jeudi 30 novembre 2023

INVASION MIGRATOIRE ET COLONISATION : STOP ! AVEC UNE FRANCE QUI SE RÉVEILLE .....

 

 


 

Les autochtones d’abord, les colons après !



Le droit des peuples autochtones a fait l’objet d’une déclaration signée par la France et adoptée par l’Assemblée générale de l’ONU le 13 septembre 2007. Il y est écrit quelques principes et éléments de contexte dans un long préambule :

« Réaffirmant que les peuples autochtones, dans l’exercice de leurs droits, ne doivent faire l’objet d’aucune forme de discrimination. » (p.3)

Nous notons bien que les récents propos et les jugements expéditifs introduisent une discrimination évidente entre le peuple autochtone et l’apologie faites par le garde des Sceaux (Sots) en comparant les catholiques ruraux méprisables et les banlieusards modernes bien supérieurs en dignité et en droit.

 


 

La République privilégie les colons contre les autochtones

 « Préoccupée par le fait que les peuples autochtones ont subi des injustices historiques à cause, entre autres, de la colonisation et de la dépossession de leurs terres, territoires et ressources, ce qui les a empêchés d’exercer, notamment, leur droit au développement conformément à leurs propres besoins et intérêts. » (p.3)

Nous y sommes dans de nombreux domaines, puisque des droits sont accordés de manière discrétionnaire aux colons d’où qu’ils viennent, en détournant des fonds sociaux de leurs destinataires et contributeurs, ces derniers ayant perdu le contrôle de la gestion des institutions sociales qu’ils ont créées pour les populations autochtones.

 Les attributions des logements sociaux et combien d’autres privilèges spolient aujourd’hui des autochtones pauvres en faveur des dépenses d’accueil des colons.

 

La République sacrifie nos droits à l’enseignement de notre culture

« Consciente de la nécessité urgente de respecter et de promouvoir les droits intrinsèques des peuples autochtones, qui découlent de leurs structures politiques, économiques et sociales et de leur culture, de leurs traditions spirituelles, de leur histoire et de leur philosophie, en particulier leurs droits à leurs terres, territoires et ressources. » (p.4)

Nous voyons bien que de nombreuses entreprises visent à éradiquer la culture autochtone : désacralisation des lieux de culte, refus de l’enseignement religieux dans les écoles, amputation de l’enseignement de l’histoire des autochtones : localement, régionalement en particulier, sans parler du dénigrement de l’histoire et des philosophes ou théologiens dont l’enseignement est proscrit dans les institutions de la République aujourd’hui.

 

La République alloue des fonds aux territoires des colons au détriment des autochtones

« Convaincue que le contrôle, par les peuples autochtones, des événements qui les concernent, eux et leurs terres, territoires et ressources, leur permettra de perpétuer et de renforcer leurs institutions, leur culture et leurs traditions et de promouvoir leur développement selon leurs aspirations et leurs besoins, Considérant que le respect des savoirs, des cultures et des pratiques traditionnelles autochtones contribue à une mise en valeur durable et équitable de l’environnement et à sa bonne gestion. » (p.4)

Les fonds versés sur les territoires occupés massivement par des populations étrangères privent les autochtones des moyens de leur développement. 

Les territoires colonisés conduisent à l’expulsion des autochtones, dont les Juifs de Sarcelles par exemple ou les Français des banlieues au profit de ces colons qui profitent ensuite depuis des décennies des politiques de la ville, déversant des dizaines de milliards, des régions péri-urbaines et rurales étant privées de ressources en vue de leur développement.

 

La République bafoue les droits des autochtones

Reprenons quelques-uns des articles à faire valoir urgemment contre l’oppression républicaine actuelle dont :

« Article 5 : Les peuples autochtones ont le droit de maintenir et de renforcer leurs institutions politiques, juridiques, économiques, sociales et culturelles distinctes, tout en conservant le droit, si tel est leur choix, de participer pleinement à la vie politique, économique, sociale et culturelle de l’État. » (p.9)

Aujourd’hui, les institutions sanctionnent, poursuivent, persécutent les autochtones depuis les Gilets jaunes et les récents événements démontrent que la République abuse de son autorité pour interdire toute alternative démocratique locale des autochtones sur leur territoire.

 

La République n’assure pas la sécurité et la protection des autochtones

« Article 7 : 1. Les autochtones ont droit à la vie, à l’intégrité physique et mentale, à la liberté et à la sécurité de la personne. 2. Les peuples autochtones ont le droit, à titre collectif, de vivre dans la liberté, la paix et la sécurité en tant que peuples distincts et ne font l’objet d’aucun acte de génocide ou autre acte de violence, y com[1]pris le transfert forcé d’enfants autochtones d’un groupe à un autre. » (p.9)

Malheureusement, les institutions nient les faits de crimes organisés, répétés par des bandes armées, des individus issus de cette colonisation des territoires, allant jusqu’à renverser l’accusation, comme il a été fait tant de fois contre les autochtones par le monde : Amérindiens en particulier.

 

La République force à une assimilation inversée

« Article 8 : Les autochtones, peuples et individus, ont le droit de ne pas subir d’assimilation forcée ou de destruction de leur culture. » (p.10)

Partout, la promotion des modes de vie, des usages alimentaires et des sanctions contre les traditions autochtones a la faveur des institutions et des commerçants rendant parfois même impossible un mode de vie autochtone dans son quartier. Cette assimilation inversée est manifeste dans l’appareil médiatique d’État où les fêtes religieuses des colons font l’objet d’une extrême attention alors que les multiples fêtes autochtones sont ignorées ou dévalorisées dans l’espace public.

 

La République aliène les droits politiques fondamentaux des autochtones localement

« Article 23 : Les peuples autochtones ont le droit de définir et d’élaborer des priorités et des stratégies en vue d’exercer leur droit au développement. En particulier, ils ont le droit d’être activement associés à l’élaboration et à la définition des programmes de santé, de logement et d’autres programmes économiques et sociaux les concernant, et, autant que possible, de les administrer par l’intermédiaire de leurs propres institutions. » (p.18)

Les institutions ont créé un rideau de normes et contraintes administratives liberticides qui empêche les autochtones d’exercer un pouvoir politique effectif sur leur territoire. Le domaine de la santé en est un cruel exemple, par dépossession des ressources et exercice d’un pouvoir central autoritaire.

 

La liberté d’être n’est plus respectée

« Article 33 1. Les peuples autochtones ont le droit de déci[1]der de leur propre identité ou appartenance conformément à leurs coutumes et traditions, sans préjudice du droit des autochtones d’obtenir, à titre individuel, la citoyenneté de l’État dans lequel ils vivent. » (p.24)

La dernière prise de parole du Garde des Sceaux (sots) est une preuve du mépris manifeste pour les traditions rurales des autochtones. Il va sans dire qu’au rythme des positions institutionnelles et judiciaires, ce sont bien des brimades croissantes qui s’exercent graduellement sur les autochtones que nous sommes.

Il est urgent de faire valoir l’autorité et les droits des populations françaises en renversant les termes. 

Nous ne sommes pas en face de migrants, mais en face d’une colonisation organisée depuis des décennies.

 Cette colonisation a déjà produit ses effets dans des territoires qui ont été confisqués et où les autochtones n’ont plus leur place.

 Des partis politiques doivent rapidement faire connaître et faire valoir la signature de la France concernant la déclaration de l’ONU de 2007, sans attendre de devenir une population ouvertement persécutée par les institutions et ses colons, ce qui commence à être visiblement le cas.

Par Pierre-Antoine Pontoizeau


 

Thomas et le drame de Crépol révélateurs de l’inversion des valeurs !

L’histoire est un éternel recommencement et l’observation des grandes ruptures du passé devrait servir de leçon à ceux qui prétendent servir la cause du peuple de France.


Rome, dont notre civilisation occidentale est l’héritière, après avoir atteint son apogée, a lourdement et rapidement chuté pour laisser la place, durant une longue période, au chaos des barbares .


La France, dans le sillage de l’Europe et plus globalement du monde occidental, connaît un déclin semblable, en bien des points, à celui de la Cité des Césars.

Les mêmes causes produisant toujours les mêmes effets, nous avons les meilleures raisons de croire que nous sommes en passe de connaître un revers identique. Cela devrait préoccuper nos dirigeants politiques et l’analyse des raisons de cette chute permettre d’éviter l’écueil.


Mais encore faudrait-il que la volonté de ces derniers soit de relever la tête et de redonner à notre Nation l’ambition de redevenir ce qu’elle était, il y a encore quelques décennies, c’est-à-dire un leader, un exemple, un moteur civilisationnel.

 

L’effondrement de l’Empire romain, on peut l’affirmer avec peu de risque de se tromper, a trois causes fondamentales :
1) le délabrement économique et social,
2) la corruption de ses élites,
3) le développement d’un corps social diversifié outrageusement par l’inclusion de populations exogènes arrivées en grand nombre qui dénatura le cœur de l’ensemble culturel qui prédominait jusqu’alors.

Ces trois déterminants du changement agissent de concert aujourd’hui pour tirer notre pays vers les tréfonds de la décivilisation produite par la barbarie des envahisseurs, l’irresponsabilité des citoyens et la corruption de ses élites.
 

Si l’on passe rapidement sur l’évidence du déclin économique et conséquemment social, dont les marques sont tellement apparentes qu’il est inutile de le décrire, il convient naturellement de convaincre les esprits naïfs, dont la candeur parfois dépasse l’entendement, des dangers majeurs que l’immigration galopante fait courir à notre modèle de vie, à notre existence même.

En réalité, tous les dysfonctionnements, toutes les difficultés, tous les heurts que nous rencontrons n’ont qu’une seule et même origine : L’IMMIGRATION à la fois massive, incontrôlée et hétérogène.
 

Notre société reçoit plus de migrants qu’elle ne peut en accueillir. 

Nul n’en disconvient plus. 

Elle ne maîtrise aucun des flux qui la submergent sans discontinuer à telle enseigne que les clandestins ne cherchent même plus à se cacher.

 Et en point d’orgue, il est évident que l’essentiel de ces populations déplacées n’ont ni aptitude ni surtout volonté de se fondre dans l’espace civilisationnel qui les reçoit mais, bien au contraire, de le modeler à leur convenance et à leurs aspirations c’est-à-dire à terme la charia !

Si l’on en croit les exégètes de toutes sortes et notamment tous ceux qui nous expliquent que les dérèglements climatiques pourraient être jugulés par la simple volonté de le faire, il n’y a aucune raison sérieuse de penser qu’il soit raisonnablement impossible de s’opposer à l’envahissement de la France par les hordes hétérogènes qui affluent de tout le continent africain et du monde arabo-musulman et noient petit à petit la réalité humaine dont sommes l’expression.


Cela étant dit, pourquoi la volonté de mettre en pratique les solutions propres à produire un arrêt de l’immigration ne se manifeste-t-elle pas avec force et détermination ?

Pour dire les choses sans détour, je ne trouve que deux raisons à cette aberration.


La première est l’impéritie d’une bonne partie de l’opinion raisonnant de bonne foi. La seconde est la corruption doublée d’une duplicité de la part d’une autre partie du corps social agissant avec mauvaise foi. 

Ces deux raisons, objectivement alliées pour annihiler la France, fonctionnent avec une dialectique sournoise, basée sur un pseudo-humanisme d’apparence pour aboutir à une inversion des valeurs, changeant le bien en mal et inversement.

Nous avons eu récemment à connaître le drame de Crépol, petit bourg rural de la Drôme tellement tranquille que nul, hormis ses résidents et riverains, n’en supposait l’existence. 

Thomas, 16 ans, y a été trucidé à l’arme blanche par le dénommé Chaïd. `

Dans l’affaire, la victime et l’assassin fortement suspecté sont identifiés par tous sauf par monsieur Darmanin ministre de l’Intérieur qui désigne, comme responsable de ce crime, d’hypothétiques membres d’une ultradroite dont chacun apprend subrepticement l’existence et dont il lui est fait suggestion de redouter le pire.

 Pour ce petit monsieur les Français ont plus à craindre de Charles Martel (celui qui expulsa les Arabes de France), au travers de « la division Martel »mouvement incriminé par le ministre, que des hordes islamiques qui pourtant agissent de toutes parts.

Cette Association sera dissoute au nom de son orientation politique quand, dans le même temps ou presque, « les Soulèvements de la terre », à qui il convient d’attribuer les agressions sauvages et meurtrières contre des gendarmes agissant dans le cadre de leur délégation à Sainte-Soline, ne le sera pas, tout comme les « Frères musulmans » propagandistes et agitateurs djihadistes seront ignorés de la justice et de Darmanin.

Il faut donc comprendre dans les propos et l’action de Darmanin que l’on peut être incriminé pour un « délit d’intention », tels les manifestants de la division Martel et être quasiment absout (30 jours de travaux d’intérêt général qui seront d’ailleurs faits ou non) comme le délinquant refusant d’obtempérer et entraînant dans sa fuite un gendarme au risque de le tuer.

Rappelons que dans cette affaire, le pouvoir politique par la voix de son porte parole Olivier Véran avait nommé le drame de Crépol du « sobriquet grotesque » de rixe avant de rétropédaler et rétablir la qualification tout en déplaçant la responsabilité sur des coupables désignés ignominieusement et tentant du même coup de couvrir les vrais coupables.

Mais les politiques, Darmanin, Véran, véreux ne sont pas les seuls à inverser le sens du réel et à pervertir à dessein la réalité des faits. 

La nasse médiatique est, elle même, le fer de lance des manipulations de masse de l’opinion. 

 Chacun peut apprécier l’absence d’honnêteté dans l’influence du Sévice public de l’odieux-visuel (France Inter, ou France Info, la 5 ou les journaux lénifiants de la une ou de la 2) dans lequel agit un certain Patrick Cohen chantre de l’information viciée et de la mauvaise foi instituée en règle professionnelle. 

Selon ce clown journalistique, les vrais responsables du drame de Crépol sont les membres du club de rugby de la cité drômoise…

Ben voyons !…Il est bien connu que les rugbymen sont de sales types brutaux et sans vergogne…

Tout cela est édifiant, certes, mais que dire, alors, des propos tenus à la tribune de l’Assemblée nationale par le « garde des sauts (d’humeur…sans doute) » ayant probablement perdus les sceaux de la République, qui oppose la France rurale des Blancs catholiques aux banlieues urbaines des jeunes « Français » aux doux prénoms de Mouloud, Mohammed ou Mokhtar…

Cela dans l’hémicycle et sous le regard goguenard et sans respect pour les lieux et les personnes de la Première ministre Élisabeth Borne dont l’abjection semble sans limite.
Il est clair que toute l’action de celui qui oublie qu’il n’est plus avocat mais ministre démontre son choix en faveur des racailles…

Par ailleurs, sa hargne incontrôlée à l’égard de Marine Le Pen et du RN dénote autant un parti pris intolérable contre 13 millions d’électeurs citoyens qu’une pathologie inquiétante.

 A l’instant ou j’écris ces lignes le Dupond en question, non élu, lui, au regard de sa mise en cause devant la cour de justice de la République, aurait intérêt à se faire moins péremptoire et à modérer sa logorrhée…

Mais peut-être que l’engeance appelée à le juger fera l’économie d’une condamnation qui ouvrirai un peu plus le voile sur l’image déjà bien écornée d’une législature où, de Ferrand à Griset, ils ont été nombreux à salir son manteau.

Si d’ici là, un embrassement aux couleurs d’une guerre civilisationnelle n’a pas meurtri notre Patrie, nous verrons bien si la part des gens crédules mais de bonne foi aura su discerner les traîtres intentions de nos élites de mauvaise foi, pour tirer dans le bon sens et rétablir l’ordre des choses justes et la réalités des faits en exprimant un choix positif en juin 2024 point de départ de la reprise en main de notre destin.

Par Jean-Jacques Fifre

 

Source et Publication :     https://ripostelaique.com 






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