vendredi 22 mars 2024

LE COMMUNIQUÉ DE L' INSTITUT POUR LA JUSTICE !

 


 

Qui sont les juges laxistes ?

 
 
                                                                                                                                                 
 
 
Chère amie, cher ami de l’Institut pour la Justice,

Personne ne semble réagir publiquement, pourtant il se passe quelque chose de très grave en France.

L’extrême gauche attaque - et fait suspendre - les magistrats qu’elle n’aime pas.

C’est un scandale démocratique sans nom, qu’il faut dénoncer. 

Et, dans ce courriel, je vous propose de contre-attaquer…

 
Un juge calomnié et attaqué sans preuve
 
Vous souvenez-vous du juge Tony Skurtys ?

Ce juge du tribunal de Paris était considéré “sévère” par l’extrême gauche.

Pourquoi ?

Car il prononçait trop souvent des “mandats de dépôt” (une personne condamnée à de la prison ferme sans mandat de dépôt ressort libre du tribunal), car il ne voulait pas relâcher dans la nature des personnes dangereuses.

Certes, le juge Skurtys est plus sévère que la moyenne, mais, en réalité, n’est-ce pas du bon sens que d’envoyer en prison des personnes condamnées à de la prison ferme ?!

Sans compter que le juge Skurtys a tout à fait le droit de le faire s’il le souhaite. C’est tout ce qu’il y a de plus légal !

Mais tout cela n’a pas plu à des avocats d’extrême gauche.

Alors, ceux-ci ont monté un véritable complot en 2 phases :

 
La première attaque a commencé en décembre 2022.

Un juge membre du Syndicat de la Magistrature a écrit un rapport (qui ne repose sur rien) contre Tony Skurtys. Ce dernier a d’ailleurs porté plainte en diffamation contre ce rapport.

Dans la foulée, un avocat influent sur les réseaux sociaux, Maître Eolas (un avocat sous pseudonyme, que nous connaissons bien à l’IPJ), en a rajouté une couche en critiquant durement le juge Skurtys.

Et enfin, le journal Libération publie un article à charge contre Tony Skurtys, qui est qualifié de “marteau de la Justice”.

Heureusement, cette première attaque fait flop.

Car le président du tribunal n’a rien à lui reprocher !

Alors, quelques mois plus tard, la fine équipe retente sa chance avec une deuxième attaque…

 
Un juge pourtant très bien noté !
 
Une autre avocate ultra militante (sous pseudonyme encore une fois) écrit un long message sur les réseaux sociaux.

Elle y accuse Tony Skurtys d’avoir mal fait son travail, et notamment de manquer “d’humanité et de pédagogie” avec l’agresseur sexuel qui était jugé et qu’elle défendait.

(C’était un livreur Uber en situation irrégulière qui avait agressé sexuellement une cliente alcoolisée... On croit marcher sur la tête en entendant cette histoire... Le juge Skurtys est plus maltraité que cet agresseur sexuel!!)

 
Pourtant :
  • Tony Skurtys a agi dans les limites de la loi. Cela a été confirmé par son supérieur hiérarchique, cité par Libération !
  • Le juge Skurtys est très bien noté par ses supérieurs, décrit comme un homme particulièrement calme et courtois sur Sudradio.
  • Et comment considérer les avocats comme neutres ? Ils ont tout intérêt à évincer les juges sévères, car ils leur enlèvent leurs clients !

Comme le rappellent en permanence ces juristes d’extrême gauche, les magistrats sont supposés être indépendants, non ?

Mais en réalité, ils n’ont le droit d’être indépendants qu’à la condition d’être laxistes.

Ces militants d’extrême gauche ne respectent pas le droit !! Ils n’ont pas le droit de faire pression sur la justice comme cela.

Alors, en juin 2023, après 1 an de calomnie, et alors qu’aucune faute ne lui a été imputée, le juge Skurtys a été déplacé d’office par le président du tribunal.

Cette affaire est du pur terrorisme intellectuel

Désormais, tous les juges un peu rigoureux savent qu’ils peuvent être diffamés et attaqués sans fondement, ce qui peut leur coûter leur carrière...

 
Ils sont en train de recommencer !
 
Cette première victoire donne l’impression à cette caste que tout lui est permis…

Alors, elle récidive en ce moment même !

Un journal confidentiel, Les Jours, a publié un article, en décembre 2023, à propos d’une juge de la Cour nationale du droit d’asile.

Dans cet article, la magistrate est accusée de :
  • Prononcer trop de rejets de demandes d’asile… Cette magistrate aurait rendu 10% du total des ordonnances de rejet de la Cour entre 2019 et 2022 (ce qui n’est pas si important, connaissant le très faible nombre de magistrats dévolus à cette procédure).
  • D’avoir trop recours à la procédure écrite, donc sans entendre en personne les demandeurs d’asile… ce qui est légal.
  • Et de "manquer de considération" pour eux lors des audiences…

Vous le voyez, ces accusations ne sont pas juridiques du tout ! Mais comme avec le juge Skurtys, ces militants se moquent du droit, ce qui compte c’est l’intimidation.

Et comme pour le juge Skurtys, le journal donne le nom de cette magistrate…

C’est fait à dessein : c’est pour « ficher » cette magistrate, pour que les avocats fassent des demandes de récusation, ce qui pourrait obliger la hiérarchie judiciaire à suspendre cette juge.

 
Il faut contre-attaquer
 
Le droit français est favorable au laxisme, mais malgré ce déséquilibre, les militants les plus zélés ne sont pas contents ! Et ils contournent ce droit pour encore plus de laxisme !

Un pays dans lequel les juges sont déplacés ou suspendus sans faute n’est pas un pays démocratique !

Alors, il faut contre-attaquer. Et nous avons une occasion en or de le faire :

Depuis 2021, l’Etat français a lancé une opération de transparence de la justice (et c’est bien).

Dans ce cadre, il rend publiques toutes les décisions de justice (c’est tout ce qu’il y a de plus normal).

Ce qui veut dire que le grand public pourra savoir quels juges rendent quelles décisions.

Je veux traiter toutes ces informations (en toute légalité) pour savoir qui sont les juges laxistes.

En regardant, en toute transparence, les décisions moyennes de chaque tribunal, nous saurons lesquels sont les plus laxistes. C’est aussi simple que cela.

Puisque les juges rigoureux sont jetés en pâture, il n’y a pas de raison que les juges laxistes agissent en toute impunité !!

Mais ce projet s’annonce long et coûteux : il faut créer un programme informatique pour traiter ces données, tout en respectant les lois CNIL.

Et pour cela, recruter un ou plusieurs ingénieurs, experts en traitement des données.

D’après les premières estimations avec nos prestataires, le projet pourrait dépasser les 150 000€…

 
L’Institut pour la Justice n’y arrivera pas seul
 
Sur la dernière année, et avec des moyens constants, l’Institut pour la Justice a considérablement démultiplié son impact :
  • 83 000 personnes suivent notre page Facebook. C’est 50 000 personnes de plus qu’il y a 3 ans !
  • Votre association a publié 5 études en 2023, dont une sur “l’exécution des peines”, citée par Pascal Praud, Laurent Jacobelli ou l’ancien directeur général de la police judiciaire, Christian Flaesch.
  • Notre porte-parole, Pierre-Marie Sève, totalise presque 150 passages médias sur l’année 2023, un passage tous les 2 jours !
  • 235 000 Français reçoivent désormais mes courriels chaque semaine, c’est suffisant pour influencer l’opinion !

Malgré cet impact de plus en plus important, l’Institut pour la Justice n’a aujourd’hui pas les moyens de faire aboutir le projet dont je vous ai parlé.

 
C’est pourquoi je vous demande votre aide.

En consultant mon fichier, j’ai réalisé que votre carte de membre était arrivée à expiration en 2024 ( à moins que nos courriers se soient croisés ?).

Vous êtes proche de l’Institut pour la Justice, vous connaissez notre combat et notre sérieux. 

Pour que l’IPJ, seule association contre le laxisme, survive, je vous demande donc de réactiver votre carte de membre 2024 de l’Institut pour la Justice en faisant un don (un don d'1€ suffit pour devenir membre !) maintenant.

Si vous avez déjà réactivé votre carte de membre cette année, acceptez mes excuses et ne tenez pas compte de ce message.

Mais si vous ne l'avez pas encore fait, c'est le moment !
 
J'ACTIVE MA CARTE DE MEMBRE

Le nombre de membres que l’Institut pour la Justice compte en début d’année est l’indicateur fondamental de l’intérêt du public pour notre travail. 

Chaque année, c’est LE chiffre que j’observe.

Et cette année, avec votre aide, l’Institut pour la Justice aura un outil unique pour dénoncer les juges laxistes ! Pour répondre enfin aux terroristes intellectuels d’extrême gauche…

En revanche, sans votre aide, l’IPJ devra revoir ses ambitions à la baisse : ce seront moins de déplacements avec des victimes, moins de courriers envoyés aux Français, moins d’études pour démontrer les failles de la Justice, etc.

J’ai besoin de votre aide maintenant. Réengagez-vous avec l’Institut pour la Justice en 2024. C’est le seul moyen de faire changer les choses.

Avec tout mon dévouement,
Axelle Theillier



Axelle Theillier
Présidente de l'Institut pour la Justice
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L'Institut pour la Justice est une association loi 1901 en faveur d'une Justice plus protectrice des citoyens et plus équitable vis-à-vis des victimes.

Pour être sûr(e) de recevoir nos prochains emailings,ajoutez dans votre carnet d'adresses ou dans votre liste d'expéditeurs autorisés l'adresse de l'Institut pour la Justice : contact@emailactito.institutpourlajustice.org.

Vous recevez ce message parce que vous vous êtes inscrit sur notre site www.institutpourlajustice.org. Cliquez ici pour retrouver notre politique de protection de données. Si vous souhaitez davantage d'informations, merci de nous écrire à info@institutpourlajustice.org.

 

 


 

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