous transmettre. Ce film documentaire « Mauvais genre - Un scandale sanitaire »
dure 120 minutes, et il expose en détail le scandale des traitements et
chirurgies de réassignation sexuelle sur les personnes
transidentifiées. Loin des paillettes des discours "transhumanistes", il révèle la réalité de traitements irréversibles et destructeurs, et la détresse des jeunes happés par l'idéologie transgenre. Je vous invite à découvrir dès maintenant le film « Mauvais genre - Un scandale sanitaire », en suivant ce lien ou en cliquant sur l’aperçu ci-dessous. Faites attention : certaines images sont difficiles, comme annoncé en préambule. Je vous souhaite un bon visionnage. » | | | |
| | « Faute de place, j’ai dû renoncer dans ce film à aborder en même temps les aspects économiques du phénomène, le business de la transindustrie, ainsi que l’endoctrinement effectué dans le cadre scolaire. Ce sera donc l’objet d’un 3e film « Mauvais genre - Les rouages de la trans industrie », qui est déjà en partie monté. Il
comprendra, entre autres, une interview de Sophie Audugé, Déléguée
générale de SOS Éducation. Ce nouveau film sera visible dans le courant
de l'année 2024. Vous serez bien sûr informé dès que le film sera monté ! Vous pouvez aussi retrouver mon premier film, « Mauvais genre - Une épidémie mondiale », en suivant ce lien. Avec toute ma gratitude, Sophie Robert » | Transidentification des mineurs : le rapport du Sénat qui va faire du bruit | Vous vous en souvenez sûrement, en mai 2023, Bruno Retailleau (président du groupe LR au Sénat) avait salué l’action de SOS Éducation sur la transidentité chez les jeunes : | | | |
| Et le groupe LR, majoritaire au Sénat, avait alors décidé d’engager un groupe de travail sur le sujet des transitions de genre chez les mineurs. Notre travail main dans la main avec les sénateurs a permis d’aboutir à des avancées concrètes : un rapport sur la transidentification des mineurs va être publié prochainement, suivi d’un projet de loi ! Je
vous invite à lire ci-dessous l’interview de la sénatrice Jacqueline
Eustache-Brinio, qui revient en détail sur les enjeux des transitions de
genre, et le travail réalisé pour protéger les enfants !
| | | Sophie Audugé, Déléguée Générale de SOS Éducation |
| P.S. : Retrouvez toutes les ressources de SOS Éducation sur la question transgenre chez les enfants, en cliquant ici ou sur l’aperçu ci-dessous : | | | | | | | | | | | | | | | |
| P.P.S. : Vous souhaitez nous aider à protéger les jeunes des dangers de l’idéologie transgenre ? Pour agir avec nous dans l’intérêt supérieur des enfants, faites un don à SOS Éducation !
| | | | | L’interview de la sénatrice Jacqueline Eustache-Brinio pour Le Figaro | Transidentité des mineurs : « Ces enfants risquent de prendre des décisions parfois irréversibles » Par Paul Sugy, le 19 mars 2024 ENTRETIEN
- La sénatrice (LR) du Val-d’Oise Jacqueline Eustache-Brinio plaide
pour un encadrement légal plus strict, interdisant aux professionnels de
santé de proposer une transition hormonale ou chirurgicale avant
18 ans. LE FIGARO. - Pourquoi avez-vous souhaité un travail parlementaire sur les transitions de genre chez les enfants ? Jacqueline
EUSTACHE-BRINIO. - Je me suis intéressée à ce sujet parce qu’il m’a
semblé que la prise en charge des mineurs s’identifiant trans en France
était encore très méconnue de l’opinion, alors que les choses évoluent
pourtant très vite et que de nombreuses questions cruciales sont posées. Celle du diagnostic et des prescriptions qui les concernent est à mes
yeux l’une des plus urgentes à traiter. Bruno Retailleau m’a confié l’an
dernier la mission d’animer un groupe de travail auquel ont participé
18 sénateurs LR. Nous avons auditionné une soixantaine de personnes,
professionnels de santé, éducateurs, responsables associatifs, enfants,
parents… Ce
rapport étudie la « transidentification » des mineurs, le fait de
s’identifier comme un enfant trans. Ces enfants sont-ils nombreux en
France ? Il
n’existe pas de statistiques officielles permettant de le mesurer. Mais
tous les médecins et psychologues que nous avons auditionnés
reconnaissent que ce phénomène est en expansion - quel que soit par
ailleurs le regard qu’ils posent dessus. La psychologue Angélique
Gozlan, spécialiste des réseaux sociaux chez les adolescents, nous a
décrit le rôle joué par des influenceurs transgenres auprès de jeunes en
souffrance, que les algorithmes finissent par enfermer dans des bulles
informationnelles où seul résonne un même discours, répliqué à l’infini. Faut-il davantage encadrer la prise en charge des mineurs en questionnement de genre ? Oui,
car, avant 18 ans, le consentement n’est pas le même qu’à l’âge adulte,
et les enfants risquent de prendre des décisions parfois irréversibles,
que certains regrettent plus tard - trop tard. Je déposerai avant l’été
au Sénat une proposition de loi pour encadrer les pratiques médicales
mises en oeuvre dans le cadre de la prise en charge des mineurs. Ceux-ci
doivent être suivis en premier lieu par des pédopsychiatres. Seuls les
enfants qui ne présentent pas d’autres troubles psychopathologiques
majeurs pourront, si leur détresse liée au genre perdure, être redirigés
vers des services spécialisés dans l’incongruence de genre. | | | |
| La
loi doit interdire de prescrire des bloqueurs de puberté aux mineurs à
qui l’on diagnostique une dysphorie de genre, comme vient de le décider
le Royaume-Uni. Nous voulons également interdire la prescription et
l’administration d’hormones croisées aux mineurs ainsi que la chirurgie
de réassignation sexuelle. En plus de cette proposition de loi, nous
préconisons d’abroger la « circulaire Blanquer » de 2021, qui crée un régime d’exception pour les « élèves transgenres » en milieu scolaire,
et de la remplacer par une note de service incitant le personnel
scolaire à rester neutre à l’égard des enfants qui s’interrogent sur
leur genre. Lors
de son audition, le Pr David Cohen, pédopsychiatre et chef de service à
la Pitié-Salpêtrière, a estimé que la souffrance de certains enfants
doit inciter à laisser une marge de liberté aux médecins… La souffrance des enfants mal à l’aise avec leur genre est un mal-être psychologique qui nécessite du temps pour être appréhendé et compris. L’adolescence
est souvent l’âge où l’acceptation de son corps pubère, de son identité
sexuée, est plus difficile. Mais, lorsque les enfants victimes de ce
mal-être bénéficient d’un accompagnement adéquat, ils ne demandent pas
nécessairement à changer de sexe. Nous recommandons une meilleure prise en charge psychiatrique de ces enfants, mais nous voulons que la France se positionne de façon uniforme sur les réponses proposées aux adolescents. Il y va de la protection de l’enfance, c’est donc le rôle du législateur. | | | |
| Vous
soulignez à plusieurs reprises dans votre rapport le manque de recul
scientifique sur les traitements proposés aux enfants transgenres.
Faut-il encourager la recherche dans ce domaine ? C’est
une évidence : les études scientifiques font encore cruellement défaut
et il faut améliorer notre connaissance, notamment s’agissant des effets
secondaires générés par les traitements proposés aux adolescents. Nous
nous sommes rendu compte que les enfants « détransitionneurs » ont
souvent peur de dire aux professionnels de santé qu’ils regrettent leur
choix : le monde médical sous-estime donc le nombre d’enfants qui ont
fait marche arrière. Mais, pour décider aujourd’hui, il faut se fonder
sur l’état actuel de nos connaissances. Or tout plaide pour une plus
grande prudence, faute de recul. C’est pour cette raison que cinq pays
européens, la Finlande, la Suède, la Norvège, le Danemark et le
Royaume-Uni, ont rompu avec l’approche transaffirmative. La France doit
leur emboîter le pas. |
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