dimanche 10 mars 2024

QUAND CATHERINE RINGER MET UN ÉNORME VENT À E. MACRON .......POLÉMIQUE !

 

[Point de vue] 

Quand Macron se prend un vent par l’ancienne chanteuse des Rita Mitsouko

Tout était en place. Tout était nickel.

 Ça promettait d’être une bien belle cérémonie comme la République sait les organiser, c’est-à-dire une parodie grotesque de la pompe de l’Ancien Régime, avec de petits accents phrygiens (rapport au bonnet, bien sûr, pas au mode musical dit « mode de mi »). 

On a vu Éric Dupond-Moretti tourner la presse destinée à sceller la loi constitutionnelle, on a vu un parterre de quinquagénaires acariâtres poussant de petits gloussements joviaux à la vue de ce merveilleux progrès sociétal.

 Il y avait une estrade, un auvent, des drapeaux partout. 

Bref, il n’y avait pas un fil qui dépassait.

 C’était réglé comme du papier musique, pour reprendre les mots de Michel Taupin (Christian Clavier) dans Papy fait de la résistance.

Pour clore la cérémonie, on avait tout prévu aussi. Entouré de ses ministres, tous plus heureux les uns que les autres, Emmanuel Macron devait quitter la zone juste après une interprétation de La Marseillaise par Catherine Ringer.

 La chanteuse des Rita Mitsouko a pris sur elle d’adapter le refrain de l’hymne national : « Aux armes citoyens et citoyennes […] Marchons et chantons/Cette loi pure/Dans la Constitution. » 

 

 Commentaire sobre et drôle de Philippe de Villiers sur CNews : « C’est la Mi-Carême. » 

On fait n’importe quoi, on parodie, on défait, on décale.

Bref, Catherine Ringer a chanté.

 Et puis, elle est partie. 

Emmanuel Macron l’a rattrapée, évidemment, parce qu’il ne comprend pas qu’on puisse ne pas être fasciné par sa présence. 

Il lui a fait le baisemain, avec cette galanterie surannée qui lui vaut les faveurs des vieilles dames, mais aussi avec cette obséquiosité malaisante qui lui vaut la détestation du reste du monde.

 Et puis, il a tenté de la prendre dans ses bras, ou de lui faire une accolade, on ne sait pas. 

Ce que l’on sait, c’est que la chanteuse s’est dégagée avec assez peu de discrétion, avant de partir avec une démarche libre et outrancière, très MLF années 70.


Tout était nickel. Ça, c’était sur le papier. 
Tout était prévu mais rien n’était solennel, rien n’était cadré, rien n’était beau.
Ce n’est d’ailleurs pas tellement surprenant, parce qu’il n’y avait pas grand-chose de beau à fêter. 
Cerise sur le gâteau, donc, ce râteau infligé par une chanteuse à un Macron qui se comporte comme un « forceur » - pour reprendre les mots des plus jeunes d’entre nous.

Comment est-on passés de De Gaulle (puisque c’est la référence esthétique de notre bon maître), faisant le baisemain, en habit, à la reine d’Angleterre en diadème, à Macron exécutant un ridicule bisou sur la main, dans un lieu public, à une star en robe des champs - comme les pommes de terre du même nom.

 À deux doigts du dépôt de main courante, sauvé par les circonstances officielles et par son statut.

Catherine Ringer a été manipulée, lorsqu’elle était mineure, par un homme qui l’a fait basculer dans l’industrie pornographique. 

Elle communique sans fausse pudeur sur cette période de sa vie au cours de laquelle elle a tourné dans une vingtaine de films, et a su rembarrer avec pugnacité, dans les années 80, un Gainsbourg décati - et mal placé pour la leçon de morale qu’il tenta de lui administrer en la traitant de « pute ». 

Autant dire qu’elle en a vu d’autres.

 Son féminisme à elle, en ce 8 mars 2024, pour vulgaire et mal à propos qu’il ait pu paraître, vaut cent fois les mascarades d’un enfant capricieux comme Macron. 

Finalement, c’était peut-être elle la plus digne - ce que sa réaction suffit à prouver.

 Et ce qui en dit long.

Illustration : capture d'écran

 

 

 ET AUSSI

 

VIDÉO -

 Emmanuel Macron snobé par Catherine Ringer ? Ce geste qui intrigue

Après avoir interprété La Marseillaise au ministère de la Justice vendredi 8 mars, Catherine Ringer ne s'est pas attardée lors d'une accolade avec Emmanuel Macron.

Emmanuel Macron, snobé ? 

Vendredi 8 mars, Catherine Ringer a accepté l'invitation du Gouvernement pour se rendre à la cérémonie destinée à sceller l'entrée de l'interruption volontaire de grossesse dans la Constitution. 

Après le discours d'Emmanuel Macron, la chanteuse des Rita Mitsouko a interprété sa version de La Marseillaise dans la cour du ministère de la Justice. 

À la fin de son interprétation, le président de la République s'est avancé vers l'artiste de 66 ans pour la féliciter.

 Mais sur les images capturées, notamment par CNews, on voit que celle qui avait reçu le prix de l’Artiste féminine de l’année aux Victoires de la musique en 2012 n'a pas souhaité s'attarder pour une accolade.

En effet, le chef de l'État a saisi la main de l'ancienne chanteuse, avant de s'incliner devant elle. 

Avec son air nonchalant, l'artiste lui a rendu la pareille. 

Mais lorsque le locataire de l'Élysée a tenté de lui empoigner les épaules, l'interprète de Y’a d'la haine s'est rapidement dégagée en agitant les bras, tout en poursuivant sa route pour retourner dans le public.

Emmanuel Macron : une déclaration coup-de-poing

À la sortie de la cérémonie qui s'est tenue durant la Journée internationale des droits des femmes, Emmanuel Macron a accepté de dire quelques mots à TF1 à propos du "pire souvenir" de sexisme envers une femme dont il a été témoin. 

Et sans conteste, le chef de l'État a mentionné les rumeurs transphobes qui circulent sur la Toile à propos de son épouse depuis des mois.  

"La pire des choses, ce sont les fausses informations et les scénarios montés, avec des gens qui finissent par y croire et qui vous bousculent, y compris dans votre intimité", a-t-il lancé fermement.

 À son sens, les internautes qui ont monté une théorie selon laquelle Brigitte Macron se serait initialement appelée Jean-Michel avant de changer d'état civil – selon BFMTV – "ont du caramel dans la tête". 

Et de rappeler que "le combat féministe, ce n'est pas un combat des femmes, c'est un combat des hommes et des femmes".

 


 ET AUSSI

Inscription de l'IVG dans la Constitution : Catherine Ringer met un énorme vent à Emmanuel Macron (ZAPTV)

Ce vendredi 8 mars, Catherine Ringer a répondu présent pour chanter la Marseillaise place Vendôme, à Paris, pour la cérémonie organisée à l'occasion du scellement de la loi inscrivant l'IVG dans la Constitution. 

Après sa prestation, la chanteuse a eu un geste envers Emmanuel Macron qui a beaucoup amusé les internautes.

C'est une date qui restera à jamais gravée dans l'Histoire.

Ce vendredi 8 mars, le soleil brillait place Vendôme, à Paris, pour la cérémonie de scellement de la loi inscrivant l'IVG dans la Constitution. Présent pour cet événement historique, le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti a apposé le sceau de la République sur la loi, alors qu'Emmanuel Macron s'est exprimé pendant de longues minutes sur le pupitre.

 "Ce sceau scelle en ce jour un long combat pour la liberté, un combat fait de larmes, de drames, de destins brisés", a-t-il déclaré.

Le chef de l'Etat a également rendu hommage aux "pionnières de la lutte pour le droit à l’avortement et l’émancipation", telles que Simone Veil ou encore Gisèle Halimi

"C’est dans les pas de ces combattantes que nous nous engageons avec humilité", a-t-il ajouté.

 

Les internautes hilares face à l'attitude de Catherine Ringer avec Emmanuel Macron

Une autre femme forte, Catherine Ringer, avait également répondu à l'appel, elle qui a fait sensation avec son interprétation revisitée de la Marseillaise. 

"Aux armes citoyens, citoyennes, formons nos bataillons, marchons et chantons cette loi pure dans la Constitution", a clamé la chanteuse des Rita Mitsouko, face à l'assemblée.

 Après avoir chanté, Catherine Ringer est descendue de la scène, saluée par un Emmanuel Macron ravi, qui lui a déposé un baiser sur la main.

 Mais alors que l'époux de Brigitte Macron tentait de faire durer le moment avec la chanteuse de 66 ans, celle-ci l'a repoussé, marchant d'un pas assuré vers la foule.

Une séquence surprenante qui a beaucoup amusé les internautes.

 "Catherine Ringer qui se dégage de Macron le forceur et s'en va comme une reine, ça va me faire la journée", "Catherine Ringer qui remballe Macron le forceur, un plaisir !", "Quel plaisir de voir Catherine Ringer qui remballe Macron lors de la cérémonie de scellement de la loi constitutionnelle sur le droit de recourir librement à l'IVG [...]

 Bravo Madame", peut-on lire sur X. Pas le temps pour le copinage !

© Capture d'écran BFMTV
 

Source :  https://actu.voici.fr/news-people/

 


 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire