vendredi 24 novembre 2023

CRÉPOL : DEUX MONDES SE FONT FACE À FACE ....RIEN NE JUSTIFIE LA MORT D' UN JEUNE !!!




Après la mort de Thomas, le lâche silence de l’Ovalie

Thomas, 16 ans, tué à Crépol par des racailles venues planter du Blanc, restera pour les Français ce gamin souriant et fier de son maillot de rugby. 

 Licencié de la Fédération française de rugby (FFR), il était capitaine de son équipe junior. Cinq jours après le meurtre, on attend toujours de la FFR un mot d’hommage, un témoignage de compassion pour sa famille.

Idem du côté de son président, Florian Grill. Sur X, on le voit très actif dans les « quartiers prioritaires »

À Anthony, à Athis-Mons, à Pantin : « Une pépinière pour les jeunes talents du rugby à Pantin dans le 93 une terre de développement pour le rugby. »

Florian Grill a choisi son camp

Le jeune talent qu’était Thomas, lui, est passé par pertes et profits. 

Si, encore, il avait habité un de ces quartiers qu’affectionne le président de la FFR ! Vous savez, ce genre de quartiers dont venaient, justement, ceux qui ont attaqué, façon Hamas, en fondant sur des innocents, la fête de Crépol… 

Florian Grill n’a d’yeux que pour eux : « On a déjà 270 clubs qui mènent des actions dans les quartiers prioritaires (QPV), avec des moyens dérisoires. Il faut monter à 400. » Il cherche dans les banlieues ses prochains licenciés, comme LFI ses futurs électeurs.

Autre autorité du milieu, le capitaine de l’équipe de France de rugby, Antoine Dupont.

 Il a reçu, le 20 novembre, le trophée du meilleur joueur international français lors de la « Nuit du Rugby ». Il aurait pu dédier son prix à Thomas.

 Mais non. Avoir un mot pour lui. Non plus.

 

Où est passé Mbappé?

Quel contraste avec la mort de Nahel et l’hommage, gravé dans le marbre, de Killian Mbappé au « petit ange ». Il paraît qu’ironiser sur l’angélisme de Nahel, c’est dévoiler son appartenance à « l’extrême droite » : soit ! Koundé, Tchouaméni, Pogba, Kimpembe, Maignan… eux aussi avaient « mal à leur France » après la mort de Nahel.

 Eux aussi restent muets après celle de Thomas.

Il y a le silence des joueurs de foot, qui soutiennent la racaille exogène par communautarisme et ne soutiennent donc pas Thomas. 

Il n’est pas « des leurs », quel crédit garderaient-ils auprès de leurs fans en ayant une pensée pour lui ? Ils se déconsidéreraient plutôt.

L’épée de Damoclès

Et il y a le silence de l’Ovalie. Il est d’un autre ordre. 

Qu’un rugbyman s’engage pour Thomas, il s’exposera à une accusation glaçante : on insinuera que, peut-être, il est d’extrême droite. 

Prenez des sportifs courageux physiquement, qui n’ont pas peur, comme on dit, d’aller au contact - avec une telle épée de Damoclès, vous les transformez illico en flipettes.

Sous cette menace, on rentre hâtivement au vestiaire les « valeurs du rugby » - respect, solidarité, loyauté, énumérait Florian Grill.

 Ça fait joli, pendant la Coupe du monde, mais il serait imprudent de les arborer dans ce cas précis. 

Qui sait si on ne serait pas classé avec ceux qui « récupèrent » le drame ?

Au milieu de toute cette lâcheté émerge la réaction de Philippe Saint-André, ancien joueur du XV de France et sélectionneur des Bleus entre 2011 et 2015. 

Honneur à lui ! « Il y a beaucoup d’émotions car c’est un enfant. Un enfant du rugby aussi. […] Thomas, il faut savoir que c’était un enfant bien, un enfant éduqué, heureux de vivre, respectueux et fou de rugby. » 

Bref, Thomas était très différent de ses assassins. Cela, on l’avait compris. 

Tout le monde l’a compris. D’où le silence général.

 
Samuel Martin

Samuel Martin

Journaliste     https://www.bvoltaire.fr

ET AUSSI

Après l’assassinat de Thomas, 16 ans, à Crépol (Drôme)


Par Olivier Perceval.

« Curieusement, la qualité de Français ne semble pas intéresser ceux qui sont censés diriger notre pays. »

La liste s’allonge ! Des jeunes gens sont poignardés et des bobos outrés, sur un plateau de télévision que je ne citerai pas mais où travaille Laurent Ruquier, ne voient qu’une chose : « Ça fait le lit de l’extrême droite ».

 On sent l’émotion, la douleur qui étreint ces parangons de la compassion. 

« Ils ont le cœur dur et la tripe sensible » écrivait Bernanos à leur endroit.

Ce sont 120 attaques à l’arme blanche qui se déroulent chaque jour en France. 

En juillet, Enzo, 15 ans, était tué au couteau pour « un mauvais regard »

Un mois plus tard, Anthony Monet, jeune père de famille, était poignardé à mort lors d’un anniversaire. Au printemps dernier, un jeune homme de 24 ans a été frappé de plusieurs coups de couteau lors d’une fête à Aurillac. 

Partout en France on déplore des assassinats à l’arme blanche et certains, avec un courage extrême, commencent du bout des lèvres, comme le ministre de l’Intérieur, à parler d’ensauvagement de la société.

 Les causes sont multiples d’après nos experts, parmi lesquelles un abandon de l’autorité parentale mais aussi du personnel éducatif, le laxisme de la justice, le perte d’autorité de l’État.  

Nous en voyons les conséquences pour les policiers et les pompiers autrefois respectés, les maires, les professeurs, le personnel hospitalier que sais-je ?

Certes les errements pédagogiques, le laxisme judiciaire, les accusations contre la police venues de parlementaires n’arrangent pas les choses. 

Mais chacun sait très bien, y compris et surtout les hypocrites qui nous gouvernent, quelle est la cause première de cette folie meurtrière qui endeuille notre patrie.

Driss Ghali, essayiste*, indique à propos du drame de Crépol que le mode opératoire rappelle les années cinquante en Algérie avec les attaques à l’arme blanche de pieds noirs dans des fêtes ou des réunions conviviales : on frappe violemment, on tue et on disparait.

C’est comme cela que les choses ont commencé à Alger, à Oran et ailleurs, y compris au bled.

La violence se banalise dans notre société.

 Les coupables ne sont pas encore arrêtés, mais nul doute que ce ne sont pas les Anglais qui avaient déjà sévi au stade de France, ni les Suédois (qui règlent chez eux leurs propres problèmes), ni les asiatiques, ni les Bretons, ni même Kevin et Mattéo…

 C’est vers une des cités de Romans-sur-Isère que s’orientent les recherches de la gendarmerie. Sans doute le délit de sale gueule et le racisme systémique sont-ils à l’œuvre, nous dirait Assa Traoré ?

Driss Ghali conclut : il faut mettre fin à l’immigration de masse qui alimente une contre-société. Moi je puis le dire, parce que je suis un immigré, il sera difficile de me traiter de raciste.

Il faut, ajoute-t- il, que la France retrouve ses racines et soit fière de ce qu’elle est.

Nous ne disons pas autre chose.    ■ 

*Driss Ghali vient d’écrire : « Français ouvrez les yeux », chez l’Artilleur

 


Source :   https://www.jesuisfrancais.blog/2023/11/24


ET AUSSI


La guerre des deux mondes !


Il avait 16 ans il vivait dans un petit village de 600 habitants dans la Drome entouré de sa famille.  

A cet âge, au milieu de ses copains du rugby, il respirait la joie de vivre. 

 Jusque-là nous avons une image bienveillante de la France rurale du sud de la France.

De ces terroirs tout le monde se connait ou l'on s'appelle par son prénom et ou chaque parent surveille non seulement ses enfants mais par réciprocité ceux des autres, ceux des amis, ceux des connaissances.  

Cette vision idyllique a été anéantie de façon brutale et soudaine par un groupe de "jeunes" selon l'expression des médias du système, jeunes qui sont arrivés armés de couteaux de boucher (selon plusieurs témoignages) pour attaquer de manière foudroyante au milieu de la nuit les adolescents du village de Crépol qui participaient à un bal.

Mais cette intrusion armée va plus loin, puisque d'après un témoignage du "Dauphiné libéré" les agresseurs voulaient planter des blancs”. 

 Si cette donnée est confirmée le procureur de la République doit non seulement engager des poursuites pour meurtre et tentative de meurtres mais aussi pour propos racistes et haineux.


Ce n'est pas la première fois que l'on voit des zones rurales envahies par des "racailles". 

 Combien faudra-t-il de familles brisées, combien faudra-t-il de jeunes martyrisés pour que saute aux yeux de l'Etat la nécessité impérative d'inventorier les racines du mal qui ronge notre patrie ?


Quand moi ancien militaire j'entends décrire un tel assaut je ne peux que penser à une attaque effectuée par un commando que l'on pourrait classer dans les opérations "coup de main" de style militaire. 

 Oui, ce nouveau drame vient renforcer cette évidence que malheureusement notre pays à un ennemi.  

Deux mondes se font face à face dont l'un installé depuis cinquante ans sur notre sol cherche à prendre le pas sur l'autre. 

 Or, que fait l'Etat devant ces agressions ? Rien de significatif ! Notre président a-t-il parlé d'action ignoble ? A-t-il dit à cette occasion comme lors du décès de Nahel, que :

"RIEN NE JUSTIFIE LA MORT D'UN JEUNE ?"


Non et pourtant Thomas lui n'a commis aucune infraction, il n'a pas conduit de voiture sans permis, il n'a pas refusé d'obtempérer face aux forces de l'ordre !

Voilà comment aujourd'hui nos gouvernants gomment tout ce qui est français, tout ce qui sent le terroir.

De la même façon, mais de manière moins tragique en manifestant leur volonté d'interdire la cérémonie de Place d'Armes du 11 novembre sur Paris le ministre de l'Intérieur a essayé de briser l'action patriotique d'anciens militaires.


Il y a pratiquement 3 ans, j'ai écrit sur le délitement de la France. 

 Personne, parmi les autorités de l'Etat n'a voulu prendre au sérieux ma mise en garde, pire ils se sont gaussés des signataires de la lettre qui comme moi étaient des lanceurs d'alerte.

Aujourd'hui, ces faits divers démultipliés indiquent combien nous étions dans le vrai en ameutant nos gouvernants. 

 Le résultat est certain : l'Etat oriente inexorablement le peuple "France" vers un ras le bol qui conduira à une explosion programmée dans les années à venir.


Par Jean Pierre Fabre-Bernadac

(Président de "Place d'Armes")

 




 



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