vendredi 15 mars 2024

C' ÉTAIT HIER AU SOIR ! MACRON FACE AUX FRANÇAIS ! SUR TOUTES LES CHAINES D' INFORMATIONS !!!

 

 TRIBUNES LIBRES !


Macron avoue : en armement, l’Europe ne fera jamais le poids face à la Russie

L’Europe doit mener la guerre en Ukraine, oui, mais sans armée conventionnelle. 

C’est ce qui résulte en filigrane des déclarations du chef de l’État lors de son entretien sur TF1 et France 2 ce jeudi 14 mars

Dans l’état actuel des choses a reconnu Macron, la France et l’Europe n’ont pas les moyens de soutenir militairement l’Ukraine.

Le chef de l’État a rappelé que l'”économie de guerre” mettra du temps à produire ses effets.

« Nous n’avons pas une industrie de défense adaptée à une guerre de haute intensité territoriale que nous ne nous apprêtions pas à mener pour nous-mêmes », a dû avouer Emmanuel Macron, qui a poursuivi : « Dès février 2022, j’ai indiqué à nos industriels que nous passions en économie de guerre. Je leur ai demandé des efforts pour produire plus vite. »

Apparemment, les industriels de l’armement se font tirer l’oreille : la production d’obus dans l’Hexagone a certes été multipliée par trois, mais ce que la France produit en une journée, l’armée ukrainienne le tire en quelques minutes, a dû admettre le chef des armées.

 Qui aurait pu rajouter : et la Russie en quelques secondes…

Le chef de l’État assure toutefois que la production de canons Caesar a fortement augmenté depuis le début de la guerre en Ukraine : “Là où nous avons livré quelques dizaines [de canons Caesar] depuis le début du conflit, cette année nous allons produire près de 75 canons Caesar et ils iront tous sur le front ukrainien » a révélé le chef de l’État. 

Ajoutant : « Mais on a des limites. Ça met du temps à faire (sic) ».

Quid de l’effort de guerre russe sur la longue durée, sans commune mesure avec celui que la France et l’Europe, économiquement au bord de la ruine, pourront péniblement aligner dans un nombre indéterminé d’années ?

 En attendant, Macron doit se livrer à d’un dépeçage en règle de l’armée française…

Macron n’a fait aucun commentaire sur l’arrêt de l’aide américaine à l’Ukraine.

 Un retrait qui pourrait être définitif en cas de victoire de Donald Trump, laissant l’Europe seule face à la puissante Russie. 

Laquelle s’est toujours refusée à des frappes nucléaires tactiques sur l’Ukraine, considéré comme un “pays frère” compte tenu de l’histoire, mais qui n’aurait pas l’ombre d’une hésitation contre des membres de l’Otan.

 Gageons qu’avec Trump, le parapluie nucléaire américain restera obstinément fermé.

Des armes vont être produites en Ukraine en partenariat avec l’Allemagne, a précisé le président. 

Concernant le financement de cette “économie de guerre”, Emmanuel Macron compte sur les moyens européens avec la facilité européenne de paix sur laquelle les États membres se sont accordés ce mercredi. 

Cette dernière financera des contrats pour des industriels français sur le territoire et en Ukraine. 

Le chef de l’État n’exclut pas d’aller plus loin et éventuellement d’engager les États de l’UE dans la souscription d’emprunts pour financer l’aide à l’Ukraine. 

Rien n’est décidément trop beau pour le régime de Zelensky.

Questions que n’ont pas posées les journalistes : avant que la France et l’Europe ne soient prêtes à affronter l’armée russe sur le terrain – d’ici sans doute de longues années, si cela arrive –, dans quel état sera l’armée ukrainienne, déjà en quasi-déroute ?

 L’option nucléaire est-elle alors sur la table ? Frappes tactiques sur le sol ukrainien ou stratégique sur le sol russe ?

 Le président a-t-il songé aux conséquences de ces frappes ?

 Quelles sont les mesures qu’il envisage pour protéger les populations françaises de frappes nucléaires russes de rétorsion ?

Et nos parlementaires ont majoritairement donné un blanc-seing à ce fou furieux pour qu’il aille jusqu’au bout de ses délires cocaïnomaniaques !

 On cauchemarde…

Par  Henri Dubost       https://ripostelaique.com


ET AUSSI

Macron face aux Français : demain, la guerre ?

« Le Président va rendre compte de la situation de manière pédagogique », rapportait la presse ce jeudi matin.

 Les Français ne sont pas des enfants, mais bon… 

En tout cas, il était grand temps qu’Emmanuel Macron s’adresse directement aux Français après ses saillies va-t-en-guerre des dernières semaines, que le Parlement a débattu et s’est prononcé cette semaine sur l’accord bilatéral de sécurité signé récemment entre la France et l’Ukraine.

 Grand temps d’autant que les deux tiers (68 %) de nos compatriotes considèrent que le chef de l’État a eu tort de prendre des positions ressenties comme bellicistes, selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting réalisé fin février pour Le Figaro.

Des propos qui ont « créé une forme de peur », soulignait un député Renaissance, selon La Nouvelle République, qui ajoutait : « Il faut rassurer, dire qu’on fait tout pour éviter la guerre, que la France use toujours de la voie diplomatique et qu’il ne faut jamais abandonner l’Ukraine ». 

Alors, ce jeudi soir, interviewé par Anne-Sophie Lapix et Gilles Bouleau, Emmanuel Macron a donc voulu faire de la pédagogie.

 Tout du moins au début de son interview. « Vous êtes assis devant moi. Est-ce que vous êtes debout ? Non. Est-ce que vous excluez de vous lever, à la fin de votre interview ? A coup sûr vous n’allez pas l’exclure ».

 Référence à ses récents propos selon lesquels il n’excluait pas d’envoyer des troupes au sol en Ukraine. 

La comparaison est un peu boiteuse mais le Président semble content de sa trouvaille.

A-t-il rassuré les Français ? Sans doute pas. 

A-t-il convaincu que la France use toujours de la voie diplomatique ? Encore moins. 

Qu’il ne faut jamais abandonner l’Ukraine ? 

Oui, sur ce point, le message a été clair.

 

Macron n’a pas rassuré.

Tout d’abord sur la situation tactique sur le terrain, là-bas, sur la ligne de front : « La situation est difficile », reconnaît le Président. 

« Une litote », lui répond Gilles Bouleau. 

Traduire : la situation tactique est mauvaise pour les Ukrainiens.

 Mais Macron va plus loin en rappelant que « la guerre est sur le sol européen », que « ce n’est pas une fiction loin de nous ». 

 C’est une évidence que les Français savent mais ne veulent sans doute pas croire, il faut bien l'avouer.

 Et donc, Macron n’a pas voulu rassurer en affirmant que c’est la sécurité de l’Europe, de la France et des Français qui se joue là-bas. 

« Guerre existentielle pour la France et l’Europe », dit-il carrément. 

Sur l’envoi de soldats français en Ukraine, a-t-il rassuré ? Non plus. 

« J’ai peut-être raison de ne pas être précis ». C’est la fameuse « ambiguïté stratégique ».

 On n’en saura pas plus.

 Pourtant, Le Monde révélait ce 14 mars que Macron, le 21 février dernier, dans un salon de l’Élysée, aurait déclaré « d’un air dégagé » : « De toute façon, dans l’année qui vient, je vais devoir envoyer des mecs à Odessa ».

 Propos que dément formellement le Palais, ce même 14 mars. 

Ambiguïté stratégique.

« Nous sommes prêts », assène-t-il...

 

Rassurer sur le fait que « les choses bougent » en tentant de faire oublier le cinglant désaveu qu’il a reçu de la part des alliés après ses propos lors de la conférence de soutien à l’Ukraine, le 27 février dernier.

 On verra cela après qu’il aura rencontré Scholz ce 15 mars.

 Macron a voulu rassurer quant à nos capacités militaires.

 Nous avons un « modèle d’armée complet », se plaît-il à rappeler. 

Un modèle que les esprits chagrin qualifient d’« échantillonnaire »...

 Et le chef des armées d'évoquer notre récent engagement au Sahel pour prouver notre capacité opérationnelle. 

Bouleau a beau rétorquer que ce n'était pas tout à fait le même genre d’ennemi et de guerre que celle qui est menée en Ukraine, Macron balaie l’argument d’un revers de manche.

 « Nous sommes prêts », assène-t-il.

 La France produit moins de cent obus par jour, ce que consomment les Ukrainiens en quelques minutes ? 

On va chercher partout dans le monde des minutions et accélérer les cadences.

 Tout ça coûte cher. 4,8 milliards ont déjà été donnés à l’Ukraine. 3 de plus sont prévus. 

Va-t-il falloir emprunter sur les marchés internationaux ? Ne pas l’exclure. 

Et de rappeler ce que l’on a fait durant le covid (« Quoiqu'il en coûte » ?) pour tenir le pays à flot. 

Donc, se préparer à ce que la France s’enfonce un peu plus dans la spirale infernale de l’endettement.

Et la diplomatie dans tout ça ? « Je suis disposé à mener les discussions », affirme Macron. 

Ce n’est sans doute pas lui qui les mènera ces discussions, le jour où elles viendront... « Mais en face quand on ne dit pas la vérité… », ajoute-t-il.

 En clair, le temps où la France se positionnait comme une grande nation diplomatique est révolu.

 
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Par Georges Michel     https://www.bvoltaire.fr


 

jmlb


 Remarques :

1) Qui a commencé à bombardé le DOMBASS  si ce n' est l' UKRAINE ! 

2) Qui a rompu les accords de MAÏDEN   etc etc ......

3) Macron nous a encore menti !  La guerre est sur le sol Européen   !   

Rectificatif :  L' UKRAINE ne fait pas parti de l' EUROPE !

4)Macron a-t-il été élu Président de la France par les Français pour s' occuper du monde entier ou pour s' occuper des Français dans leur Pays ?

Son " Égo " le tuera .......

 

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Je serais son conseil en communication, je lui recommanderais d’abandonner ce ton pédagogique teinté d’agacement de prof principal, comme si les journalistes (et les Français) étaient des lycéens bouchés 
 





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