mercredi 13 mars 2024

LE RAMADAN EN FRANCE , UNE CONQUÊTE ISLAMIQUE !

 


 

TRIBUNE LIBRE !

Une conquête islamique appelée ramadan

Au nom d’Allah le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux :

« Ô les croyants ! On vous a prescrit as-Siyâm comme on l’a prescrit à ceux d’avant vous, ainsi atteindrez-vous la piété, » (sourate 2, verset 183).

«  pendant un nombre déterminé de jours. Quiconque d’entre vous est malade ou en voyage, devra jeûner un nombre égal d’autres jours. Mais pour ceux qui ne pourraient le supporter qu'(avec grande difficulté), il y a une compensation : nourrir un pauvre. 

Et si quelqu’un fait plus de son propre gré, c’est pour lui; mais il est mieux pour vous de jeûner; si vous saviez ! » (sourate 2, verset 184). 

« (Ces jours sont) le mois de Ramadân au cours duquel le Coran a été descendu comme guide pour les gens, et preuves claires de la bonne direction et du discernement. Donc, quiconque d’entre vous est présent en ce mois, qu’il jeûne !

 Et quiconque est malade ou en voyage, alors qu’il jeûne un nombre égal d’autres jours. Allah veut pour vous la facilité, Il ne veut pas la difficulté pour vous, afin que vous en complétiez le nombre et que vous proclamiez la grandeur d’Allah pour vous avoir guidés, et afin que vous soyez reconnaissants ! » (sourate 2, verset 85).

Par la volonté d’Allah et de son Envoyé sur terre, le ramadan fut instauré par les versets 183, 184 et 185 de la sourate 2, Al-Baquara (la vache).

L’islam est bâti sur cinq dogmes (piliers) : « l’attestation qu’il n’y a pas d’autre divinité qui mérite d’être adorée si ce n’est Allah et que Muhammad est le Messager d’Allah (la chahada), l’accomplissement de la prière (la salat), le fait de s’acquitter de l’aumône (zakat), le fait de jeûner le Ramadan (le carême) et le Hadj (pèlerinage) pour celui qui peut le faire » (rapporté  par sahih Boukhari N° 8 et sahih  Muslim N° 16).

Allah n’a pas prescrit un mois complet pour jeûner. 

Il a parlé seulement d’un nombre déterminé de jours (sourate 2, verset 84 ).

Le ramadan est un  mois  durant lequel les musulmans doivent s’abstenir de manger, de boire et d’avoir des relations sexuelles avec leurs épouses, du lever jusqu’au coucher du soleil.

Cette construction théologique (ou interprétation) du ramadan  est l’œuvre des exégètes islamiques abbassides à compter du VIIIe siècle (en 750 de l’ère chrétienne), au moment de la décapitation des Omeyades qui n’étaient pas en vérité musulmans mais nestoriens, par Abu Musli Khorasani qui était le gouverneur de la ville Merv (Marw en arabe ou Margiane en grec) qui est située  au Turkménistan actuel, sur l’ancienne route de la soie.

En effet, le 11 mars de l’année 2024 correspondant au premier jour du mois de ramadan 1445 qui est en vérité un contrôle social de la population islamique, car durant cette période beaucoup de musulmans deviennent des délateurs et dénoncent les casseurs du carême qui risquent la prison et parfois des tortures dans le monde arabo-musulman.

 Le ramadan est un système qui réduit à néant tout esprit de résistance face à la barbarie de l’islam. 

C’est un moyen islamique d’allégeance de la oumma envers le calife, le représentant d’Allah sur terre.

Selon la tradition islamique, en 622, lors de son arrivée à Yathrib (Médine actuelle) après sa fuite de la Mecque – appelé hégire qui est le début du calendrier musulman – le Prophète Mahomet a remarqué que des tribus juives qui y habitaient  jeûnaient à l’occasion de Yom Kippour, la fête du Grand Pardon, qui commémore la délivrance du peuple d’Israël par Moïse des griffes de Pharaon.

 C’est donc un jour de fête célébrant la victoire de Yahvé contre les Égyptiens.

Mahomet questionna alors les Juifs de Yathrib : « C’est quoi ça ? ». Les Juifs lui expliquèrent que c’est un jour béni, le jour où Allah a sauvé Moïse et son peuple de ses ennemis (les Égyptiens pharaoniques).

 Il leur répondit : « Moi, Moïse, je le mérite plus que vous. Vous, les musulmans, vous avez plus de droit de célébrer la victoire de Moïse qu’ils n’en ont, alors observez le jeûne ». 

 Il a jeûné et a demandé à ses compagnons de suivre son exemple.
Ce hadith est rapporté par Ibn Abbas selon sahih Al-Bukhar N° 4680.


Mahomet  ne connaissait pas  le jeûne à la Mecque, et pourtant depuis de douze ans, il était déjà l’Envoyé d’Allah.

 Un Émissaire d’Allah qui ignorait l’existence du jeûne qui était répandu auprès des Juifs, des Chrétiens, des Mandéens, des Bouddhistes, des Hindouistes, des Manichéens et bien d’autres peuples, ne représentait-il pas le comble de l’ignorance prophétique ?

N’était-il pas un prophète sans grande inspiration ?

Cette attitude  de Mohammed Ibn Abdallah, qui cherchait à connaître l’histoire du carême auprès des Juifs telle que rapportée par la sunna, n’est-elle la preuve qu’il était un imposteur ?

Par la suite, ce premier jour de jeûne était devenu celui de l’Achoura, le dixième jour de Mouharram, du premier mois de l’année hégirienne, pour les Sunnites mais aussi la journée de la distribution de l’aumône aux nécessiteux.

Pour les Chiites, l’Achoura signifie la commémoration du massacre de l’imam Hussein (fils d’Ali gendre et cousin de Mahomet et de sa fille Fatima) à Karbala (Irak) en 680 par les Omeyades.


Pour comprendre le ramadan et ses conséquences sur la vie des musulmans, on doit s’appuyer sur les textes rapportés par la tradition islamique.

Le ramadan fut instauré en trois phases.

La première étape du jeûne islamique fut celle de l’Achoura qui est facultatif. 

Puis la deuxième fut le jeûne de trois jours plagié auprès des Mandéens (Sabéens ou Baptistes, les disciples de Jean-Baptiste, le prophète Yahia pour les  musulmans) qui jeûnaient trois jours par mois durant toute l’année ou parfois neuf jours.

  La troisième fut le jeûne de trente jours (un mois) qui est devenu obligatoire. Et dès l’âge de sept ans, les jeunes musulmans doivent commencent à s’initier à sa pratique.

Le jeûne de trois jours qui n’est pas obligatoire, mais a été maintenu.

Ce jeûne est appelé jeûne blanc (ou de pleine lune). Généralement, ce jeûne se pratique le 13e, le 14e et le 15e jour du mois lunaire.
 

À ce propos, Abou Hourayra dit : « Le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « Le meilleur jeûne après celui du Ramadan est le jeûne effectué pendant le mois de Mouharram. Et la meilleure prière faite après la prière obligatoire est celle effectuée dans la nuit » (rapporté par Mouslim, 1163).
D’après Abou Houreira, le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit : « Jeûnez à sa vision (voir le croissant de la lune) et rompez le jeûne à sa vision (voir le croissant de la lune du mois de chaabane au 29e jour du mois de Ramadan) et si vous êtes empêchés par des nuages alors complétez le nombre de jours de Chaabane à 30 jours ». 

 Rapporté dans sahih Boukhari N° 1909 et sahih Mouslim N° 1081.

Selon  Abou Houreira, le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit : « Le mois de Ramadan vous est venu, c’est un mois béni qu’Allah vous a imposé de jeûner.

 Durant ce mois les portes des cieux sont ouvertes, les portes de la géhenne sont fermées et les diables sont enchaînés. 

Allah a dans ce mois une nuit qui est meilleure que mille mois, celui qui est privé de son bien, est vraiment privé de tout bien » (rapporté par l’imam Nassai et authentifié par l’imam Albani dans sahih Targhib N° 999).

Le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) était le plus généreux des hommes et au moment où il était le plus généreux,  c’est durant le ramadan lorsque l’ange Gabriel (Jibril) lui rendait visite chaque nuit  afin de lui transmettrait les versets coraniques. 

Quand le Messager d’Allah rencontrait l’ange  Gabriel, il était plus généreux que les vents remplis de pluie envoyés par Allah (rapporté dans sahih Boukhari N° 3220 et Sahih Mouslim N° 2308).

Mohammed Ibn Abdallah (que la prière d’Allah soit sur lui et le salue) a dit : « Celui qui prie la nuit du destin avec ferveur en espérant une  récompense, ses péchés précédents seront effacés et celui qui jeûne avec ferveur durant le mois de ramadan en espérant des récompenses, ses péchés précédents seront pardonnés » (rapporté par sahih Boukhari N° 1901 et sahih Mouslim N° 760).

 

Selon sahih Al-Bukhari, Mahomet a dit : ”celui qui rompt le jeûne d’une journée de ramadan sans excuse, ni permission, alors il ne sera jamais pardonné même s’il jeûne toute  éternellement (toute sa vie).” (rapporté par Ibn Abi Chayab N° 9877 et ce hadith a été authentifié par l’imam Boukhari).


Les califes abbassides, pour un besoin de pouvoir et de contrôle des peuples, ont fait du ramadan un mois de djihad, un moment propice pour faire la guerre aux mécréants et mourir sur le sentier d’Allah (sourate 8, le butin verset 12 et sourate 9 le repentir, verset 111) en référence à la bataille de Badr quand Mahomet a pris le dessus sur ses ennemis les idolâtres Qoraychites, le 17e jour du siyam (ramadan) en 624 de l’ère chrétienne.
 

Il est écrit dans le coran, sourate 97 Al-Qadr (la destinée) versets 1 à 5 :
« Nous l’avons certes, fait descendre (le coran) pendant la nuit d’Al-Qadr.
Et qui te dira ce qu’est la nuit d’Al-Qadr ?
La nuit d’Al-Qadr est meilleure que mille mois.
Durant celle-ci descendent les Anges ainsi que l’Esprit (l’Ange Gabriel), par permission de leur Seigneur pour tout ordre.
Elle est paix et salut jusqu’à l’apparition de l’aube. »

C’est pendant la nuit de Leilat Al-Qadr que la baraka d’Allah se manifeste et que les portes des Cieux s’ouvrent et que les djinns malfaisants sont enchaînés. 

Depuis 14 siècles, ce miracle se fait désirer et  les musulmans  attendent avec impatience de prendre leur revanche sur les mécréants (juifs et chrétiens).
D’après le coran et les hadiths, le ramadan apporte dans ses couffins la charité, la compassion, la ferveur religieuse, la joie des retrouvailles, la miséricorde et la grâce d’Allah dans les cœurs des musulmans.

 Mais la réalité est toute autre, car dans les pays islamiques, le mois de ramadan rime avec oisiveté, énervement, agression, bagarre, baisse de la productivité.


Le ramadan, c’est l’absentéisme assuré, c’est l’augmentation des prix des produits de première nécessité qui prennent la fusée Ariane et c’est la période de l’année où les urgences dans les hôpitaux sont débordées, juste après la rupture du jeûne mais surtout c’est la violence qui se déclenche pour un oui ou pour un non, notamment contre les femmes qui souffrent déjà derrière les fourneaux.

Le  ramadan, c’est aussi le mois propice pour le djihad conformément aux recommandations d’Allah. 

Les versets coraniques 217 de la sourate 2, 12 de la sourate 8 et 111 de la sourate 9 sont longuement commentés par les exégètes islamiques, en référence à la bataille de Badr, le 17e jour du siyam (jeûne) en 624 , durant laquelle Mahomet avait pris le dessus sur ses ennemis mecquois, selon le récit islamique.
« Ils t’interrogent sur le fait de faire la guerre pendant les mois sacrés – Dis : « Y combattre est un grave pêché, mais plus grave encore auprès d’Allah est de faire obstacle au sentier d’Allah, d’être impie envers Celui-ci et la Mosquée sacrée, et d’expulser de là ses habitants.

 L’association est plus grave que le meurtre.  Et ton Seigneur révéla aux Anges : « Je suis avec vous : affermissez dont les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous et frappez-les sur tous les bouts des doigts » (sourate  8, verset 12).

 

Au moins c’est clair, net et précis. 

À ceux qui disent : pas d’amalgame, ces versets sont les preuves sans détour que le djihad contre les mécréants est obligatoire surtout pendant le mois jeûne islamique. 

Alors, il ne faut pas s’étonner que les attentats terroristes islamistes se multiplient  durant cette période bénie pendant laquelle les portes du Paradis sont grandes ouvertes pour accueillir les martyrs d’Allah.

 Car il est prescrit dans le coran que la priorité à l’accès au paradis est réservé aux martyrs :
« Ne pense pas que ceux qui ont été tués dans le sentier d’Allah soient morts. Au contraire, ils sont vivants, auprès de leur Seigneur, bien pourvus ».
« et joyeux de la faveur qu’Allah leur a accordé, et ravis que ceux qui sont restés derrière eux et ne les ont pas encore rejoints, ne connaîtront aucune crainte et ne seront point affligés ».
« Ils sont ravis d’un bienfait d’Allah et d’une faveur, et du fait qu’Allah ne laisse pas perdre la récompense des croyants » (sourate 3 versets 169, 170, 171).


Et, ils auront à leur disposition soixante douze (72) houris au Ferdous (les vierges du Paradis d’Allah) (sourates 55 et 56).
Où est donc passée la tolérance dont se gargarisent les musulmans, une fois confortablement installés en Occident ? 

En fin de compte, ils savent utiliser la taqîya à la perfection pour entuber les crédules islamo-gauchistes et les progressistes mondialistes occidentaux.

Chaque année durant le ramadan, la France s’islamise un peu plus en toute légalité républicaine, au nom de la laïcité.

 Et cette période du carême islamique est une opportunité que les oulémas exploitent afin d’accentuer leur emprise  sur les ‘musulmans égarés’ surtout en Occident, dans le but de les  faire revenir au bercail, sur le chemin d’Allah et leur éviter la mécréance (kufr).

Ces Oulémas préparent déjà l’après conquête.

L’Occident, englué dans ses mensonges du politiquement correct et ses contradictions, refuse de voir l’hydre islamique qui est en train de le gangrener de l’intérieur.

Ses élites refusent de voir que chaque année qui passe, le ramadan est utilisé comme un moyen de conquête des sociétés occidentales qui sont ouvertes à tous les vents.

Leur  cupidité et leur compromission sont les véritables alliés de l’islam. 

Et pourtant, partout où il a réussi à planter sa tente, l’islam, tel un roi charognard, règne par la terreur qu’il a imposée aux populations conquises en les emprisonnant dans l’ignorance mère de toutes les violences.
 

Le  ramadan n’est-il pas transporteur  de la peur et de la terreur qui sont les moyens de contrôle de la société islamique ?

Depuis trente ans, de concession en concession, l’Occident notamment la France ont fini par capituler devant l’islam.

Quelle est-elle cette escroquerie ramadanesque qui est en train de causer des dégâts irréparables auprès de ceux qui sont frappés par la maladie de la haine de soi ?

 

Mahomet, l’ami d’Allah, était misogyne : les preuves

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Selon la tradition islamique, le prophète de l’islam, habib Allah, l’ami de Dieu, qu’Allah prie sur lui et le salue quotidiennement, aimait tellement  les femmes qu’il les considérait  comme des déficientes mentales, bonnes à lever uniquement les jambes et à être au service exclusif  de l’homme musulman, déclaré l’unique souverain sur terre conformément aux lois de la charia.

 

Sûr de l’appui sans réserve qu’Allah lui a octroyé, Mahomet a décrété la misogynie comme une des bases de son idéologie. 

A cet effet, un hadith authentique  confirme le sexisme dont il était animé.

Mahomet avait dit que les femmes sont si mauvaises et ingrates, qu’elles composeront la majorité des personnes voués à l’Enfer. 

Pour lui, elles sont dépourvues de neurones leur ôtant ainsi la qualité d’êtres humains normaux, pouvant réfléchir et décider par elles-mêmes.

En conséquence, il a laissé comme consigne  dans sahih Boukhari ( N° 301) : « Une fois que l’apôtre d’Allah est allé au Musalla pour faire de la prière d’Al-Fitr. 

Puis il passa près des femmes et dit : “O femmes ! Faites l’aumône, car j’ai vu que la majorité des habitants de l’Enfer étaient vous (les femmes).” Ils demandèrent : “Pourquoi en est-il ainsi, ô apôtre d’Allah ?” 

Il répondit : “Vous maudissez fréquemment et vous êtes ingrates envers vos maris. Je n’ai vu personne plus déficiente en intelligence et en religion que vous. Un homme prudent et sensé pourrait être égaré par certains d’entre vous.” 

Une femme lui demanda : “O Apôtre d’Allah ! Qu’est-ce qui manque à notre intelligence et à notre religion ?” Il a dit : “Le témoignage de deux femmes n’est-il pas égal au témoignage d’un homme ?” Ils ont répondu par l’affirmative. 

Il dit : “C’est le défaut de son intelligence. N’est-il pas vrai qu’une femme ne peut ni prier ni jeûner pendant ses règles ?”

 La femme a répondu par l’affirmative. Il a dit : “C’est le défaut de sa religion”. »

Le Prophète a dit aussi : “Le témoignage d’une femme n’est-il pas égal à la moitié de celui d’un homme ?” Les femmes ont dit : “Oui.” Il a dit : “C’est à cause de la déficience de l’esprit d’une femme » (rapporté dans sahih boukhari : 3-48-826).

« Si celui qui prie, et qui n’a pas placé devant lui un rempart comparable à la partie arrière du palanquin [c’est-à-dire une sut’rah], sa prière (salât) sera annulée par l’âne, la femme et le chien noir qui passent devant lui » (sahih Muslim N° 510).

Mahomet avait dit que les femmes sont si mauvaises et ingrates, qu’elles composeront la majorité des personnes voués à l’Enfer.

 Pour lui, elles sont dépourvues de neurones qui puissent leur permettre d’être intelligentes et d’accéder ainsi au Paradis où elles seront remplacées par les vierges éternelles (les houris) ( voir les sourates 55 et 56).

Lire aussi les versets misogynes suivants à titre indicatif : sourate 2, verset 282, sourate 4, versets 3, 11, 34, 43, 117, sourate 5, verset 6, sourate 43, versets 15 et 19, sourate 52,  verset 59.

Le prophète de l’islam a dit : « Un peuple qui confie ses affaires  à une femme ne connaîtra jamais la prospérité. »

Ce hadith est fréquemment évoqué en terre d’islam afin de barrer la route aux femmes ambitieuses qui refusent la servitude. 

 Ce hadith a été rapporté  par un compagnon du prophète nommé Aba Bakra et transcrit  dans Sahih Boukhari, Sunan Al-Thirmidi, Sunan An-Nissai et le Musnad de l’imam Ahmed Ibn Hanbal.

Un hadith rapporté dans sahih Boukhari ( 2-3371)  dit :

« Ô Abu,  tu as entendu le messager d’Allah mentionner au sujet d’azl (coïts interrompus) ?” Il a dit, “oui”, et a ajouté : “Nous sommes sortis avec le messager d’Allah pour une expédition ( razzia) contre la tribu des Mustaliq où nous avons capturés quelques excellentes femmes arabes que nous  avons désirés, car nous souffrions de l’absence de nos épouses et  nous avons également exigé une rançon pour elles. Ainsi nous avons décidé d’avoir des rapports sexuels avec elles mais tout en observant l’azl “(retirer l’organe sexuel masculin avant l’émission du sperme afin d’éviter la conception). 

Nous avons demandé la permission au messager d’Allah  qui  a dit : “Il n’importe pas si tu ne le fais pas, car pour chaque âme qui doit être créé jusqu’au jour de la Résurrection, sera créé par la volonté d’Allah”. »

 Dans un autre hadith, de sahih boukhari ( 2-3432),  un compagnon de Mahomet, Al-Khudri a rapporté : «  Après la bataille de Hunain,  le messager Allah a envoyé une armée à Autas où il a  éliminé  l’ennemi  d’Allah ( les polythéistes). Après les avoir défaits et pris des captives, les compagnons du messager d’Allah ont hésité d’avoir des rapports sexuels avec les femmes,  car leurs maris étaient des polythéistes qu’ils connaissaient. Alors  Allah transmis à son prophète le verset 28 de la sourate : « et, parmi les femmes, les dames (qui ont un mari), sauf si elles sont vos esclaves en toute propriété. 

Prescription d’Allah sur vous ! 

A part cela, il vous est permis de les rechercher, en vous servant de vos biens et en concluant mariage, non en débauchés. 

Puis, de même que vous jouissez d’elles, donnez-leur leur mahr comme une chose due. 

Il n’y a aucun péché contre vous à ce que vous concluez un accord quelconque entre vous après la fixation du mahr, car Allah est, certes, Omniscient et Sage. »

Par ce verset Allah légalise le viol des femmes captives surtout quand elles ne sont pas musulmanes.
 

Un hadit rapporté par Abu Dawud ( N° 4428), Buraidah a dit : «  Une femme de Ghamid est venue voir le prophète et lui avoué qu’elle a forniqué ( zina). 

Il a dit : « ne reviens plus et pars en exil ». Elle est revenue le jour suivant le revoir en lui disant : «  Peut-être que tu veux me renvoyer comme tu as fait avec Maiz Ibn Malik. Je jure par Allah que je suis enceinte ». 

Il lui dit : «  Reviens lorsque tu auras accouché ». Elle est repartie et quand elle a donné naissance au bébé, elle l’a présenté à l’Envoyé d’Allah en disant : «  Le voilà ! Je lui ai donné naissance ». 

 Il lui a dit : “retourne, allaite-le jusqu’à ce qu’il soit sevré.”  Quand elle l’eut sevré, elle le lui a présenté  à nouveau avec un aliment  dans sa main qu’il mangeait (comme preuve qu’il était bien sevré). Le garçon a été alors remis  à un musulman et  le messager d’Allah  a décrété la lapidation de la femme adultère. Ainsi, un puits fut creusé dans lequel elle fut mise pour être lapidée jusqu’à la mort.

 Khalid était l’un de ceux qui lui jetait des pierres. Quand une éclaboussure de sang lui était tombée sur sa joue, il l’avait  violentée. 

 Le prophète lui avait  dit : “Doucement, Khalid. Pour celui qui tient dans ses mains mon âme, elle s’est repentie à tel point que celui qui lui cause un tort supplémentaire ( souffrance), devra se repentir pareillement, alors seulement il serait pardonné “. 

Puis,  il avait  donné l’ordre en la regardant de prier au-dessus avant de l’enterrer.” »

Dans sahih Boukhari 1-28,  le prophète de l’islam a dit : « Il  m’a été donné de voir l’enfer et j’ai vu que la majorité de ses habitants étaient les femmes qui étaient ingrates durant leur vie. On lui alors demandé, “sont-elles des croyantes en Allah ?”, il a répliqué : “Elles sont ingrates envers leurs maris pour les faveurs et les biens dont elles ont bénéficié”. »

Dans sahih Boukhari 4-6600 : « Imran Hussein a dit que le messager d’Allah a affirmé que parmi les bienheureux du Paradis, les femmes y sont minoritaires. »

Selon, ( sahih Boukhari 1-215), Omar le deuxième calife ‘bien guidé’  que Mohammed Ibn Abdellah ( le prophète de l’islam) a dit : « Aucun  croyant  ne sera interrogé, le jour du jugement Dernier, pour avoir   battu sa femme. »

Dans sahih Boukhari ( N° 558), le prophète de l’islam a dit : « Quand un homme appelle son épouse au lit et qu’elle ne vient pas, il passe la nuit en étant en colère contre elle, alors, les anges la maudiront jusqu’au matin. Celui qui est au Paradis sera contrarié jusqu’à ce qu’elle satisfasse les désirs de son le mari. »

Malgré les comportements sexistes et pédophiles de l’émissaire express d’Allah sur terre, les musulmans continuent de radoter que l’islam a libéré la femme.

Alors, jusqu’à quand, les Français resteront les bras croisés, tétanisés par la lâcheté, devant l’envahissement de leur pays par l’islam, ‘la belle religion de paix et de tolérance, dont l’idéologie est basée exclusivement sur le crime, la razzia, la haine, le racisme, la barbarie, l’esclavage et la misogynie ?

Par Hamdane Ammar

 


ET AUSSI

 


 

Hidalgo n’a toujours rien compris à la réalité du ramadan

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Après Londres, en 2023, c’est au tour de Francfort de célébrer le départ du « Happy Ramadan 2024 ». Souvenons-nous que le « Paris » de Mme Hidalgo l’avait fêté il y a quelques années.

Puisque les musulmans « Fêtent » (selon Mme Hidalgo) le « Ramadan », qu’il me soit permis de lui faire souvenir cet article, écrit à l’époque et qui, je l’espère, lui aura permis de s’instruire sur une religion qu’apparemment « elle connaissait si peu ! »

*On peut être maire d’une capitale comme Paris tout en présentant de larges déficiences culturelles sur certains sujets.

C’est l’exemple que nous a donné Mme Hidalgo concernant le « Ramadan ». 

Sa déclaration n’est qu’un monument d’erreurs : « Le ramadan est une fête qui fait partie du patrimoine culturel français. Le célébrer fait partie du partage et ne contrecarre pas la laïcité. »

 

Trois erreurs grossières dans cette simple petite phrase destinée à satisfaire les représentants des musulmans de France, qu’elle recevait en grande pompe à l’Hôtel de Ville.

1/ Le « ramadan » n’est pas une fête, bien au contraire, il s’agit d’une pénible épreuve imposée par le prophète à ses croyants afin de tester leur fidélité : jeûne total, abstinence sexuelle et étude du coran durant toute la journée (les manquements étant très sévèrement punis, jusqu’à la peine de mort). Cela n’a rien d’une fête. La fête suit dès la fin du ramadan car, justement, c’est une fête qu’il soit enfin terminé, il s’agit alors de l’Aïd-el-Fitr et cette fête peut même durer jusqu’à trois jours.

 

2/ Le « ramadan » n’a jamais, ne fait pas et ne fera jamais partie du patrimoine culturel français. 

Mme Hidalgo imagine-t-elle une seule seconde que l’occupation, il y a quelques siècles, de la France du sud, avec ses pillages, ses razzias, ses paiements de rançons, son exploitation systématique au bénéfice du califat, son esclavage (sexuel pour les femmes et économique pour les jeunes hommes qui étaient châtrés afin de ne pouvoir ni forniquer ni se reproduire), etc. permettrait un jour d’inscrire cette période néfaste au patrimoine culturel de notre pays ?

 

3/ « Célébrer le ramadan ne contrecarre pas la laïcité » ? Effectivement, que les fidèles musulmans pratiquent le ramadan ne contrecarre en rien la laïcité, tout comme les juifs et les chrétiens qui célèbrent leurs fêtes religieuses. Mais quand la pratique de la religion musulmane nous oblige à la subir contre notre volonté, cela contrecarre la laïcité.

*Quand certains quartiers de votre capitale sont devenus de véritables « coupe-gorges », livrés à une racaille de « mineurs ».

*Quand certains quartiers de nos villes livrés à la drogue sont devenus des taudis inhabitables.

*Quand on ne veut pas que les femmes soient soignées par des médecins hommes.

*Quand on exige des horaires spéciaux dans les piscines ou les salles de sports.

*Quand on exige des menus « halal » dans les cantines des crèches et des écoles.

*Quand on porte le « voile » dans l’unique but de provoquer justement les lois laïques et notamment dans des épreuves sportives.

*Quand on demande que l’on offre des églises pour en faire des mosquées.

*Quand on débaptise des fêtes chrétiennes, que l’on supprime le mot « Saint » sur les médias télévisés et que l’on souhaite également le supprimer dans le nom de nos communes.

*Quand on exige le retrait de tableaux et de statues dans les édifices publics et sur les places.

*Quand on baptise des rues, des parcs, etc. du nom de traîtres, d’ennemis de la France.

*Quand on autorise l’occupation des rues, des salles et des vestiaires par les musulmans pour leur prière du vendredi.

Tout cela contrecarre la laïcité car il s’agit d’exigences communautaires d’une religion.

Alors, Mme le maire provisoire de Paris, si votre culture n’est pas à la hauteur de vos ambitions politiques, profitez de cette période du ramadan non pas pour étudier le Coran mais pour vous instruire davantage sur les valeurs de la République que, hélas, vous représentez.

Et souvenez-vous que l’Andalousie, où vous êtes née, a subi sept siècles d’occupation par les Maures, au cours desquels des dizaines de milliers de vos anciens compatriotes ont payé de leur vie pour s’en libérer et où d’autres, livrés à l’esclavage, se sont vus privés à vie de leur liberté.

Par Manuel Gomez

 Source et Publications :   https://ripostelaique.com

 


 
      https://www.parti-de-la-france.fr/

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